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Une étonnante disparition ...
Par King Nerkata le 27/1/2002 Ã 19:52:40 (#802644)
Après trois lunes de marche, il puis voire au loin se dresser les premières formes des murailles qui bordent la ville portuaire ...
Cette vision fit renaître en lui une lueure de courage, mais ses forces diminuaient grandement et il ne savait pas s'il arriverait jusqu'à l'entrée de la ville ....
La nuit tombant, il déscida de ne point faire durer plus longtemps cette marche et accelera donc le rythme. Ses jambes tremblotaient sous le poid de son arme et de son armure, la côte de maille qu'il avait en dessous de son plastron lui irritait enormement
Après 2 heures de marche, il arrivait à l'entrée de la cité. La nuit avait chassé toutes vies des rues, le samaritain qui se faisait d'ordinaire un plaisir d'accueillir les visiteurs n'etait plus lui aussi à son poste. Erant das les rues, il arriva enfin dans sa chaumière. Tout était éteint, aucune fumée ne se dégageait du petit toit de chaume, un sentiment étrange lui traversat le corps ....
Dans un dernier soupir, il attrapa au fond de son sac vide la petite clef d'argent que lui avait remis la Duchesse lros de l'aquisition de l'habitat puis ouvrit la porte de bois. Tout était vide, le mot qu'il avait écrit à son départ trainait par terre, la malle contenant quelques objets precieux et quelques pièces d'or qui était d'habitude rangée sous le lit dépassait de celui-ci, a moitié ouverte. Cette vision glaça le corps de King, que s'etait il donc passé?
King décidat de quitter sa grosse armure et d'allumer un feu de bois afin de réchauffer le logis où la température extreme rappelait celle des contrées lointaines du Nord ... Après avoir ramassé quelques buches, le foyer de la cheminée de pierre fut donc illuminé par quelques flammes.
Kin chercha desesperement sa petite femme, mais rien, aucun parchemin, aucun trace d'elle ....
Ne pouvant résister plus longtemps à l'appel du sommeil, il s'ecroulat sur le lit qui bordait une des fenêtres.
Le lendemain, au levé du jour, il fut réveillé par le chant des coqs. Ne trouvant rien à manger, il déscida de se rendre chez le marchand et au port afin de faire quelques provisions ....
Il demandait à toutes les personnes qu'il croisait si elles avaient vu Idjiin, mais aucune d'elle ne lui donna une réponse positive.
En se rendant au port, il croisa une amie de sa compagne. Celle-ci lui expliqua que sa jolie fiancé n'avait plus etait vue depuis 6 jours et 7 lunes. Mais qu'etail il alors advenu d'elle, où pouvait elle bien se trouver?
Par Gidzborg Dracks le 27/1/2002 Ã 20:10:44 (#802796)
Bah, avec la violence de nos jours tu peux t'attendre au pire :p.
Non je rigole, j'éspere que tu va vite la retrouver.
Par Idjiin Nerkata le 27/1/2002 Ã 22:38:15 (#804023)
J'ais peur de retrouver ce monde dans lequel je m'éfforce de vivre.J'ais peur d'affronter encore tout ces regards hostiles.J'ais peur de perdre mon humanitée... j'ais peur d'entendre ces pensées malveillantes, j'ais peur de parler, j'ais peur d'etre écoutée, j'ais peur de me sentir aimée, j'ais peur de l'égoisme ambiant, j'ais peur de toute ces cités et de leurs crimes.J'ais peur de cette magie, j'ais peur des armes, j'ais peur de toi, peur de ton amour.
Ton amour et plus fort que les mots, le mien craint la mort.
Enfermée dans une prison de pierre, les nécromanciens on repris leur droits sur mon corps.La souffrance me fait peur, mais c'est ton chagrin que je pleur.En écrivant cela j'aimerais que tu sache que je t'ais toujours aimé, et bien plus que tout autre chose.La flamme qui dans mon coeur brule encore ne s'éteindra jamais.
Il faut que tu sache que j'aime sentir ton regard dans le mien, que tu sache que rien ne me fait plus plaisir que de toucher ton corps avec ma main,d'écouter tes paroles, admirer ta fier allure,embrasser tes levres tant désirées, caresser ta peau, me blottir contre toi , fusionner en un bain de chaleur avec ton ame préssée contrez mon coeur.
Mon chéri, je t'aime, mais il est trop tard, comme c'est ironique le destin et le temps on pactisé contre moi et pourtant j'éspère encore...
Je reve de toi le soir au milieu des cauchemars incessants, ton image apparait, elle les fait fuir, tu me console doucement dans tes bras et tu me berces, alors je n'ais plus peur.
Mais pourtant je pleur
Larme
Devant l'iris d'un oeil, sobre artiste,
Le voile globuleux et sinistre
Aveugle de son pinceau habile
L'azur qui navigue en terres hostiles.
Tel un tableau aux accents oniriques,
La vision aux couleurs idylliques
S'épanouit en une frele mosaique
Nimbant le jour d'une nappe fréatique.
Et la tempete vient narguer la candeur
D'une voile déchirée par la peur
L'illuminant d'éclairs, a meme la chair,
Imposant la marque sordide d'un enfer.
Marée de perles aux reflets argentées,
Le ballet hurlant en hymne glacé
S'en va lécher jusqu'au cou la beauté
Charmant les lèvres d'une saveur salée.
J'ais peur de te perdre.
Par King Nerkata le 28/1/2002 Ã 1:13:11 (#805109)
*saisit une plume et écrit*
Mon coeur
Depuis que je te connais tout n'est plus que bonheur
Tu m'as délivré de cette abominable langueur
Ho quel présent du ciel tu es
Je ne puis vivre heureux sans être à tes côtés ....
Je te confie mon coeur pour l'éternité
Je te confie mon âme, mes plus tendres baisers
Sache que je serait toujours près de toi
Telle une ombre, je suivrais le moinde de tes pas ....
On dit de la nature qu'elle fait bien les choses
J'en suis certain lorsque je te vois
Je me sent en totale symbiose
Lorsque tendrement tu me prends dans tes bras
Par King Nerkata le 28/1/2002 Ã 23:03:21 (#811105)
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