Perte d'un être cher...

Par Charat Solaris le 23/12/2001 à 23:34:52 (#604324)

Je me promenais avec mon père. Il me parlait d'une méthode pour recréer les porteurs de runes. Nous étions seuls sur le sentier menant a Hurlevent. Tout a coup, je ma rune s'activa me montrant un homme en robe noire qui était planter environ deux cent mètres plus loins sur le sentier. Je le dit a mon père qui devint soudainement sombre. Il dit un mot étrange et un lumière ébouissante l'entoura. Je le savais sur la défensive. Je jetai mes protections et nous bénis. L'homme ricanna en nous voyant arriver. Il dit:

- Voici enfin les Solaris...les porteurs de runes. Je vais enfin pouvoir accomplir ma vengeance. Tarkon...tu te souviens de moi?
- Oui traitre. Tu va payer tes actes de ta vie!

Il prit sa hache gigantesque et chargea l'homme avec une rapidité que je ne croyais qu'impossible vu l'armure et l'arme qu'il porte. L'homme riait en le voyant venir. Mon père le frappa et toucha...mais la robe de l'homme se mit a briller...et une sorte de boule se formait au dessus de nous. Mon père me cria: « Charat!! coure! Vite!!!» Je m'élancai dans la direction qu'il m'indiqua et me préparai a lancer mes sort de soins. Un énorme rocher s'effondra sur mon pere. Il se releva péniblement et repassa a l'attaque mais cette fois ci la robe ne brilla pas. Le sorcier jeta un sort de flamme et mon pere le toucha au torse. L'homme était a bout de force comme mon père. Il jeta un myriade de boule bleutée et mon père lui trancha la tête au meme moment ou il se fesait toucher par les tires magiques. Il s'effondra sur le sol et tremblait. J'accouru vers lui et tenta de le soigner...en vain. Il rassembla ses derniere force et me dit:
-Je sais que tu a lu mon journal...mais quoi que tu pense, tu es et restera mon fils. Je suis fiere de toi * toussa du sang*
-Père je vais te conduire au temple de Hurlevent...ils te soigneront.
-Non...Charat..regarde ma pierre (Elle était fêlée...et terne) c'est le temps pour moi de quitter le monde des vivants...Adieu
- Non! reste en vie * pleurais*

J'amenai mon père au prêtre de la ville et il l'enterrèrent. Les yeux emplis de larme, je quitter la ville et poussai un hurlement empli de colère et de tristesse.Mon cri se répercuta dans tout la région. Je reparti, coeur empli de tristesse, vers un coin tranquille pour jouer de ma flûte repenssant a cette journée maudite.

Par Marty de Nazga le 23/12/2001 à 23:39:44 (#604362)

:lit: :)

nouveau but

Par Charat Solaris le 24/12/2001 à 2:13:12 (#605044)

Je méditai un journée entière mais le souvenir de mon père me hantait. Je ne pouvais me sortir de l'esprit l'une de ses phrases qu'il m'avait dit juste avant la rencontre du sorcier: « Tu devra trouver des âmes pure..enfin des âmes qui d'après toi ne chercherons pas à utiliser les runes a leurs fin personnels et leur en donner une. Mais fait attention...lorsque tu aura donner ta septième rune, tu devra affronter le gardien des runes...prépare toi pour ce combat...car il est difficile.» Le passage sur le gardien m'importait peu..mais celui de pertpétuer le rituel familiale m'interressait beaucoup plus.

Je regardais le soleil se lever et je sentais que dans la ville, la vie se réveillait. J'entrai dans la ville mais quelque chose clochait. Les gens me regardaient bizzarement. Je regardai ma robe, ma cape, enfin tout ce qu'il y avait sur moi pour voire ce qui les intriguait. Je passai devant la fontaine et vit ce qui les intriguaient tant...mes yeux...ils avaient changer. Au lieu de la couleur pers qu'ils avaient toujours possédés, il étaient devenu vert...un vert coulant. On dirait que la couleur font des cercles dans mes yeux.

Je regardai autour de moi et vit que les gens me regardaient certains avec intrigue d'autre avec dégout. Mais le coeur se leva quand une toute petite fille dit en se cachant derrière sa mère :« Maman...c'est ca un monstre? Regarde ces yeux!»

Je courai vers la plage hors de la ville et criai en regardant le soleil: «Pourquoi le destin s'acharne sur moi! Je perd ma famille, retrouve le dernier survivant excepter moi et la mort l'emporte!* montrant mes yeux comme si le soleil pouvait me répondre et voire mes gestes* Et vous rajouter cela!...» Je soupirai et m'esseya sur la plage et joua l'air le plus triste que mon coeur âme pouvait me donner l'inspiration.