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Là où se perdent les ombres.....
Par aerandis le 28/11/2001 Ã 23:10:00 (#302487)
*sort sa belle harpe*
Voici pour ceux que sa interesse, un petit chant.
*commence à jouer*
Je grave ces quelques vers,
Sur vos coeurs de pierre.
Je grave ces quelques mots,
Qui résonnent dans mon tombeau.
Je grave: SOLITAIRE,
Depuis les coins les plus sombres;
Il porte le goût amer
De n'être rien qu'une ombre.
Je grave: BOHEME,
Dans un petit poème,
Ecrit sous le ciel,
Ecrit sans soleil.
Je grave: HAINE
En dessous de la peine,
A côté du serpent,
A côté du dément.
Je grave: BEAUTE,
Pour cette voleuse de liberté,
Avec le désespoir,
Qu'elle m'offrit un soir.
J'ai gravé mon histoire,
Et il n'y a plus de place
Pour l'Amour et l'Espoir
Dans un coeur si las.
Voila, un petit cru de mon coeur pour inauguré le post, mais surement pas le dernier.
Par aerandis le 28/11/2001 Ã 23:19:00 (#302488)
Le petit rossignol
Sur l'arbre de l'amour,
Il chantait gaiement,
La nuit et le jour:
Il berçait les amants.
Le petit rossignol
Dont la vie s'étiole,
A perdu sa liberté,
Et ne veut plus chanter.
Il a perdu son arbre;
A été capturé,
Est devenu de marbre,
Dans cette cage dorée.
Petit rossignol, va anvole toi,
Petit rossignol chante encore une fois,
Chante moi l'amour, chante moi la gaieté,
Même si le vent les a emportés.
Mais la tristesse a éteint la voix,
De ce petit être loin de chez soi,
Dans la plus belle cage que l'on puisse rêver,
Ce meurt cet être condamné.
Au passage, si quelqu'un veut nous chanter quelque chose, il y a de la place pour autant de bardes que d'étoiles dans le ciel ici où se perdent les ombres (même pour les bardes heureux) :rolleyes:
Par Meduse le 29/11/2001 Ã 0:46:00 (#302489)
Aerandis vos auditeurs laissent couler leurs larmes en vous ecoutant offrez leur donc un peu de joie et d'espoir, même rarement
Par Ear le 29/11/2001 Ã 7:48:00 (#302490)
Puissiez vous Messire Aërandis retrouvrer votre peuple par delà les océans et les voiles de ce monde là où brille la Lumière Eternelle.
Je prierai Syl pour qu'elle apaise votre âme.
Par Axl Slash le 29/11/2001 Ã 8:25:00 (#302491)
Se délecte de la mélancolie des chants elfiques.
Par aerandis le 29/11/2001 Ã 20:20:00 (#302492)
Je vais vous chanter,
L'amour dans mes poèmes.
Voici pour celle que j'aime,
Cette douce Muse
Qu'on appelle Méduse.
Par aerandis le 29/11/2001 Ã 20:26:00 (#302493)
Mon amour, c'est de toi
Que vient cette mélodie,
Mon amour, c'est ta voix
Qui mène ma vie.
Jouant de l'amour
Comme d'un instrument mélodieux,
Cette symphonie de toujours
Charmerai même les dieux.
Un instrument magique
Fait des cordes de mon coeur,
Caressé par des mains magnifiques,
Qui balaient mes peurs.
S'il te plaît emmène moi
Au pays de tes rêves,
A l'endroit où s'élèvent
Les serments de foi.
Je trouverai les clefs
Qui m'ouvriront ton âme,
Pour pouvoir en fin aller
Au temple avec ma dame.
La grande vérité
Sera mon témoin,
Toute l'éternité,
De toi je prendrai soin.
Par aerandis le 29/11/2001 Ã 20:34:00 (#302494)
Le soleil, son visage,
Illumine ma vie,
Et fait des ravages
Dans mon esprit.
Deux étoiles dans ses yeux,
Un regard chaleureux,
Me sortirent d'un monde ténébreux,
Et me propulsèrent jusqu'aux cieux.
Un corps tout de grâce et de beauté,
Une voix pareille au chant du vent,
Que jamais n'égalera mon instrument,
M'ont volé ma douce liberté.
Et je me perds en soupirs,
En la voyant sourir,
Je me met à écrire
Ce que jamais je n'oserai lui dire.
Dans ces quelques poèmes,
Je lui cris combien je l'aime.
Entendra t elle un jour,
Le chant de mon amour.
Par Meduse le 29/11/2001 Ã 20:41:00 (#302495)
Par aerandis le 30/11/2001 Ã 19:46:00 (#302496)
Ecoutez moi encore une fois,
Car mon coeur s'est empli de joie,
En entendant les paroles de ma dame,
Qui comblèrent mon coeur et mon âme.
Cet amour que j'ai tant joué,
Cet amour au sourire enjoué,
S'est incarné dans cette déesse
Qui m'emplit de bonheur et de tristesse.
Mais aujourd'hui en entendant ses dires,
Aujourd'hui en la voyant sourir,
J'ai chassé de mon coeur les soupirs,
Prenant en main mon devenir.
Et je peindrai en mille poèmes,
Le tableau de cette femme que j'aime.
Je chanterai en mille vers,
La plus belle femme de la terre.
Cette femme à l'incomparable beauté,
A l'esprit irradiant de bonté,
Plus brillant que le soleil d'été,
A su prendre ma liberté.
Alors écoutez moi encore,
Ecoutez celui que l'on prend pour un fou,
Car je jure devant vous,
De l'aimez jusqu'Ã la mort.
Pour la douce dame qui brille dans mes rêves:
Méduse
Par aerandis le 30/11/2001 Ã 22:52:00 (#302497)
Pour la dame que j'aime.
Quelques notes de musique
Sous les étoiles,
Une harpe magique
Qui fait glisser les voiles.
Le doux murmure de la mer
Qui carrèsse la grève,
Que j'accompagne d'un air
Qui se perd dans mes rêves.
Mon ami le vent
Souffle dans sa flûte,
Une mélodie glissant;
Comme mes doigts sur le luth.
Et enfin dans les bois
En un choeur, mille voix;
Loups et volatiles
Reprennent ces vers versatiles.
Et l'espace d'un accord,
Guettant son balcon,
J'espère voir encore,
Ce visage si mignon.
Accompagnée de mes doigts lestes
Et de cet orchestre céleste,
Je te joue cette ode de toujours
Qu'est le chant de mon amour.
Par aerandis le 30/11/2001 Ã 23:35:00 (#302498)
Par Meduse le 30/11/2001 Ã 23:47:00 (#302499)
A saisi sa plume
Et, transperçant la brume
Epaisse de ses tourments
Sous la voûte étoilée,
Dans le vent glacé
A lancé son chant
Chant d'amour et d'espoir
Afin que nul ce soir
Ne connaisse le tourment.
Merci Aerandis
Par Flar le 1/12/2001 Ã 9:22:00 (#302500)
Par aerandis le 1/12/2001 Ã 13:23:00 (#302501)
En écoutant ma dame,
Ses paroles pareilles aux étoiles
Illuminent mon âme.
Merci beaucoup Méduse *très touché*, c un bien jolie poème que tu as écrit, et c la première fois que qqu écrit un poème pour moi *ému*.
Je ne sais pas trop quoi dire tant ces vers m'ont touchés. Je peut seulement te dire combien ils sont doux à mon oreille.
Merci beaucoup...
A cette princesse,
A cette déesse,
Qui emplit mon coeur
D'amour et de chaleur.
Par aerandis le 1/12/2001 Ã 13:27:00 (#302502)
Car ces mots plus que tout,
De toi me rendent fou.
