La nuit

Par harko. le 24/12/2001 à 12:26:04 (#605868)

La lueur de la nuit emprisonne m'est penser
Le Rêve n'est plus permis,
La nuit et longue, le noir de la nuit me glace,
Je suis songeur,
Le temps a restait éveiller me plonge dans d'infini questions,
Que reste t il d'un vie ou le temps passe si vite ?

Par Myrrha le 24/12/2001 à 19:23:23 (#607432)

Oh non, le temps ne passe pas vite... Au contraire il est si lent, trop lent... Et encore plus quand la vie n'est que tristesse, que les jours sont allongés par la peine, que le coeur est envahit par la détresse, que l'esprit est prit par les chaînes d'un destin tragique...
Le temps est bien trop lent... bien trop...


Myrrha

Par Gwladys le 25/12/2001 à 1:00:16 (#608059)

Ainsi vit le sage...
Il ne vit que pour se poser des questions...
Ainsi vient la tristesse
Quand on ne trouve pas ses réponses...
Il maudit l'épicurien
Qui vit dans l'insoucience
Mais qui lui....

... est heureux...

Par follet le 25/12/2001 à 15:45:50 (#609191)

D’où tenez-vous demoiselle Gwladys que le Sage, des questions sans réponses, doit être triste.
Sage, il doit de certaine impossibilité se contenter et ne point pour celle-là s’acharner.
L’Histoire nous montre bien des Sages réjouis, allant seul ou avec des amis.
Sagesse ne rime pas, pour moi, avec Tristesse.
Quant à l’épicurien, pensez-vous réellement, que dans l’inscouciance il aille à tout venant ?
Bien des épicuriens par la noce qu’ils font de leur vie, n’y cachent qu’un profond ennui.
Pour moi faire bombance ne rime pas toujours avec Jouissance.
:)

Par Gwladys le 25/12/2001 à 18:52:42 (#609646)

D'où je tiens mes dires?
J'avoue que je conclue de façon hâtive, mais ce n'est qu'une génralité...
Regardez, ceux qui se posent des questions, sur leur passé.... Leur avenir...
En tout celà ils oublient de savourer le présent, le plaisir à leur portée à l'instant...
L'épicurien... De son côté vit ce qui est à ce moment à sa portée sans trop se soucier de choses achevées ou qui n'existeront jamais...

Je suis tantôt épicurienne, tantôt réfléchie...
Je n'aurai de peine à vous dire que je suis bien plus heureuse dans l'insoucience...