Un manque de contrôle...

Par Leoll le 23/1/2002 à 22:53:37 (#773071)

Leoll était allongé, aux côtés de sa femme, il venait de se coucher, il devait être minuit. Il se sentait bien, à côté de sa tendre épouse, mais quelque chose à l'intérieur de lui le mettait mal à l'aise. Il savait ce dont il s'agissait, une de ses crises, de ses transes allait bientôt arriver. Il se hâta de s'habiller, il embrassa sa femme et son fils qui était dans une chambre à côté. Il décida d'aller le plus loing possible pour ne pas faire de mal aux deux être qu'il aimait le plus au monde.
Il partit, marcha le plus loin qu'il pouvait. Mais bientôt, il s'arrêta, sa transformation semi-démonique. Autour de lui, quelques chaumières. Il ne voulait pas se diriger vers celles-ci. Il ne voulait pas faire de mal, mais pourtant, l'appel du sang, de mal le gagnait. Il alla, étant contrôlé par une autre force vers l'une des chaumières.
Il frappa quelques coups à la porte. Une femme lui ouvrit, elle le prit en pitié rien qu'en le voyant, tremblant, les yeux vitreux. A côté de la femme, une enfant. Elle devait avoir l'âge de son fils. Il fit un effort effroyable pour ne pas se jeter sur la petite pour la tuer. Il se leva le plus vite possible et sortit en courant. Il ne se retourna pas, de peur de faire du mal à l'enfant.
Son envie de tuer grandissait. Il n'arrivait pratiquement plus à se contrôler. Il quitta le hameau.
Une maison isolée apparut non loin du sentier caillouteux. Il décida de s'y rendre avec l'envie de tuer, de torturer ...
Il ne frappa pas à la porte, donna un grand coup de pied dans celle-ci, les gonds cédèrent, la porte s'affaissa. L'homme qui habitait cette maisonnette était seul, il n'avait pas l'air bien fort. Ce serait une partie de plaisir pour Leoll.
L'homme fut surpris de cette visite incongrue. L'homme se leva, et se dirigea vers le fond de la baraque. Leoll eut un léger sourire. Le sang allait enfin couler...
L'homme, incanta quelques sorts de protections et envoya des sorts élémentaires de feu sur Leoll. Leoll recula, heureusement, il avait des résistances innées envers ce genre de sorts. Leoll avança d'un pas décidé. L'homme ne put rien. Il le prit par le cou, la colla contre le mur et lui planta une flèche dans la cuisse. Sur la flèche il était gravé "Leoll Snake".
Il fit l'erreur de la laisser planter.
Le pauvre homme criait, il souffrait ce qui donnait le sourire à Leoll.
Il décida de ne pas s'y prendre comme à son habitude. Il commença à prendre une autre flèches et la fit passer sous la peau des cuisses de l'homme. Des filets de sang coulaient des plaies. Petit à petit, une marre de sang se créait. L'homme n'avait pratiquement plus de peau sur les cuisses. Il hurlait à la mort. Leoll se réjouit de cette réaction et sortit un bistouri de sous sa manche. Il le fit luire à la lumière de la bougie et sourit, il semblait satisfait.
Il fit glisser le bistouri sur le torse de l'homme, il faisait tout pour qu'il reste en vie le plus longtemps possible. Il sortit d'une poche de son manteau un espèce de tire-bouchon et fit un trou sous le plexus solaire de l'homme. Il s'évanouit. Leoll s'arrêta et attendit que le pauvre homme se réveille.
L'homme était mort ... Il avait beaucoup souffert. Ogrimar devait être satisfait mais Leoll décida de rester et de continuer sa besogne. Pour cela, il reprit son bistouri et donna un coup sec dans la gorge, une épaisse couche de sang sortit, une giclée arriva sur le visage de Leoll.
Leoll dessina une rune, la rune d'Ogrimar sur le torse de l'homme. Son manteau était à moitié rouge, une odeur métalique émanait du sol.

