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La Geste Perpétuelle [poème collectif]
Par Gardhalf le Fou le 31/3/2002 Ã 18:55:07 (#1204257)
afin de détendre l'atmosphère pesante de notre cher forum quiesien et au delà l'ambiance un tantinet négative de notre communauté (est-ce que j'exagère ?), je vous propose de participer à la rédaction de la Geste de Quies...
Chacun d'entre nous, tour à tour, pourrait rédiger un vers de ce texte qui ainsi deviendrait perpétuel (ce qui est une belle idée en soit, non ?). Nous en serions aussi tous les auteurs, il ne sera à personne mais à tous (autre belle idée...).
Seuls impératifs peut être : ne poster qu'un seul vers à la fois et conserver le sens général meme si celui ci nécessairement évoluera (vers où, on ne sait pas !!!).
voilà !
Permettez moi de poster le premier vers :
Au fond de mon coeur, chante un noir Séraphin
Par ThyThy Hyrato le 31/3/2002 Ã 19:30:52 (#1204431)
ThyThy ki...
Thyunkel Qui veut Faire... :)
Par Kathandro le 31/3/2002 Ã 19:39:32 (#1204485)
Par ThyThy Hyrato le 31/3/2002 Ã 19:53:15 (#1204548)
le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Par Gardhalf le Fou le 1/4/2002 Ã 9:57:53 (#1206409)
récapitulons :
Au fond de mon coeur, chante un noir Séraphin
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Riche idée
Par Vénusia Oros le 1/4/2002 à 10:26:31 (#1206447)
"Et par ce geste lui confia son destin"
Riche idée Gardhalf, je lui souhaite longue vie.
J'espère que chacun participera et nous aurons un mélange rare d'imaginations.
Par Ansi de Keyl le 1/4/2002 Ã 11:34:31 (#1206584)
"La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux"
Gardhalf, mon ami, vous avez, comme toujours, eu une merveilleuse idée. Ce poème une fois fini aura une place particulière dans mon site ;)
Par Roxanna le 1/4/2002 Ã 13:05:27 (#1206943)
comme tojours tu as eu une idée merveilleuse,félicitation chèr père....
voici ma modeste contribution .........
*le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleu*
voilas au suivant :p
bravo a tous.....
Roxy
Par ThyThy Hyrato le 1/4/2002 Ã 13:36:04 (#1207071)
Au fond de mon coeur, chante un noir Séraphin
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleu
Nous attendons la Suite...
Par Gardhalf le Fou le 1/4/2002 Ã 23:03:30 (#1210232)
:ange:
dsl
Par Rohlandius KBR le 1/4/2002 Ã 23:09:05 (#1210249)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleu
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Par Ombre-Jade le 2/4/2002 Ã 0:07:16 (#1210510)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleu
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
une amitié profonde s'insufflait entre eux
Par Anauel Senkarst le 2/4/2002 Ã 0:15:19 (#1210545)
je pense...:)
voici ma pitite addition (nouvelle strophe)
Alors dans mon coeur s'installa la paix
voili voilou :)
Par Spirou Hyluan le 2/4/2002 Ã 0:21:39 (#1210568)
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
(voili voilou pour reprendre les mots :) )
Par Gardhalf le Fou le 2/4/2002 Ã 8:47:05 (#1211324)
récapitulatif :
Au fond de mon coeur, chante un noir Séraphin
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
suite au prochain vers .....
Relance
Par Vénusia Oros le 2/4/2002 à 16:08:30 (#1213032)
Allez bon, je relance :)
"Les ombres du passé s'enfuyaient"
Par Gardhalf le Fou le 2/4/2002 Ã 21:48:37 (#1215187)
Au fond de mon coeur, chante un noir Séraphin
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Par TheYoMan le 2/4/2002 Ã 23:44:14 (#1215794)
Provient du message de Gardhalf le Fou :
Au fond de mon coeur, chante un noir Séraphin
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Ce que la poésie fait de plus sublime, c'est de donner aux choses insensées sens et passions.
Historien et philosophe italien [Giambattista Vico]
Par Gardhalf le Fou le 3/4/2002 Ã 18:31:58 (#1220236)
Au fond de mon coeur, chante un noir Séraphin
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Suivant
Par Vénusia Oros le 4/4/2002 à 13:57:15 (#1224478)
"Sur les vagues argentées dansait l'aurore"
A qui le tour ?
Par TheYoMan le 4/4/2002 Ã 17:11:29 (#1225412)
J'avait rendez-vous avec la mort
Quatre beaux vers valent mieux dans une pièce qu'un régiment de cavalerie.
Ecrivain français [Voltaire]
Par Kathandro le 4/4/2002 Ã 18:14:50 (#1225865)
Par Gardhalf le Fou le 4/4/2002 Ã 23:15:40 (#1227731)
continuons :
Au fond de mon coeur, chante un noir Séraphin
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Par Rohlandius KBR le 5/4/2002 Ã 1:01:26 (#1228106)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force a l'espoir
Tristes jours
Par Vénusia Oros le 7/4/2002 à 23:28:49 (#1245037)
*pose une pierre*
"Espérant sagesse et pouvoir"
Par Garou Willer le 8/4/2002 Ã 17:10:23 (#1248696)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force a l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
tres bonne idee, bravo
Par Gardhalf le Fou le 9/4/2002 Ã 19:04:35 (#1256232)
et un vers de plus :
Au fond de mon coeur, chante un noir Séraphin
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Par Stalh Willer le 9/4/2002 Ã 19:55:25 (#1256556)
(je rajouterai rien je veux pas tout gacher)
Par Spirou Hyluan le 9/4/2002 Ã 21:42:26 (#1257176)
(si je puis me permettre......)
Par Alan Kardec le 10/4/2002 Ã 8:22:15 (#1259077)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques....
(Si je puis me permettre bien sur.... :mdr: )
on continue
Par Vénusia Oros le 10/4/2002 à 9:21:14 (#1259225)
*porté par l'orage, chaos maginifique*
Par Ansi de Keyl le 10/4/2002 Ã 10:56:07 (#1259569)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos maginifique
*hop hop hop*
Je repensais encore à cette vision magique
;)
Par TheYoMan le 10/4/2002 Ã 11:54:29 (#1259851)
oups dsl... :D
:o :o
(dsl j'ai pas pu m'en empecher......)
