Mauvaise rencontre.

Par Gorgam le 10/12/2001 à 13:20:12 (#524009)

Installer à l'arrière d'une charrue pleine de foin, je somnolais sereinement. Le paisible roulement des roues en bois sur le sol caillouteux, le si régulier tagada trotteur du cheval, et la voix du fermier qui parlais presque en rythme à son animal, le tout formais comme une légère chanson qui me berçais.

Arriver en ville, je pris le temps de manger un peut. Il faisait bien beau aujourd'hui, le temps me semblait parfait pour ne pas m'arrêté plus que cela. Le temps d'acheter un cheval et je repris ma route. Ce vieux cheval, appeler Drama, semble avoir bonne mine malgré son age. Certes il n'est surment pas bon coureur mais la vitesse m'importe peut. Son déhanchement parait un peut fébrile, mais bien assez fort pour nous supporter moi et ma cuirasse.

La foret offrait une ambiance peur rassurante, l’obscurité de plus en plus épaisse n’était pas la pour aidé non plus. Mais que pouvait-il réellement m’arriver ? J’ai combattu des démons plus grand et plus fort que moi, j’ai vaincu des monstres d’une force colossale, j’ai terrasser des ordres entières de gobelins, j’ai dominé des hommes presque invincibles… Je me rassurais en repensent à mes vieilles aventures dans les quel j’ai triomphé. Il m’est aussi souvent arrivé d’est battu, mes voilà des souvenir au quel il ne vaut mieux pas penser pour le moment.

Au loin se dressais une silhouette poser contre un arbre, en me reprochent peu a peu, la forme d’un homme se dessinait doucement. Ses habits de couleur verdâtre le voulaient homme des bois a n’en point douté. Il tenait dans ses mains un grand battons qu’il peaufinait avec un canif de mauvaise facture.

- Bonjour jeune guerrier, que me vaut votre passage en des bois si peut sur ?

Sa voix me paraissait un peut trop sincérit pour me vouloir rassurer.

- Bonjour, je ne fais que passer, cet foret se veux sur mon chemin ? Je ne conte pas y resté trop longuement.

D'un pas, il se mis devant mon cheval.

- Fort bien mon brave, savez vous que cet foret est protéger pas un grand nombre d'hommes qui se veulent protecteur et gardiens de celle-ci ?
- Non.

Je sentais le mauvais coup venir

- Et bien sachez aussi que pour cette protection, ces hommes on besoin de manger, de boire et de se vêtir.

Je l'écoutais tout en me méfient.

- Donc, si vous désirez bénéficier de cette protection, qui somme toute est bien légitime en des lieux si peut rassurent, Il en vous coûtera un droit de passage, qui pour vous ne devraient pas être de trop, ou de moins devrait-je dire.
- Sache mon jeune ami, que je n'est aucunement besoin de protection, cet foret me paraît pas plus dangereuse qu'une jeune vierge apeuré par le jour de ses noces.
- Vous a t-ont dit que ce droit de passage est obligatoire ?

Je n'avais pas envies de me battre par un si beau jour, de ma bourse je sortais et lui envoyais cinq pièces d'or bien lustré

- Oh non mon bon monsieur, cinq pièces, c'est bien trop peut pour quelqu'un de votre rang, Je vous serais grée de bien vouloir en sortire un peut plus pour alléger votre aumônière.
- Et de combien cela serrait assez pour me léser passer ?
- Je dirais que vous délesté de quarante pièces d'or ne devrais pas être de trop.
- Quarante pièces d'or de plus ou au nombre ?
- Ne chipotez pas sur le nombre, vous étés bien assez riche pour m'en donner quarante de plus.
- Je ne crois pas qu'il soit possible que je vois en donne autant, en voilà cinq de plus et satisfassez vous en. Estimez-vous aussi heureux que je ne passe pas de force, pour cette arrogance que votre sourire si imperturbables me laisse percevoir.
- Vous ne devriez pas prendre mes mots a la légère, cela pourrait vous en coûter la vie.
- Ma vie dites-vous ? Et la votre a combien l'estimez-vous ?

D'un coup de siffler, il rameuta un nombre d'hommes que je ne pouvais compter.

- Et la, allez vous me les payer ces 45 pièces d'or ?
- Et bien, vous n'y allez pas par quatre chemins, je crois que je n'est plus le choix.

Ne cherchent pas la bagarre, je lui offrais ma bourse qui comportaient une soixantaine de pièces d'or.

- Vous étés bien généreux, voilà des pièces qui seront utilisez de bien belle façon, mais malheureusement pour vous, mes amis aussi désir être payer, et si je compte, avec vos soixante pièces d'or, j'en donne à peine de deux a chacun un de nous.
- Que vous faut-il de plus ?

Ne lui laissent pas le temps de parler, je donnais un coup a mon cheval pour qu’il parte au gallot. Son vieille age ne me donnait pas assez de distance pour être a l’abri. Je les entendais se remuez dans mon dos, le cheval fatiguait déjà. Une première voler de flèches se fis entendre. L’une d’elle me toucha à l’épaule mais mon armure ne la laissa pas passer. La deuxième voler de flèche atteignis mon cheval, toucher à l’arrière et s’écroula de suite.