Tout à coup, Leoll retrouva ses esprits. Il vit ce qu'il avait fait, vomit de sa propre abomination.
Il sortit en courant. Il ne voulait pas faire le mal, il voulait simplement faire connaître la parole d'Ogrimar, mais il détestait faire couler le sang.
Il se précipita vers la sortie, omettant de retirer la flèches de la cuisse du cadavre.
Leoll perdit connaissance dans une clairière, à côté d'un ruisseau. Il s'éveilla peu à peu, le jour se levait. Il se baigna dans l'eau et s'envola vers sa maison pour rejoindre les êtres aimés.
C'était la première fois qu'il voyait ce dont il était capable, il était honteux...
Il n'en parlerait à personne sauf à Lekam, il lui demanderait conseil pour contrôler pleinement ce genre de problème.

Il arriva chez lui, personne n'était levé, tant mieux.
Il s'assit dans le salon et s'endormit.


hrp: donc voilà, Leoll a des pbs démoniques, il a laissé une flèche sur le cadavre donc pour ceux qui veulent enqueter ils peuvent tout à fait trouver cette fleche...

Par corian zelor le 23/1/2002 à 23:23:26 (#773256)

*aime bcp le style de Leoll*

Bravo a toi ... continue de nous faire rever

Par Leoll le 23/1/2002 à 23:24:19 (#773259)

rêver ? :p

Par Philis le 23/1/2002 à 23:57:14 (#773427)

Philis se réveilla dans la couche conjugale, et étendit le bras pour le passer autour de son mari. Mais elle ne rencontra que des draps vides et froissés. Intriguée, elle se leva silencieusement, et, dans l'obscurité de la maison, attrapa une robe blanche fine et simple. Une fois habillée, la jeune femme entra silencieusement dans la chambre de son fils. Elle constata que tout allait bien et s'appreta à regagner son lit, pensant que Leoll était parti s'entrainer, lorsqu'un bruit de respiration attira son attention. Il venait de la piece principale. Intriguée, Philis s'approcha. Elle distingua une grande silhouette noire, dans une immobilité presque totale. Ce ne fut qu'une fois parvenue à quelques centimetres de son visage qu'elle reconnut son mari. Il avait le visage crispé et grimaçait dans son sommeil. Dans l'obscurité, la jeune femme ne remarqua pas les petites taches de sang qui ornaient sa robe noire. Elle le réveilla doucement, et lui demanda d'une voix endormie.

Leoll ? Qu'est-ce que tu fais la ?

Par Leoll le 24/1/2002 à 0:01:00 (#773449)

Leoll se réveilla au son de la douce voix de sa femme. Il entendit ces quelques mots. Ils n'oserait pas lui dire ce qu'il venait de faire.

"-Euh ... *balbutie* Rien, je me suis levé cette nuit et ... je suis rentré, ne voulant pas te réveiller je suis resté ici, mais ne t'inquiète pas Il eut un léger sourire, se leva et embrassa tendrement sa femme

Par Philis le 24/1/2002 à 1:04:46 (#773739)

Philis l'écouta bafouiller une réponse vague et hésitante, et scruta son visage. Il paraissait nerveux et angoissé, et elle le connaissait suffisamment bien pour déchiffrer aisément son regard fuyant : il ne disait pas tout, cachait ce qu'il avait fait cette nuit-la. Elle lui rendit son baiser quand il se leva, et lui glissa quelques mots à l'oreille.

S'il existe une personne à laquelle tu peux te confier, n'est-ce pas moi ? Tu peux tout me dire, et si une vérité doit me déplaire je préfére l'apprendre de toi que des ragotages.

Sur ce, elle se dirigea vers le lit, fatiguée mais la tête pleine d'idées de jalousie.

Par Azulynn le 24/1/2002 à 7:15:00 (#774183)

:lit: :amour:

Par Leoll le 24/1/2002 à 8:14:15 (#774263)

Il resta quelques instants sans bouger. Sa femme avait raison. Il savait qu'il pourrait se confier à elle mais ce qu'il avait à dire était horrible...
Il se décida enfin à bouger, avant d'aller voir sa femme, il se dirigea vers la chambre de son fils. Leo dormait, il avait le visage de sa mère, un visage d'ange. Leoll sourit à ce délicieux spectacle.
Il l'embrassa sur le front, puis il alla voir sa femme. Il entra dans la chambre et parcourut les quelques pas qu'il avait à faire pour rejoindre sa femme. Elle ne dormait pas encore. Il se dit qu'elle devait être troublée par l'étrange attitude de son mari. Il devait tout lui avouer.
Il s'assit auprès d'elle, la regarda dans les yeux et prit un grande inspiration :

