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Portail -3-
Par Gdalf2001 le 5/11/2001 à 17:01:00 (#434413)
Mon peuple (volet 1)
Infection -2- (ben volet 2 ;))
Javais donc, dans le but douvrir mon portail, préparer les éléments relatifs à lélaboration du rituel. Leur collecte, ou devrais-je dire leur création, navait pas été difficile car javais subit une formation de mage très complet (contrairement a celle de mes aînées qui ne connaissait que la magie de leau). Il fallait pour ce rituel complexe une combinaison de plusieurs magies, ou de substitue recréant ce que cette magie aurait fait.
La terre, pour toujours se souvenir doù lon vient. Une poignée de sable de mon île était donc lélément parfait.
Lair, car cest lui qui nous guidera par ses courants a notre destination. Mon souffle devait donc faire laffaire.
Le feu, car de la chaleur est une énergie. Une pile de bois que jenflammerais devait donc être le substitue idéal.
Leau, leau dans sa forme la plus pur. Cest sans doute lingrédient le plus difficile a avoir, mais à force dentraînement, ma puissance dans ce domaine me permettait den fabriquer suffisamment.
Des deux derniers ingrédients, je ne parlerais pas, de peur quil tombe entre de mauvaises mains, mais je peux dire qua lépoque ils étaient courant et quaujourdhui ils sont devenus plus que rare
Mon premier réflexe fut alors de dessine au sol le pentacle destine à me protéger des « retour » néfaste de lemploi dune trop grande quantité de magie. Une fois cela fait, jentama le chant rituel, de ma voix parfois enfantine et parfois si grave. A laide de complexe mouvement et mélange, jobtint en main un cercle minuscule, tout juste suffisant pour y place un doigt Jétais si decu, si énerve contre moi-même et les autres, que jen venais à pleurer de rage, de frustration, mais surtout de peine. Ou donc avais-je failli ? Quel avait été mon erreur ? Je ne comprenais pas et me mit à pleurer sur mon sort, et sur celui des miens qui refusaient obstinément une aide extérieur.
Je ne suis explique ce qui déclencha le phénomène, peut être ma magie nétait elle pas assez puissant a lépoque pour que ça se réagisse de suite, mais le résultat ne se fit pas tarder. Ce si petit cercle se mit a voleter, de droite a gauche, comme un papillon a la recherche dune fleur, et stoppa ses mouvements juste en face de moi. Telle une bouche béante, caverne sans fin, souvrait sous mes yeux le portail qui me paraissait être la seule voie possible. Un pas et nous pourrions tous être sauver, un pas et nous pourrions tous trouver la solution a notre problème
Comme on me lavait enseigne, je me concentrais sur mon envie profonde. Celle des explorateurs avait été de visiter des contrées nouvelles, la mienne était de trouver une aide pour notre survie. Cest ainsi que jatterris au milieu dun cercle druidique, en pleine discussion.
Mon arrivée eue un grand effet sur les quelques druides que jy trouvais alors, et avoir en arrière plan ce portail effrayant au premier abord narrangeait pas les choses.
Une main sur le cur, jentamais les présentations ainsi que la raison de ma présence. Au moment ou ils entendirent le mot maladie, chacun deux frappa dans les mains en prononçant 2 mots simples, dont je narrive pas a me souvenir à cause de la rapidité de laction. Le cercle ou nous nous trouvions était alors complètement fermer par magie.
Leur réponse a mes espérances ne se fit pas attendre, et je me rendis compte de la noblesse de leur geste, et de la bonté de leurs âmes. Comme sils navaient tous fait quun, ils répondirent en cur : « Vous souffrez, cela suffit, montre nous le chemin et nous vous soulagerons »/
Peut être se croyais til eux même condamne, contamine comme mon peuple, ou peut être était-ce cela leurs raisons de vivre, aide leurs prochains, mais ils nhésitaient à aucun instant a franchir le portail qui leur faisait si peur la minute avant. Juste avant de faire leurs premiers pas, il claquèrent une nouvelle fois dans leurs mains et je vis le cercle quils avaient forme plus tôt se referme petit a petit, comme pour effacer toutes les traces de mon passage.
Nous atterrîmes alors en plein milieu de mon village a demi dévaste, sentant la mort comme jamais, et je pus sentir lhorreur et la profonde peine qui régnait en leurs curs uniquement en regardant leurs visages Baumes, cataplasmes, onguents rien ny fit, aucun traitement aussi magique soit-il quils connaissaient ne semblait agir. Et moi jétais la, toujours présent, toujours avec mon air sain, comme un pied de nez a la guigne, comme un défi a la mort, mais je mourrais en même temps que mon peuple, de lintérieur
[ 29 novembre 2001: Message édité par : Louptoutseul ]
Par Gdalf2001 le 5/11/2001 à 17:08:00 (#434414)
J'ai enfin trouver la maniere de ne pas avance mon recit, de parler de chose et d'autre pour ne rien dire, faudra peut etre que je fasse une carriere d'ecrivant moa :maboule: .
(non je prends pas la grosse teteuuhhhh, c des l'humour la... koi? ben j'ai jamais dit que j'etais drole non plus :sanglote: )
Par Popoche le 5/11/2001 à 17:35:00 (#434415)
d'ailleurs ça prouve que tu n'as plus l'intention de t'arrêter comme ça au milieu, et ça, c'est vraiment très bien :D (frustrer son public est un manque de respect profondément sadique ;) )
merci et bonne continuation
Par Gdalf2001 le 5/11/2001 à 17:42:00 (#434416)
Mais je ne parlais pas d'arreter mon rp... je parlais d'arreter tout court... me suis mal exprimee dsl ,mais bon la ca va mieux :) Merci a Helio qui sans le savoir ma remonter le moral et a Melina d'avoir pu se passer de son cher et tendre pendant un certain tps :) Voila!!!! *repire, a fini*
Par louveargentee le 5/11/2001 à 17:54:00 (#434417)
trop tard falait po commencer
Par mikael21 le 5/11/2001 à 18:56:00 (#434418)
Par Huraken le 5/11/2001 à 19:03:00 (#434419)
alors kan en plus c des amis issu d'apocalypse ki ecrivent ca me donne d'avantage envie d'en connaitre la suite =)
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