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Diverses prières en nos coeurs
Par DJBaby le 30/10/2001 Ã 11:05:00 (#359492)
Seigneur Dieu de qui descend toute noblesse et toute chevalerie, apprenez-nous a servir noblement. Que notre fait ne soit point parade ni littérature, mais loyal ministère et sacrifice coûteux.
Tenez nos âmes hautes, tout prêt de Vous, dans le dédain des marchandages, des calculs et des dévouements à bon marché, car nous voulons gagner notre Paradis, non pas en commerçants, mais à la pointe de notre épée, laquelle se termine en croix et ce n'est pas pour rien.
Nous avons faits de beaux rêves pour votre amour. Dans l'obscurité des journées banales, préparez-nous aux grandes choses par la fidélité aux petites, et enseignez-nous que la plus fière épopée est de conquérir notre âme et de devenir des saints.
Nous n'avons pas visés moins haut, Seigneur, et nous sommes biens ambitieux, mais heureusement nous sommes faibles, et cette grâce nous l'espérons de votre miséricorde, nous conservera humbles.
Demandez-nous beaucoup et aidez-nous a Vous donner davantage. Et puisque nous nous sommes livrés à Vous, ne Vous gênez pas pour nous prendre au mot et pour nous sacrifier, nous Vous le demandons malgré le tremblement de notre chair, car nous voulons n'avoir qu'une crainte, celle de ne pas Vous aimer assez.
Et quand au soir de notre dernière bataille, votre voix de Chef sonnera le ralliement de vos Chevaliers, faites Seigneur, c'est notre suprême prière, faites que notre mort serve à quelque chose et accordez-nous la grâce de mourir debout.
(Ce texte n'est pas de moi mais c'est un texte assez connu des Rolistes ADD, a vous de le transformer à votre image)
[ 30 octobre 2001: Message édité par : DJBaby ]
Par DJBaby le 30/10/2001 Ã 11:22:00 (#359493)
O seigneur, chef et ordonnateur de nos terres qui par votre noblesse nous apporte la joie au moment ou nous touchons notre couche. Que jamais votre monde ne plis sous le joute des démons de la nuit, car par vous la bonté de votre âme nous fera avancer sur le chemin.
Portez notre cur à son paroxysme afin que nos âmes, et le dévouement que nous Vous portons, ne casse jamais face à ladversité des querelles de ces envieux. Qua jamais notre foi en vos desseins ne soit vaines sous le périple des armes de nos ennemis et que notre amour soit votre arme dans ce monde de vilénies.
Nous sommes vos sujets et vos jouets car notre respect pour votre force est la lumière du matin qui nous berce chaque jour, préparez-nous aux grandes voies que chaque jour vous portez sur vos épaules si fragiles, et libérez-nous de ces envieux qui, chaque jour, ne demande que votre chute.
Nous ne sommes pas grand chose et pourtant si grand est notre foi en vos routes car jamais nul combat ne brisera cette haine que nous avons contre eux. Vous avez cette force que nul enfant nous apporte car jamais, o combien, nous plierons façe à Feyd.
Demandez-nous la terre et nous vous offrirons les fleurs, demandez-nous notre vie et nous vous offrirons nos âmes car nous savons chaque jour que pour une pièce dor que nous donnons, un jour deux pièces dor vous nous donnerez. Nayez-crainte pour nos enfants, chaque jour, chaque nuit, il ne rêve que de vous et ne pleure que par peur de vous aimez pas assez.
Et si un jour, le royaume devait choir, que cela soit vite dit, vous resterez notre ami même si nos bras saignerons de ces lames dassassins qui ne veulent que votre perte. Et si nous devons mourir, sachez juste que trois mots sortirons de nos bouches au dernier souffle et cela nous le disons par ces mots : Vive le Roy.
(La c'est de moi )
Par DJBaby le 30/10/2001 Ã 11:32:00 (#359494)
Le vent souffle la lande et résonne le son de combats,
De ces jeunes guerriers sur la terre d'Arakas.
Ils sont fiers, téméraire et pourtant si fragiles.
Ils sont forts, insolent quelques fois tant si droit,
Si envieux de ces sages de leurs ailes flamboyantes.
Ils combattent, sans répits, aux limites de la mort,
S'approchant d'un grand but qu'ils ne cernent pourtant point.
Les grands se pavanent au détour de chaque temple,
Si fier de leurs dorures, des tuniques reluisantes
Qu'ils oublient qu'en tout homme, l'envi est un vice.
Quelques fois, au détour d'un chemin, un merci se rencontre,
Un soupçon d'amitié peu solide se forge en un lieu
Des grands les approche, ils se sentent comme sauvé.
De ces jeunes guerriers ne ressort que la fougue,
De n'être plus que rien, d'être plus que les autres,
Et nous, nous sommes la, nos bonheurs, nos malheurs
Que personne ne devine et faisons notre tache,
Nécessaire, futile et pourtant si fragile.
Rédempteurs, êtes vous la ?
J'entends à cette heure des âmes crier,
Des vies, des espoirs et des corps s'écrouler,
Des êtres sans raisons qui se battent par affront,
Allons, tombez point, notre voie s'agrandit,
Nos enfants seront fiers des actes que l'on fait.
Dressons-nous, aidons les en sachant qu'au départ,
Vous aussi, fier guerrier vous étiez plein d'espoirs !
(Vieux texte que j'avais ecris à l'Ordre de Dalaï que je modifie pour que cela soit général)
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