petite histoire matinale

Par salhem le 6/6/2002 à 8:27:57 (#1601055)

l'aurore se lève sur le monastère, et les ombres sont chasser des arches qui qui entoure le cloitre centrale. Salhem, contrairement a son habitude, est réveiller tot ce matin. Il sort de sa mélancolie passagère, et ère tel une ame ravagé dans les couloirs a peine éclairer.
Il croise Kartaj, qui remarque son air triste. Ce dernier d'adresse a lui en ces termes :
"salutation a toi Salhem, tu m'as l'air préocuper ce matin, puis-je trouver un myen d'alleger ta souffrance?"

salhem répond en ces mots :
"Nul souffrance ne serais etre plus profonde que la mienne, car ce soir j'ai réver. J'ai réver de ces gestes implacable et calculer, qui font de nous les héros que nous sommes, mais les assassins qui détruisont des vies entière. La pervertion et l'obligation se ce moyen me ronge depuis ce premier combat dans les collines. J'ai choisi de défendre des valeurs de justice et de loyauté, mais ou peut on dire que je suis apte a juger du bien et du mal d'autrui. Quand ma compagne a décéder, je me suis retirée içi pour apaiser mon ame, et m'inicier a la défense des etre que je chérissait. Je suis devenu un etre puissant certe, mais maintenant que le poid des responsabilité arrive, je doute. Aussi, mon père et Maitre, je vous demande conseil."
Le regard de Salhem était lourd de toutes les tristesses, et meme Yerk ne l'aurait fait rire ce matin. Un voile de brume et de tristesse entourait le monastère, et le coeur de l'ange mélancolique. Quelqu'un dans ce monastère arriverait 'il a lui apporter réconfort?

Salhem

Par DeadPool le 8/6/2002 à 7:19:14 (#1613117)

DeadPool debout ce matin observait la vie du monasthère lorsqu'il lui semble percevoir une conversation.

*attend que Kartaj soit parti*
*s'approche sans bruit de Salhem*
*lui pose une main sur l'épaule*

La perte d'un être cher est la plus aigue des douleurs et ne quitte jamais notre coeur compagnon. Mais le lot des vivants est de supporter le fardeau des morts qui chaque jour s'alourdit. Je te plaint et te comprend, veux tu partager ta peine et alléger ton fardeau ? Le recueillement est parfois aussi salutaire.
parle et je t'aderais si celà est en mon pouvoir.

Par salhem le 8/6/2002 à 12:15:27 (#1613999)

merçi a toi, ami et frère en ce monastère. L'existance est parfois si dur à porter, surtout quand les mains qui sont les notres sont pleine de sang.... je redoute le jour infame où nous courerons au combat sans réfléchir, avec d'autre but que d'être encore meilleur, mais sans autre but car nous nous serons écarter de la voie qui est la notre. La guerre deviendra notre seul Ami, et l'extermination de nos ennemi sera notre seul jouissance. La vie sera oublié et les chose informel, tel une petite soirée entre amie dans les tavernes que je cheris tant, ne serons que lointain passer.

Puisse ne jamais voir se jour...

Par Estheral le 10/6/2002 à 17:14:07 (#1628791)

Helas ce jour viendra, car le monde bouge, et nous ne pouvons connaitre ses prochaines metamorophoses. L'avenir est au changment, mais nous ne changeons pas.
Nous sommes nés dans ce flot continu de guerres et de famines. Nous sommes de cette race que l'on nomme des battants. Mais que sommes nous réellement ? Des survivants pris au piege par les tournurent que prirent les évenements indépendants ne notre bon vouloir.
Ce sont les tetes qui régissent aujourd'hui, des tetes soutenues par de grandes armées. Qui sommes-nous pour pouvoir decider de comment sera demain ? Car nous ne sommes rien, si ce n'est de la chair a canon.
De toute facon que savons nous faire d'autres. Chaques nuit je me reveille d'un reve de sang. D'un reve ? Oui, ca je l'avoue, meme si cela me degoutes, je doit aimer cela...
Non, demain sera un beau jour si nous n'étions plus la. Mais les tetes ont besoin de nous... Et nous avons besoins de sang...
En attendant ces prochains jours de batailles, j'essaye de me repentir. Mais la douce vie n'est plus pour moi. On me rejette presque... Alors je vais dans des endroits ou se tiennent d'autres exclus, et je bois. Je bois a la santé du monde, je bois au changement, j'oublie, et je vous y invite...

a tous les enfant du monde, Félicitation

Par salhem le 10/6/2002 à 17:32:47 (#1628927)

merci a vous, mes camarades, pour le réconfort que vous m'avez offert!
n'oublier pas que si votre bras frappe, votre coeur vous fera vivre et fera que le monde ou vous vous déplacé vous plaira !!
c'est le triomphe de l'esprit qui vous fera jouir, pas celui de la bataille !!

allez hardi, dresser vos bouclier, saississer les haches !!! et faites vous LIBRE a travers les Horizons d'ISTERIA !

gloire au baladin qui conteront vos légende, gloire a vous qui les écrirez !!

