Un sombre cachet

Par Pandora Baetarn le 13/11/2001 à 10:33:00 (#397499)

Pandora marche de long en large dans ce temple sombre aux plafond trop hauts... Elle est trop préoccupée pour prier. Tout est en place, il ne manque presque plus rien... Presque... Les talons de ses bottes résonnent rageusement sur les dalles... Elle s'agace, a un mouvement de colère puis s'immobilise, semble réfléchir, calculer...
Le doux bruit d'un vent violent accompagne la neige qui tombe a gros flocons... Elle lève un sourcil. Un homme s'engouffre soudainement. Il referme la lourde porte derrière lui, avec difficulté. Il se secoue, ôte la poussière blanche de ses épaules, et se dirige vers la nephilime. Elle se redresse, un large sourire macabre illumine son visage d'ange. Il s'incline respectueusement, lui tend une lettre, cachetée d'une cire noire. Elle le lui arrache des mains, et lui faire signe de disposer, altière. Après sêtre assise sur un des bancs, elle passe ses doigts sur le sceau, rêveuse... Elle range le parchemin contre son cur et murmure avant de sortir du lieu sacré, d'un pas félin... "Bientôt..." Un rire perlé résonne dans la bâtisse

Par Cassie le 13/11/2001 à 12:04:00 (#397500)

La tour de Zhakar. Cassie se dirige vers le grand sorcier.
"Encore vous ? Vous avez les ingredients ?"
"Oui, j'ai tout."
"Et... l'or ?"
Cassie lui tend une somme conséquente.
"tres bien, tres bien *lui tends un parchemin* maintenant filez j'ai beaucoup de travail !"
Cassie s'eloigne du sorcier et se place à l'écart dans la tour. Elle lit la marche a suivre du parchemin et commence le rituel.
*transe*
des ailes noires... Un temple obscur... Un sourcil qui se leve... des sourires... L'octogone du chaos... Un chiffre s'inscrivant en lettres de feu...
Cassie stoppe sa transe en hurlant.
"Non ! Pas si tot !

Par Reine des damnés le 14/11/2001 à 11:54:00 (#397501)

EHLP

Par Janus Valefor le 14/11/2001 à 17:30:00 (#397502)

Dans le temple d'Ogrimar, Janus prie son dieu de toute sa force et son fanatisme, imperturbable ni par les quelques discutions obscures s'hazardants dans le temple, ni par les complaintes de dsespoir s'emanants des lymbes pourtant si perceptibles entre les murs d'un temple dédié au dieu de la terreur.
Ce n'est qu'au bout de longues heures de priére complétement statique, qu'un ténébreux frissont emplit son corps, remontant sa moele épinière jusqu'au sommet de son crâne, le plongeant dans une osmose appaisante, lui faisant oublier, l'espace d'un instant l'intense douleur de ses mutilations qu'il endure en permanence...
A cet instant il senti que sa cause était devenue plus forte, et que cette force grandirait encore, jours après jours, nuits après nuits...