Disons plutot :
Me devoilant sa face veridique.
;)
L'auteur toujours aime à voir imprimé
Et livrés au grand jour les vers qu'il a rimés.
Ecrivain français [Georges Courteline]
Par Gardhalf le Fou le 11/4/2002 Ã 0:11:41 (#1265430)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos maginifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Par Spirou Hyluan le 11/4/2002 Ã 1:42:10 (#1265804)
Encore moi, mais ou sont les autres ?
Par Vénusia Oros le 12/4/2002 à 9:44:44 (#1272809)
Qui continue ?
Par Rohlandius KBR le 13/4/2002 Ã 2:24:00 (#1277448)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos maginifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temp
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
Par une âme le 13/4/2002 à 11:38:30 (#1278245)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos maginifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temps
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
La nuit la folie la mort ou renaître à la douceur de vivre
Par Kyriana le 13/4/2002 Ã 14:57:51 (#1279254)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos maginifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temps
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
La nuit la folie la mort ou renaître à la douceur de vivre
Ce choix, pour moi etais des plus difficiles
Par Beouk Lochly le 14/4/2002 Ã 2:27:24 (#1282533)
(pd bisoux a toute ma pitite fmille adorée:)
Et oui
Par Vénusia Oros le 15/4/2002 à 22:37:33 (#1291863)
*Un noir séraphin et pourtant si fragille*
Par Rohlandius KBR le 16/4/2002 Ã 0:00:15 (#1292258)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos maginifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temps
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
La nuit la folie la mort ou renaître à la douceur de vivre
Ce choix, pour moi etais des plus difficiles
et d'un pas serein j'allais tranquille
Un noir séraphin et pourtant si fragille
Ma décision était depuis longtemps prise
Par Gardhalf le Fou le 16/4/2002 Ã 9:36:04 (#1293247)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos maginifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temps
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
La nuit la folie la mort ou renaître à la douceur de vivre
Ce choix, pour moi était des plus difficiles
Et d'un pas serein j'allais tranquille
Un noir séraphin et pourtant si fragile
Ma décision était depuis longtemps prise
J'allais vers mon destin fatale méprise
Par Vénusia Oros le 17/4/2002 à 16:08:28 (#1300497)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos maginifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temps
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
La nuit la folie la mort ou renaître à la douceur de vivre
Ce choix, pour moi était des plus difficiles
Et d'un pas serein j'allais tranquille
Un noir séraphin et pourtant si fragile
Ma décision était depuis longtemps prise
J'allais vers mon destin fatale méprise
Je partais rejoindre cette lumière qui me grise
Par Ansi de Keyl le 17/4/2002 Ã 17:03:19 (#1300797)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos maginifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temps
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
La nuit la folie la mort ou renaître à la douceur de vivre
Ce choix, pour moi était des plus difficiles
Et d'un pas serein j'allais tranquille
Un noir séraphin et pourtant si fragile
Ma décision était depuis longtemps prise
J'allais vers mon destin fatale méprise
Je partais rejoindre cette lumière qui me grise
Avant que tout ceci ne me détruise.
Par Gardhalf le Fou le 19/4/2002 Ã 9:26:48 (#1309868)
Belle fin
Par Vénusia Oros le 19/4/2002 à 9:33:46 (#1309895)
Toute la question est lÃ
Par Gardhalf le Fou le 19/4/2002 Ã 14:23:17 (#1311174)
Au fond de mon coeur, chante un noir Séraphin
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos maginifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temps
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
La nuit la folie la mort ou renaître à la douceur de vivre
Ce choix, pour moi était des plus difficiles
Et d'un pas serein j'allais tranquille
Un noir séraphin et pourtant si fragile
Ma décision était depuis longtemps prise
J'allais vers mon destin fatale méprise
Je partais rejoindre cette lumière qui me grise
Avant que tout ceci ne me détruise
Las, désemparé, n'y a-il que la nuit pour répondre à mon cri
suite
Par Vénusia Oros le 19/4/2002 à 14:40:36 (#1311256)
Par Rohlandius KBR le 21/4/2002 Ã 23:30:57 (#1325142)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos maginifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temps
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
La nuit la folie la mort ou renaître à la douceur de vivre
Ce choix, pour moi était des plus difficiles
Et d'un pas serein j'allais tranquille
Un noir séraphin et pourtant si fragile
Ma décision était depuis longtemps prise
J'allais vers mon destin fatale méprise
Je partais rejoindre cette lumière qui me grise
Avant que tout ceci ne me détruise
Las, désemparé, n'y a-il que la nuit pour répondre à mon cri
Et les peurs, les angoisses qui reviennent à l'infini
Ce qui me libérerait c'est l'amour d'une tendre amie
suite
Par Vénusia Oros le 24/4/2002 à 14:21:01 (#1337751)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos maginifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temps
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
La nuit la folie la mort ou renaître à la douceur de vivre
Ce choix, pour moi était des plus difficiles
Et d'un pas serein j'allais tranquille
Un noir séraphin et pourtant si fragile
Ma décision était depuis longtemps prise
J'allais vers mon destin fatale méprise
Je partais rejoindre cette lumière qui me grise
Avant que tout ceci ne me détruise
Las, désemparé, n'y a-il que la nuit pour répondre à mon cri
Et les peurs, les angoisses qui reviennent à l'infini
Ce qui me libérerait c'est l'amour d'une tendre amie
Douce colombe, cher ange de mes longues nuits
Par Gardhalf le Fou le 24/4/2002 Ã 15:08:57 (#1338035)
Par Vénusia Oros le 25/4/2002 à 9:14:11 (#1342441)
Par Kathandro le 25/4/2002 Ã 10:37:59 (#1342726)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos maginifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temps
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
La nuit la folie la mort ou renaître à la douceur de vivre
Ce choix, pour moi était des plus difficiles
Et d'un pas serein j'allais tranquille
Un noir séraphin et pourtant si fragile
Ma décision était depuis longtemps prise
J'allais vers mon destin fatale méprise
Je partais rejoindre cette lumière qui me grise
Avant que tout ceci ne me détruise
Las, désemparé, n'y a-il que la nuit pour répondre à mon cri
Et les peurs, les angoisses qui reviennent à l'infini
Ce qui me libérerait c'est l'amour d'une tendre amie
Douce colombe, cher ange de mes longues nuits
Où es tu où es tu toi qui frisonne dans mes rêves
Qui fait vibrer ma vie à la caresse de tes lèvres
Toi qui enfin revenu me donnera une trève
Par TheYoMan le 26/4/2002 Ã 1:24:10 (#1347528)
Quatre beaux vers valent mieux dans une pièce qu'un régiment de cavalerie.