Fou d'amour, fou de joie,
Fou d'amour, fou de toi.
Par Meduse le 1/12/2001 Ã 13:45:00 (#302503)
D'ailleurs on sent le manque de professionnalisme, déjà en quelques lignes on trouve une épouvantable répétition.
Mais qui sait, peut-être y prendra-t-elle goût
A bientôt barde aux mille talents.
Par aerandis le 1/12/2001 Ã 13:56:00 (#302504)
Telle une fleur au milieu du désert,
Un peu de joie au fin fond de l'enfer,
Elle apporta l'amour dans ma vie
Et y fit naître bien des envies.
Une île au milieu de la mer,
Dans les ténèbres, elle est lumière,
Mais trouverai je ici le répit ?
Quand l'aimée est un délit.
Oui, j'aime une tendre déesse,
Et cela m'emplit de tristesse:
Car face à elle rayonnant de beauté,
Je n'ai pas grand chose à lui apporter.
J'ai pour seul talent de chanter,
L'amour, la tristesse et la liberté,
Serais je à jamais sous cette malédiction ?
Ou reste t il un espoir à ma passion ?
PS: je ne vois dans tes vers aucune "épouvantable répétition", seulement quelques lignes, qui sont plus que dignes, de la plus belle garde d'Althéa.
Par Aërandis le 4/12/2001 à 19:31:28 (#503057)
Alors pour la première fois sur ce forum:
EHLP
Par Aërandis le 6/12/2001 à 19:49:22 (#506620)
Assis sous un chêne,
Remontent mes souvenirs,
Ces visions qui m'enchaînent
Et me font souffrir.
Je me souviens de ce voyage,
Ce périple, cette quête,
Après ce magnifique mirage
Qui a fait ma conquête.
Cette femme que j'avais tant rêvée,
Cette femme qui me fut enlevé,
Dont je poursuis le destin;
Mais mon histoire touche à sa fin.
J'ai escaladé les montagnes,
Affronté les tempêtes,
Traversé des jungles de lianes,
Mais nul n'accéda à ma requête.
Ni, dans leurs retraite, les sages,
Ni, dans leurs tours, les mages.
Aucun n'a contenté mon âme
En me révélant ma douce dame.
J'ai traversé l'Hadès
Y cherchant ma déesse,
Mais même le sombre seigneur
N'a pu apaiser mon coeur.
Allongé dans l'herbe vermeille,
Je vois mes yeux, mon regard
Se perd dans les brûmes et s'égard,
Cherchant en vain cette merveille.
Refoulant mes pleurs
Tout au fond de moi,
J'entends encore en mon coeur,
Le doux son de sa voix.
Mon coeur saignait déjà abondamment,
Mais cela était beaucoup moins sanglant.
Là où l'empennage dépasse encore,
Je porte la marque d'une triste mort.
Et je m'en vais vers les cieux,
Je m'en vais rejoindre les dieux,
Sache que près de toi ou dans le ciel,
Toujours je veillerai ton sommeil.
En espérant que bien plus tard,
A nouveau je croiserai ton regard.
Je t'attendrai toute l'éternité,
Je t'attendrai ma bien aimée.
Par Aërandis le 6/12/2001 à 20:24:55 (#506803)
Solitaire:
Une forme triste et sombre
Se glissant dans les ombres.
Pour le peuple, une sensation éphémère.
Désespoir:
Un abîme de tristesse
Dont le destin m'oppresse,
Un gouffre oppressant et noir.
Amour:
Un instant de joie fugace,
Emporté par un rapace,
Perdu pour toujours.
Haine:
Une sensation née de la peine,
Nourrie par la colère,
Et engendrant la guerre.
Quatre mots pour une vie,
Quatre idées, un esprit,
Une âme damnée,
A errer condamnée.
La douce dame de mes rêves
Par Aërandis le 7/12/2001 à 17:42:35 (#510647)
En un lieu si scré, ce petit brasier,
Qui en incendit ardent s'est embrasé.
Qui es tu pour avoir osé dérober,
Un objet si précieux qui me tient prisonnier,
Des filets de l'amour que tu as lancés.
Qui es tu pour avoir osé t'accaparer,
Mon esprit de si faible volonté,
Et parce fait d'envahir mes pensée.
Qui es tu belle inconnue ?
Toi qui me pousse à écrire,
Ce que jamais je n'oserai te dire.
Voila, pour la forme c pas terrible, mais c un poème que g écrit il y a longtemps et que je voulais vous faire partagé.
Mon amour
Par Aërandis le 7/12/2001 à 17:49:41 (#510705)
Pour qualifier mon amour,
Et aucun livre, aucun roman,
Ne pourra le faire apparaître au grand jour.
La femme que j'aime est une déesse incarnée,
Son corps et son âme sont d'une immense beauté,
Façonnée des mains du divin forgeron,
Zeus pourrait être son père et Aphrodite son nom.
Mais Cupidon de son trait
M'a mortellement frappé,
De sa flèche de feu, il embrasa mon coeur,
Et sa flèche de glace, y inséra la peur.
Saurais je jamais faire fondre ce glacier ?
Et des chaînes de la peur enfin me libérer,
Pour laisser mon coeur tendrement lui parler,
Pour enfin à l'amour, tout abandonner.
les lettres de puissance
Par Aërandis le 8/12/2001 à 19:33:36 (#515904)
A détruire une vie,
Quelques lettres, ainsi prononcées,
Annoncèrent mon décès.
Par de doux moments, enhardi,
Je rejoignait ma douce amie,
Pour enfin lui déclaré,
La flamme qui mon coeur consummait.
Mais ce coeur ne l'interressait point,
Ce qui me causa un si grand chagrin,
Que je perdis tout envie,
Que je laissais glisser la vie.
Mais ce fut sans compter cette cruelle dame,
Qui non satisfaite d'avoir lacéré mon âme,
Ne voulait me voir mourir,
Sachant que ses yeux tristes je ne pourrai souffrir.
Ne pouvant me résigner à la voir pleurer,
Sur terre je suis resté,
Aujourd'hui je suis indécis
Quand au devenir de ma vie.
Le temps passe, le temps passe,
Mais moi je ne trépasse.
Dois-je vers d'autres fleurs me tourner ?
Sachant que je ne pourrai l'oublier.
Par Aërandis le 8/12/2001 à 19:42:49 (#515942)
Aidez moi à retrouver la foi
Que j'ai perdu en ce jour,
Où je l'ai perdue pour toujours.
Quand mon sang n'a fait qu'un tour,
Même s'il n'en avait le droit,
Quand j'ai vu l'objet de mon amour
Dans ces bras... Enfin je crois.
Même si ce n'est ma femme,
Je ne pus retenir mes larmes
En voyant ces lèvres
Qui occupent mes rêves.
Pourtant, maintes fois j'ai parcouru la terre,
Maintes fois j'ai trvaersé l'enfer;
Mais mes forces me quittent,
En même temps que l'espoir qui m'habite.
Même pour ma vie, pour ma vengeance,
Et après tous ces siècles d'errance,
Les dieux m'ont abandonné,
N'accédant à aucun de mes rêves secrets.
Je quitte ce monde, je meurt d'amour,
Je quitte ce monde pour toujours,
Sans avoir été aimé,
Sans n'avoir pu me venger.
Expliquez moi avant que je meur,
Expliquez moi pourquoi la vie
A fait de moi son ennemi;
Avant que je parte pour un monde... meilleur ?
Par Aërandis le 9/12/2001 à 15:42:42 (#519162)
Vainqueur de ce duel,
Il plante son drapeau sombre,
Etendant les ombres,
Sur cette terre qu'il prend sous tutelle.