Salhem
de mon ami l'appuie, de mon ennemi la perte
Ange je suis, Ange je reste
(désoler de l'emprunt de cet phrase, qui aura pour certain un sens énorme)

Par Alphée le 10/6/2002 à 18:16:03 (#1629183)

La souffrance et l'innocence,
sont des proies faciles pour des mains habiles.
Cache tes larmes, oublie tes charmes,
oublie ton coeur, montre ta froideur.
Je ris de la tristesse et je pleure le bonheur,
cacher son indifférence par de l'insouciance.

*s'en va, légère, en riant encore*

Par salhem le 10/6/2002 à 19:41:19 (#1629684)

Madame, à vos mots mon coeur est transporté, il y a bien longtemp que gente damoiselle avait pu soulager mon coeur. Je n'ai le coeur à rire en de si lourd Aurore, mais le sourire de votre visage à transpirer de l'inoncence et de la sagesse que je n'ai pus entrevoir en mille lieu. Mon coeur, briser en eclat de verre et saignant de ne pouvoir entendre que le murmure de votre rire qui déja me semble si longtemp, vous conjoure, madame; de considérer le Chevalier et Ange protecteur que je suis. Mon bouclier, j'en fait ici serment sera rempart a votre tristesse, et mes oreilles seront ouverte a vos malheureux !

Madame, merçi d'offrir a mes yeux la caresse d'un rève que je n'osais ni n'espèrait plus entrevoir!!

le Monastère vous garde, douce Alphée.
Salhem

Par Alphée le 11/6/2002 à 2:37:11 (#1632089)

Ai-je touché ton coeur,
je me suis peut-être avancée.
N'écoute plus mes mots,
entends plutôt ma mélodie.
Toi, chevalier perdu au gré des flots,
Je guiderai ton navire...

*revient sur ses pas, laissant porter son rire*

Par salhem le 11/6/2002 à 8:19:43 (#1632610)

les tumultes puissants des flots qui m'ont égarer, font, madame que votre rire est tel un phare. Votre sourire éclairera mes nuits froides et humides, quand le marins perdu que je suis cherchera a rentrer au port. Les Ames des guerriers qui repose en Avalon pris d'avoir un jour la chance de saluer votre douceur. Ma mélancolie maladive n'a d'égal que la tumultueuse fraicheur de votre rire.

Je suis en se jour prisonnier de votre lumière, qui me détournerais des voies les plus sacrés. Votre Pureté fait chavirer la barque de mon affection.
Salhem

Par Alphée le 14/6/2002 à 16:51:33 (#1655515)

Te détourner des voix les plus sacrées, je n'en demandais pas tant ! Plutôt te guider, t'orienter, te téléporter, t'inviter dans ma dance sans fin.
Pourrais-tu me suivre, Salhem ?

(mon deuxième nom est Alexiel ;))

Par salhem le 14/6/2002 à 17:12:03 (#1655632)

que diantre Oui ! tournons, virvoltons, et soyons béni pour la fraicheur matinale qui caresse nos pieds dans cet instant d'allegresse. Je serai votre cavalier, si vous le souhaitez, dans cet danse qui nous poussera de territoire en nation, de nation en pays de pays en Etat et d'état en Empire. J'espere vous apporterchaque soir que nous partagerons au coin du feu le sourire qui vous rend reine de ce monastère. Je reste votre servant, et puisse les joies les plus spirituelles éclairé notre chemin. Sur vos danse je tirerai quelque notes cristalyne que mes doigts distilerons de la harpe de Mon Père. La Ballade commencera bientot, et elle sera a belle, oui.... elle sera belle

Par Alphée le 15/6/2002 à 0:55:01 (#1658090)

Reine du monastère !

*petit rire satisfait*

En voila un charmant titre.
Même si tu ne me connais pas encore, tu acceptes de me suivre, dans mes danses, et mes turbulences alors je ne suis pas même sûre d'en connaître la fin. Cela me plait.