Ecrivain français [Voltaire]
[Signature éditée car omniprésente]
Par Gardhalf le Fou le 30/4/2002 Ã 10:38:43 (#1373557)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrain
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos maginifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temps
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
La nuit la folie la mort ou renaître à la douceur de vivre
Ce choix, pour moi était des plus difficiles
Et d'un pas serein j'allais tranquille
Un noir séraphin et pourtant si fragile
Ma décision était depuis longtemps prise
J'allais vers mon destin fatale méprise
Je partais rejoindre cette lumière qui me grise
Avant que tout ceci ne me détruise
Las, désemparé, n'y a-il que la nuit pour répondre à mon cri
Et les peurs, les angoisses qui reviennent à l'infini
Ce qui me libérerait c'est l'amour d'une tendre amie
Douce colombe, cher ange de mes longues nuits
Où es tu où es tu toi qui frisonnes dans mes rêves
Qui fais vibrer ma vie à la caresse de tes lèvres
Toi qui enfin revenue me donneras une trève
Un léger moment de trouble plus pur que la sève
Par Vénusia Oros le 2/5/2002 à 8:05:39 (#1382229)
Par TheYoMan le 8/2/2003 Ã 3:58:28 (#3194958)
Un poète inspiré, c'est un poète qui fait des vers faux.
Ecrivain français [ Jules Renard ]
[yoman, évite de mettre ta signature a chaque post merci, on te connait et on a vu sur tu avais un site en lien dans ta signature. Trop de pub tue la pub merci ^^
Une fois par sujet suffira bien :)
Par Shebara/Sephira le 8/2/2003 Ã 20:40:49 (#3198370)
Par Rohlandius KBR le 8/2/2003 Ã 20:55:28 (#3198438)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrin
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos magnifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temps
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
La nuit la folie la mort ou renaître à la douceur de vivre
Ce choix, pour moi était des plus difficiles
Et d'un pas serein j'allais tranquille
Un noir séraphin et pourtant si fragile
Ma décision était depuis longtemps prise
J'allais vers mon destin fatale méprise
Je partais rejoindre cette lumière qui me grise
Avant que tout ceci ne me détruise
Las, désemparé, n'y a-il que la nuit pour répondre à mon cri
Et les peurs, les angoisses qui reviennent à l'infini
Ce qui me libérerait c'est l'amour d'une tendre amie
Douce colombe, cher ange de mes longues nuits
Où es tu où es tu toi qui frisonnes dans mes rêves
Qui fais vibrer ma vie à la caresse de tes lèvres
Toi qui enfin revenue me donneras une trêve
Un léger moment de trouble plus pur que la sève
Toi qui est ma vie, mon espoir, mon lendemain
Sauras tu enfin me tendre la main
Ou n'est-tu qu'une douce illusion
Prête à être livré a mes folles pulsions
épilogue pas vraiment poétique
Par Sonofdruin le 8/2/2003 Ã 23:17:06 (#3198965)
Un ogre farouche et vraiment pas très doux
Qui, apercevant le Séraphin
L'écrasa d'un coup de son gourdin
Désolé, je n'ai pas pu m'en empêcher :ange:
Sire Druin
un (tout petit) peu honteux quand même
Par Shebara/Sephira le 9/2/2003 Ã 0:50:36 (#3199339)
mouarf faut trouver une fin collective, ensemble, pas comme ca!:(
Que pensez vous?
Par Dargor, le 9/2/2003 Ã 0:55:18 (#3199356)
Continuez c'est très beau :) :lit:
Par Shebara/Sephira le 9/2/2003 Ã 9:38:40 (#3200304)
Si on mettrait cette fin (ou une autre) plus tard et continuerait?
Ben je mets une tite ligne, à vous de décider :)
Dans quel pays tes pas ils me guident?
Trouverais-je la paix dans mon âme si vide?
Par Kathandro le 9/2/2003 Ã 16:19:21 (#3202278)
Provient du message de Shebara/Sephira
Moi aussi je veux que ca continue :/
Si on mettrait cette fin (ou une autre) plus tard et continuerait?
Ben je mets une tite ligne, à vous de décider :)
Dans quel pays tes pas ils me guident?
Trouverais-je la paix dans mon âme si vide?
Retraduction:
Dans quelque pays que tes pas me guident
Trouverais-je la paix dans mon âme si vide?
Ajout:
Je te déteste maintenant mon amour,
Je te hais, je te maudis de ce que tu as fait pour toujours.
Et si enfin je te revois un jour
Ce sera pour t'exterminer dans des bruits sourds!
Tu m'as laissée seule face à un mur,
En proie à la panique et la folie
Seules armes face à mes peurs les plus obscures
Je te hais, et je compte que tu sois détruit!
--------------------------------------------------------------------------
Si quelqu'un veut terminer autrement, il prend sa plume et il... :)
Par TheYoMan le 9/2/2003 Ã 16:27:26 (#3202325)
Auteurs : Communauté Quiessiene.
Rien n'est définitif avant la fin.
[ Simon Tripnaux ]
[yoman, évite de mettre ta signature a chaque post merci, on te connait et on a vu sur tu avais un site en lien dans ta signature. Trop de pub tue la pub merci ^^
Une fois par sujet suffira bien :)
[Signature éditée]
Par Shebara/Sephira le 9/2/2003 Ã 17:55:58 (#3202759)
Je prends ta main prête à partir
mon coeur si triste, vas-tu le guérir?
Le cercle de pierres de mes souvenirs
entoure mon coeur fatigué de souffrir.