Faisant rouler son adversaire
Qui gît face contre terre,
De son regard il embrasse la pleine
Sous des nuages chargés de peine.
Dans une armure immaculée,
Agonise ce vaillant chevalier,
Amour était son nom;
Il fut vaincu par le démon.
Détruit par ce sinistre vainqueur,
Ce mercenaire en armure noir,
Son pire ennemi, qui devint son seigneur,
Le guerrier de la nuit: Désespoir.
Lançant ses infâmes armées,
Il prend possession de cette contrée,
Qui n'est rien d'autre que mon âme,
Lacéré par cette cruelle dame.
PS: au passage je remercie ceux qui m'ont mis mes étoiles
EHLP
Par Aërandis le 9/12/2001 à 18:11:32 (#520037)
EHLP
Par Azelwyn le 9/12/2001 Ã 19:11:50 (#520416)
Bravo...continue :)
Pour un ami en peine
Par Aërandis le 11/12/2001 à 23:19:40 (#532506)
Toi qui dévoila ton coeur et ton âme,
Qui pénétra en terre ennemi,
Pour les beaux yeux d'une dame.
Voici quelques vers pour toi mon ami,
Dont l'amour provoqua le mépris,
Des plus ignorant dans leur cocon de bonheur,
Qui ne pouvait comprendre tes peurs.
Voici quelques vers pour toi mon ami,
Pour essayer d'apaiser ton esprit,
Pour te sortir de ce gouffre noir
Pour que tu ne connaisse le désespoir.
Voici quelques vers pour toi mon ami,
Pour que tu ne perdent goût à la vie,
Pour que tu puisse à nouveau goûté,
L'amour, la joie, et leur douce beauté.
Mon ami, je t'offre ces quelques vers,
Ces quelques rêves éphémères,
Lève doucement les yeux vers le ciel,
Ce matin, brille un merveilleux soleil.
J'espère mon ami, que tu ne commettras pas l'erreur,
De t'enfoncer dans la nuit, et que tu affronteras tes peurs. Encore une fois, ces belles dames,
Ce sont jouées de nos âmes.
Regarde un peu autour de toi,
Où fleurissent milles fleurs dans la joie.
Puisse l'une d'entre elle te rendre le sourir,
Et souffler à jamais tes soupirs.
Par Meduse_Sk le 12/12/2001 Ã 20:05:43 (#538632)
Aerandis , mon ami
Poète et barde assermenté
Saurez vous m'expliquer
Car vos mots je ne saisis
Quelle belle dame
S'est jouée de votre âme ?
Laquelle d'entre ces fleurs
A ri de vos pleurs ?
Laquelle d'entre elles
S'est jouée de votre coeur
A entaché votre honneur
De son rire de crécelle ?
Elle est cruelle dites-vous
Je vous crois assurément
Dites moi donc maintenant
Qui et quand a ri de vous ?
Vous êtes en effet mon ami
Et je ne saurais accepter
Qu'une dame , même bien née
Vous traite avec mépris.
Que dire, que faire
Par Aërandis le 12/12/2001 à 20:12:46 (#538696)
PS: Encore une fois vos paroles me réconforte et m'attriste, j'espère que vous prendrez quand même le temps, un soir, de me conter cette histoire, qui vous a fait prêter ce serment qui m'afflige tant.
Par Azelwyn le 12/12/2001 Ã 20:35:02 (#538863)
Bon...sinon, ton poème m'a comment dire... je ne suis pas fort pour ça, tu le sais bien...j'ai adoré... et sauvegardé.:lit: :cool:
Par Aërandis le 12/12/2001 à 21:50:50 (#539422)
Et moi toujours dans les ombres,
Où mon coeur succombe,
Aux coups répétés,
De ma bien aimée.
Je l'aime, voila ma seule erreur,
Mais je ne souhaite que son bonheur.
Un bonheur dont j'ai perdu le chemin,
Un bonheur qui n'est pas mon destin.
Que faire, que devenir,
Car je l'aime à en mourir.
Encore une fois mon coeur saigne,
Mais cette fois-ci.... point de haine.
Par Azelwyn le 13/12/2001 Ã 0:21:56 (#540485)
Surplombant nombreux vallons
Deux âmes en contemplation
A genou devant un nourisson
Leurs paroles sont à l’unissons
Elles ont reçu l’illumination
Belle Poésie, nous t’aimons
Toi, qui fut une révélation
Pour accepter la révolution
Accoucher de nos chansons
Les stèles de la perception
Furent touchées par tes rejetons
Pourquoi la contre-façon
Pourquoi ces désillusions
Pourquoi brûler des maisons
Avec le feu de la passion
Nous haïssons cette soumission
Belle enfant sort nous de prisons
Pitié, apporte nous la solution
Ö Poésie, fille que nous aimons
Par Aërandis le 13/12/2001 à 22:20:19 (#546139)
Emergeant doucement des ombres,
J'entends des vers bien sombres,
Qui donne un sens à ce que fut ma vie,
Qui seront à jamais dans mon esprit.
J'entends cette douce dame,
Elle aussi a connu les flammes,
Le feu brûlant de désespoir,
La peine ce gouffre si noir.
Et sous la lumières de ces dires,
Je me résous à souffrir,
Car il semble que ce ne soit mon destin,
D'éclairait avec amour ton chemin.
Pourtant, j'aurais fait n'importe quoi,
Pour me faire aimer de toi.
Mais vaine serai ma quête,
Car je ne ferais ta conquête.
Longue sera surement l'éternité,
Mais de mon vivant je te protégerai,
Ne pouvant point t'aimer,
C'est tout ce que je pourrai t'apporter.
*se retire dans les ombres, encore une fois, sa vie se retrouve au milieu d'un océan confus de sentiments.*
Enfin de retour
Par Aërandis le 16/12/2001 à 19:51:23 (#567337)
Aveuglé par tant de beauté,
Je ne vois plus de la terre,
Que ce visage irradiant la bonté.
Je ne suis pas vraiment dans le noir,
Puisque son doux visage m'éclaire,
Mais je suis dans l'impossibilité de voir,
Autre chose que cette vision éphémère.
Elle est apparu de vant moi,
Emportant mon peu de foi,
Faisant de moi son domestique,
Par je ne sais quel charme mystique.
J'ai tout donné à cette belle dame,
Tout mon amour, toute mon âme,
Mais ce ne fut pas assé pour une déesse
Qui m'abandonna dans la détresse.
Et depuis, cette créature des cieux,
Qui est repartie avec mes yeux,
A pris possession de mon coeur,
Pour me laisser dans les ténèbres et la peur.
Liée par un antique serment,
Elle ne veut de moi pour amant,
C'est là le triste et misérable destin
D'un elfe, sur le mauvais chemin.
Emouvant !
Par Ihria PHILOS le 16/12/2001 Ã 20:00:50 (#567386)
merci
Par Aërandis le 16/12/2001 à 20:38:55 (#567611)
L'Exil
Par Aërandis le 17/12/2001 à 18:56:02 (#574750)
Parti, exilé loin de mon pays,
J'ai laissé derrière moi mes amis,
Pour me retrouver en terre ennemis.
Envolé, les doux rêves d'antan,
Perdus dans l'abyme du temps,
A jamais oubliés, tous ces serments.
Et me voila, contemplant ce triste paysage,
Contemplant cette terre qui n'est point mienne,
Errant au gré d'un vent chargé de peine,
Poursuivant sans espoir, chimères et mirages.
J'ai encore au fond de mon coeur,
Le souvenir de ces belles fleurs,
Mais maintenant, comme leurs sourirs,
Tous se perd au fond de mes soupirs.
