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Receuil de poèmes
Par Kaesryn le 27/3/2002 Ã 15:45:47 (#1184518)
Avec le repos éternel laissez moi mourir
Car alors je rêverai
Et à mon tour fantasmagorie je deviendrai
laissez moi partir !
Laissez moi entrevoir l'avenir
Qu'enfin Chimère puisse à nouveau saisir
Chaos ! Désespérance et futilité
Transparait l'éclat timide de l'être aimé
Qu'en mon sein , une larme a coulé
Une nuit , une seule et enfin la vérité
Langueur
Entre tes mains me plier
Me sentir m'envoler si haut
Entre tes doigts me glisser
Me sentir vibrer a nouveau
Une bouche entrouverte
Sur un secret murmuré
Une peau redécouverte
Un silence partagé
Rêver d'aller plus loin
Rêver de sentir encore
Qu'on vit dans les soins
D'un être aimé si fort
La douceur d'une Nuit
S'écoulant , digne sablier
Et au matin ,fuit
Le mutin désiré
Lassitude
Encore et toujours s'aimer
Car cela conduit la vie
Sans qui épreuves s'alourdiraient
D'un sentiment de solitude infini
Encore et toujours s'aimer !
Car le coeur sait le reconnaitre
Lorsque dans un silence, figé
Il crit à son nouveau maître
Aimer car on ne peut faire autrement
Ce besoin de caresser une joue
Ce désir de mordre dans un cou
Ne s'efface pas dans le sang
Aimer c'est aussi rêver
A cet instant où, la cruelle absence
Se fait sentir quant au départ nouveau
Et lorsque revient le souffle
L'on apercoit l'étoile de l'âme
Aimer c'est être soulagé
Quand l'on revoit l'autre enfin
Après une Nuit passée
A serrer le vent en vain
Aimer la séparation
Pour que le coeur bondisse
Dans son ecrin de douleur
Puis se remet à battre encore
Par Kaesryn le 27/3/2002 Ã 15:46:58 (#1184525)
Léthargie et devenir , sans un souffle dans le coeur
Un être erre en cette Nuit , à la recherche de lui même
Quel est son véritable visage ? Il ne sait que douleur
Oublié les battements , tourmenté oedéme
Entre vie et mort , permanente dérive
Couler et se noyer dans l'océan des autres
N'être plus qu'une Ombre qui s'accroche aux rives
N'être qu'un fantôme parmi ces autres
Souffle qui plane entre les branches brisées
Doux murmure sans échos ni consistance
Un visage sombre et las , aux joues émaciées
Il n'est plus que dur complaisance
Le sang , fluide vital ne coule plus vraiment
Il n'est qu'oubli et tension , sentiment ...
Oubli de ce qu'avant pouvait être une vie
Oubli de ce qu'avant pouvait être ici
Planant encore sur les émois passés
Caricature mouvante d'un lointain décu
Sans souffle , sans vie aucunement mue
Par un simple coeur battant trépassé
Main tendue , appel à l'aide reconnu
Un espoir se dessine , enfin vaincu ?
Mais laissons le sort et la Vérité prendre amertume
Ce feu d'émotion , flux et fléau consume
Se nourrir pour continuer encore
Se sentir victorieux , plus fort
Mais perdre pied et perdre tête
Et la vie retrouver , vie de quête
Eternel incompris parmi les siens
Se retourne vers une famille singulière
Celle d'une Nuit perpetuellement en guerre
Celle qui ne s'incline devant rien
L'essence d'un conte ou d'un rêve anobli
Le petit rien qui pousse plus loin
Ce qui reste encore de la vie
Dans une marque tendre et de soin
Mais déjà le coeur ricane
Déjà la force se révèle enfin
Il se retourne alors vers les siens
Il se redresse vers les mânes
Tirer puissance d'un flot de sang
Tirer aisance d'une poignée de main
Et pouvoir convaincre le soutien
De partir en guerre contre les vents
De la vie sans retour les sens éveillé
La Nuit apporte son souffle doux
Effleurement d'un croc sur un cou
Et vivre encore non limité
Par Kaesryn le 27/3/2002 Ã 15:47:47 (#1184528)
Longue l'attente du héros retrouvé
Et porter une pierre à l'édifice précieux
L'espace d'un instant toucher pied
Le temps d'apprendre le merveilleux
La Gloire à surprendre l'être en son milieu
Sentir qu'on est petite Ombre parmi les Nuits
Et encore soutenir le regard dédaigneu
Regard sans vie d'un être anéanti
Continuer encore , aller toujours plus loin
Vers cet horizon étrange , tracé indistinct
Recherche des sens et de ce périlleux destin
D'un être qui fut et par instinct
Le rejoindre dans les méandres d'une folie
Le retrouver soudain clairvoyant et pensif
Comprendre la douleur que son coeur hâtif
Camoufle derrière un regard sans vie
S'étendre sur une plage entre les branchages
Pour méditer sur un commun accord
Un compromi , rituel de mages !
