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LĂ©gendes et contes
Par Dodgee le 19/12/2001 Ă 13:45:58 (#584038)
FireSky, l'ile des dragons... Ce n'est rien de plus qu'une légende, un de ces récits qu'on écoute sans y croire. Elle voudrait qu'il existe sur Althea un dernier domaine où les dragons règneraient en maitre, à l'écart des hommes et des folies des races inférieures. Nul autre race ne serait toléré en ces lieux, et quand bien même l'une d'elle voudrait venir rencontrer les dragons, il lui faudrait survivre aux terribles flammes qui valurent à l'ile son appellation. On raconte, en effet, que le feu des premiers dragons parcoure toujours l'ile, comme autant de langues de flammes qui ne pourraient jamais s'éteindre. Elles seraient si proches de la création que nulle magie ne pourraient les arrêter, et nul mortel y survivre. C'est là , au milieu de cette fournaise que vivraient les derniers dragons, lassés des races qu'ils jugent inférieures. La légende voudrait qu'après la trahison des séraphes, et la guerre mortelle déchira les cieux, les derniers dragons se seraient réfugiés dans ce sanctuaire, décidés à ne plus se mêler des affaires des autres races. Au fil des siècles, son existence même aurait été oubliée, et nul n'a jamais pu revenir de cette ile pour en parler...
Ce n'est bien sur qu'une histoire, une de plus. Les seuls à savoir, sans doute, sont les derniers dragons de ce monde, mais je doute qu'ils soient disposés à en parler avec des simples humains. C'est peut être un des secrets de ces maitres des cieux...
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C'est juste un conte, une histoire... Je vous invite à écrire les votres, que ca soit vrai ou non, ca n'a vraiment aucune importance, après tout, il ne faut pas croire tout ce qu'on raconte :)
La fille au pipeau
Par Booggi Stowh le 19/12/2001 Ă 14:04:34 (#584162)
Mesdames et messieurs je vais vous raconter une légende que mon père et surement mes ancètres racontaient a leurs enfants.
Il était une fois une fille, d'environs une dixaine d'année... elle était faible, et tout le temps malade. A cause de celà , elle ne pouvait pas aller a l'école, les nombreux médecins qui venaient la voir, ne trouvaient pas les origines de son mal. Ses parents et elle même commencaient a perdre espoire...
Un jour, la jeune fille voulu sortir de chez elle, elle en avait marre, partit en ville sans l'autorisation de ses parents. Elle n'avait plus peur, de toute façons, elle savait que si elle ne faisai rien, elle resterait dans sa maison jusqu'a la fin de sa vie,; une fin qu'elle sentait proche. Elle aimait la musique, et se baladant en ville, elle passa devant un lac. Elle s'assit et se reposa. Une fois sa sieste terminée, elle prit un morceau de silex par terre et se tailla un pipeau dans un roseau.
C'est là qu'elle découvrit son don. Elle n'avai jamais pris de cours mais elle jouait. Elle jouait si bien que bientôt tout le village était a ses côtés, l'écoutant et lui donnant quelques piecettes. Elle était heureuse pour la première fois de sa vie, ca lui faisai tout drôle...
Tout en jouant, elle marchait et se dirigea dans la forêt. Dans cette forêt, on disait qu'il s'y cachait un monstre. Un monstre redoutable que personne ne semblait vouloire défier. La jeune fille, inconciament se dirigeai vers cette forêt, elle était elle même bercée par sa propre musique.
Sans le savoir, elle avait croisée le monstre tant redouté, et un chasseur courageux l'avait vu. Lorsque la fille retourna en ville, elle fut acclamée par la foule rassemblée pres de la fontaine de la ville, elle ne compris pas pourquoi, mais le chasseur lui raconta ce qu'il avait vu, et la fille n'y croyait pas, elle se mit a pleurer.
Depuis ce jour, cette fille fut le theme de beaucoup de récits, et de légendes, et a sa mort son pipeau fut exposé dans le musée du village.
Le conteur marqua un bref temps d'arret, salua et se retira de la scene.