La vie ne se vit pas dans le passé,
dans tous les rêves qu'on a chassé,
De ce monde mort et de ses cendres,
renaît ma feu, pas la haine sombre
Par Kathandro le 9/2/2003 Ã 18:05:38 (#3202801)
Bah disons que c'est une fin inattendue, et qui casse le rythme du poème qui est lent et pleins de gentillesse!!
Ca donne un autre rythme, et puis ça surprend, parce que la fin bienheureuse, on s'y attend dès le début...
Mais bon, chacun ses vues :). Je respecte les tiennes! :)
Par Shebara/Sephira le 9/2/2003 Ã 19:05:31 (#3203153)
Pourquoi autant d'amour? Ce poème est beau, comme tu as écrit, et en ce moment ce thread est au milieu de quelques autres posts du forum, qui me dépriment vraiment à çause de leur agressivité et de leur manque de respect envers les autres. Je respecte aussi ton point de vue mais moi j'aime pas finir ce poème comme ca :)
Et bien sur, ce poème raconte d'une fin pour moi, la fin de Quies, et je trouve que la haine est un mauvais moyen pour tourner cette page, pour continuer ailleurs. Ce qui s'est passé la est du passé et toute agressivité ne peut pas le changer, faut savoir tourner la page et se libérer pour continuer ailleurs.
Par Loupidoux le 9/2/2003 Ã 19:47:56 (#3203367)
Provient du message de Shebara/Sephira
Pourquoi autant d'amour? Ce poème est beau, comme tu as écrit, et en ce moment ce thread est au milieu de quelques autres posts du forum, qui me dépriment vraiment à çause de leur agressivité et de leur manque de respect envers les autres. Je respecte aussi ton point de vue mais moi j'aime pas finir ce poème comme ca :)
Et bien sur, ce poème raconte d'une fin pour moi, la fin de Quies, et je trouve que la haine est un mauvais moyen pour tourner cette page, pour continuer ailleurs. Ce qui s'est passé la est du passé et toute agressivité ne peut pas le changer, faut savoir tourner la page et se libérer pour continuer ailleurs.
Heu ? Alors que tant d'entre nous tentent de mettre de la joie et de la bonne humeur, enfin, bref, la facilité est toujours à l'agressivité...
C'est vrai qu'on est méchant parfois...
Enfin, sgrnif:sanglote:
Loupinours vous fait des bisous...:D
Par Shebara/Sephira le 9/2/2003 Ã 20:27:03 (#3203567)
Normalement j'ignore si des autres se paffent sur le forum, enfin ce sont toujours les mêmes qui pensent que les posts ici ont besoin de leurs commentaires cyniques et leur superiorité :D :rolleyes: mais en ce moment quelques posts me dépriment.
Mais malgré ça, pour la fin du forum...bisonours powwaa et bisou :)
Par Zdravo, bouffon du le 9/2/2003 Ã 20:28:55 (#3203577)
Provient du message de Shebara/Sephira
Pourquoi autant d'amour? Ce poème est beau, comme tu as écrit, et en ce moment ce thread est au milieu de quelques autres posts du forum, qui me dépriment vraiment à çause de leur agressivité et de leur manque de respect envers les autres. Je respecte aussi ton point de vue mais moi j'aime pas finir ce poème comme ca :)
Et bien sur, ce poème raconte d'une fin pour moi, la fin de Quies, et je trouve que la haine est un mauvais moyen pour tourner cette page, pour continuer ailleurs. Ce qui s'est passé la est du passé et toute agressivité ne peut pas le changer, faut savoir tourner la page et se libérer pour continuer ailleurs.
il n'y a pas que des poèmes à l'eau de rose qui sont "beaux"...
je l'ai trouvé très "beau" le passage de Kath, une autre vision, tout aussi somptueux "beau".
Je ne ressent aucune agressivité dans les mots de kath, seulement 'autre chose'.
Pourquoi tjrs vouloir une "happy end" ?(<-- concept de société moderne ) Toujours les même thèmes vu et revu. Toujours ce "bien" triomphant du "mal".
[ De L'Amour à la Haine, il n'y a qu'un pas ( et 13 lettres :D ). ]
Toujours les mêmes remarque lorsque quelqu'un se permet de donner une autre vu/vision.
:doute: :merci:
Par Shebara/Sephira le 9/2/2003 Ã 20:55:54 (#3203704)
J'admire beaucoup par exemple la débatte RP Darla/Ange Dechu, un combat d'amour superbe, excellent.
Je sais très très bien que le monde n'est pas Barbie-rosé, t'inquiète, mais quand même, je préfère les mots tendres et doux moi :)
Par Zdravo, bouffon du le 9/2/2003 Ã 21:06:29 (#3203779)
:)
Par Shebara/Sephira le 9/2/2003 Ã 23:58:46 (#3204516)
Puis, mon épilogue parle d'un départ et d'une nouvelle vie...et depuis quand l'amour et la tendresse sont morts avec Quies?
Je parle en général bien sur :)
Par Vénusia le 10/2/2003 à 9:13:15 (#3205705)
Par Gardhalf le 10/2/2003 Ã 10:08:10 (#3205935)
donc la fin, disons le dernier vers, appartiendra à celui qui postera en dernier... (et je vous rappelle on ne poste qu'un seul vers à la fois...)
alors reprenons au post de Rohlandius (dsl shebara, kathandro mais on a dit un vers ;), et bien joué Sonofdruin mais hors jeu :p) :
Au fond de mon coeur, chante un noir Séraphin
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrin
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos magnifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temps
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
La nuit la folie la mort ou renaître à la douceur de vivre
Ce choix, pour moi était des plus difficiles
Et d'un pas serein j'allais tranquille
Un noir séraphin et pourtant si fragile
Ma décision était depuis longtemps prise
J'allais vers mon destin fatale méprise
Je partais rejoindre cette lumière qui me grise
Avant que tout ceci ne me détruise
Las, désemparé, n'y a-il que la nuit pour répondre à mon cri
Et les peurs, les angoisses qui reviennent à l'infini
Ce qui me libérerait c'est l'amour d'une tendre amie
Douce colombe, cher ange de mes longues nuits
Où es tu où es tu toi qui frisonnes dans mes rêves
Qui fais vibrer ma vie à la caresse de tes lèvres
Toi qui enfin revenue me donneras une trêve
Un léger moment de trouble plus pur que la sève
Toi qui est ma vie, mon espoir, mon lendemain
Sauras tu enfin me tendre la main
Ou n'est-tu qu'une douce illusion
Prête à être livré a mes folles pulsions
Moi qui ai deux visages éternellement ennemis
.... Ã suivre ;)
Par Lilooh D Asgard le 10/2/2003 Ã 11:35:58 (#3206513)
Moi qui ai deux visages éternellement ennemis
Délivrez moi enfin de cette infamie
je pense la meme chose....c'est un peu exagérer de vouloir fermer ce post ... sans vouloir vous vexer Caline.