Souffle décu et repentir de morts
D'une Chimère au destin fragilisé
Une soeur si récemment retrouvée
Une nouvelle vision du monde
Sortant de terre , des cris sourds grondent
Reprendre la route bientôt
Si proche que l'urgence se perd
Peur d'un regard sévère
Mais pourra partir loin du complot
D'un homme sans Ombre
Fleur Venimeuse contre Fleur Fragile
L'univers ouvre ses bras comme bouche béante
L'éclat du sang , carmin aux lêvres futiles
Le voile d'Ombres s'intensifie , clémentes
Vide Perceptif contre Vide Chimérique
Un pas avoué vers ce monde des rêves
De son imposante présence tyrannique
Il raye d'un trait de glace sans trêve
Douleur Inconnue contre Douleur Permanente
Le Sombre se dresse et veut se protéger
Il s'échappe maintenant , ce peut il qu'il sente ?
Mais le coeur enregistre pour l'éternité
Par Kaesryn le 27/3/2002 Ã 15:50:09 (#1184540)
De l'acéré au tranché si serein
L'ironie latente d'un soir sans lendemain
La main tendue coupée en son sein
Le coup part sans prévenir , malin
Le coeur vole en éclat complet
Le vide qui se forme alors parait
Froid de son néant , sans attrait
Et doucement s'étale comme jamais
Perdre sans devenir uniquement
Perdre sans savoir où cela va vraiment
Perdre pour toujours lentement
Perdre comme jamais soudainement
La pointe se fige dans la chair consummée
La douleur fulgurante s'éteint terrassée
Par cette petite mort qu'est la Vérité
De n'être plus qu'un souffle inanimé
Perdre en cette fatale nuit
Ce qu'on pensait de plus cher , un ami
Se sentir moins que rien , avilie
Par ce sentiment de manque établi
Ne reste plus que la souffrance
N'écouter que son coeur en transe
N'être qu'un muscle creux sans sens
Et le froid encore , cette différence
Seule encore face à tous réunis
Seule regardant la Lune qui s'est enfuie
Blâfarde entre les nuages infinis
Et cette musique pianotée sous la pluie
Un mot en cache un autre cinglant
La voix résonne mais ne se repent
Continue son oeuvre d'indécent
Sinistre massacre que le dedans
Encore une fois le pardon s'imisce
Mais il est rejeté au sacrifice
Et encore les remords qui subissent
Le malheur subsiste ,qu'on en finisse !
Pourquoi le mot n'en appelle pas l'explication
Qu'une fois au moins s'interpose la discussion
Mais cinglante est la réponse , sommation
Rien de moins que l'abandon
Une dernière larme et la tête se lève
Dans les douces brûmes , dans le monde des rêves
Repartir d'où l'on vient , sans trêve
Pas de retour possible face au glaive
Un regard tourné vers les souvenirs
Et du coeur s'échappe un profond soupir
D'une vie heureuse passée en rires
D'une fin pour une pensée mentir
Retomber le desespoir en cette fin de vie
Retomber l'élan qui nous pousse d'ici
Et reprendre l'errance d'abrutie
De ne comprendre que les incompris
Ne plus trouver de mots pour cÃ
Ne plus pouvoir se relever de lÃ
Rester abassourdie sans voix
Quitter l'idée même du trépas
Continuer plus loin sans main à tenir
Sur le chemin qui fait souffrir
Pour peut être arriver à se retenir
De courir en arrière et de le sentir
Contre soi , dans ses bras
Contre sa peau encore une fois
Sentir l'ami sourire de joie
Devant le retour , pourquoi ?