"- Ecoute-moi bien mon amour, cette nuit j'ai fait une chose horrible mais je ne crois pas que ce soit le première fois ... Il scruta son visage pour y déceler une quelquonque réactionVeux-tu vraiment que je te raconte ce que j'ai fait ??Il eut alors un regard froid. Il attendait la réponse de sa femme.
S'il commençait à en parler, il ne pourrait pas s'arrêter, il attendait l'approbation de sa femme.


Hrp --- Désolé pour l'anachronisme en dernière phrase mais je n'ai rien trouvé d'autre. Si pendant la journée je trouve, j'éditerai.

Par Philis le 24/1/2002 à 13:01:58 (#775316)

Son esprit encore embrumé il y a quelques instants s'éveilla, et elle le regarda d'un air curieux en entendant ces mots. Elle ne l'avait jamais vu dans cet état, et des dizaines d'hypothèses se bousculaient dans son esprit troublé. Philis se redressa et s'assit. Elle le fixa dans les yeux et lui parla.

Et bien, je t'écoute. Où es-tu allé cette nuit ? Qu'as-tu fait pour te mettre dans cet état ?

Par Xl Wyvern le 24/1/2002 à 13:20:16 (#775429)

l'approbation, l'accord..........??? c mieux que feu vert

Par Etoile Noire le 24/1/2002 à 17:28:01 (#776796)

*aime beaucoup*

Par Meth le 24/1/2002 à 17:30:50 (#776822)

tchac

Par corian zelor le 24/1/2002 à 18:29:45 (#777366)

*remonte le post qui coulait inevitablement dans les meandres du forum*

Par Leoll le 24/1/2002 à 18:34:33 (#777414)

Il regarda ce visage tant aimé, ce visager qui avait su le dompter à jamais. Il ouvrit la bouche pour lui raconter ce qu'il c'était passé cette nuit là mais les mots ne venaient pas...Il du longuement se concentrer pour pouvoir balbutier quelques mots incompréhensible. Après quelques secondes, il se leva, regarda par la fenêtre et face à celle-ci, il lui dit :

"- Cette nuit, je suis sorti, pour ne pas te faire de mal à toi et à Leo. Je ne voulais pas vous faire souffrir et j'ai eu bien raison. Je suis allé le plus loing possible, suivant les sentiers poussiéreux et caillouteux en éspérant ne trouver nulle âme qui vive. Malheureusment, je suis tombé sur un petit hameau, j'étais prêt à tuer... oui, à tuer. Mon corps entier voulait que je tue mais dans un dernier effort je suis sorti de ce hameau pour trouver une maison isolée.
Ensuite, une force étrange que je ressentait depuis mon départ, devint plus grande encore. Je ne me souviens plus de ce qui c'est passé. Juste une image, qui m'a révulsé, un homme était au sol, il avait été torturé, par moi, cela ne fait aucun doute.
J'ai réussi à me reprendre, je suis parti en courant, j'ai trouvé un petit cours d'eau où je me suis lavé puis je suis rentré ...

Cela fait déjà quelques temps que je ressens cette présence en moi, une présence qui m'utilise comme un pantin ! Je ne peux rien contre cette force. J'aimerai la dominé mais elle est trop forte. C'est pour cela que j'ai déciedé d'aller en parler à Lekam ...
J'espère que tu comprends pourquoi je ne voulais pas t'en parler, j'ai peur, j'ai peur de moi, de ce que je suis capable de faire, j'ai peur de vous faire du mal..."

Sur ces mots il s'arrêta, se retourna et regarda Philis droit dans les yeux, il aimait la regader, l'admirer, en l'admirant, il se sentait léger, Philis avait un visage qui lui faisait tout oublié. Il se dit qu'elle était la femme qu'il avait toujours rêvé d'aimer. Il ne voulait pas que cette histoire soit néfaste pour leur amour.

Demain, il irait en parler à Lekam.