Par Caline le 10/2/2003 Ã 13:06:21 (#3207150)
Ce genre de sujet avait déjà été jugés "à fermer" au temps où il y en avait à l'asile.
Je vais donc fermer ce sujet. Je vous laisse le temps de conclure le poème néanmoins.
Par Thyrael le 10/2/2003 Ã 13:18:36 (#3207240)
Une suite de poèmes c'est du flood ? :doute:
Ben dis donc...
http://forums.jeuxonline.info/showthread.php?s=&threadid=89343
Holà là quel flood.
http://forums.jeuxonline.info/showthread.php?s=&threadid=26897
J'en parle même pas.
Tu compares au forum Asile, je te compare au forum Démios, qui est... 15 fois plus strict que c'ui ci niveau post-à -fermer, et je vois pas en quoi une suite de poèmes est du flood...
Par Gardhalf le 10/2/2003 Ã 13:22:55 (#3207264)
Quant à la fin de ce texte elle interviendra naturellement le 15... pourquoi vouloir la précipiter ?
[éditer pour remercier thyrael de ces deux liens, je ne connaissais pas ces textes ;)]
Par Caline le 10/2/2003 Ã 13:46:22 (#3207410)
Une phrase par post, ça devient du flood...perpétuel.*
La grande différence dans les sujets de Démios est que chacun fait un poême et non une phrase. Cela implique une recherche plus importante et n'est absolument pas du flood :)
Par Shebara/Sephira le 10/2/2003 Ã 13:55:53 (#3207474)
Par Rohlandius KBR le 10/2/2003 Ã 13:57:29 (#3207491)
Délivrez moi enfin de cette infamie
Peut-on aimer et en même temps détruire?
Il est difficile choisir comment vous le dire
/edité pour manque de vitesse:-)/
Par Gardhalf le 10/2/2003 Ã 13:57:44 (#3207494)
Par Caline le 10/2/2003 Ã 14:02:34 (#3207532)
Provient du message de Gardhalf
ouverture de ce post : 31 mars 2002... 51 vers ont été postés... il est temps de nous dire cela chère Caline...
Hum ok , tu as raison c'est pas du flood ça...
dsl pour l'interruption, je vous laisse continuer :)
Par Lilooh D Asgard le 10/2/2003 Ã 14:04:23 (#3207545)
imaginé si tout le monde, ne mettez qu'une ligne/ver à chaque posts
si c'est pour dire quelque chose d'intelligent....
que ce soit 1 ligne ou 30.....
:rolleyes:
Par Zdravo, bouffon du le 10/2/2003 Ã 14:07:16 (#3207559)
et comme l'a dit Kaline, une ligne que ce soit une banal phrase ou un vers, c'est un début de flood :D
imaginé si tout le monde, ne mettez qu'une ligne/ver à chaque posts :maboule: :monstre:
Le chacal est au poète ce que le lionceaux est à l'éléphant *sens caché inside* :chut:
Par Zelric Elden le 10/2/2003 Ã 15:05:40 (#3207955)
Délivrez moi enfin de cette infamie
Peut-on aimer et en même temps détruire?
Il est difficile choisir comment vous le dire
Il me faut dans mon esprit faire le vide
Par Shebara/Sephira le 10/2/2003 Ã 17:46:46 (#3209097)
Par Lilooh D Asgard le 10/2/2003 Ã 18:02:22 (#3209222)
Au fond de mon coeur, chante un noir Séraphin
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrin
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos magnifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temps
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
La nuit la folie la mort ou renaître à la douceur de vivre
Ce choix, pour moi était des plus difficiles
Et d'un pas serein j'allais tranquille
Un noir séraphin et pourtant si fragile
Ma décision était depuis longtemps prise
J'allais vers mon destin fatale méprise
Je partais rejoindre cette lumière qui me grise
Avant que tout ceci ne me détruise
Las, désemparé, n'y a-il que la nuit pour répondre à mon cri
Et les peurs, les angoisses qui reviennent à l'infini
Ce qui me libérerait c'est l'amour d'une tendre amie
Douce colombe, cher ange de mes longues nuits
Où es tu où es tu toi qui frisonnes dans mes rêves
Qui fais vibrer ma vie à la caresse de tes lèvres
Toi qui enfin revenue me donneras une trêve
Un léger moment de trouble plus pur que la sève
Toi qui est ma vie, mon espoir, mon lendemain
Sauras tu enfin me tendre la main
Ou n'est-tu qu'une douce illusion
Prête à être livré a mes folles pulsions
Moi qui ai deux visages éternellement ennemis
Délivrez moi enfin de cette infamie
Peut-on aimer et en même temps détruire?
Il est difficile choisir comment vous le dire
Il me faut dans mon esprit faire le vide
Trouver la voix de mon destin qui me guide
Laisser venir la paix, en mon âme tranquille
Par Gardhalf le 10/2/2003 Ã 18:21:23 (#3209378)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrin
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos magnifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temps
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
La nuit la folie la mort ou renaître à la douceur de vivre
Ce choix, pour moi était des plus difficiles
Et d'un pas serein j'allais tranquille
Un noir séraphin et pourtant si fragile
Ma décision était depuis longtemps prise
J'allais vers mon destin fatale méprise
Je partais rejoindre cette lumière qui me grise
Avant que tout ceci ne me détruise
Las, désemparé, n'y a-il que la nuit pour répondre à mon cri
Et les peurs, les angoisses qui reviennent à l'infini
Ce qui me libérerait c'est l'amour d'une tendre amie
Douce colombe, cher ange de mes longues nuits
Où es tu où es tu toi qui frisonnes dans mes rêves
Qui fais vibrer ma vie à la caresse de tes lèvres
Toi qui enfin revenue me donneras une trêve
Un léger moment de trouble plus pur que la sève
Toi qui est ma vie, mon espoir, mon lendemain
Sauras tu enfin me tendre la main
Ou n'est-tu qu'une douce illusion
Prête à être livré a mes folles pulsions
Moi qui ai deux visages éternellement ennemis
Délivrez moi enfin de cette infamie
Peut-on aimer et en même temps détruire?