Faire un souhait en cette triste nuit
N'avoir jamais connu ce temps de sursie
Devoir peut être oublier le suivi
D'un ami qui en cette tragique nuit s'enfuit
L'espoir s'éteint comme cette flamme qui vrille
Le vent souffle ce froid qui vacille
S'enfonce comme une lame dans la petite fille
De la peur soumise à la faucille
La latence se fait plus forte au possible
La tête ne réagit plus au crédible
Le coeur s'oublie , même le sensible
Et s'ouvre devant soi l'univers des possibles
S'arrêter là mais n'y jamais revenir
Comme un souffle amical qui va se ternir
Comme un visage qui s'efface , en finir
Comme un murmure , plus qu'un souvenir
Et toujours cette fin qui s'échappe drue
Qui s'éloigne pour ne plus être vue
Qui ne veut pas que le dernier mot soit tû
Qui ne veut accepter le malheureux dû
Cette nuit j'ai perdu un ami
Plus cher encore que mes parents , ma vie
Cette nuit j'ai vu ce qui se définit
Par la douleur intense , celle d'une Nuit
Et peut être jamais je ne le reverrai
A cela on n'y peut rien , qu'accepter
Mais alors que devient la Chimère blessée
Qu'un petit bout de femme à peine terminé
Savoir que plus jamais on ne verra
En ce petit bout de femme , en soi
Cette femme aux qualités des fois
Qui se cachent pour que personne ne voit
Et encore le coeur qui hurle sa rage
De n'avoir pas su au bon moment être sage
De n'avoir pas su dire les mots , dérapage
Et plus d'ami dans les parages
La souffrance se fait plus forte et le coeur
Hurle , se débat sans que jamais la rancoeur
Ne remplace le desespoir et la douleur
D'avoir perdu ce rien qui fait chaleur
Ecouter le silence autour de soi
Qui murmure , s'amplifie pour que parfois
Les larmes tarissent un instant de voix
Et laisse la lourdeur pointer un doigt
Vers ce petit rien qui se débat sans fin
Pour pouvoir accéder au sombre dessein
D'une réponse qui vienne enfin
D'un sourire énigmatique du destin
Pouvoir entendre sa voix une fois encore
Pouvoir toucher sa main et lui signifier dehors
Qu'au dedans on pleure comme un tendre essor
Devant ce qu'on pense être un désir du sort
Comme un poème qui exprime sans raison
Un coeur qui hurle à la passion
D'une vie ratée et sans explication
D'un ami qui part sans expression
La peine envahit l'espace de l'incomprise
Qui espère tant que la douce brise
Lui amène des nouvelles sans entremise
Mais encore un mot et tout se brise
Se rappeler de ces mots de colère dits
En un soir de malentendu , en cette nuit
Ne pouvoir plus te parler , pas suivi
Pourquoi encore une fois ? c'est pas fini !
Ne me dis pas que c'est fini je n'y crois pas
Je ne peux imaginer que ca soit comme cela
Que je ne puisse plus te dire des fois
Que je ne vais pas bien ... que ca fait mal là !
Encore une fois ne me laisse pas !
N'oublie pas ces projets , toi et moi
Des rires entre deux conversations plus las
La langueur et la peur m'étreint plus bas
Ne plus pouvoir te dire ces simples mots
Ne plus pouvoir te faire comprendre ces maux
Ne plus pouvoir ouvrir un coeur gros
De cette peine que je ressens , voilÃ
Que j'en pleure encore , petite idiote soumise
Au devenir d'une amitié qui s'enlise
Fragile et indomptée pour les entremises
Double visage qui s'effrite promise
A ne plus jamais aimer un ami comme cela
A ne plus s'ouvrir pour ressentir l'effroi
De n'avoir plus qu'une chose en soi
Ce terrible et si insensible désarroi
Perdre en une nuit tout ce qui comptait
Pour des mots qui soudainement se sont faits
Créés par un quiproquo douloureusement muet
Toi qui disais toujours qu'il n'y avait rien à gagner
En une vie tant de tourments répétés
Qu'une autre vie ne suffirait pas à les effacer
Que la douleur m'éclaire et la tourmente oubliée
Mais cette promesse faite je la tiendrai