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hrp: bon apres le récit de Dodgee, ca vaut pas grand chose, parce que c'est une totale impro ;)
Par Red Death le 19/12/2001 Ă 14:20:49 (#584255)
Les deux combattants soufflaient bruyament sous leur heaume tandis que leur épées s'entrechoquaient lancant une miriades d'étincelles.
Les 2 hommes portaient de nombreuses blessures sanglantes et des commotions encore plus nombreuse mais la rage de leur coups laissait precevoir la haine qu'ils se vouaient.
Puis apres avoir paré et bloqué l'arme de son adversaire, l'un d'eux parveint a porter un coup mortel a son opposant.
Il le regarda tomber au sol un sourire aux levres et les yeux plein de haine.
La lassitute tomba sur ses épaule, le combat avait duré longtemps, il n'aurait su dire combien exactement mais il était errinté.
Afin de voir le visage de son ennemi il se baissa et retira le heaume du mort.
...
Quelques minutes ou quelques heures plus tard, d'autre personnes arrivèrent jusqu'au lieu du combat, là ils trouvèrent, couché sur le sol deux corps morts.
un frisson ...le long du dos
Par Nahomy Feals le 19/12/2001 Ă 14:23:33 (#584275)
Par Booggi Stowh le 19/12/2001 Ă 14:25:49 (#584295)
Par Dodgee le 19/12/2001 Ă 14:35:38 (#584361)
Nul ne sait d'où vient cette croyance, mais le Grand Skraug dans la terre serait celui qui mange les corps des défunts. Peut être est ce du aux humains, qui enterrant leurs morts offriraient ainsi leurs corps au Grand Skraug dans la terre, peut être est ce simplement le fait de voir les corps se décomposer, et finir par être absorbé par cette terre. Toujours est il que c'est ainsi que certaines tribus Skraug appelleraient cet être qui se nourrirait, à leur mort, de tous ces corps, comme ils le font eux aussi. Enfants de la terre, les skraugs jugent donc tout naturel d'y retourner à leur mort, espérant que leur corps trouvera grâce auprès du Grand skraug dans la terre, et qu'il les accueillera comme il se doit...
Par Booggi Stowh le 19/12/2001 Ă 16:17:25 (#585023)
Par Red Death le 19/12/2001 Ă 20:04:50 (#586360)
Pas un Humain, pas un Orque, pas un Gobelin a l'horizon depuis le lever du soleil.
Le majestueux oiseau perché sur une branche observait le contre bas se laissant rafraichir par la douce brise qui lui parcourait les plumes.
L'oiseau avait un plumage dont les nuances s'étalaient du cramoisie au doré. Un bec fin et malgré tout puissant, des serres acérées et une longue queue.
Comme pour le contrarier il sentit dans l'air l'odeur du sang.
Se devait etre un animal, une biche surement, qui avait reussi a s'echapper aux chasseurs humains.
Un sifflement...
Un choc a la tĂŞte.
Un crie, la voix d'un humain criant sa joie.
La douleur, l'obscurité.
-"Karl, ton idée de se recouvrir de sang d'animal a tres bien fonctionnée, il ne nous a pas percut ce coup ci"
-"C'est une ruse de vieux chasseur, afin de dissimuler son odeur, les animaux y sont beaucoup trop sensible."
-"Il est vraiment magnifique.
A nous la récompense !"
C'est dans un rale que se termina sa phrase.
Il s'ecroula au sol, une dague plantée dans le poumon gauche.
-"Tu n'as pas bien compris, c'est Mon oiseau, et donc Ma récompense !" dit Karl en regardant les soubressauts de l'agonisant.
-"Et c'est vrai, il est magnifique ce Phenix." dit il en s'enfoncant dans la forĂŞt.
Par Erlan Turennen le 20/12/2001 Ă 6:53:20 (#588168)
Par Lazagne le 20/12/2001 Ă 6:54:42 (#588171)
Par Alanis Delyn le 20/12/2001 Ă 9:47:34 (#588418)
Par Red Death le 20/12/2001 Ă 10:58:39 (#588618)
Le bal de ce soir, était une fête si attendu, surtout depuis qu’Hélène avait accepter d’être sa cavalière.
Il se revoyait encore la veille demander à Hélène d’être sa cavalière, il avait attendu qu’elle fut seule, dans le village a étendre le linge pour s’approcher d’elle et lui faire sa demande.