Car un bien sombre et sinistre jour,
A été prononcé, le jugement de mon amour,
Qui fut bannis de ces terres pour toujours.
Et voila ! Refroidi ma tendre ardeur,
Devenu hors-la-loi sur les terres du bonheur,
Il ne reste plus rien à ce beau parleur.
Placé sous la terrible étoile Mélancolie,
Le barde chante fort, la vile Nostalgie,
Mémoires égarées, et souvenirs du pays.
Suivi par un destin si cruel,
Erre à nouveau, le ménestrel.
Pourquoi me renvoyer ? J'aurai tout fait pour elle.
Par Aërandis le 18/12/2001 à 21:27:52 (#581253)
Pourtant les ténèbres me les voile.
L'été a pour lui le grand soleil,
Pourtant bien vide me semble le ciel.
Le printemps voit éclore les fleurs,
Pourtant je ne vois plus mon bonheur.
Et c'est la où se perdent les ombres,
Dans les recoins les plus sombres,
Que l'on retrouve le pauvre ménestrel,
Mais entravé par ces terribles chaînes,
Que sont l'amour, la colère et la peine,
Périt sous les coups d'un destin cruel.
Abandonné au beau milieu du désert,
Sans étoiles pour le guidé, sans rien,
Sans eau pour s'abrever, sans autres biens,
Il avance sans reculé, indéfiniment, il erre.
Pauvre note, perdue sans musique,
Victime de cette dame au charme magique.
Ne vivant même plus au gré du vent,
S'affranchissant des portes du temps,
Le destin semble se refermer enfin,
Notre barde voit pour une fois la fin,
De cette vie sous le signe de la misère,
Mais son errance ne finira pas sur terre
Par Aërandis le 18/12/2001 à 21:40:45 (#581349)
J'ai tout perdu, sombré dans un gouffre noir,
Mort, abattu est malheureusement mon amour,
C'était la première fois, elle le restera pour toujours.
Pour toujours je suis à toi, pour toujours mon coeur,
Un seul mot de toi, aurait pu faire mon bonheur.
Mais voila, tu n'a point voulu de moi,
Tu n'avais que faire de mon immense foi,
Je t'avais adoré, tu étais ma déesse,
Tu étais mon soleil, ma seule lumière,
Mais je ne dois pas être aimé sur terre,
Car je me retrouvis enveloppé de tristesse.
Projeté au fin fond de l'enfer,
Projeté par ce souvenir amer,
Je souffre mille morts,
Pour avoir eu le tort,
D'aimer cette belle femme,
Qui ne sera ma dame.
Par Meduse_Sk le 18/12/2001 Ã 23:58:49 (#582218)
Elfe, je ne puis vous donner la joie
De poser cette dame entre vos bras
Je ne puis vous livrer son coeur
Pour vous offrir enfin le bonheur.
Elle n'est même pas femme, un passé oublié
Venu du fond des temps lacère sa mémoire
Empêchant son coeur de respirer
La liant dans de sombres nasses noires.
Un passé qui ne lui appartient guère
Mais dont elle semble dépositaire
Quelle femme au sombre et tragique destin
L'emprisonne dans des remords sans fin
Son regard se pose, vide , sur les hommes
Son sourire joyeux cache un puits sans fond
Elle passe, légère, presque insouciante, tout comme
Si de ce pas dansant elle rejoignait un amant
Parfois près d'elle un oiseau se pose
Lui chantant mille odes douces au coeur
Lui disant tu es ma fleur, ma rose
Et je veux pour toujours faire ton bonheur
Elle le regarde , le prend sur son epaule
Lui demande de faire route avec elle
De chanter sans fin, de tenir le role
De l'ami qu'elle veut , d'être son hirondelle
Parcourir tout pres d'elle ces routes de printemps
Parcourir les vallées et les plus hauts sommets
Parcourir les plaines et le fond des oceans
Elle espère qu'il voudra de son amitié.
Que faire ?
Par Aërandis le 30/12/2001 à 16:22:33 (#633301)
"entends les paroles de Méduse et redeviens triste"
Où est l'espoir quand s'amoncellent les nuages ?
Où est la lumière quand ceux-ci voilent le ciel ?
Où va la vie quand se cache le brillant soleil ?
Où trouver un abri quand dans la plaine se déchaîne l'orage ?
Continuer la lutte est-ce folie ou courage ?
Quand vous vous avancez au milieu de vos ennemis,
Fier, le frond haut, défiant ces oiseaux de passage,
Qui cherchent à se poser et dans l'ombre battir leur nid.
Continuer à ce battre face à toute une armée ?
Continuer à se battre pour protéger l'être aimé,
Pour protéger cette vie, qui m'est bien plus chère,
Que mon insignifiante présence, ici, sur cette terre.
Continuer ! Pourquoi tant de témérité ?
Est ce là le sinistre lot de votre éternité ?
Pourquoi ne pas s'asseoir auprès d'elle et chanter,
Sa grâce, son visage, son incommensurable beauté.
Mais je ne souhaiterai rien au monde de meilleur !
Ces quelques instants, feraient mon bonheur,
Mais cela ne suffit pas, pour gagner son coeur,
Seul le combat ! Saura lui prouver ma valeur.
Alors oui ! Même quand touut aura disparut !
Même si des quatres coins d'Althéa surgissent les harus !
Oui, Ã jamais je continuerai la lutte,
Même si pour cela je dois faire taire ma flûtte.
Par Aërandis le 30/12/2001 à 16:28:50 (#633329)
Votre histoire n'est pour moi qu'un chant perdu dans le temps, c'est de la Méduse d'aujourd'hui que je suis tomber amour, quelque soit son passé, ses erreurs, rien de cela ne détournera d'elle mon coeur.
Mais si vous ne répondez point de mon amour, laissez moi au moins vous aimer, faites de moi votre bouclier, même si pour cela je devais me sacrifier.
Rêves
Par Aërandis le 30/12/2001 à 19:32:51 (#634345)
Je vole, je traverse le ciel,
Le vent carressant doucement mon visage,
Je nage dans un bonheur sans pareil,
Une flèche euphorique transperçant les nuages.
Et d'en haut, je contemple la terre,
D'ici, on ne voit ni pays ni frontières,
Dans les cieux, on ne connaît pas la guerre,
Et je plane, je plane jusqu'Ã la mer,
Porté tantôt par le Zéphir, tantôt par l'Alizé,
C'est dans les rêves que les voeux sont réalisés.
Enveloppé par le vent, enveloppé par la liberté,
Je vis ici, la concrétisation de l'éternité.
Ensuite mes pensées glissent vers d'autres visions,
Un autre paradis, né de ma seule imagination,
Je me retrouve en d'autres temps, en d'autres lieux,
Mais toujours dans une vie bénie des dieux.
Je joue de la harpe, assis sur la plage,
Je joue de la harpe, contemplant ton visage,
Espérant le voir se fendre en un radieux sourir,
Car rien au monde ne me ferait plus plaisir.
Assis côte à côte, à l'abri des dunes,
Sous le ciel étoilé, où brille une pleine Lune,
Je fais courir ma musique, pour cette belle dame,
J'égraine quelques notes, pour apaiser son coeur,
Espérant un jour y faire fleurir le bonheur.
Ne jouant plus qu'avec mon coeur, mon âme,
Sur son visage, je vois enfin fleurir,
Mon bonheur; son merveilleux sourir.
Puis se rêve s'estompe et se perds,
Dans des ténèbres bien trop amers,
Pour laisser filtrer dans le noir,
La plus petite lueur d'espoir.
Pour elle
Par Aërandis le 31/12/2001 à 12:55:52 (#639206)
Que sont ses deux yeux,
Je contemple cette femme fatale
Qui ferait palir les dieux.
