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[Poeme] Ce que l'on aime
Par Sherya Etkhir le 22/2/2002 à 14:11:21 (#998362)
Peur de perdre quelqu'un qu'on aime,
Perdre un bout de soit.
Ne plus pouvoir lui dire bonjour,
Peur que les choses ne soit plus les mêmes,
Perdre alors la foi.
Sans toi je ne suis rien,
Je ne suis que parceque je t'ai,
Sans toi je suis pale , fade.
Sans toi je n'aime plus rien,
Perdue dans des marais,
A moitiée morte , gravement malade.
Etre perdue dans un autre monde,
Sans toi a mes cotés je me perd,
Pour finalement etre perdue.
Perdue Dans l'immonde,
Alors que nous formions une paire,
Je me retrouve pendue.
Tu etais ma lumiere,
Tu eclairais mon chemin,
Tu Aveuglais mon coeur.
Et comme une Sorciere,
Me donnant un bout de pain,
M'empoisonne me laissant dans mes pleurs.
Sans doute pas la force de continuer..
Dans la vie on a plusieurs force. Mais parfois on en a plus qu'une , celle de cleui qu'on aime. Une seule personne est ma force , c'est dans cette personne que je puise mon courage , ma force. Cette personne decide de faire battre mon coeur comme de l'arreter . Quand j'ai froid , cette personne me rechauffe , quand j'ai someil , elle veille sur moi...quand je me meurt elle me soigne...Cette personne , je l'aime plus que tout et la peur de la perdre grandit de plus et j'en suis trés malheureuse. C'etait un homage de mon amour pour toi , si tu lis cela un jour...
Une femme
Par Kenshin Diken le 22/2/2002 à 15:09:41 (#998895)
Du simple ciel m'offrant un modeste coucher
Ébahi, puis-je tirer mon repos calmement
De ces proches agitations menées par le vent
Ici ou là, au coin d'un automne
Naissant encore, modeste liaison
Jusque là, deux regards monotones
Dont l'amour, bien sûr aurait raison ?
Qui en ce jour, ne jugerait pas de piètre être
Homme, ici allongé, fatigué, pourtant gai
Qui pourtant en ce soir, trouve si doux de voir naître
Étendus ciels faisant rêver d'éternité
La place assourdissante de crier
Agile, noble ? Délicate, sûrement belle
Cette douceur -fugitive beauté !-
Clorait ces hésitations cruelles
Toujours fidèle à sa somptueuse beauté
La Lune, toujours versant son pâle enchantement
Lentement, fièr'ment sur ces tardives pensées
Clichés et chapitres aspirés au firmament
Les clochers, passants extravagants
Sans se soucier, venaient de laisser passer
Dans ces jardins de jets d'eau mirobolants
De fugitifs baisers laissant à espérer.
De son lourd plafond étoilé
La voûte, sur'ment, achèverait
Ce rêve d'une saison arrivée
Endormant avec l'être accompagné.
Rapide, fascinant
Discret, et espéré
Venait d'arriver
Cet annoncé printemps.
repris d'Ezar mais on dira que c'est dans la continuité.. :p
Par Talisman Tihana le 22/2/2002 à 15:35:33 (#999135)
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