La surprise de la jeune femme lui empêcha tout d’abord de répondre, ce qui fut traduit par un refus, puis la langue enfin déliée elle accepta un sourire aux lèvres et les joues rosies.
Ce souvenir lui allégeait le fardeau qu’il portait, un énorme fagot de bois pour préparer l’hiver. Il souriait à tout, aux animaux, aux arbres, il aurait dansé si le poids du bois ne l’avait pas gêné.
C’est dans cet état d’allégresse qu’il entendit les pleures.
Des sanglots tout d’abord faible, puis a mesure qu’il s’approchait, il les entendait plus précisément.
Il se trouvait su le bord d’une petite bute, au flanc de celle ci une petite ouverture laissait échappé les sanglots.
Franz sÂ’approcha doucement, le fagot toujours sur ses Ă©paules.
-« Il y a quelqu’un ? »
Le sanglot se tue puis une faible voix tremblante sÂ’Ă©leva.
-« Aidez moi, je vous en prie aidez moi ! »
Franz ne mis pas longtemps a reconnaître la voix.
-« Hélène ? C’est Franz, ne pleure plus je suis la je vais te sortir de là » dit il en se débarrassant de son fagot.
-« Franz ? Aide moi, je t’en supplie » La voix était emplie de peur, d’angoisse et de fatigue.
-« Mais qui t’as fais ca ? »
Franz commençait à retirer les plus grosses pierres de l’ouverture.
La jeune fille passa sa main dans le trou comme pour rechercher un contact humain que son isolement forcé lui avait ôté.
Franz lui pris la main, qui était d’une pâleur neigeuse, afin de la rassurée. Son contact était glacial.
Le contact devint brûlant, Franz se sentit attiré, aspiré.
L’espace autour de lui se mis à devenir flou la lumière disparu et sa tête émit des bourdonnements comme si elle était emplie par un essaim de guêpe.
Une fois ses yeux habituer au noir, il perçut un filet de lumière sortant d’un mur, il se jeta pour voir à l’extérieur et il sut qu’il se trouvait dans le trou ou Hélène avait été enfermée.
A l’extérieur, il vit un homme, de dos.
-« Hep, Au secours messire ! »
L’homme se retourna et Franz, fut paralysé par sa vision.
C’était lui a l’extérieur.
-« Déjà réveillé ? Lui dit la personne a l’extérieur. Je te remercie de m’avoir libéré. »
LÂ’homme a lÂ’apparence de Franz sÂ’Ă©tira en grognant de plaisir.
-« Libérez moi ! »
-« Je crains que cela ne sois pas possible, répondit l’homme en souriant. Cette prison nécessite la présence d’une personne et cette personne c’est toi. »
-« Mais, non je ne… »
-« Ne t’inquiète pas, ta disparition ne se remarquera pas, je prendrai ta place, interrompit l’homme. Hélène tu disais… Cela fait bien longtemps que je n’ai plus goûté de la chaire humaine. »
LÂ’homme emportant le fagot, sÂ’Ă©loigna en sifflant.
-« A j’oubliais, la prison ne s’ouvre que tous les 10 ans dit il assez fort pour couvrir les rugissements de Franz »
Peu après que l’homme eut disparut, le trou commença lentement a se refermer.
Par Dodgee le 20/12/2001 Ă 11:31:55 (#588780)
On prétend que lorsque l'un d'eux est vaincu, c'est son âme qui se dissout, retournant au néant. Il ne reste plus alors ni corps ni cadavre, et seul un mince filet témoignerait de l'âme qui matérialisait le combattant. Certains aventuriers prétendent même avoir déjà vu choir les robes et armes d'un purificateur, alors que son âme s'échappait...
Par Galadorn le 20/12/2001 Ă 11:42:11 (#588831)
"Cette histoire, je l'ai eu d'un homme qui n'avait plus toute sa tête. Je ne saurais faire la part des affabulations et des délires, et peut être que vous, habitants de cette belle ville de Lighthaven, pourrez m'aider à en déterminer la vérité."
De nombreux hochements de tĂŞtes dans la salle accompagne le discour du conteur.