Il est difficile choisir comment vous le dire
Il me faut dans mon esprit faire le vide
Trouver la voix de mon destin qui me guide
Laisser venir la paix, en mon âme tranquille
Et m'endormir enfin dans les bras de l'exil
Par Zdravo, bouffon du le 10/2/2003 Ã 18:37:09 (#3209496)
Lilins que nous sommes, retournons à notre état originel
nés de la traitrise de lilith, du pêché charnel
Mourrons tous en tant que simple mortel
Ainsi fut-elle...
( elle / la destinée :p )
Par Vénusia le 11/2/2003 à 9:51:48 (#3212780)
PS : Z, tu triches, un vers a la fois:) :) :)
Merci Caline, des vers, cela ne ressemble en rien a du flood :)
Par Gardhalf le 11/2/2003 Ã 10:43:48 (#3213038)
merci chère amie la geste continue donc... à qui le tour après :
Seule la mort de mon coeur arrachera les souffrances
Par Shebara/Sephira le 11/2/2003 Ã 11:30:24 (#3213281)
Par Zdravo, bouffon du le 11/2/2003 Ã 12:05:59 (#3213493)
Provient du message de Gardhalf
je veux pas dire de bêtises mais il me semble que Z fais une citation, je verrai bien ces mots dans la bouche du 17eme Ange, Kaworu dans Evangelion... mais je peux me tromper... :)
merci chère amie la geste continue donc... à qui le tour après :
Seule la mort de mon coeur arrachera les souffrances
pas exactement :)
mais je reprends bien la religion kabilique ^^ ( car kaworu est un fils d'Adam, pas un lilin, il aurait pas parler en disant 'nous' ;) )
*******************
Par Palarius/Loranis le 11/2/2003 Ã 20:34:10 (#3217151)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrin
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos magnifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temps
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
La nuit la folie la mort ou renaître à la douceur de vivre
Ce choix, pour moi était des plus difficiles
Et d'un pas serein j'allais tranquille
Un noir séraphin et pourtant si fragile
Ma décision était depuis longtemps prise
J'allais vers mon destin fatale méprise
Je partais rejoindre cette lumière qui me grise
Avant que tout ceci ne me détruise
Las, désemparé, n'y a-il que la nuit pour répondre à mon cri
Et les peurs, les angoisses qui reviennent à l'infini
Ce qui me libérerait c'est l'amour d'une tendre amie
Douce colombe, cher ange de mes longues nuits
Où es tu où es tu toi qui frisonnes dans mes rêves
Qui fais vibrer ma vie à la caresse de tes lèvres
Toi qui enfin revenue me donneras une trêve
Un léger moment de trouble plus pur que la sève
Toi qui est ma vie, mon espoir, mon lendemain
Sauras tu enfin me tendre la main
Ou n'est-tu qu'une douce illusion
Prête à être livré a mes folles pulsions
Ô si noir séraphin, tend-moi ta douce main
Mettons un terme à nos si tristes lendemains
Je ferais tout ce qu'il m'est possible pour t'aimer
Vivre avec toi est la plus belle des libertés.
Fin
De la part des poètes Quiessiens
Vous en pensez quoi ?
Palarius, apprenti poète
[EDIT] Arf j'ai pas vu les nouveaux post postés désolé :( . Je laisse quand même le texte au cas où [/EDIT]
Par Kathandro le 11/2/2003 Ã 22:41:01 (#3217940)
Par Loupidoux le 11/2/2003 Ã 23:06:28 (#3218099)
Provient du message de Kathandro
Pour t'anéantir de l'intérieur, mieux te détruire en silence
Autrement dit, en langage vulgaire ! Crêve en silence ?
Comme nous disions parfois sur le cc main...:rolleyes:
Par Kathandro le 11/2/2003 Ã 23:12:58 (#3218150)
Provient du message de Loupidoux
Autrement dit, en langage vulgaire ! Crêve en silence ?
Comme nous disions parfois sur le cc main...:rolleyes:
Non, en se tuant, elle anéantit l'amour qu'elle a pour l'homme qui est dans son coeur. Par conséquent, elle le détruit, lui aussi, mais lentement, et comme il est destiné à vivre, c'est en silence :).
Par Gardhalf le 12/2/2003 Ã 0:15:49 (#3218563)
Au fond de mon coeur, chante un noir Séraphin
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrin
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos magnifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temps
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
La nuit la folie la mort ou renaître à la douceur de vivre
Ce choix, pour moi était des plus difficiles
Et d'un pas serein j'allais tranquille
Un noir séraphin et pourtant si fragile
Ma décision était depuis longtemps prise
J'allais vers mon destin fatale méprise
Je partais rejoindre cette lumière qui me grise
Avant que tout ceci ne me détruise
Las, désemparé, n'y a-il que la nuit pour répondre à mon cri
Et les peurs, les angoisses qui reviennent à l'infini
Ce qui me libérerait c'est l'amour d'une tendre amie
Douce colombe, cher ange de mes longues nuits
Où es tu où es tu toi qui frisonnes dans mes rêves
Qui fais vibrer ma vie à la caresse de tes lèvres
Toi qui enfin revenue me donneras une trêve
Un léger moment de trouble plus pur que la sève
Toi qui est ma vie, mon espoir, mon lendemain
Sauras tu enfin me tendre la main
Ou n'est-tu qu'une douce illusion
Prête à être livré a mes folles pulsions
Moi qui ai deux visages éternellement ennemis
Délivrez moi enfin de cette infamie
Peut-on aimer et en même temps détruire?