Une nuit, j'ai croisé son regard,
Croisé, sa silouhette baignant dans le noir,
Emerveillé par tant de grâce et de beauté,
Je restais ébahi. A jamais cette image
Restera gravée. Et même l'eau du Léthée
Ne pourrai me faire oublier son visage.
Deux saphirs étoilés, sous des cheveux d'ébènes,
Formant une cascade bleuté couronnée de tresses,
Sur le port altier d'une magnifique reine.
Tout d'abord, je crus contemplé une déesse,
En voyant se baigner cette femme,
Cette belle voleuse qui déroba mon âme.
Je ne pense pas qu'elle ait pu apercevoir,
Dans les ombres, le pauvre ménestrel,
Qui n'arrivait point à se détourner de la belle,
Dont la galbe parfaite s'inscrivit dans ma mémoire.
Et encore une fois, je croise cette dame,
Mais je reste là , timide et impuissant,
J'ai bien trop peur que ma faible flamme
Soit soufflée, dans une claque, un ouragan.
Rien qu'une brise
Par Aërandis le 31/12/2001 à 16:18:09 (#640466)
Faisant vaciller la flamme de celui qui vit dans l'éther,
Faisant naître sur sa harpe cette mélodie éphémère.
Dans les plaines, souffle un vent de bataille,
Le grondement des épées sur les cottes de maille,
Un cri sinistre pour chaque chevalier qui défaille.
Dans le ciel, souffle un vent de tourment,
Où s'insinue le sinistre persiflage du serpent,
Où résonne en écho le râle du guerrier mourrant.
Dans les ténèbres, souffle un vent de peur,
Glaçant les âmes, et glaçant les coeurs,
Même le plus vaillant guerrier est empli de terreur.
Dans les couloirs du temps, souffle le vent de la fin,
Nouveau départ, ou cul-de-sac, la croisé des chemins,
Mais personne ne sait qui sera la victime du destin.
Et dans mon coeur, souffle le vent de l'amour,
Je te lui ai donné, donné pour toujours,
A toi, qui, mon âme, captura sans détour.
Par Meduse_Sk le 31/12/2001 Ã 16:34:42 (#640572)
En tous cas ses dernieres oeuvres sont au moins aussi belles que celles d'avant.
Merci barde :)
Et non
Par Aërandis le 31/12/2001 à 16:37:30 (#640589)
(par contre j'arrive toujours pas à faire marcher la 1.23:sanglote: )
Souvenir
Par Aërandis le 1/1/2002 à 14:30:32 (#644274)
Qui fleurissent tendrement sur ta peau,
Je retiens et je grave à jamais dans mon coeur,
Le souvenir de ces instants de bonheur.
Je grave dans tout mon corps,
La douceur de tes caresses.
Je garderai jusqu'Ã la mort,
Le souvenir de cette déesse.
J'imprime dans mes oreilles,
Cette mélodie, cette merveille,
Le tendre et doux son de ta voix
Qui fait vibrer mon coeur d'émoi.
Je calque au fond de mon regard,
Le souvenir de ces grands yeux noirs,
Aux centre desquelles brillent deux étoiles,
Deux éclats de diamant au coeur de l'opale.
Je garde le goût, la saveur,
De tes doux baisers.
J'hume une dernière fois cette odeur,
Ce tendre parfum de rose sucrée.
Gravés au plus profond de mes sens,
Ce que certains appellent: souvenirs sans importance,
Voici tout ce qu'il me reste aujourd'hui,
De cette sublime mais trop courte nuit.
Par Aërandis le 3/1/2002 à 1:47:30 (#653652)
Mignonne allons voir si la rose
Qui ce matin avait éclose,
Sa robe de pourpre au soleil,
N'a point perdue cette vesprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au votre pareil.
Voyez comme en si peu d'espace,
Mignonne, elle a dessus la place,
Las, las, de voir ses beautés laissée choir
Au vraiment marâtre nature,
Puisque qu'une telle fleur ne dure
Que du matin jusques au soir.
Donc si vous me croyez mignonne
Tendis que votre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté,
Cueillez Cueillez votre jeunesse
Comme à cette fleur la vieillesse
Fera ternir votre Beauté.
Et c'est un poème de Pierre de Ronsard (enfin à peu près)
PS: C écrit de mémoire, alors soyez indulgents svp, ce n'est pas tout à fait le texte original, a cela on doit pouvoir ajouter que la ponctuation n'est pas fidèle.
Par Aërandis le 3/1/2002 à 14:04:51 (#655559)
EHLP
Par Aërandis le 3/1/2002 à 17:49:16 (#656541)
Voila le petit poème
Par Aërandis le 3/1/2002 à 17:50:30 (#656543)
A nouveau errant là où se perdent les ombres,
Notre pauvre barde a la mine bien sombre,
Car cela fait un mois jour pour jour,
Qu'il n'a point revu le visage de son amour.
Il le sait, il n'aura point de repos,
Tant qu'il n'aura revu ce bel oiseau,
Cette colombe d'un blanc immaculé,
Cette beauté issue des temps reculés.
Encore une fois, il repart en voyage,
Il explore les îles, traverse les mers,
Alors que dans son corps, un liquide amer
Obscurcit son coeur et lui fait perdre courage.
Encore une fois, le balladin est sur les routes,
Encore une fois, il est assaillit par les doutes,
Même s'il sait, tout au fond de son âme,
Que la vie n'a point quittée cette belle dame.
Bien qu'il ait connu des temps bien plus durs,
Participer à de sanglantes batailles sans armure,
Aujourd'hui, le désespoir a atteint son apogée,
Car s'il n'est plus là , qui le sera pour la protéger ?
Il ne lui reste plus qu'Ã se tourner vers les anciens dieux:
Je vous le demande, à vous qui régnaient sur les cieux,
Faites un miracle, s'il le faut prenez donc ma vie,
Mais je vous conjure de protéger celle de ma douce mie.
Par Meduse_Sk le 3/1/2002 Ã 20:31:37 (#657195)
Elle reviendra, j'en suis certaine.
Errance
Par Aërandis le 4/1/2002 à 13:09:55 (#659942)
Que le barde erre dans la brume,
Impuissant, car son seul regard
Ne saurait transpercer le brouillars.
A ses pieds, un ami trépasse,
Devant lui, une lumière passe,
Incapable de poursuivre cette dame,
Il continue son chemin dans les ténèbres de l'âme.
Le temps n'a aucune prise sur lui,
Pas plus qu'en ont ses ennemis,
Toujours errant, Ã jamais solitaire,
Depuis des millénaires il parcourt la terre.
Les époques changent, les peuples disparaissent,
La haine, est enfanter par la trsistesse.
A cela, ajoutons encore la détresse
D'un amour aveugle pour une déesse.
Et le ménestrel poursuit inlassablement son chemin,
Quand la brume le mène parmis les humains,
Là , arrêter par les bonnes grâces de ce seigneur,
Il peut enfin goûter les fruits du bonheur.
Par Meduse_Sk le 4/1/2002 Ã 14:42:28 (#660575)
Entre donc dans cette taverne, et assieds toi avec nous. Conte nous ta longue route dont nous connaissons déja quelques aventures devant un verre d'hydromel ( mais un seul hein ;) ).
La brume du petit matin est vite dissipée par la chaleur du soleil de Silversky.
Par Aërandis le 5/1/2002 à 12:55:34 (#665818)
Provient du message de Meduse_Sk
Conte nous ta longue route dont nous connaissons déjà quelques aventures devant un verre d'hydromel ( mais un seul hein ;) ).
