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la femme
Par sahas le 12/1/2002 à 22:43:14 (#707482)
avec une lamme,
doit se conquerir
d'autre pas plus sage
la prend pour un animal sauvage
qu'il faut dompter
Pour ma part
c'est une oeuvre d'art
avec laquel il faut s'accorder
Par Sunn Hisper AP le 12/1/2002 à 22:49:40 (#707536)
*passe son chemin le sourire aux levres*
Par Robin le Juste le 12/1/2002 à 22:53:15 (#707562)
(non je plaisante il est très bien mais j'ai pas pu me retenir :D )
Par sahas le 12/1/2002 à 22:55:42 (#707586)
c'est l'interieur de votre tete de bois
mais il est evident
que vous n'avez aucun talent
a part celui de courire vite
vous les selenite
(hihi vive les brehanites)
Par Robin le Juste le 12/1/2002 à 23:00:42 (#707625)
tel un coup de hache,de travers assené
résume bien votre niveau de réflexion
a vous qui ne savez que décocher des horions
L'art de l'archerie,parfois honni et mal vu
symbolise lui une rechercherche d'absolu
que seuls nous,fervents de sélène
savont appliquer a notre vie,pourtant vaine.
Par sahas le 12/1/2002 à 23:07:37 (#707683)
bien si votre "art" se resume a tire des fleche ce n'est que bien peu de chose vous avez composer certe quelque vers mais c'est fort peu. la qualite de celui qui prend la plume se mesure plus sur la longueur du trait que sur la precision d'un mot.
Par Sunn Hisper AP le 12/1/2002 à 23:17:21 (#707764)
Il est idiot de dire les Brehanites ne sont que des barbares sans cervelle tout comme dire que les Selenites sont tous de voleur voir meme que les Syliens sont plus intelligent que le commun des mortels...
Chaque individu est diferent, reagi diferement aussi peut on voir des Brehanites cultives avec une capacite hors du commun a ecrire des vers qui sont a la porte de tous mais qui ne portent atteinte a personne...
Mais certaines personnes comme vous Robin ne voyez dans ces vers que la surface... essaiez donc de voir plus loin que le bout de votre nez...
Par sahas le 12/1/2002 à 23:23:38 (#707815)
Nous les Brehanite avons un sens de l'autoderision avance et par consequent les personnes credules nous croient et nous prennent pour des imbeciles et c'est tant mieux...
Brehan, Brehan
l'intelligence, c'est rien que du vent
Brehan, Brehan
Le premier qui bouge, paf dans les dents
On n'est pas des tapettes avec des robes
On laisse ça aux magos et aux sales gobs
Nous, nos armures faut les porter
ça convient pas à tous ces freluquets
On est très fier de nos pectoraux
et les femmes fondent devant nos beaux abdos
De tous, nous sommes les plus forts
qui ose me dire qu'il n'est pas d'accord
Brehan, Brehan
l'intelligence, c'est rien que du vent
Brehan, Brehan
Le premier qui bouge, paf dans les dents
On tire pas à l'arc comme des laches
On préfère brandir une grosse hache
Celle que personne ne peut soulever
Nous, on s'amuse à la lancer.
Les cicatrices, on en a plein
Car nous, on combat pas de loin.
Nous, on adore le corps à corps
le premier qui flanche est un homme mort.
Brehan, Brehan
l'intelligence, c'est rien que du vent
Brehan, Brehan
Le premier qui bouge, paf dans les dents
Par Aclys Barows le 12/1/2002 à 23:31:21 (#707886)
Par sahas le 12/1/2002 à 23:32:09 (#707896)
Par Sunn Hisper AP le 12/1/2002 à 23:50:37 (#708062)
:mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr:
hop.
Par razel GN le 13/1/2002 à 0:23:20 (#708326)
ses toi Aclys ? :D
Par Lymphaia le 13/1/2002 à 0:26:00 (#708345)
Par razel GN le 13/1/2002 à 0:30:07 (#708373)
il est pour lucina ?
Par Ano le 13/1/2002 à 0:52:39 (#708530)
Par sahas le 13/1/2002 à 10:08:41 (#709501)
Provient du message de razel GN
oui tres beau poeme *souris*
il est pour lucina ?
c'est une generalite qui peut s'appliquer meme a l'irl...
rp parlant ouai lucina
Par Lucina le 13/1/2002 à 10:17:58 (#709542)
*Sourit.*
En tout femme
Elle porte la beauté
Magnifique.
Elle garde toujours
Leur sourire
De bonheure.
Leur peau
Si douce
Comme de la soie.
Leurs regards
Mystérieuses
Qui nous envolé
Dans le ciel...
Par sahas le 13/1/2002 à 10:23:25 (#709558)
Par sahas le 13/1/2002 à 16:00:19 (#711178)
En passant
Par Funeste Tinuvar le 13/1/2002 à 16:31:07 (#711346)
A la fille que j'ai tant aimée,
Je voudrais lui dire ma peine ;
Je voudrais qu'elle comprenne
Qu'à jamais je me souviendrai de sa beauté.
C'était une nuit bleue si merveilleuse.