Par Kaesryn le 27/3/2002 Ã 15:51:57 (#1184552)
Comme dans l'eau se débattre immergée
D'un seuil nouveau de tolérance oublié
De la douleur qui le coeur encore accaparé
Soupire de la haine qui s'élève de soi purifier
Envie de casser ce rien qui tient encore debout
Cette vie qui sans un sens palit ce petit bout
De femme sans un regard pour en dessous
De cette crainte de n'être plus rien pour beaucoup
Qu'un seul être s'en aille et le monde s'en arrête
Qu'il s'en éloigne et le temps se sent bête
De ne pouvoir qu'égrener seconde sans fête
Sans pour autant qu'espoir ne guette
Pour que jamais ne recommence cette douleur
De voir son âme errer sans sa soeur
De sentir se déchirer au dedans le coeur
Oh oui ... que plus jamais ne vive cette peur
Eloigner la honte d'un geste furieux
Pour relever la tête et faire de son mieux
Pour revenir à l'ancienne jeune sans talent désireux
Mais au moins pouvoir faire ce voeu
D'une boîte à musique qui murmure
Dans la nuit encore sa chanson si pure
Qu'égraine un mécanisme plus si sur
Mais qui marche encore , sacrée tournure
D'une amitié basée et éteinte sans fin
Toujours garder cette espoir divin
D'une réponse entrevue en vain
Dans un rêve qui ne se fait devin
Arrêter peut être un jour de crier
Ce que son coeur parfois tait
Cette petite douleur qui transparait
Dans chaque mot , chaque geste fait
Un jour réaliser ce qu'on perd vraiment
En ce jour qui pleure aussi pourtant
De cette pluie qui tombe inexorablement
Sur une larme pour la cacher sensiblement
Remercier malgré tout pour ces joies
D'avoir pu passer du temps avec toi
D'avoir suivre tes conseils plein de foi
Et de te dire : Je t'aime , tu sais , toi
Toi l'ami qui dans l'Ombre sourait
Malgré les querelles et les désarrois muets
Toi qui était là auprès de l'oubliée
Qui toute seule souvent pleurait
Maintenant continuer le chemin
Seule sans à prendre une main
Qui se tendait vers le destin
Même les projets châteaux vains
Pas dire Adieu parce que ca fait mal
Pas dire ce mot tabou ce vénal
Qui prend sans rendre qui rend fatale
La blessure de perdre ton aval
Pas dire Adieu parce que c'est faux
C'est mentir ,ce n'est pas vrai ce mot !
Dis leur à tous ce que l'on vaut
Toi et moi réunis face aux autres défauts
Et encore cette rangaine qui pleure
Ce hurlement de malsaine terreur
Qui terre l'enfant dans le profond coeur
Qui oppose le visage d'un doppelganger
Pas dire Adieu mais se laisser aller
Se battre encore un peu tu sais
Mais remplir sa part de la promesse murmurée
D'avancer coûte que coûte et ce malgré
Par Kaesryn le 27/3/2002 Ã 15:53:08 (#1184562)
Je la regardais , la belle endormie
Quant à l'aube elle s'étira et s'allongea
Pour se plonger dans ce monde des onnis
Celui qu'elle affectionnait , loin de lÃ
Je la regardais gémir et pleurer
Comme une autre partie de moi même
Bien plus affectée que désiré
Se déchirant son jeune visage blême
Au crépuscule s'éveilla enfin
Son corps endolori et brisé
Puis se redressant elle vint
A la réponse dans un coin oublié
Larmes de douleur d'avoir tout raté
Encore une fois de ne pouvoir
Venir dans l'heure , encore décevoir
Mais interdiction de s'en aller
Trop attendent depuis longtemps
Et trop tard semble t'il déjÃ
Alors au petit matin reviendra
Tenter la chance et le vent
De n'avoir porte fermée en face
Peut être la haine dans un visage
Et la peur de ne rencontrer que glace
Dans cet ami autrefois si sage
Mais que faire lorsque décision
Prise au matin de la petite endormie
Se fait sans réponse ni explication
Dans ce qui fut sa terrible Nuit
Promesse tenue qu'au petit matin
D'un jour meilleur sera présente
La fautive qui au lendemain
De la crise non point sanglante
Sans faute alors elle le dit
Qu'Ã l'aurore d'un jour nouveau
Avec un soleil se levant plus beau
