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Sommeil
Par Ashraaf le 21/5/2002 à 9:15:58 (#1498645)
Armes, armures séchangent. lor passe de mains en mains.
Un bateau est annoncé. Je vois ces pauvres hères qui débarquent. Certains ne portent quun simple couteau à leur ceinture. Ils se dirigent vers le samaritain qui leur indique ou se trouve lacadémie, ou trouver a se loger, quels sont les règles de survie hors de la ville. Une jeune femme descend en dernier. Lair altier, une cascade de cheveux blond auréole un visage amaigri par les privations. Je sourit, Le jais cache lor. Les épaules solide, le visage avenant, je reconnais le séraphin dOgrimar sans même voir son visage. Je connais son discours, le ton charmeur de la voix, qui réchauffe et inquiète. Les yeux toujours a laguets de la venue de garde du baron. Ils se dirigent vers le Gob dor. Demain un autre bateau, un autre visage mais le même discours.
Nos regards se croisent et se défie. Un autre jour ou je ne baisses pas les yeux malgré la crainte qui me serre le cur. Je maffaire, mes mains et mes jambes ne sont plus aussi alerte que jadis. Je triche, les esprit du vent porte ce que je ne peut plus soulever.
Une douce chaleur monte de la cheminée, javance a faible pas et je pose au coin la dernière tarte à la rhubarbe de la saison. Lodeur monte dans la cuisine. Je reviens à la fenêtre, je lis. Des gens passe et me salue. Je réponds machinalement à des visages que je ne reconnais plus. La journée avance. Ma tarte est enfin prête. Je la dépose prés de moi. Déjà les gens rentrent chez eux. Les mendiants sont remplacés par des gens plus agiles. Je reconnais Noam, dombre en ombre il passe, silencieux, attentifs. Il sapproche d un marchand, lui propose divers objets de toute provenance. Ses mains sagitent en tous sens alors quil marchande. Puis il sessuie contre sa tunique. Il lance un regard furieux vers moi. Je nai pas perdu la main. Certes invoquer une limace dans une poche est à la portée de tout apprenti mais mes doigts nont plus la précision qui fut la mienne lorsque je berçais Noam.
Je rentres dans ma maison. Il est déjà tard pour moi, je prépare un repas, léger, savourant par avance ma friandise.
Je me dépêche de manger, la nuit est déjà tombée sur lighthaven.
Sur la fenêtre il ne reste plus quune part de tarte, a coté est posé une limace. Encore une fois je nai rien vu. Je ris. Et je savoure ce dernier morceau de gâteau. De toute façon je mange peu ces temps ci.
Mes yeux commence a se fermer. Je narrives plus a veiller, je narrives plus a regarder le ciel étoilés. La fatigue métreint, pourtant je doit encore me lever, jai tant de petite choses a faire. Mes jambes ne me porte plus, Un effort encore, Mes yeux se referment. Lutter un peu plus, je suis si fatiguée. Ce nest plus mon combat, tant de monde est arrivé pour me remplacer, il fais si froid
A Lighthaven une vieille dame sendort sans rever
Ellian Nefkati Son
Par Kalypso le 21/5/2002 à 9:23:03 (#1498670)
Par Muabdib Serra le 21/5/2002 à 9:36:05 (#1498718)
Par Olanh Narisa le 21/5/2002 à 10:40:58 (#1499027)
Par Amelie le 21/5/2002 à 10:42:40 (#1499048)
Par Dovia NoirEpine le 21/5/2002 à 18:12:59 (#1501334)
Un fil se rompt, une balance se rétablit.
Par Druss le 21/5/2002 à 20:09:50 (#1502120)
Au détour dune ruelle, une femme aux cheveux blonds comme les blé, au port certain, passe sans le voir, il note dans un coin de son esprit la physionomie de la belle, tout en calculant les risques quune rencontre avec elle engendrerait.
Son travail dobservation fini, lombre se détourne prête à rentrer chez elle, cest à ce moment précis quelle voit lancienne juge saffairer à la préparation dune tarte, ses mains son agile et alerte malgré lage qui pèse sur ses épaules.
Elle la dépose délicatement et prend un livre, depuis son point dobservation Druss ne peut pas voir le titre, mais quimporte, il ne sait pourquoi il reste là à regarder cette vielle femme lire son livre, mais il reste.
Un adepte de selene passe et sarrête pour parler avec un marchand,après avoir fouillé dans ses poches il tourne la tête en direction de la juge, ils doivent se connaître vu le regard remplit de fureur mais aussi de respect que lui jette larcher !
Le ciel commence à se couvrir de petit point brillant, l ancienne juge est rentré prendre son repas. Lombre sapprête à partir quand il voit larcher sapprocher avec une grâce, que même lui lombre ne pourrait reproduire, et délicatement découpe une part de la tarte quil laisse, il dépose aussi une limace juste à coté, bien en évidence.
Lombre décide de partir mais avant il saccroupit et ramasse lui aussi une limace, il suit larcher de loin en prenant soin de ne pas se faire remarquer chose peu évidente, le Selenite est sur de lui mais toujours à l affût, toujours aux aguets, lombre respect ça.
