Questions aux organisateurs de cette mascarade...

Par Korgan-Cy le 25/3/2002 à 8:06:23 (#1171528)

(J'ai crée un nouveau topic pour ne pas polluer ton post.
Voici quelques questions que je me pose : )

Comment des haruspiciens peuvent-ils participer à un tournoi en l'honneur d'un Dieu qu'ils rejettent ?

Comment la nécromancie peut-elle est acceptée alors qu'il s'agit d'un tournoi en l'honneur de Brehan ?

Comment arriveras-tu a rassembler du monde si tu enlèves le droit de porter la vipérine et met des barrières à ceux n'ayant pas signé le registre ?

Au vu des noms des participants, on pourrait confondre entre un tournoi en l'honneur de Brehan et un tournoi en l'Honneur de l'Haruspice.

Les vrais brehanites ne participeront pas à cette mascarade démagogue car ils voient bien que tu es passé du mauvais coté Marmillian.

Par Nailo Tenebrae le 25/3/2002 à 8:16:54 (#1171558)

Pour une fois, je suis d'accord avec un colymar. Decidement je vieillis moi.


Axelle Mac Roeg

Reine de Delaquenn

Par Karl le 25/3/2002 à 8:37:41 (#1171609)

Je suis bien d'accord avec toi mon cher Korgan.
Je suis impatient que Brehan nous envoit un messager , afin que nous puissions reconstituer un clergé epuré de ces traitres.

surment un piege ....

Par Zeka le 25/3/2002 à 8:38:55 (#1171611)

en soit faire un tournoie est uen bonne idée mais connaissant ton passée Marmillian ....
mais ce qui me choque plus le plusc est que tu interdit enormmement de chose qui donne leurs forces au guerrier et permet au necromancien d utiliser leurs magie ....
et pour couronner tous ca tu fait se tournoie sur des terres controller par des haruspicien ... ce qui est completment ilogique au idée brehanite .....
pour moi tu essaye de faire venire les Brehanites naif pour en suite s en debarrasser sachant qu en plus tu empeche les grand brehanite de defandre les plus faible en interdisant l acess au Seraphin....:eek: :eek:


Zeka Lyhrel-Cy
Décédé
frere de Korg Lyhrel-Cy-Gr
disciple de brehan et artherk
membre de colymar

Par Nailo Tenebrae le 25/3/2002 à 8:45:52 (#1171622)

Ca, je sais que Karl pense comme moi, c est pas parce que les pious blancs ont pas le droit de venir que ce tournoi sera raté. Il sera raté parce que Brehan empechera ça, j'en suis persuadée, et non il ne m'a pas parlé.

Seulement, à force de devoir faire la guerre dans mon pays, ca rapproche un peu *sourit*


Axelle Mac Roeg

Reine de Delaquenn

et dans le meilleur des cas ...

Par Zeka le 25/3/2002 à 9:09:37 (#1171688)

et dans le meilleur des cas tu auras baffoué brehan .....
mais ca n est pas la premiere fois .....

Par Conscience le 25/3/2002 à 10:57:38 (#1172023)

Provient du message de Karl :
Je suis bien d'accord avec toi mon cher Korgan.
Je suis impatient que Brehan nous envoit un messager , afin que nous puissions reconstituer un clergé epuré de ces traitres.

Je doute que brehan s'interesse à vos rivalités politiques.
Il est le dieu de la guerre... et avant une batailles, tout les camp l'invoque et le prie. Mais brehan se range toujours du coté du plus fort et du plus brave.

Avez vous donc peur de vous battre contre des haruspiciens durant un tournois? Brehan doit bien rire de ses "fiers" guerriers.

un recit tiré de la bibliotheque de baazul.

Par Conscience le 25/3/2002 à 11:01:41 (#1172034)

Voici un magnifique récit d'un auteur anonyme du plan de Baazul qui illustre bien ce que je souligne:


Les Réminiscences Millénaires : Brehan


Elle gravit la colline, pour avoir une vue dominante sur la vallée. Les deux armées de Nains se faisaient face en contrebas, s'étudiaient, s'affrontaient déjà du regard. Dans les coup d'oeil aussi aiguisés que les armes dégainées, on voyait la haine de l'ennemi, l'envie de vaincre et de gagner. Quelle stupide querelle les opposait ? Un morceau de territoire à reconquérir ? Un honneur bafoué ? Une sombre et mesquine vengeance, en tout cas ; un différent qu'ils ne voulaient régler que dans la violence et le sang. Qu'importe, bientôt ils seraient réunis dans cette même violence qui se répandra, dans ce même sang qui coulera. Bientôt, ils renaîtront purs par la main du Maître.

