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essai a la posie : les yeux de femmes
Par gilnir le 16/10/2001 à 13:57:00 (#352233)
ca c'est un fait bien connu
mais j'ai de mes yeux vue
les autres forment apparues
on les vois comme des etoiles au firmament
ou comme de purs et brillants diamant
certain m'ont parler de perles de toutes beautés
qu'ils voulaient dans un bel ecrin conserver
mais ils ont bien d'autres utilisations
je vais essayer d'en faire une description
ils peuvent illuminés les sombres destins
comme deux phares dans le lointain
plein de flammes attisé pas la colere
ils lance vers leurs ennemis des eclairs
Mais elle se servent surtout
du clignement qui nous rend fou
c'est pour cela que nous les aimons
et que j'ai composer cette chanson
[ 16 octobre 2001: Message édité par : Gilnir Tvar GR ]
Par aqua le 16/10/2001 à 14:03:00 (#352234)
Par Mélie le 16/10/2001 à 14:03:00 (#352235)
Messir ... Merci a vous ...
Par Ethel Eauclaire le 16/10/2001 à 14:05:00 (#352236)
Par Shammana Delyn le 16/10/2001 à 14:07:00 (#352237)
Puisque vous parlez si admirablement des yeux des femmes, permettez moi de citer ce poème.
Larmes d'enfants
Naguère, au temps des églantines,
J'avais des peines enfantines.
Mon coeur se gonflait sans raison
Sous les lilas en floraison.
A respirer les chauds calices
Je goûtais d'amères délices.
Sous les étoiles, pâle et coi,
Je pleurais sans savoir pourquoi.
Et maintenant je pleure encore,
Les long des soirs comme à l'aurore;
En hiver, sous le blanc grésil,
Sur les roses pendant l'avril,
Mes larmes tombent à toute heure:
Mais je sais bien pourquoi je pleure!
(Catulle Mendès)
[ 16 octobre 2001: Message édité par : Shammana ]
Par Mélie le 16/10/2001 à 14:25:00 (#352238)
Comme une chaleur qui envahit mon jeune corps, je sens mon etre tout a coup en emoi.
Encore trop tot pour gouter a ce plaisir certain me direz-vous ?
Et alors, moi meme je m'en delecte pleinement et je l'avoue !
Pourquoi ne pas s'oublier un instant devant ce spectacle magnifique ?
Qu'aurais je fait pour ne pas avoir le droit de vivre un instant fantastique ?
Petite ame qui est en moi, dis moi ce que tu penses ?
Es-tu outrée ou meme genée de ce manque d'innocence ?
Cette escapade de mes yeux qui se tournent vers son regard...
Ce refus de serieux avec qui, parfois, je m'egars...
Peut etre suis je trop jeune pour penser ainsi ...
Mais alors quand pourrais-je vraiment voir la vie ?
Avec ces choses si belles que Gilnir nous à fait découvrir... les yeux d'une femme ?
Par Dodgee le 16/10/2001 à 15:02:00 (#352239)
Cette vie douloureuse, et son lot de souffrances,
Qui toujours nous apprennent, à pleurer des soupirs,
Et parfois malgré tout, nous arrache ce sourire.
Ce ne sont que des yeux, qui contemplent notre vie,
Comme des mirroirs sans teints, qui refletent l'esprit,
Mais qui laissent, malgré tout, s'écouler ces rivières
Ne laissant derrière elles, que ce triste gout amer.
Et on cherche le regard, on voudrait reconnaitre,
Dans cet instant fugace, une innocence de l'âme,
Comme si le mirroir, les laissait transparaitre,
Ces pensées si fragiles, sans fard devant le drame.
Et on se perd enfin, à contempler le fond,
Quand on se noie dedans, oubliant toute raison.
Par GGX le 16/10/2001 à 23:32:00 (#352240)
Erlan n'ajoutera rien car il n'est pas poète. Il est plutot pouette. Mais cette tare honteuse ne l'empèche pas d'apprécier :)
Par Mélie le 17/10/2001 à 12:02:00 (#352241)
Va, remonte un peu petite feuille ! Tu seras encore plus belle la haut ...
Par corian zelor le 17/10/2001 à 12:07:00 (#352242)
je savais pas que les gardes ecivaient des poemes !!
Ils font ca entre 2 amendes distribuées a de vils necros ? :p :p
Rp
Gilnir ...ta plume est tres fine .. et les femmes en seront charmées j'en suis sur ..
Longue vie au poete que tu es..
Par DJBaby le 17/10/2001 à 12:48:00 (#352243)
Venez donc me voir, jolie douce et charmante
Laissez moi vous conter, le récit de mon cur
Dun beau jour, ou de pensées fort lentes
Je croisais en chemin, une femme tant galante
Dun instant, mes pensées se mêlèrent
Dans une danse de plaisirs non avoués
Que de mon âme en sorti une guerre !
Que jamais je pouvais ne gagner !
Les jours continuèrent dans un torrent de beautés
Son odeur me portait au gré de milles vents
Que jamais je navoua à cette douce petite fée
Que mon cur restait à jamais dans le sang
Voyez donc ma jeune dame
En ce récit que je donne
Quun regard telle une lame
Peut détruire chaque homme
(hrp)
Bravo Gilnir :) *fier de lui*
Par gilnir le 17/10/2001 à 18:37:00 (#352244)
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