Après un s'étonne qu'il y ait des gens qui croient de vilaines choses à mon sujet.La brume du petit matin est vite dissipée par la chaleur du soleil de Silversky.
Ce n'est pas ce soleil qui perça mes brumes, mais la lumière émannant d'une bien belle dame, mais bien que son éclat soit pareil à celui du soleil, on ne risque pas d'en détourner les yeux.
Pour toi Axl
Par Aërandis le 5/1/2002 à 13:06:19 (#665871)
Pour toi qui disparut en terre ennemi,
Voici quelques rimes, quelques vers,
Ainsi ton nom restera à jamais sur terre.
A toi, le plus grand parmis les bardes et conteurs,
Toi, qui dans tes mots faisait naître le bonheur,
Toi qui fut toujours là pour me soutenir dans le malheur,
Toi qui savait touché les hommes au fond de leur coeur.
Ecoute donc les rimes d'un pauvre idiot,
Qui ne sut comprendre ces tristes mots,
Qui ne comprit point ce triste message,
Qui ne fut pas là pour ton dernier voyage.
Encore une fois, les amis sont frappés par le temps,
Et moi je reste, seul errant sur ce triste chemin,
N'ayant plus tes poèmes pour réjouir mon destin,
Mon ami, je ne sais où tu es, mais j'espère que tu m'entends.
J'espère que tu appréciera le jet de ton ami elfique,
Pour son ami qui le soutenue dans les heures tragiques,
Toi le merveilleux barde aux feuilles démoniaques,
Puissse tu trouver ton chemin dans cette brume opaque.
Par Aërandis le 9/1/2002 à 21:04:28 (#691118)
Sans aucune amarre, c'est bien là son tourment.
S'attachant aux hommes, s'attachant à la vie,
Pour voir peu à peu disparaître ses amis.
Indéfiniment, le temps passe,
Mais moi, je ne trépasse,
Toujours en proie au désespoir,
En voyant mes amis sombrer dans le noir.
Il ne reste qu'un pauvre elfe solitaire,
Errant sur les chemins de cette terre,
Pour croiser de nouveau le serpent....
Son seul but, le vider de son sang.
Pour seul abri, cette belle forêt,
Pour seul toit, le ciel étoilé,
Ce n'est plus qu'un désespéré,
Que seuls peuvent comprendre les êtres ailés.
Enchaîné par les dieux à ce terrible destin,
Ne pouvant s'écarter de ce sombre chemin,
Où il vagabonde, condamné et solitaire,
Se demandant s'in n'aurait pas préféré mourir naguère.
Par Aërandis le 9/1/2002 à 21:05:55 (#691129)
Pour Aerandis.....
Le maudit a eu la peine capitale
Se couche sur une pierre tombale
Il fermes les yeux pour oublier
Que les étoiles le regardent supplier
Riez bien noble dame, du désespéré
Il est celui que votre coeur a condamné
En voulant donner une pensée libertine
En refusant qu'il vous rende plus divine
Sa passion pour une femme sera sa perte
En voulant acoster sur une île déserte
Il n'avait pensé qu'y vivait le grand serpent
Piqué dans son coeur, il serrait les dents
Vas-y, Aer, reprends-toi et crache !
Vas-y, Aer, repends-toi et "slache" !
Tous ces doutes qui t'ont assassiné
Ont rendu à ton âme, sa liberté...LIBERTE
Par Aërandis le 10/1/2002 à 19:14:10 (#694888)
Si il redescent encore une fois, là où se perdent les ombres, lui aussi s'y perdra à jamais. :(
Par Meduse_Sk le 10/1/2002 Ã 19:52:41 (#695128)
La poésie ne se commente pas, elle se ressent et se partage et c'est ce que vous nous faites vivre chaque jour depuis des lunes maintenant. Ne croyez pas que les gens ne pensent pas parce qu'ils se taisent. Leur silence reflète souvent leur émotion et leur volonté de ne pas gâcher par de futiles paroles les vers savamment esquissés.
J'ai été fière et heureuse d'être vivante dans ce recueil de poésies et il restera en mon coeur jusqu'à la fin des temps.
Merci pour tout , poète, barde au grand talent. Mais l'aventure n'est pas terminée. Vous êtes poète aujourd'hui, vous le serez toujours et c'est cela qui me ravit. L'aventure continue :)
A bientôt , barde.
Par Aërandis le 10/1/2002 à 21:41:41 (#695761)
Je suis heureux en tout cas d'avoir su de cette manière atteindre votre coeur, quand toutes les autres approches ont été balayées.
La question de se post reste en suspens, mais si d'autres me lisent, dites le moi svp, ces derniers temps, j'ai plus l'impression de flooder que de faire profiter les autres de mes poèmes :(
Par Anakin le 11/1/2002 Ã 3:21:47 (#697079)
*ecoute le Barde* Que dire?
Notre poete a du talent
Ces paroles sont douce comme le vent
Que faire sinon aplaudir
Par Aërandis le 11/1/2002 à 17:56:29 (#700039)
Mais dites moi quand même de temps en temps que vous me lisez, que g pas trop l'impression de flooder.
Par Don Turturo le 11/1/2002 Ã 23:02:00 (#701875)
Tu prefererais un chahut dans ton recueil ?
Par Meduse_Sk le 11/1/2002 Ã 23:13:42 (#701978)
Et continue !!!
La Bénédiction
Par Aërandis le 12/1/2002 à 16:42:51 (#705311)
Deux amoureux s'embrassant avec passion,
Voila ce qui se présente là , sous mes yeux,
Deux amants recevant la bénédiction des dieux.
Elle est sa lumière, brillant dans le noir,
Dans les ténèbres, une lueur d'espoir.
Il est son rempart, son magnifique bouclier,
Son servant, et son preu chevalier.
Dans la nuit, vous vous ferez flamme,
Que vos deux coeurs réchauffent vos âmes,
Que le feu sacré, qui se consumme sans fin
Unnisse pour toujours vos deux destins.
Que cette mélodie, venue des temps anciens,
Tisse entre vous deux, de nouveaux liens,
Et que par la harpe de ce pauvre ménestrel,
Les dieux oublié vous offrent un bonheur éternel.
Pour Vlody et Pepsie, tous mes voeux.
*a une pensée pour son illustre ami, regarde Axl, elle est heureuse maintenant*
Par Aërandis le 13/1/2002 à 0:04:47 (#708187)
Chasseur infatiguable, dans les ombres embusqué,
Vérité infaillible que l'on ne peut point tromper,
Et guerrier invincible à la lame bien trempée.
Il emporte dans ses ténèbres amis et ennemis,
Ne laissant que tristesse et malheur derrière lui.
Pourquoi, pourquoi ne veut il point me voir ?
Alors qu'il me plonge dans le plus sombre désespoir,
Pourquoi emporter tous les êtres qui me sont chers ?
Me laissant ici, Ã jamais errant et toujours solitaire.
Maître Sam, emporté par les âges,
Méduse, dont je ne vois plus le visage,
Axl, toi aussi mon ami tu m'as quitté,
Est ce là le lot de mon éternité ?
Et je me retrouve, sans maître et sans destin,
Vagabondant sur ce sinistre et sombre chemin,
Accablé par ce seigneur au coeur de pierre,
Le temps qui passe, et qui vide la terre.
A vous mes amis, mon maître, je dédis ces mots,
Car même ce tyran, ne m'empêchera de faire de vous des héros.
Par Meduse_Sk le 13/1/2002 Ã 14:59:02 (#710903)
Ceci dit, Meduse est sur le bateau du retour mais il prend quelques détours :)
A bientôt, barde conteur de grand talent.