Il est difficile choisir comment vous le dire
Il me faut dans mon esprit faire le vide
Trouver la voix de mon destin qui me guide
Laisser venir la paix, en mon âme tranquille
Et m'endormir enfin dans les bras de l'exil
Seule la mort de mon coeur arrachera les souffrances
La mort, je la cherche avec impatience
Pour t'anéantir de l'intérieur, mieux te détruire en silence
Toi qui fut ma vie seras-tu ma délivrance
dsl Palarius la règle impose de ne poster qu'un seul vers à la suite du précédent... mais très jolie fin !!!
dsl Z terrible méprise mais tu es un spécialiste ;)
Par Zelric Elden le 12/2/2003 Ã 9:28:23 (#3219866)
Par Shebara/Sephira le 12/2/2003 Ã 9:39:08 (#3219921)
Par Palarius/Loranis le 12/2/2003 Ã 14:27:22 (#3222239)
Par Shebara/Sephira le 12/2/2003 Ã 17:56:06 (#3224032)
Par Gardhalf le 14/2/2003 Ã 9:02:53 (#3235306)
Au fond de mon coeur, chante un noir Séraphin
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrin
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos magnifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temps
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
La nuit la folie la mort ou renaître à la douceur de vivre
Ce choix, pour moi était des plus difficiles
Et d'un pas serein j'allais tranquille
Un noir séraphin et pourtant si fragile
Ma décision était depuis longtemps prise
J'allais vers mon destin fatale méprise
Je partais rejoindre cette lumière qui me grise
Avant que tout ceci ne me détruise
Las, désemparé, n'y a-il que la nuit pour répondre à mon cri
Et les peurs, les angoisses qui reviennent à l'infini
Ce qui me libérerait c'est l'amour d'une tendre amie
Douce colombe, cher ange de mes longues nuits
Où es tu où es tu toi qui frisonnes dans mes rêves
Qui fais vibrer ma vie à la caresse de tes lèvres
Toi qui enfin revenue me donneras une trêve
Un léger moment de trouble plus pur que la sève
Toi qui est ma vie, mon espoir, mon lendemain
Sauras tu enfin me tendre la main
Ou n'est-tu qu'une douce illusion
Prête à être livré a mes folles pulsions
Moi qui ai deux visages éternellement ennemis
Délivrez moi enfin de cette infamie
Peut-on aimer et en même temps détruire?
Il est difficile choisir comment vous le dire
Il me faut dans mon esprit faire le vide
Trouver la voix de mon destin qui me guide
Laisser venir la paix, en mon âme tranquille
Et m'endormir enfin dans les bras de l'exil
Seule la mort de mon coeur arrachera les souffrances
La mort, je la cherche avec impatience
Pour t'anéantir de l'intérieur, mieux te détruire en silence
Toi qui fut ma vie seras-tu ma délivrance
A présent tout me semble parfaitement clair
Je dois confronter cette vérité amère
Je le sais, tu es capable de me délivrer
Mais tu ne pouvais pas m'aimer
La nuit est-elle un refuge suffisant pour une âme déchirée
Par Zelric Elden le 14/2/2003 Ã 9:10:39 (#3235334)
Par Shebara/Sephira le 14/2/2003 Ã 11:42:46 (#3236310)
Provient du message de Zelric Elden
Suffisamment obscure elle saurait m'attirer
la nuit qui garde mes secrets
Par Zelric Elden le 14/2/2003 Ã 18:23:42 (#3239343)
Par Shebara/Sephira le 14/2/2003 Ã 19:03:11 (#3239618)
Par Gardhalf le 14/2/2003 Ã 19:18:00 (#3239722)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrin
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos magnifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temps
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
La nuit la folie la mort ou renaître à la douceur de vivre
Ce choix, pour moi était des plus difficiles
Et d'un pas serein j'allais tranquille
Un noir séraphin et pourtant si fragile
Ma décision était depuis longtemps prise
J'allais vers mon destin fatale méprise
Je partais rejoindre cette lumière qui me grise
Avant que tout ceci ne me détruise
Las, désemparé, n'y a-il que la nuit pour répondre à mon cri
Et les peurs, les angoisses qui reviennent à l'infini
Ce qui me libérerait c'est l'amour d'une tendre amie
Douce colombe, cher ange de mes longues nuits
Où es tu où es tu toi qui frisonnes dans mes rêves
Qui fais vibrer ma vie à la caresse de tes lèvres
Toi qui enfin revenue me donneras une trêve
Un léger moment de trouble plus pur que la sève
Toi qui est ma vie, mon espoir, mon lendemain
Sauras tu enfin me tendre la main
Ou n'est-tu qu'une douce illusion
Prête à être livré a mes folles pulsions
Moi qui ai deux visages éternellement ennemis
Délivrez moi enfin de cette infamie
Peut-on aimer et en même temps détruire?
Il est difficile choisir comment vous le dire
Il me faut dans mon esprit faire le vide
Trouver la voix de mon destin qui me guide
Laisser venir la paix, en mon âme tranquille
Et m'endormir enfin dans les bras de l'exil
Seule la mort de mon coeur arrachera les souffrances
La mort, je la cherche avec impatience
Pour t'anéantir de l'intérieur, mieux te détruire en silence
Toi qui fut ma vie seras-tu ma délivrance
A présent tout me semble parfaitement clair
Je dois confronter cette vérité amère
Je le sais, tu es capable de me délivrer
Mais tu ne pouvais pas m'aimer
La nuit est-elle un refuge suffisant pour une âme déchirée
Suffisamment obscure elle saurait m'attirer
La nuit qui garde mes secrets
Va-t-elle m'engloutir et me libérer
Enlacer tendrement mon âme peinée
L'étreindre de ses doigts froids et marbrés
Par Shebara/Sephira le 14/2/2003 Ã 19:42:22 (#3239870)
Par Gardhalf le 14/2/2003 Ã 19:47:55 (#3239903)
Par Zelric Elden le 14/2/2003 Ã 21:19:29 (#3240527)
Par Gardhalf le 14/2/2003 Ã 22:56:07 (#3241211)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrin
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos magnifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temps
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
La nuit la folie la mort ou renaître à la douceur de vivre
Ce choix, pour moi était des plus difficiles
Et d'un pas serein j'allais tranquille
Un noir séraphin et pourtant si fragile
Ma décision était depuis longtemps prise
J'allais vers mon destin fatale méprise
Je partais rejoindre cette lumière qui me grise
Avant que tout ceci ne me détruise
Las, désemparé, n'y a-il que la nuit pour répondre à mon cri
Et les peurs, les angoisses qui reviennent à l'infini
Ce qui me libérerait c'est l'amour d'une tendre amie
Douce colombe, cher ange de mes longues nuits
Où es tu où es tu toi qui frisonnes dans mes rêves
Qui fais vibrer ma vie à la caresse de tes lèvres
Toi qui enfin revenue me donneras une trêve
Un léger moment de trouble plus pur que la sève
Toi qui est ma vie, mon espoir, mon lendemain
Sauras tu enfin me tendre la main
Ou n'est-tu qu'une douce illusion
Prête à être livré a mes folles pulsions
Moi qui ai deux visages éternellement ennemis
Délivrez moi enfin de cette infamie
Peut-on aimer et en même temps détruire?