Se sentant suffisamment prêt de lêtre ailé dun mouvement ample envois la limace qui atterrie silencieusement dans la tarte.
Il ne sait pourquoi il perd son temps avec tout ceci, il en a oublié le visage de lOgrimarienne il ne lui reste plus que celui de la vielle femme en mémoire.
Par Gaelle Drake3RD le 21/5/2002 à 20:44:40 (#1502352)
Par Neptune-Gx le 22/5/2002 à 21:46:50 (#1509258)
N'est pas mort ce qui a jamais dort...
Par Noam Abalham le 23/5/2002 à 17:48:02 (#1514603)
Un seul être vous manque et...
Par Hesp amp; Thulip le 23/5/2002 à 18:26:07 (#1514827)
Sans relâche, pâle et amaigrie, mais néanmoins déterminée, cette frêle silhouette harcelait de questions le livre... Ses yeux poursuivaient avec lenteur le manuscrit à l'écriture obscure et malaisée, bien qu'à force d'efforts, ils s'habituaient.
Restait le sens caché à déchiffrer...
Son regard se mit soudain à briller, comme si un secret venait enfin de se dévoiler ...
Mais il n'en était rien, Hesperides senti une sensation étrange lui piquant les yeux, et vit tomber sur les vieilles pages, des gouttes translucides, tandis qu'un goût lègerement amer naquit dans sa bouche. Sans encore comprendre, sa vue se voilât, et elle ne vit plus rien autour d'elle.
Elle avait relevé la tête, cherchant à distinguer ce qui l'entourait. Ses efforts furent vains et bientôt les ombres firent le noir autour d'elle. Le néant. Son coeur lui fit comprendre ce que son esprit n'avait pas encore saisi.
Le monde lui parût tout à coup vide. Les présences qui se faisaient encore entendre dans les couloirs de l'abbaye l'instant d'avant s'étaient tues faisant place à un univers qui lui sembla ... dépeuplé.
Par Nerakel le 23/5/2002 à 21:17:44 (#1516079)
La lueur de la bougie posée à côté du lit de la vieille Dame, fut la seule chose à trembler...
Son regard se posa sur cette femme.
Là où il aurait dû voir un visage marqué par le temps, par la vie...il voyait une femme superbe, magnanime, telle qu'elle était autrefois, entouré d'un halo de lumière...
Le démon grimaça quelque peu.
Elle était parvenue à trouver un moyen de lui échapper.
Mais sa quête ne faisait que commencer. Il saurait la retrouver...
Et ce jour là, elle saurait enfin ce qu'il était vraiment venu chercher.
Le nuage qui avait recouvert la lune, continua son chemin, laissant les rayons de cette dernière pénétrer à nouveau la pièce.
L'ombre n'était plus.
Par sussidator le 23/5/2002 à 21:18:21 (#1516083)
Le royaume des mort s'enrichie...
Par Poppu Ezeil le 23/5/2002 à 22:17:19 (#1516555)
Bien que les batiments de la dite Académie soient voisin de sa demeure, il lui vint une fois de plus l'idée de marcher ... marcher pour voir, pour sentir, pour entendre les gens parler.
Passant devant la maison de la Sage Ellian, Poppu apperçoit une limace lorgnant avidemment la tarte posée sur le rebord de la fenêtre. Sa première réaction est d'aller d'un pas ferme sauver le si bon met d'une atroce fin, ou faim, il ne sait.
Souriant à son propre jeu de mot, il se dit que finalement il n'en fera rien, il commettrait certainement une bavure. Puis il repart hilare, sentant les regards des passants s'apensantir sur ses épaules, mais il s'en moque. " Après tout, s'ils ne savent pas faire la part des choses" se dit-il les mains pliées sur ses abdominaux ... "Je serai bonne pâte " ajoute-t-il pour lui même en retenant difficilement un ricanement des plus idiots. De plus en plus il se sent incongru parmis ces mines grises, surtout "l'autre avec sa tête de flanc ! S'il est comme ça chez lui, ça doit pas etre de la tarte tous les jours" .
Se posant sur un banc pour tenter de calmer son esprit tordu, il est au bord de la crise de nerfs.
Il s'interroge : "Ca faisait longtemps .... comme si j'avais un manque à combler"
Puis soudain, une vague de froid lui glace l'échine. Il perçoit la faucheuse, celle qui a emmené son si tendre frère. Il sait qu'elle rôde dans les parages.
Alors il repense aux raisons de son hilarité. Il se dit que quelque chose est arrivé chez les Nekfatis ... mais quoi ...
Par Lysi NefAdes Gs le 26/5/2002 à 20:50:26 (#1532993)
- Grande soeur, que de là-haut tu nous guides, tu seras toujours dans mon coeur, tu me manqueras
*se retourna et éclata en sanglot, en voyant les autres membres de la famille arriver et les amis*
- Adieu, grande soeur, on va se retrouver, lorsque mon heure sera arrivée, je t'oublierais jamais
:sanglote:
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