Par Aërandis le 13/1/2002 à 21:01:20 (#712772)
Ceci dit, Meduse est sur le bateau du retour mais il prend quelques détours
*s'assoit sur la plage en contemplant l'horizon et improvise quelques vers*
Quand vous reverrai- je belle dame ?
Vous qui êtes dépositaire de mon âme,
J'ai beau tourné mes yeux vers l'horizon,
Nul part je ne vois votre bénédiction.
Le pauvre barde est assis sur la plage,
Le pauvre barde se languit de votre visage,
En espérant, il compose ces quelques vers,
Et d'un regard triste contemple la mer.
Je resterai là des années s'il le faut,
Jusqu'Ã ce que vous entendiez ces mots,
Que ma harpe portera aux confins de l'océan
Pour vous soutenir dans les tristes moments.
Par Aërandis le 14/1/2002 à 21:49:33 (#717912)
C'est ici qu'il se retire pour composer ses poèmes,
Dans le silence et les ombres, il songe à celle qu'il aime,
Mais depuis bien longtemps, il n'a point revue sa belle.
Seul, tapis au milieu les ténèbres, parmi les ombres,
Seul lorsque l'assaillent les pensées les plus sombres.
Il a pour seul compagnon son sinistre désespoir,
Lorsque sur son océan de tristesse tombe le soir.
Un océan noir, emplit de peines accumulées par le temps,
Un océan noir, où souffle les vent amplient de tourments,
Il se perds dans une mer ou n'existe plus aucune île,
Ayant pour seule boussole, le souvenir d'une idylle.
Par Meduse_Sk le 15/1/2002 Ã 1:36:39 (#719114)
Le Naufrage
Par Aërandis le 15/1/2002 à 18:11:20 (#722188)
Se noit dans un océan de sang,
Une mer agitée par la peine,
Où souffle un ouragan de haine.
Il a pour seule bouée cette belle et grande dame,
Qui l'empêche de se perdre dans le flot des âmes,
De sombrer au coeur de cette terrible tempête,
Au fond des eaux finira son éternelle quête.
Désesperemment, il s'accroche à son dernier espoir,
Ce visage qui l'empêche de sombrer dans le noir,
Mais ce dernier lui échappe, glisse et s'enfuit,
Pour se perdre dans le coeur sombre de le nuit.
Il la lâche ! Voila qu'il sombre !
Il se perd, ensevelli sous les ombres,
Le sang, emplit sa bouche de son goût amer,
Dans l'indifférence totale il quitte la terre.
Par Meduse_Sk le 15/1/2002 Ã 19:32:11 (#722553)
Par Aërandis le 15/1/2002 à 22:46:11 (#723434)
Provient du message de Meduse_Sk
Meduse pleure ....
*la prend dans ses bras* allons, tu vas pas pleurer pour moi, tu sais que sa me fait du mal de te voir pleurer
HRP: C'est pas un poème pour annoncer mon départ, mais il semble que cela n'aurait affecter qu'une personne de toute façon
PS: Merci Méduse
Par Aërandis le 16/1/2002 à 21:28:15 (#728624)
Ame sombre ou coeur pur
Toi qui cherche ta muse
Toi qui sans nul doute amuse
Compagnons à la vie dure.
Toi la barde, toi le poète
Toi l'elfe pour qui la quête
Est d'Ã chacun apporter
De ta harpe tous les bienfaits.
Chaque histoire, chaque combat
Tu les dessines de ta voie
Si mélodieuse sur ces lettres
Si radieuse, mais peut être
Pire que le chant de la fourmis...
En ruth ou voir même pis....
Quand à cette fin mon ami
D'Aërandis à Genesis :confus:
Il y a un grand pas à faire,
Je le crois, oui je le crois
Certains le disent, ô téméraires,
"D'un krystal magique est sa voie"
D'une cressel maléfique, je le conçois...
Suis ces bons conseils, écoute moi
Trouve ta muse, trouve ta voix,
Si belle est le contenu
Si dure est la tenue...
Eluniel
Par Aërandis le 17/1/2002 à 21:37:28 (#734113)
Dans un lieu que n'avait foulé nul chevalier,
Vivait cette grâcieuse et très belle dame,
Dont rien n'égalait la pureté de son âme.
Eluniel était le nom, de cette fleur,
Qui vivait au plus profond du coeur
De tous ceux qui avait contemplée
Cette beauté, sous le ciel étoilé.
Sa voix était pareille au chant du vent,
Dans ses yeux fleurissaient milles printemps,
Et ses cheveux, aux tendres reflets de miel,
Prenaient une teinte de bronze au soleil.
Un jour, un loup au coeur sombre et amer,
Entra, menaçant dans sa belle clairière,
La faim, lui lacérait cruellement l'estomac
Et il vit là , de quoi faire un bon repas.
C'est alors qu'elle se mit à chanter ses louanges,
Sa voit, transperça son coeur, tel celle d'un ange,
Elle le sortit ainsi de ses sinistres ombres,
Le regard du loup avait perdu cet air sombre.
Ce dernier, laissa couler une larme,
Pour celle qui avait sauvé son âme.
Toute la nuit, il chanta avec elle,
Enfin il comprit, pourquoi elle était si belle.
Par Meduse_Sk le 18/1/2002 Ã 4:01:51 (#735531)
A chanté ce soir
Et, seule dans le noir
J'écoute ses vers troublants
Qui content l'histoire
D'une belle dame encore
Celle qui sans le vouloir
Comme dans un chateau fort
Enfermée dans sa tour d'ivoire
Semble n'attendre que la mort.
Par Adon Lys -Wh le 18/1/2002 Ã 7:47:17 (#735801)
Par Meduse_Sk le 18/1/2002 Ã 13:36:32 (#737272)
Par Aërandis le 18/1/2002 à 17:54:45 (#738855)
Avec pour seul espoir,
Revoir le visage de la dame
Qui captura son âme.
Par Aërandis le 19/1/2002 à 22:53:01 (#746476)
Provient du message de Meduse_Sk
Le barde aux mille talents
A chanté ce soir
Et, seule dans le noir
J'écoute ses vers troublants
Qui content l'histoire
D'une belle dame encore
Celle qui sans le vouloir
Comme dans un chateau fort
Enfermée dans sa tour d'ivoire
Semble n'attendre que la mort.
Le barde aux milles tourments,
Sur son beau cheval blanc,
Prend d'assaut cette tour
Qui fait obstacle à son amour.
Le barde attaque ce château fort,
Car il ne supporterai point la mort,
De cette dame au merveilleux sourir,
Même si pour cela il devait mourir.
Il voit sa dame, à sa fenêtre,
Cette vision fait trembler son être,
Et décuple sa faible puissance,
Pour les lâches point de clémence.
Le voila qui arrive à l'escalier,
Ruisselant de sang et de sueur
Tel un puissant et preu chevalier,
Près à tout pour la dame de son coeur.
Enfin, il arrive à rejoindre sa dame,
Après s'être tailler une route à coup de lames
Et l'emporte sur son cheval blanc,
Sur la route du soleil couchant.
Par Un souffle le 19/1/2002 Ã 23:19:39 (#746644)
Parcourant ces dunes de sables
Sa vie commence a lui echaper
Son souffle devient palpable
Et doucement il est happe
Déja la sable recouvre son corp
Mais ses souvenirs eux remontent
Tentant de revivre avant la mort
Par des presences qui le hantent
Oubliant les raisons qui l'ont poussé
A se perdre sous cette tempète
Et déjà ses paupières se plissent
Et avec un certain plaisir il arrête
Et entre dans ce monde de rêve
Où il pourra trouver trêve
Par Aërandis le 19/1/2002 à 23:27:57 (#746722)
Par Aërandis le 20/1/2002 à 12:32:50 (#748952)
J'ai trouvé ce petit poème,
Dans les recoins sombres
Loin de la femme que j'aime.
