Sueurs froides

Par Tarah de Toril le 18/12/2001 à 22:27:07 (#581619)

*Il ère dans un lieu qui lui est inconnu, le sol de pierre froid et bruyant résonne sous ses pas son esprit vagabonde au fil de ses pensées sans grande cohérence il paraît troublé …. A l’horizon une silhouette se dessine … la tête enfoncée au fond de sa capuche il ne remarque pas l’âme menaçante qui s’est arrêté en l’apercevant, il continue d’avancer de son pas nonchalant …
Deux bottes de cuirs apparaissent à sa vue contrastant avec le fond gris du sol, il s’arrête surpris de voir quelqu’un en ce lieu désolé … il relève la tête et son visage ne cache rien de son étonnement, le regard qui s’offre a ses yeux est celui d’une femme … elle paraît calme et étrangement sereine … il reste là, comme paralysé par ce regard.
Il ne résiste pas lorsque l’inconnu à la peau pale comme un reflet de la lune tends ses bras vers lui et pose ses mains sur ses tempes, il entend des mots résonner dans sa tête alors que les lèvres de l’inconnue restent closes, cela ressemble à une incantation entrecoupée par des morceaux de phrases qui agrandie en lui le sentiment d’inquiétude et de trouble qui l’accablait déjà … *
*Ses mots résonnent dans sa tête : * le moment venu tu devras répondre de tes sentiments et de tes actes devant celui qui t’a fait homme .. devant celui a qui tu dois tout … te crois tu assez fort pour cela … crois tu aveuglement en la pureté de ton âme … est tu sur que celle ci est telle que tu l’imagine … est tu sur que ton coté sombre n’occupe pas plus de place en ton cœur … n’as tu aucun doute sur la réelle couleur de ton essence spirituelle… *Les mots de la jeune femme tourbillonnent et l’entraîne sans qu’il puisse s’extraire de son emprise… *
*Une sensation de chaleur envahit sa tête, il est pris de vertige, sa capuche tombée sur ses épaules laisse les rayons de la lune éclairer de sa pâle lueur ses yeux clos, son visage marqué par le doute qui l’envahit et la tristesse qui l’assaille … *
*Dans un dernier instant de lucidité il ouvre les yeux et des mots s’échappe de sa bouche, dans un cri de désespoir : * Pourquoi ! ! ! Pourquoi m’infliger cette souffrance qui êtes-vous ? qu’ais je fais pour engendrer votre courroux ? *Des larmes perlent à la lisière de ses yeux *
*Alors qu’il a les yeux ouvert il se rend compte que la femme a disparu de son regard pourtant il sent encore la chaleur de ses paumes sur sa tête … il regarde devant lui et distingue un homme en robe noire agenouillé devant un trône majestueux, on distingue a peine la présence d’un sage … la scène provoque en lui un sentiment de malaise qu’il n’avait jamais ressenti auparavant, l’homme est de dos et paraît écouter l’ancien avec intérêt Tarah est trop loin pour entendre les mots prononcés … *
*Un grand trouble le saisi sa vision change brutalement de point de vue il se retrouve maintenant en face du sage a coté de l’homme toujours a genoux en signe de soumission il paraît en proie au doute … le doute le gagne lui aussi lorsque le sage lève une main …. *
*La douleur le couche au sol, un cri s’échappe de sa bouche, un de ses cris qui vous glace le sang, il trouve un échos en la personne qui se trouvait a ses cotés, lui aussi couché par la douleur … les mots résonnent de nouveau dans sa tête : est tu sur de la nature profonde de ton âme … est tu sur ? … son dos le fais souffrir atrocement.*
*Au sol sa rage le fait s’ écrier : * Comment puis je en être sur ! ! ! Qui pourrait l’être ?
*La douleur devient intenable, la rage grandit en lui … * Qui peut l’être sans être prétentieux ! Qui peut prétendre connaître sa nature profonde ? ! ! *sa voix se fait suppliante * Arrêter c’est insupportable ! ! ! Pitié arrêtez *Couché au sol son seul veux est de se relever et une idée lui traverse l’esprit : saisir la cause de ses malheurs a la gorge et tenir sa vie entre ses doigts … sentir le sang qui afflue dans son cou, qui gonfle ses veines, et pouvoir décider d’une pression ferme et sauvage de la vie ou de la mort … *
*D’un geste brusque il se relève et se tient prêt a bondir sur le sage toujours assis sur son trône … son regard se porte sur celui qui gît toujours au sol il semble avoir plus de mal que lui a se remettre de la brûlure qui lui lacère le dos … il se reprend et se porte au chevet de l’homme, des ailes blanches ornent maintenant son dos blanches maculés et or, alors qu’il retourne l’homme pour le soigner, il est pris de stupeur, son visage …. Ce visage il le connaît …. C’est le sien … *
*Il porte alors la main sur le duvet qui lui couvre le dos a présent … son touché est chaud et doux, il saisit une plume et d’un coup sec l’arrache … très doucement il porte la plume à son regard, écrasé dans sa paume il serre cette plume, il sait ce qu’il va y voir, mais ne veux pas y croire, ses doigts crispés se desserrent lentement, ses yeux se ferment il ne veux pas voir l’évidente vérité … *
De quel couleur est elle ? parle dis le moi ! *s’adressant à l’homme reposé dans ses bras *
*L’homme parle difficilement, sa voix est de plus en plus hachée… de plus en plus faible *
Elle est … elle sont …. Noires sang …
*A ses mots ses yeux s’ouvrent sur l’objet de ses craintes *
Ainsi c’est cela que tu voulais me montrer sombre démone ? *Il semble s’adresser à une présence a peine discernable * Cela ne peut être ainsi je ne laisserais pas cela se produire …. *Sa voix perd de son assurance, elle vacille comme ses convictions … *
*Une voix résonne autour de lui * Comment veux tu qu’il en soit autrement ? je n’ais fais que te montrer ce que tu voulais …
NON ! ! ! laisses moi je ne te permet pas … sors de ma tête, sors de moi *Sa voix la supplie maintenant * Laisse moi …. Relâche moi … *Il ne peut retenir de chaudes larmes *
*Une voix arrive à ses oreilles … une voix douce et pleine d’amour * Mon cœur ….
*Il reconnaît la voix elle le ramène … la vision s’estompe maintenant …. Elle s’écarte loin … loin … *
*Il revient a lui, les yeux emplis de larmes … il distingue son cœur agenouillée en face de lui les deux mains posées de part et d’autre de son cou, son regard est inquiet … *
*Les draps froissés autour de lui et l’apparente chaleur, il reprend pied dans le monde réel *
Mon ange …. *Il se serre contre elle la tristesse n’a pas disparut avec le rêve *
*Il soupir … * Un rêve … tout cela n’était qu’un songe …
Je t’aime ….
* Il se love contre son corps doux comme du coton, et fini par poser sa tête contre son cœur et s’endort au son merveilleux de celui-ci*