"L'homme... car je n'ai jamais su son nom, m'a parlé de la reine des Kraanians.
Cela remonte à la dernière invasion, il y a déjà quelques années. Avec un petit groupe d'aventuriers aguerris, il avait profité que les guerriers mille pattes sortent de leurs antres en nombre pour s'introduire dans les tunnels, et dérober l'oeuf de la reine. Selon lui, celui qui controlerait l'oeuf de la reine, controlerait la reine et ainsi deviendrait le Maitre de la ruche.
Ainsi donc, il pénétrèrent dans les profondeurs des cavernes.
C'était un dédale, un enchevêtrement de couloirs en pente, les uns glissant vers les abysses obscures, les autres s'ouvrant sur des salles aux parois suintantes de pus et de liquides gluants.
Malgré le fait que l'armée kraanian se trouvait aux portes de Windhowl, un grand nombre d'ouvriers parcouraient encore la ruche. Les hommes ne possédaient pas de plans, étaient mal préparés. La complexité des lieux étaient telles que dans la semi obscurité de leurs torches fumantes, il leur était impossible de dessiner un plan correcte. Mais toujours, l'homme les poussait plus bas, et peut être partagaient ils tous ce rêve insensé de controler les insectes et de posséder leur richesses.
Car les kraanians seraient riches... Immensément riches. Certains de leurs tunnels seraient parsemés de gemmes et de pierres précieuses, et parfois les veinules des boyaux renverraient un reflet doré. En tout cas, c'est ce que l'homme m'a raconté. La fièvre le faisait il délirer? Tout en me narrant son histoire, il a machait une racine de mandragore. "- Pour atténuer les cris dans ma tête" m'a t'il dit.
"-Quels cris?"
"- Les cris de mes compagnons".
Seul à posséder une pierre de destinée, il l'avait caché aux autres membres de la troupe. Si tout tournait vraiment mal, il savait qu'il pourrait se retrouver à son point de départ, et lever encore une expédition.
Ce n'était pas la première fois qu'il venait. Il ne se souvenait plus des lieux, mais ils lui étaient pourtant familier. "- Combien de fois vous êtes vous aventuré la bas?"
"- Je ne sais plus... Trop de fois." Et ses yeux se sont faits vagues, soit qu'il me disait la vérité et l'ignorait réellement, soit que l'excès de mandragore troublait ce qui lui restait de lucidité.
Et tout avait vraiment mal tourné. "- Ils sont arrivés de partout. Comme s'ils nous attendaient. Comme s'ils savaient." L'homme avait couru, s'était perdu dans le labyrinthes des couloirs. Un à un ses hommes étaient tombés, et ignorant leurs cris à l'aide, il continuait, comme répondant à un appel, comme courant vers sa destinée.
Il était parvenu à elle, était arrivé devant la reine des Kraanians. "- Aussi vrai que je te vois" L'homme a craché par terre un bout de racine, et m'a prit le bras d'une main fièvreuse, gardant l'autre repliée contre lui. "Oui, je l'ai reconnue, et cette putrescence d'insecte m'a regardé dans les yeux. "
La reine kraanian était haute comme deux hommes, avec une abdomen énorme terminé par une sorte de gaine gluante, qui sans relache pulsait aux rythmes d'une sorte de tremblement souterrain. L'homme ne se souvenait ni comment il était parvenu la, ni comment il avait fait pour la voir avec tous ces détails. Car il n'avait plus rien, ni torche, ni arme, ni sac à dos.
La suite est un récit incohérent de visions de cauchemars, de tunnels sans fins, de vrombissement assourdissant, d'obscurs dédales et de créatures aux mille pattes et aux ailes membraneuses.
Il s'était réveillé au temple.
Son récit achevé, il m'a proposé de l'aider à monter un groupe et à l'accompagner dans les grottes, "pour vérifier son histoire". J'ai refusé.
Je ne sais pas si ce qu'il m'a raconté est la vérité. Personne ne connait réellement les kraanians. Sont ils doués de raisons? Sont ils capable de manipuler nos esprits? Nul ne le sait.
"- Ya le fou dans sa grande tour, qui Ă©tudie ces trucs gluants..."