Hrp --- Merci Xl et à tout les gens ayant répondu :)
Surtout merci à Philis d'avoir répondu :) :amour: :amour::merci:

Par Ben Wyvern GR le 24/1/2002 à 20:08:18 (#778200)

:lit: ;)

Par Neo Elfy le 24/1/2002 à 20:12:35 (#778236)

mon roooooo Leoll c sympa ton tit post!

*va songer a affirmer sa mechanceté* :D

Comment ca je fais pas peur? :p

Par Philis le 24/1/2002 à 21:39:57 (#779005)

Philis écouta attentivement le récit sans dire un mot, avec un air surpris. Elle avait fait des hypothèses dans son esprit, mais elles étaient toutes à des lieues de la vérité. Quant il eut fini, elle le regarda dans les yeux, y cherchant des réponses à toutes les questions qu'elle avait dans la tête. Le sort d'un paysan isolé, elle s'en fichait, mais si cette fois il avait pu se controler assez longtemps pour partir loin, qu'en serait-il la prochaine fois ? Elle-meme n'était pas sans défense, mais dans son sommeil elle constituait une proie facile. Et ce qui la préoccupait le plus, c'était leur fils. Qui sait ce que Leoll pourrait lui faire s'il entrait encore dans cet état second ? Il était bien trop jeune pour opposer une résistance réelle...Inquiete, elle finit par ouvrir la bouche.

Penses-tu pouvoir toujours arriver à te maitriser ? Que se passera-t-il si tu ne prends pas conscience de tes actes à temps ?

Sans attendre de réponse, elle se dirigea vers la chambre de leur enfant. Elle regarda à l'intérieur, et ne remarqua rien d'anormal. Doucement, elle ferma la porte, puis tourna la clef dans la serrure.

Je vais conserver cette clef et la porte restera fermée cette nuit. Demain, nous aviserons. En attendant , viens dormir, nous verrons plus tard ce qu'il convient de faire.

La pretresse retourna dans leur chambre pour se recoucher. Alors qu'elle atteignait le lit, une idée lui traversa l'esprit. Elle se retourna vers son mari.
Dis-moi...Personne ne t'as vu ce soir ? Personne n'est au courant de tes ...*hésite* transes ?

Par Leoll le 24/1/2002 à 22:19:58 (#779391)

Il la regarda, sans doute surpris de sa réaction, elle le séparait de son fils. Il savait que jamais il ne lui ferait le moindre mal. Il était desespéré. Il la regarda lorqu'elle posa cette question. Puis lui avoua quelque chose :

"- Il me semble avoir laissé quelque chose, une flèche et tu sais que je grave mon nom dessus... Donc je ne sais si quelqu'un la trouvera, il faudrait peut-être mieux que j'y retourne pour la reprendre ... Toi, reste ici avec Leo, occupes-toi de lui... Après quelques hésitations...Sache que je ne lui ferais jamais rien, à toi non plus, sois sans crainte, je sens venir ces crises. En tout cas, celle-ci je l'ai senti.
Je vais y aller, j'ai le chemin du retour en mémoire, en espérant que personne n'est passé avant.

Il se retourna et commença à se diriger vers la porte.

Par Leoll le 25/1/2002 à 7:12:07 (#780874)

-up-

Par Philis le 25/1/2002 à 15:53:12 (#783593)

En le regardant partir, elle se demanda si elle n'avait pas été trop dure, en proie au doute. Mettre une barriere entre lui et son fils...Etait-ce la meilleure solution ? Cela pouvait également empirer la situation, mais que pouvait-elle faire ? Philis savait que chaque choix leur imposerai une épreuve à l'un comme à l'autre. Mais c'était la peur qui avait guidé le sien ce soir là, la peur que son enfant, sa chair, soit mêlé à cette histoire. Alors que son mari atteignait la porte, le dos voûté, elle l'interpella.

Leoll !

Il se retourna. Elle se leva et vint vers lui.

Je suis navrée de devoir faire ça, mais ce n'est que la solution d'une nuit...Je te fais confiance, mais la personne qui accomplit ces massacres n'est pas toi. Cette situation est provisoire, je suis certaine que nous pourrons vite régler le problème.

Là-dessus, elle l'embrassa doucement et lui sourit.

Maintenant va, et sois prudent...