Instinctivement, elle vota pour les rouges, qui eurent ainsi sa faveur face aux gris et jaunes, même si elle n'interviendrait pas dans le combat. D'ailleurs, elle n'avait aucun intérêt dans l'un ou l'autre des camps. Rouge, c'était juste sa couleur préférée.

Un signal retentit à droite, et les deux armées se mirent en branle, hurlant leurs cris de guerre. La lourde course des soldats harnachés faisait sourdement gronder le sol. Et dans un choc, les premiers rangs se heurtèrent. Le combat commençait. Les premiers coups étaient donnés, les premiers corps allaient tomber, les premiers cris de douleur retentiraient.

Tout son être s'enfiévrait déjà, anticipant l'ivresse de la danse. Combien de fois avait-elle assisté aux guerres des mortels ? Combien de fois avait-elle dansé sur les râles de soldats sombrant sous les coups ? Combien de fois s'était-elle effondrée, épuisée, corps gisant parmi les corps agonisants ? Elle ne s'en souvenait plus. Mais le plaisir était chaque fois renouvelé.

Ses reins se déhanchaient déjà, quand deux mains s'y posèrent brutalement. A travers le fin tissu de sa robe, elle sentit aussitôt la chaleur et la puissance de ces mains masculines qui prenaient possession de sa croupe. Une bouche brûlante vint poser un baiser avide de désir à la base de sa nuque. De surprise et de plaisir mêlés, elle se cambra, collant son dos au large torse de l'homme. Elle se retourna pour lui faire face, et n'eut aucune peine à le reconnaître. Il n'avait pas changé. Il avait toujours les mêmes yeux fous, injectés de l'ivresse du combat. A chaque bataille, elle le retrouvait, passant entre les rangs, insufflant courage et hardiesse aux guerriers pour qu'ils foncent vers l'affrontement. Ils mêlaient sans cesse leurs mouvements : lui harcelant et poussant les opposants vers leur mort, elle dansant et goûtant cette même mort. Finalement il était comme elle : ivre de guerres.

Il s'empara violemment de sa bouche, l'embrassant avec fougue. Elle sentit sa respiration rapide et tiède sur son visage. Elle voulu résister, tentant faiblement d'échapper à son emprise, mais déclara très vite forfait, abandonnant son corps esclave et lascif aux baisers du conquérant.

En bas, le combat fit rage de plus belle. Les premiers rangs des deux camps s'entremêlaient, magma mouvant de chairs et de bannières qui se déchiraient. Les Nains se donnaient complètement au combat : on lisait sur leur visage une fureur hargneuse, avidité sans pitié de voir l'adversaire s'effondrer sous les coups. Partout le long du contact scintillaient les éclairs vifs des lames reflétant le soleil. L'air résonnait du bruit du métal qu'on percute, accompagné du choc mou de la chair qu'on transperce.

Le camp aux couleurs gris et jaune commençait à prendre l'avantage et pénétrait dans les défenses des rouges, progressant activement vers le chef, centre névralgique et point sensible. Celui-ci haranguait ses soldats, leur ordonnant d'aller au devant de la langue de conquérants. Les troupes se poussaient et se repoussaient, flux et reflux au sein de cette marée de corps emmêlés. Les rouges se donnèrent de plus belle dans la bataille, mais rien n'y fit : l'armée grise et jaune parvint à porter son chef au contact du leur. On atteignait le moment crucial du combat. Les deux dirigeants face-à-face dégainèrent leurs haches et se jetèrent l'un sur l'autre. L'intensité de leur lutte se répandit dans l'ensemble des deux armées. Ils s'affrontaient avec fureur. De rapides échanges de coups agiles succédaient à de plus puissants qui tentaient de pénétrer toute défense. Roulant et tournant, ils avaient chacun tantôt le dessus, tantôt le dessous. L'affrontement violent dura longtemps, ne laissant aucunement présager le final qui mettrait un terme à la bataille.

Ce fut pourtant très soudain. D'un dernier déhanchement imprévu, le chef rouge perça la garde de son ennemi, lui donna le coup fatal et le décapita. Le corps agité de spasmes libéra un sang écarlate qui vint éclabousser les couleurs du vainqueur, tandis qu'un long frisson débridé parcourait l'armée rouge, joie immédiate de la victoire sanglante.


Nus, perdus et fatigués par la rencontre, ils gisaient l'un contre l'autre à même le sol. Il s'éveilla le premier. Il se mit prestement debout, comme à son habitude, et lui tendit la main pour qu'elle se relève à son tour. Ils échangèrent un sourire entendu et complice, puis il se détourna pour ramasser les parties de son armure qui s'étalaient ça et là.
Sans un mot, sans un geste, il s'éloigna. Nul besoin d'adieux entre eux. Ils se reverraient, ils le savaient. Il y aurait d'autres rendez-vous, d'autres batailles, bientôt, ou dans mille ans.