L'air tiède nous baignait, intimité.
Ensemble, assis sur une dune, amitié.
J'étais heureux; elle était heureuse.
Main dans la main, nous avions marché.
La lune jouait avec son corps.
Ombres et lumières défilaient encore et encore.
Ses blonds cheveux scintillaient comme autant de fées.
Je sentais mes pieds nus sur le sable humide
Et j'entendais le chuchotement de la mer.
Tes lèvres envoûtantes m'avaient capturé, placides.
Et, j'entends encore tes mots passionnés, aujourd'hui si amers.
Dans le silence limpide de ce si beau soir,
Nous nous étions reposés sur un récif.
Nous écoutions l'océan chanter son hymne à l'amour.
Je voyais le profil de ton visage si attentif
Et je buvais avec délice ta splendeur, seul filtre d'amour.
Maintenant, je bois le filtre aux idées noires.
A la fille que j'ai tant aimée,
Je voudrais lui dire, lui murmurer
Qu'elle me manque, que je l'aime toujours.
Ma vie est une broderie de tristes jours.
La peine s'est substituée à la joie.
La douleur me prend violemment le coeur.
Il s'est déchiré, vulgaire papier.
A la fille que j'ai tant aimée,
Qu'elle sache que dans mon désarroi,
Elle est la seule qui puisse soigner mon coeur.
Je l'aime, mon amour, pour toujours!
Et pour oublier, comme un fou, sur la plage, je cours.
La plante de mes pieds survole le sable humide
Et j'essaie en vain d'effacer le souvenir de tes lèvres placides.
Mais pourrai-je arriver à tuer son souvenir ?
J'aimerais que l'on me dise mon avenir.
Je suis si solitaire, désemparé.
Je ne cherche plus l'âme soeur
Mais j'ai peur.
Trouverai-je l'amitié?
Par sahas le 13/1/2002 à 16:37:06 (#711380)
on reste souvent la
a se demander pourquoi
Pourquoi elle est plus la
pourquoi plus a cote de moi
pourquoi suis-je si las
Mais quand tout est sombre
seul le coeur perce la penombre
et cherche les mots pour y repondre
La seul chose qu'on vois
c'est un chose qu'on aura pas
le plaisir du moment ou on la revoit
Par sahas le 27/1/2002 à 21:41:09 (#803540)
Par Ano le 27/1/2002 à 21:47:04 (#803580)
Par Nek Tinuvar le 27/1/2002 à 22:25:33 (#803905)
femme enfant
Par x'nedra le 27/1/2002 à 22:32:51 (#803982)
Se balance au rythme du vent
Ses petits pieds dansent
La joie de l'été
Ses cheveux de soie
Virevoltent à la lumière
Ses yeux s'étincellent
Devant la beauté d'un moment
Son coeur s'éveille
À l'amour, à l'amitié
Elle aime comme un enfant
Uniquement, simplement
Sans engagement.
Elle aime pour aimer
Elle donne sans demander
Elle vit intensément
Tous les sentiments du moment
Elle est triste
Comme une tourterelle blessée!
Elle est heureuse
Comme le bouffon libéré!
Elle a la tendresse du lapin
Elle a la douceur du satin
Elle a la simplicité d'un enfant
Elle a la naïveté du nouveau-né
Elle a la fragilité du roseau
Elle a l'énergie du ruisseau.
Elle est enfant,
Elle est femme,
Elle est la femme enfant.
Par sahas le 27/1/2002 à 22:43:40 (#804078)
vous decriver lucina...
La fille au grands yeux
Par x'nedra le 27/1/2002 à 22:57:26 (#804197)
Elle parle doucement comme un vent dans le blé
Elle retire de mon visage quelque chose du gris des murs
Elle me prend dans ses bras et guérit mes blessures.
Belle ? elle lest, comme toutes aussi
Mais au fond de son âme il y a le reflet
De doux ses gestes, enchantés quand elle sourit
Elle a les yeux des oiseaux aux ailes déployées.
Quelle marche et que poussent les fleurs,
Quelle rie et coulent les sources deau,
Quelle pleure et le tout meurt,
Quelle le regarde et le ciel se fait beau.
Assise chez elle, calme, elle lit,
Ses doigts posés légèrement sur les pages.
Inventent des histoires, des étoiles, un soleil qui luit,
Des contes pour rêver de tendres paysages.
Si elle était la nuit, elle serait la plus longue,
Et profonde, elle veillerait des enfants le sommeil,
Elle envolerait nos regards haut vers les ondes
Que formeraient les étoiles autour delle ; leur Soleil.
Si elle était le jour, alors de ses doigts
Elle cacherait à mes yeux trop claire la lumière
Qui delle sémanerait, et nul, à part moi
Ne tiendrait devant sa pureté, ses délicats éclairs.
Elle est comme un remède à mes malaises,
Mais une fièvre dont, victime, je languis,
Elle est mon esprit, mes pensers, mon aise
Elle est mon bien-être, ma carte de la vie
encore un autre sur les femmes
Par Funeste Tinuvar le 29/1/2002 à 14:16:41 (#812210)
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