Par Leoll le 25/1/2002 à 17:57:33 (#784624)

Il sourit à sa femme et partit vers la chaumière où le meurtre avait eu lieu. Il se rappelait à peu près du chemin en volant. Il déplia ses ailes et s'envola vers la baraque.
La porte était toujours ouverte, une odeur de charogne régnait dans l'unique pièce. Le cadavre était toujours là, la flèche plantée dans la cuisse. Leoll sourit, sans cette flèche, personne ne saurait que c'était lui ou une partie de lui qui avait commis ce crime. Il entra dans la pièce, le corps était ensevli sous une montagne de vers. Il alla vers la cuisse et retira la flèche.
Il sortit le plus vite possible de cet endroit qui arrivait à lui donner la chair de poule...
Il fit donc demi tour et retourna auprès de sa femme et de son fils. Pendant la journée ils ne risquaient rien. Il rentra donc et déposa la flèche dans un autre carquois.
Il alla dans sa chambre, il contempla à nouveau sa femme et alla s'allonger sur le lit.

"- Voilà, j'ai repris la flèche, personne ne l'avait vue je pense. Personne ne pourra savoir que c'est moi."

Leoll avait oublié que quand il commettait ces crimes, ses plumes tombaient. Autour du cadavre, il y avait aussi cette caractéristique de ses meurtre. S'il n'y avait plus de preuve, les gens saurait que c'était la même personne.


Hrp --- Tant pis pour ceux qui aurait pu trouver la flèche, elle était là pour ça :eek: :rolleyes:

Par Torti d 0marya le 25/1/2002 à 18:36:57 (#784924)

Torti aimait se promener dans cette clairière tôt le matin alors que le fraîcheur et la rosée engourdissait ses doigts sur la corde son arc. Son ami Gadric habitait une petite maison à l'orée de la clairière. Le gibier était abondant et la chasse plaisante. Une boisson chaude l'accueillait toujours chez son ami. L'arc à la main, le sourire aux lèvres, il avançait vers la maisonnée. La porte entrou'verte par le froid qui régnait l'inquiéta. Il poussa doucement la porte, s'habitua à l'obscurité avant de lacher un cri d'épouvante. Le corps de Gadric gisait sur le sol glacé, atrocement mutilé. Planté dans sa chair encore chaude, Torti enleva délicatement une flèche. Les traces de sang masquaient une inscription dont les seules lettres légèrement visibles laissaient deviner ces trois lettres : Leo.
Torti s'écroula en larme sur le corps de son ami. Le malheur l'accablait. S'essuyant le visage du revers de sa main, il nettoya la flèche, plaça l'encoche sur la corde de l'arc, se tourna vif comme l'éclair et l'envoya se planter dans l'écorce d'un arbre.
Il murmura ces quelques mots : dressons une sépulture de toi, la flèche ne bougera pas de la, elle sera ensuite restituée à son propriétaire

Par Leoll le 25/1/2002 à 18:53:18 (#785051)

Euhhh Torti, je crois pas que ce soit possible puisque si tu lis mon post tu verras que la flèche a été retirée ://
Donc edit steuplé ...

Par Yas Ehlan. le 25/1/2002 à 20:35:07 (#785897)

:lit:

Par Leoll le 26/1/2002 à 1:40:46 (#788361)

:lit: :lit: :amour: :blabla: :blabla: :chut: :hardos:

Par Sanvis Galliano le 26/1/2002 à 4:52:44 (#789064)

:lit: :amour: :chut:
C'est vraiment bien écrit ! Bravo Leoll et Philis!

Par Leoll le 26/1/2002 à 11:35:47 (#789701)

Leoll repartit pour aller voir Lekam, il pensait que Lekam trouverait une solution, il s'envola vers quelque messager pour faire parvenir un mot au prêtre. Il lui demandait de se rendre chez le nécromant Jarko pour parler.
Après cela, il se rendit chez Jarko et y trouva Lekam.

Par Torti d 0marya le 26/1/2002 à 14:10:53 (#790652)

arf désolé j'en ai manqué un bout...

Par Saria la Sombre le 26/1/2002 à 14:13:49 (#790669)

*clap clap clap*:lit: aime bcp :)