Il est difficile choisir comment vous le dire
Il me faut dans mon esprit faire le vide
Trouver la voix de mon destin qui me guide
Laisser venir la paix, en mon âme tranquille
Et m'endormir enfin dans les bras de l'exil
Seule la mort de mon coeur arrachera les souffrances
La mort, je la cherche avec impatience
Pour t'anéantir de l'intérieur, mieux te détruire en silence
Toi qui fut ma vie seras-tu ma délivrance
A présent tout me semble parfaitement clair
Je dois confronter cette vérité amère
Je le sais, tu es capable de me délivrer
Mais tu ne pouvais pas m'aimer
La nuit est-elle un refuge suffisant pour une âme déchirée
Suffisamment obscure elle saurait m'attirer
La nuit qui garde mes secrets
Va-t-elle m'engloutir et me libérer
Enlacer tendrement mon âme peinée
L'étreindre de ses doigts froids et marbrés
Les lumières dans ton obscurité éclairent ma route
Je n'ai plus qu'à renaître pour effacer tous les doutes
Sans peur j'avance dignement vers toi
Déesse sans nom j'ai peur et j'ai froid
deux vers pour finir ???
Par Zelric Elden le 14/2/2003 Ã 23:08:07 (#3241272)
la fin ?
Par Gardhalf le 14/2/2003 Ã 23:44:33 (#3241523)
Tandis qu'à côté de lui, se tenait un jeune malandrin
Le Jeune Samaritain , lui tendis la main
Et par ce geste lui confia son destin
La mer s'écrasait sur les rochers à coté d'eux
Le regard tourné vers l'horizon, ils scrutent la ligne bleue
Dans ce moment de calme sans sentiment haineux
Une amitié profonde s'insufflait entre eux
Alors dans mon coeur s'installa la paix
D'un seul coup nos esprits s'ouvraient
Les ombres du passé s'enfuyaient
Je devais partir, sans me retourner
Sur les vagues argentées dansait l'aurore
J'avais rendez-vous avec la mort
Je devais lui montrer que j'étais fort
Mais l'amour fou chante et brûle encore
Ce qui me redonne grande force à l'espoir
Espérant sagesse et pouvoir
N'est autre que le souvenir de cet ange noir
Qui me hantait dans ce rêve prémonitoire
Perdu dans les méandres de ces contrées oniriques
Porté par l'orage, chaos magnifique
Je repensais encore à cette vision magique
Me dévoilant sa face véridique
J'aperçu entre deux éclairs son visage terrifiant
Et pourtant généreux, souriant
M'appelant dans son monde hors du temps
Haluciné je ne savais plus quoi choisir maintenant
La nuit la folie la mort ou renaître à la douceur de vivre
Ce choix, pour moi était des plus difficiles
Et d'un pas serein j'allais tranquille
Un noir séraphin et pourtant si fragile
Ma décision était depuis longtemps prise
J'allais vers mon destin fatale méprise
Je partais rejoindre cette lumière qui me grise
Avant que tout ceci ne me détruise
Las, désemparé, n'y a-il que la nuit pour répondre à mon cri
Et les peurs, les angoisses qui reviennent à l'infini
Ce qui me libérerait c'est l'amour d'une tendre amie
Douce colombe, cher ange de mes longues nuits
Où es tu où es tu toi qui frisonnes dans mes rêves
Qui fais vibrer ma vie à la caresse de tes lèvres
Toi qui enfin revenue me donneras une trêve
Un léger moment de trouble plus pur que la sève
Toi qui est ma vie, mon espoir, mon lendemain
Sauras tu enfin me tendre la main
Ou n'est-tu qu'une douce illusion
Prête à être livré a mes folles pulsions
Moi qui ai deux visages éternellement ennemis
Délivrez moi enfin de cette infamie
Peut-on aimer et en même temps détruire?
Il est difficile choisir comment vous le dire
Il me faut dans mon esprit faire le vide
Trouver la voix de mon destin qui me guide
Laisser venir la paix, en mon âme tranquille
Et m'endormir enfin dans les bras de l'exil
Seule la mort de mon coeur arrachera les souffrances
La mort, je la cherche avec impatience
Pour t'anéantir de l'intérieur, mieux te détruire en silence
Toi qui fut ma vie seras-tu ma délivrance
A présent tout me semble parfaitement clair
Je dois confronter cette vérité amère
Je le sais, tu es capable de me délivrer
Mais tu ne pouvais pas m'aimer
La nuit est-elle un refuge suffisant pour une âme déchirée
Suffisamment obscure elle saurait m'attirer
La nuit qui garde mes secrets
Va-t-elle m'engloutir et me libérer
Enlacer tendrement mon âme peinée
L'étreindre de ses doigts froids et marbrés
Les lumières dans ton obscurité éclairent ma route
Je n'ai plus qu'à renaître pour effacer tous les doutes
Sans peur j'avance dignement vers toi
Déesse sans nom j'ai peur et j'ai froid
Il n'y a plus ni lumière ni ténèbres
Que l'écho de mon coeur en cet instant funèbre.
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