Je pris appuis sur le sol pour me relever au plus vite, le temps de me mettre debout et déjà le premier coup de lance sur mon bouclier qui me glissa des mains. J’attraperai le premier d’entre eux qui se proposa à moi. Leur gabarit bien moins grand que le mien, me permis de le lancer sur ses compères. D’une roulade, j’eu juste eu le temps d’attraper ma hache. Prêt a tout pour me défendre, ma hache trucida deux d’entre eux d’une seul voler. Je pris sur le dos un énorme coup qui me fit tout lâcher, ma hache au sol, il ne me restait plus que ma lame. Les coups d’épée de cessaient pas, leur lances se brisaient sur mon armure les une après les autres.

Un coup d’épée bien placé dans les articulation de mon armure et je me roulais au sol de douleur. J’étais toucher au genou. Je ne pouvais pas me relever sans souffrire le martyre. Un ruer de coup sur moi me sonnais de plus en plus. Je ne pouvais plus rien faire. Je me protégeais tant bien que mal avec mes mains et mes bras. Tout recroqueviller sur moi-même, je ne savais plus quoi faire. Je me roulais, je ne pourrais vous dire si je me roulais de douleur ou pour essayer de m’échapper. Les coups continuaient de m’atteindre.

Mon heure était venue.

Quelques secondes plus tard ; qui me paraissaient des heures entières, les hommes cesser de m’assaillire peut à peut. La douleur me rappelait que je n’étais pas encore mort. Avec un courage et une force miraculeuse, je me relevais en titubent lentement. Je sentais encore des lances m’atteindre. Il me voulait pour mort. Mes yeux étaient immerger par le sang. Je ne voyais plus rien. Dans une teinte de lumière, je pensais à un long couloir qui me mèneraient directement au val hala. Marcher serais un bien grand mot, alors je titubais. Zigzaguant dans l’inconnu, je les entendais crier, hurler…. Il n’en avait pas encore fini avec moi. Les coups se remit à me terrasser une foie de plus. Je retombais, de pas bien haut, mais ma chute paraissait sans fin.

Le sang entrai dans ma bouche, mon nez ne me permettait plus de respiré, je commençais à manquer d’air. Me respiration quasi inexistante, m’étouffais sans relâche. Dans un dernier espoir de m’en sortire, je me relevais et d’un bond, je m’écartais d’eux. Malheureusement, le moment mal choisi, je pris comme terrain d’atterrissage, une pente plus raide qu’un flan de montagne. Je commençais à rouler… plus rien de m’arrêtais, dans ma chute, j’ai rencontré des arbres et des roché, et surment bien d’autre chose encore que je ne pourrais me rappeler, Me chute paraissais sans fin… Je fini celle-ci dans un fossé, mes blessures, me couvrais de douleur, je ne pouvais plu sentire mon corps, mais je sentais encore des lames incessantes me pénétré. Je perdit connaissance, et pour ce qui est de la suite, je ne sais pas encore.

*clap clap*

Par lana le 10/12/2001 à 13:52:51 (#524211)

:lit:

Par Nevaeh le 10/12/2001 à 16:35:36 (#524788)

*attrappe le post*allez plus haut m'chant !:ange:

Par Crazy le 10/12/2001 à 17:25:10 (#524971)

:lit:
(Mais... heu... ça serait bien avec qq fautes de grammaire en mois... :p)

Crazy,
Paladine par vocation,
Râleuse par principe.

Par Zaeron le 10/12/2001 à 17:41:00 (#525051)

Misère! Les grosbills se mettent au rp.... ;)

heûp

Par MortifeR le 10/12/2001 à 23:17:53 (#526587)

Hihi, des posts Rp avec Gorgam écrit à coté...
C'est d'un exotisme je trouve :D
N'empeche, *paf* quand meme ;)

Par Ethel Tvar le 22/12/2001 à 17:10:30 (#598437)

Ethel se promene tranquilement dans la foret et apperçoit un groupe louche de personnes ... des maladrins sans aucun doute a en juger par la mine patibulaire qu'ils exprimaient.Ethel chercha a tous prix a s'en ecarter et dut donc prendre un chemin qu'il ne connaissait pas .Etait ce son imagination ou entendait il vraiment des gemissements provenant de quelque part dans les environs?Cette fois ,la curiosité le prit et il se dirigea vers la provenance du bruit

ohé?Il y a quelqu'un?

il se rapprocha de l'endroit et s'apperçut qu'il se trouvait pres d'une fosse et un homme souffrant semblait bien mal en point

Artherk !!! Vous allez bien messire?

Il sentait que la personne en face de lui etait tres faible du a ses nombreuses blessures.Il tenta de le soulever mais il etait lourd.Il dut forcer ,forcer et forcer encore .Il parvint au prix de grand effort a le sortir de la fosse ,non sans se couper a maints endroits.Avec ses dernieres forces ,il fit appel aux pouvoirs de son dieu afin qu'il vienne en aide a l'infortuné et commença a soigner ses blessures...

Par Pilou le 22/12/2001 à 20:01:58 (#598995)

tres bien Gorgam mais juste une remaque quand tu fais un post Rp essaies au moins de corriger certaines fautes d'accords

Par Karynn le 22/12/2001 à 20:05:34 (#599010)

Arrettez de le critiquer, scrogneugneu !!!!!!!!

Bravo Gorgam !

*se rendort pres de larbre a reboots*

Par Pilou le 22/12/2001 à 20:11:25 (#599043)

c pas vraiment une critique c'est un constat n'empeche que g apprecié