Re: surment un piege ....

Par Borzag Brown le 25/3/2002 à 13:20:10 (#1172842)

Provient du message de Zeka :
en soit faire un tournoie est uen bonne idée mais connaissant ton passée Marmillian ....

J'ai beau réflechir, je ne vois pas en quoi son passé est comprométant, de plus, depuis quand les morts parlent-ils ?

Par March Solari le 25/3/2002 à 13:46:22 (#1173013)

en plus tu empeche les grand brehanite de defandre les plus faible en interdisant l acess au Seraphin....

La valeur d'un disciple Brehanite ne se mesure pas à l'absence ou à la présence d'ailes dans son dos...

Re: un recit tiré de la bibliotheque de baazul.

Par Dahna Lyhrel le 25/3/2002 à 13:59:06 (#1173101)

Provient du message de Conscience :
Voici un magnifique récit d'un auteur anonyme du plan de Baazul

Ah oui, vraiment magnifique ce texte.

Par Sefer -CDLL- le 25/3/2002 à 14:12:18 (#1173198)

Bien d'acord Avec toi Korgan...Les Brehanite ombattent l'haruspice deput des lune!
Je me demande aussi pourquoi des brehanites,Qui sont fiere de se dire ainsi,S'alli avec les haruspiciens....

Par Marmillian le 25/3/2002 à 16:39:55 (#1174264)

Comment des haruspiciens peuvent-ils participer à un tournoi en l'honneur d'un Dieu qu'ils rejettent ?

Pourquoi etre un Haruspicien signifierait il etre lâche?

Comment la nécromancie peut-elle est acceptée alors qu'il s'agit d'un tournoi en l'honneur de Brehan ?

C'est l'âge qui te fait ca Korgan? *lui tend les règles*

La nécromancie sera formellement interdites sauf sous accord de l'adversaire lors d'un duel !

Néanmoins je doute que cette magie de bas étage et ses tours de passe-passe fassent mal à un valeureux guerrier Brehannite !

Comment arriveras-tu a rassembler du monde si tu enlèves le droit de porter la vipérine et met des barrières à ceux n'ayant pas signé le registre ?

Je ne cherche pas à rameuter le plus de monde possible , je cherche simplement à honorer Brehan.

en soit faire un tournoie est uen bonne idée mais connaissant ton passée Marmillian ....

Se réferer à la missive de Borzag Brown

pour moi tu essaye de faire venire les Brehanites naif pour en suite s en debarrasser sachant qu en plus tu empeche les grand brehanite de defandre les plus faible en interdisant l acess au Seraphin....

Je ne m'attendais pas à de tels aveux de ta part colymar...

Ainsi un ridicule humain n'aurait pas le droit d'etre un grand Brehannite? Il faudrait se vendre à Artherk et s'éloigner de Brehan pour etre considéré comme grand Brehannite?

Par Rufy-o le quot;Brownquot; le 25/3/2002 à 16:57:46 (#1174400)

Il y a "rejeter" et "rejeter", évidemment j'ai destesté les brehannites qui ne passent leurs temps qu'à crier gloire brehan et faire leurs beaux en disant que personne peut les tuers, mais avec le temps je les ignores, y'en a partout de ces gaillards.

Mais les brehannites dignes de ce nom (ce même nom qui a été baffoué par un certant clan de fanatiques) méritent une part de respect.

Par Korgan-Cy le 25/3/2002 à 17:27:42 (#1174582)

sauf sous accord de l'adversaire lors d'un duel !

Je crois que c'est toi qui a un raisonnement qui cloche *sourit*. En tolérant la nécromancie si l'adversaire est d'accord, tu donnes donc comme règle que la nécromancie est tolérée !

Pourquoi etre un Haruspicien signifierait il etre lâche?

Là encore, je crois que tu n'as pas lu ce que je t'ai dit. Les haruspiciens ne devraient pas participer au tournoi. En effet, je te renvoie aux psaumes de Brehan traduits pas notre défunt Pretre Mendoz, que tu trouveras dans la bibliothèque Althéenne. Là, tu pourras voir que Brehan cherche à exterminer l'Haruspice. L'Haruspice est l'ennemi de Brehan et vice-versa. Les haruspiciens devraient rejeter toute manifestation destinée à honorer le Dieu qu'ils détestent tant. Cela me parait logique.

Sur ce point, j'aimerais avoir le point de vue de ces haruspiciens qui participent au tournoi, j'ai nommé IL Athalia, Sturm Lumlane.