"- ouaips, l'archimage Zhakar."
"- faut lui demander mon pt't gars!"
"- moi j'irais lui poser la question!"
"- chuttt! Laissez le finir son histoire!"
Le conteur tousse un peu avant que le calme ne revienne.
"Quoiqu'il en soit, je l'ai laissé à sa boisson et à la mandragore, après l'avoir remercié de son temps. Et je suis certain d'une seule chose, c'est qu'il serrait contre lui, de son autre main, un objet rond, enveloppé dans du tissu, de la taille d'une grosse choppe comme celle que vous tenez, mon ami. Je crois que pour rien au monde, je n'aurais essayé de la lui arracher."
Le conteur désigne du doigt l'un des buveurs assis en face de lui, et sourit à l'assemblée.
Par Red Death le 20/12/2001 Ă 19:30:00 (#591081)
Les eclaires, s'abattaient sur la region avec une tel intensité que l'on put croire que le ciel voulais la mort de la terre.
C'est dans la salle communale que tous les habitants du village s'étaient retrouvés. La peur peut être, personne ne su vraiment pourquoi ils s'etaient tous rassemblé là . Le Chef du village l'avait proposé d'une voix faible mais tous avaient trouver cela judisceux.
Malgrès des essais pour détendre l'atmosphère les rires étaient nerveux et s'arretaient très vite.
Au plus profond d'eux même ils percevaient une ombre, quelque chose qui les menacait et ce regroupement ne semblait être qu'un moyen de défense.
Soudain, entre 2 éclairs l'on frappa a la porte. Toutes les voix se turent et un silence de mort s'installa, les regards se dirigèrent tous vers la porte. Puis après quelques instants ils se tournèrent vers le chef du village qui n'avait pas bougé lui non plus.
Sentant son devoir s'allourdir sur ces Ă©paule il se dirigea vers la porte.
-"Qui est lĂ ?"
-"Un voyageur, trempé et exténué" répondit une voix attenuer par la porte et le bruit du vent.
Le chef du village, ouvrit doucement la porte, resistant par la même aux rafales de vent qui tentèrent de s'engouffrer dans la salles tels des esprit frappeur pour répendre la peur et la chaos.
A la lumière d'un torche il vit un homme, couvert d'une cape qui n'aurait pas pu être plus mouillé si elle n'avait été plongé dans l'eau.
-"Je suis fatigué, et je demande simplement l'hospitalité."
Sachant ce que cela faisait que se balader sous ce genre de temps le vieille homme le laissa entrer.
La tempète dura longtemps, même après le lever du soleil.
Ce ne fut que la nuit suivante sur des routes gorgées d'eau qu'un jeune bergé rentra dans le village.
Celui ci était désert, comme abondonné.
Le jeune homme frappa a toutes les portes mais ne recut aucune réponse.
Il se dirigea ensuite vers la salle commune et ouvrit la porte.
Il entra et éclaira la pièce prisonnière des ténèbres.
Il se retourna et vomi, la vision qui lui resta gravé dans l'âme comportait des cadavres, du sang, des membres et des vicères, le tout étalé autant sur le sol que sur les murs.
Il essaya de sortir mais ses jambes ne lui répondaient plus.
Son esprit prit de folie oblitera la scene l'enfermant dans un coin reclue de sa memoire, l'empechant de voir ce qu'il voyait lui rendant impossible de comprendre ce qu'il avait sous les yeux.
Mais il savait qu'il devait partir chercher de l'aide, chercher quelqu'un.
C'est a l'embrasure de la porte qu'un son parvint a briser le voile de sa folie, un sanglot.
Dans tout ce qu'il ne comprenait plus il restait la vie.
Il courut vers le bruit, il degagea le corps de la jeune fille la prit dans ses bras et courut.
Il courut le plus vite possible et le plus loin, loin de ce qu'il ne voulait plus jamais voir.
Les pleurs de la jeune filles se turent doucement.
-"J'ai faim" dit elle
Il s'arreta de courir, et posa sur elle ses yeux et il hurla !
Par ecarlate le 20/12/2001 Ă 20:44:09 (#591460)
Par Darksoul Zenox le 21/12/2001 Ă 5:46:49 (#592907)
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