Elle sera la au repos de la Nuit
L'aube se fait crépuscule et alors
L'endormie prend les vents qui la porte
Vers cet ami qui subodore
La perte de la petite sorte
Elle arrive maintenant espérons
Et sera acceptée sans facon
Espérons le Oh oui vraiment
Que cela ne finisse point en guerre de clan
Par Kaesryn le 27/3/2002 Ã 15:54:41 (#1184574)
Un doux murmure à l'oreille d'un enfant
Une brise aux lêvres tendue , au toucher déroutant
D'un carmin baisé , d'une tendre caresse
Vent transportant encore la délicatesse
Un grondement sourd au regard du pécheur
Une vague alerte et son écume soudaine
De goût de sel , goût du dur labeur
Envahit souvent les berges saines
Un léger crépitement digne et fascinant
De ce feu , Vestale d'une cour sacrée
Flamboyant , mouvant , tendre et biaisé
Il se délie ,s'entoure entrelacé dansant
Une main au sol caressant le grain doux
D'une plage au soleil , d'un souvenir oublié
Les doigts flattant l'effrité , le regard fou
Imaginant un sein au même granulé
Lassitude
Jeter d'un geste tout son destin
Errer encore comme une bête sans fin
Sur un monde qui rage sans lendemain
Pour une femme , pour un gredin
Pour une Foi , pour un sacristin
Jeter d'un geste tout son destin
Alors que dehors fait rage le cristallin
Des guerres et des hordes de souffrains
Encore une fois se dire que demain
Ne se levera pas pour le defunt
Jeter d'un geste tout son destin
Comme l'on decide de sa prorpre fin
Dieu vivant sur le perilleux chemin
Qui mène à tout dangereux ravins
D'un homme qui part voir le traceur de desseins
Jeter d'un geste toute sa vie
Dans une pierre qui magiquement guérie
D'un visage qui une fois encore sourit
Celui d'un enfant aux regards attendris
Malgré tout jeter sa vie
Jeter d'un geste vers l'infini
Pouvoir rejoindre cette Mère des Nuits
Cette Déesse capricieuse qu'on suit
Cette Sélène pour qui tout l'on sacrifie
Car alors c'est la fin de sa vie
D'une larme sceller la compréhension
De cet acte qui survient sans raison
Connue de tous mais pourtant sans passion
D'un acte réfléchi et de comparaison
D'un homme sans qui tout serait dressé à l'abandon
Melancolia
En ce jour où l'âme pleure
En cette nuit où tout est gris
Les larmes glissent en ce coeur
Pour que jamais ne l'oublie
L'humeur d'un instant nu
De son corps reposé
Vers la mer retrouver
la nostalgie qui nous tue
Ô la tendresse
En ce verbe enoncé
Souvenir de caresses
Image de champs désastrés
Mais lorsque la Lune
Sur ce visage éploré
Déposera la rune
De la tranquillité
Alors la Foi reviendra
Renouvellée et renforcée
Et cet homme aidera
A la vie affronter
Par Kaesryn le 27/3/2002 Ã 15:58:03 (#1184605)
Par Shura de Nazga le 27/3/2002 Ã 16:01:52 (#1184633)
Par Daeron demilune le 27/3/2002 Ã 20:38:28 (#1186184)
Par Robin le Juste le 17/4/2002 Ã 21:37:01 (#1302471)
Par Tamar Hysteris le 12/5/2002 Ã 3:40:54 (#1446393)
bouh !
L'Ombre repartit
Par Vrittis le 12/5/2002 Ã 4:09:33 (#1446457)
(Colombe au soyeux plumage)
Fuyant p'tit mage, un nain c'temps entre, vu!
(Fuyante image un instant entrevue)
Pros, dits gueux pour voyeuses, enchantez Thérese, Page
(Prodigue pourvoyeuse en enchanteresses pages)
Art m'honnit d'un meumeumeumeumeu (?) hey, con!
(Harmonie d'un moment, mêmes émois vécus)
Bah, de lune étique, raveuse [RAEVEZ] et femelle merchi, mère!
(Barde lunatique, réveuse, éphémère chimère)
Tue nous! Fuis donc! Des aisselles pourront chanter nos vits
(Tu nous fis don, déesse, pour enchanter nos vies)
Peau aime un compas. Rable résonne en Stella (bière)
(Poèmes incomparables, résonnance stellaire)
Que vaut verrat? J'ai mes porcs. T'es sans dents, l'inuït (ou Lénine)!
(Que vos vers à jamais, porte son nom dans les Nuits)
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