Par Melisande nuage le 18/12/2001 à 23:22:34 (#581945)

*regarde son amour se sentant impuissante,envahie par un sentiment étrange...*

*carresse lentement sa nuque ,laisse sa main descendre le long de son dos et ressent une telle chaleur qu'elle ne peux l'y laisser....
elle ne comprend pas ce ki se passe et commence a avoir trés peur...mais tente de rester calme,essayant de le rassurer en lui chuchotant a l'oreille..*

Je t'aime mon ange et reste là prés de toi...

*dépose de doux baiser le long de son cou et s'apperçoit qu'il s'est endormi, le laisse glisser lentement pour l'allonger et se blottie contre lui*

Mon amour...je serai toujours là...

Par Nyckolaï le 18/12/2001 à 23:51:42 (#582168)

*sent son ami gagne par un immense trouble, un immense choc cerebral me gagne et me frappe au plus profond de mon coeur*

*se concentre hardmment, cherche la source de ce mail*

*use l lien telepathiqe l'unissant a son ami pour luitransmettre force d'ame et e corps, courage et volonte*

*lui murmure faisant resonner dans sa tete* JE suis la trah mon ami, quoiqu'il t'arrive je serais la pour t'aider....

*ne peut s'endormir sereinement sentant ses sens troubles*

*passe la nuit a prier et mediter pour le repos de son ami*

Par Elea le 22/12/2001 à 10:18:18 (#597332)

*regarde la scéne de loin..sa douce fille dans les bras de se beau jeune homme et pense qu'elle a enfin trouver l'amour...ne peux s'empecher de sourire et de s'inquieter aussi pour leur avenir...ressentant l'émanation démoniaque qui rode autour d'eux*
Aimez vous mes enfants ... l'amour vous donnera la force de combattre...

Par Draky-Nuage le 22/12/2001 à 13:24:24 (#597772)

*apparait doucement dans l esprit de son filleul *
ne t inquiete pas mon petit je suis la et n oublie pas que je suis ton ange gardiens maintenant je vais veillez sur ton sommeil cet ombre demoniaque devra me passer sur mon ames et je l attend de pied de ferme. allez dort du sommeil du juste je suis la *embrasse doucement son filleul sur le front * Dort du sommeil du juste