Je ne cherche pas à rameuter le plus de monde possible , je cherche simplement à honorer Brehan

Si tu cherches à honorer Brehan, tu devrais laisser tes convictions politiques de coté, et laisser tous tes frères brehanites participer au tournoi, à moi que tu ai peur que des Colymars vous fassent mordre la poussière ? Sur ce point, Conscience a raison.

A présent, pour ce qui est de l 'interdiction des séraphins brehanites, je ne vois pas le pourquoi du comment. Brehan a t-il rejeté les séraphins ? Non, puisque il a fait nommer Mendorallen Seigneur de Guerre alors qu'il était séraphin, ce qui est une marque de confiance et de soutien.
Tu ne considères pas les brehanites séraphins comme tes frères ? Si c'est le cas, cela se rapproche d'un discours d'haruspicien, prônant la sauvegarde de l'humanité avant tout.

En attendant vos réponses, Marmillian et les deux autres chacals, je retourne à mes occupations, la tuerie de nécromants *sourit*

Par Sturm Lumlane le 25/3/2002 à 19:32:29 (#1175393)

Les colymars vivent donc ils tant d'années dans le passé? Ils sont répûtés arriérés c'est un fait, mais en être réduits à sortir pareils discours sur les relations entre brehannites et haruspiciens, nous voilà retournés des années en arrière à l'époque des maîtres sanglants...

Jamais un Enfant d'Haruspice n'a blasphémé le nom de Brehan, lui ou ses frères et soeurs d'ailleurs. Nous servons le Maître, l'unique, il se place au dessus des divinités, son rôle leur est transcandant. Que les hommes vénèrent Brehan Dieu de la guerre, ou tout autre, ils n'en resteront pas moins soumis au Jugement, cela n'entrave en rien leur foi envers leur divinité!

Mais comment expliquer cela à un colymar, ou tout autre fanatique brehannite, donc tout l'enseignement autour d'Haruspice et des prophéties se résume à quelque parole de brehannites aux concepts obscurs, ainsiqu'un ou deux écrits poussiéreux sujet à milles interprétations? Que peut donc faire la raison et l'intelligence, face à une foi des plus primitives, faussée par des générations de guerriers dont le combat aujourd'hui n'a plus de raison d'être? Les temps évoluent, certains l'ont compris et vont de l'avant..

Malheuresement, tant que les bases d'un ordre vacilant, affaibli, rongé par l'ignorance et maintenu artificiellement par l'assurance de "glorieux" combats contre les jeunes nécromants, persisteront... leurs discours fades et corrupteurs continueront à pervertir les esprits de jeunes brehannites. Fort heuresement, telle situation ne perdurera éternellement, les colymars connurent leur heure de gloire, maintenant il suffit de porter un oeuil sur leur khan pour se rendre compte que pareille époque, est bel et bien révolue!

Par Sieur Dubourina le 25/3/2002 à 19:56:32 (#1175537)

Le vieil homme songe au temps anciens, à l'avant séparation des mondes.
Ils pense à ces moments de paix, à ces moments de gloire pour les fils de Brehan.

Il se dit que Sturm Lumlane ne qualifia pas les Colymars avec les bons mots.
Ils ne sont pas arriérés, ils ne font que suivre des lois qui ont fait et font encore leur preuves.

Pour le vieux sage, les Colymars représente une communauté qui honore les precepts de Brehan depuis sa création.

Pour le doyen d'Althéa, nul Clan Brehanite n'a jamais servi son Dieu avec autant de Ferveur, d'Honneur et de Courage.

Mais les temps actuels sont bien sombre, et le philosophe ne peut que constater la déchéance qui rode sur certains aux precepts douteux.

L'huruspice a corompu ses frères et le vieil homme en est si triste.
Il aimerait les aider avec ses frères mais leurs efforts sont vains.

A présent, leurs âmes sont passées de l'autre côtés.

Ils aimerait tant dire au jeune Korgan, dont il fut le parain, de les laisser, que rien ne peu les sauver de la folie, que leur démence est san limite, mais le vieil homme se refuse à s'y résoudre.

Un jour, Brehan viendra à nouveau et purifiera ces traitres.

Alors le cycle reprendra et une nouvelle ère naitra.

Mais le vieil homme sait qu'il ne verra surment pas celle-ci, il sera mort depuis longtemps ...

Le reste de sa vie, il la passe à se torturer l'esprit, à souffrir, en voyant la dechéance, la décadence de ceux qui furent il y a longtemps des frères.

Le vieil homme s'en va dans la brume du soir, des larmes peuvent se distinguer sur ses joues.

"Pardonne leur mon saint Dieu Brehan, ils ne savent point ce qu'ils font."