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Le dit Bonheur.

Par Gorgone le 14/1/2002 à 9:47:08 (#714691)

Mon défunt amant, entend moi aujourd'hui. Ma perle, mon précieux, ma moitié, ressens-tu cet agréable vent? Un vent de joie souffle en moi, Un murmure à mon oreille m'insufle des mots doux, des mots qui me réchauffent le coeur, des mots qui me font sourire, des mots qui me font rire!

Mon défunt amant, en cette heure je te le dis, je suis heureuse. Guillerette? Peut-être même trop en cette période trouble. Mais je veux me nourir, encore... et encore! De cette vie, de la Vie. De ci de là le travail est grand et dur depuis quelques lunes mais je ne puis me tracasser, puisque je suis réchauffée.

Mon défunt amant, te souviens-tu de nos nuit d'antan? Te souviens-tu de nos instants de joie? Sache que je retourne sur ce chemin, je me sais sous ton aile, je vais rire... comme auparavant.

Par Conrad McLeod le 14/1/2002 à 10:01:18 (#714721)

*Quelques souvenirs remontaient à la surface de la mémoire... mais ce n'était pas les siens.*
Joli texte, au passage.

Par Alanis Delyn le 14/1/2002 à 10:29:39 (#714811)

*contente de voir Gorgone si souriante*


(j'aime bcp ton texte :) )

Par DJbaby le 14/1/2002 à 12:41:42 (#715297)

O toi aimée de ma chair qui en une nuit a su découvrir les recoins de mon cœur. Toi ma maîtresse d’un moment, toi qui as su comprendre ce qu’un paladin portais dans son cœur, comment puis-je à nouveau sentir le creux de tes bras ou je ne rêvais que de ton souffle, réchauffant le creux de mon coup lorsque nos corps étaient unis dans un ballet de milles rêves.

O douce Gorgone, toi qui échangea ta lame démoniaque contre un moment de tendresse, comment puis-je oublier que tu laissais chaque jour ton odeur sur mon visage.

Combien de moments nous liâmes nos destins comme de simples mélanges de soies à grand prix, tressées délicatement par des mains tant fragiles qu’un faux pas aurait fait la brise d’une froideur.

Te souviens-tu des moments ou me regard se portait sur ton sourire que tu donnais dans un coin proche des arbres ? Ce moment ou je te montrais le chant des oiseaux ?

O Artherk, nourris-moi de pommes, de raisins, car d’amour je ne suis que malade dans la mort. Je vous en prie, Artherk, par les biches et les animaux de ces terres, ne réveillez pas mon amour, avant que ne s'éveille en moi le désir. J'entends venir ma bien-aimée doucement approchant, voici qu'elle arrive, sautant sur les montagnes, bondissant les collines de ses ailes tant si blanches. Elle apparaît sur ma terre et élève la voix qui me dit

"Lève-toi, mon amour, et viens vers moi car voilà que l'hiver est passé, nous devons désormais voir les fleurs se montrant."

"Lève-toi, ô ma bien-aimée, ô ma belle, et viens à moi!, ma colombe, cachée au creux des rochers, montre-moi ton visage, et fais-moi entendre ta douce voix car o combien ta voix est si douce et si charmant ton visage."

Je suis a toi mon aimée, attendant dans la mort l’instant ou mon âme sera proche de

Toi...juste toi

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