Je n'ai plus l'espoir,
D'un jour la revoir.
Je n'ai plus d'espoir,
Je sombre dans le noir.
Par Aërandis le 23/1/2002 à 13:54:34 (#768614)
Ensuite un petit poème.
Moi qui pensait avoir perdu mon coeur,
Moi qui pensait, ne plus connaître le bonheur,
Je ne pensais pas rencontrer cette dame,
Cette servante de la nuit, qui déroba mon âme.
Je fut longtemps, le diligent chevalier,
De cette dame que je ne puis oublier,
Mais elle a rencontré son destin,
M'abandonnant seul sur ce chemin.
Mais aujourd'hui je vois de nouveau fleurir,
Dans mon coeur, les tendres fleurs de l'amour,
Chassant le triste hiver emplit de soupirs,
Me voici arrivant à un mystérieux carrefour.
Encore une fois, je me retrouve impuissant,
Ligotté par mes propres sentiments,
Mais j'ai toujours confiance en mon jugement,
Confiance en cette dame au sourir charmant.
Par Adon Lys -Wh le 23/1/2002 Ã 13:56:37 (#768634)
Par Angelius Primus le 23/1/2002 Ã 15:32:38 (#769428)
Entend une merveilleuse sérénade au loin, derrière le brume, loin, mais
présent.
Un léger souffle, emportant la voix mélodieuse de aerandis jusqu'à mes oreilles, une légère chaleur envahit, mon corps
S'arrête un instant pour écouter cette splendeur, *Incante un sort du vent*
que cette voix et cette souffle soit entendu du royaume d'Athlea
*Repars dans la forêt, fit un léger regard en arrière, et murmure un sourire dans le vent*
*Disparaît dans la brume*
Par Aërandis le 23/1/2002 à 18:35:12 (#770969)
*repart dans les ombres, un doux sourir hante sa mémoire*
Par Aërandis le 25/1/2002 à 18:42:12 (#784952)
Toi qui me rempli d'allégresse,
Je t'offre mon coeur et mon âme,
Je t'offre tout belle dame.
Pour toi, je décrocherai la lune,
Pour toi, de dune en dune,
Je traverserai le désert,
Je ferai le tour de la terre.
Pour toi, j'affronterai mille brigands,
Pour toi, je détruirai le fou dément,
Pour toi, je défierai le temps,
Pour protéger ton sourir charmant.
De mes poèmes, je ferai une toile,
Où je peindrai ta grande beauté,
Je t'offrirai une couronne d'étoile,
Je t'aimerai, toute l'éternité.
Par Aërandis le 26/1/2002 à 17:52:05 (#792419)
Les tréfonds de mon âme,
Les portes de mon coeur,
Puisse-tu y trouver le bonheur.
Voudrais tu belle demoiselle ?
D'un pauvre petit ménestrel,
Qui vous chanterai l'amour
A toute heure, tous les jours.
Se dépose solanellement à vos pieds,
Celui que l'on dit fou à lié,
Je vous offre tout ce que j'ai,
Je vous offre ma vie pour vous protéger.
Par Aërandis le 27/1/2002 à 12:58:19 (#798755)
Viens on remonte tous les deux, Ã tous les coups elle ne t'as pas encore lu.
*tire le post vers le haut du forum*
Par Adon Lys -Wh le 27/1/2002 Ã 13:03:01 (#798785)
Mode Rp off:C'est qui l'elue de ton coeur ?:D
Par Melandrine Athkins le 27/1/2002 Ã 15:17:21 (#800012)
*fou des coups de lattes dans le post pour le remonter*
Je ne donne pas mon avis Aerandis le connait deja ;)
Par Aërandis le 27/1/2002 à 19:05:09 (#802242)
Merci tous les deux, sa fait plaisir de savoir que quelqu'un passe me lire de temps en temps.
Sinon laisse tomber Adon tu sauras rien pour le moment. Et je dirai rien tant qu'elle ne m'auras pas répondu :p
Par Aërandis le 27/1/2002 à 21:54:48 (#803646)
Pourquoi, pourquoi belle dame,
N'écoute tu point mon âme ?
Aimes-tu tant mes soupirs,
Que provoque ton sourir.
Belle demoiselle, encore un poème,
Pour te chanter combien je t'aime,
Belle demoiselle, s'il te plaît répond moi,
Je serais le plus heureux des rois.
A toi qui a conquis mon coeur,
Je dédis le fruit de mon labeur,
Ce ne sont que quelques vers,
Mes seules possession sur terre.
Ma déesse
Par Aërandis le 28/1/2002 à 17:16:14 (#808696)
Lumière de ma vie, mon brillant soleil,
Pour toi voici quelques vers,
Pour toi, cette mélodie éphémère.
Toi, qui me sortit enfin des ombres,
Toi, qui me fit quitter cet air sombre,
Toi, qui me redonna goût à la vie,
Toi, qui est bien plus qu'une amie.
Ecoute donc, belle demoiselle,
La complainte du ménestrel,
Il chante de toute son âme,
Il chante pour toi, belle dame.
Sonnet de l'homme détruit
Par Aërandis le 29/1/2002 à 21:21:42 (#814813)
Et détruits ! Les sourires.
Je n'ai dans ma mémoire,
Aucun souvenir pire.
Pourfendu est l'amour,
Vainqueur est la tristesse,
Laissant à ce carrefour,
Un homme en détresse.
Le regard se voile
Quand coulent les étoiles
Sur cette triste toile.
Cet homme est en pleur,
Cet homme se meurt,
Car détruit, est son coeur.
Par Anakin Spades le 30/1/2002 Ã 2:34:39 (#816177)
Par Meduse_Sk le 30/1/2002 Ã 2:47:59 (#816189)
Hmmmm... Voyons... Et il n'a même plus les harus pour se suicider ...
AERANDIS !! Sors de cette taverne :)
Aerandis, jeune elfe , je te rappelle que tu es venu ici sans expérience des combats et de la vie sur nos iles, et qu'à ce jour tu n'en as guère plus que lorsque tu es arrivé. Le peu que tu as est venu chaque fois que je t'ai mis a la porte de la ville en te disant d'aller t'entrainer. Il y a encore une ile que tu n'as jamais vue. Et si tu pensais un peu à visiter ton propre univers? Voyager un peu chez nous? Il y a d'autres choses à voir que les tavernes sur Goldmoon.
A bientôt barde aux mille talents :)
Par Ayame Elros Era le 30/1/2002 Ã 7:57:41 (#816466)
Se laissant bercer par les chant du ménestrel
Ses paroles transporter par le vent
Se dessinant sur ses lêvres un sourire charmant
Partie quelque temps
Mais revenue a present
se languissant d'ecouter a nouveaux lles talents du poètes
Ses doux verts sonnant au plus profond de son être
hrp; conte utiliser , voila suis de retour:p
pom pom pom
Par Ayame Elros Era le 30/1/2002 Ã 7:58:17 (#816468)
Quel talent....
Par Narrare Computare le 30/1/2002 Ã 11:47:48 (#817307)
Je suis émerveillé malgré mon age avancé....
Merci Sir Aërandis, vous avez émue mon âme ....
plus que je ne cru, que celle ci ne le pu...
Arf ! Y a quand meme du monde qui me lit.
Par Aërandis le 30/1/2002 à 13:19:35 (#817771)
Le peu que tu as est venu chaque fois que je t'ai mis a la porte de la ville en te disant d'aller t'entrainer.
Je suis un pauvre elfe martiriser qu'on oblige à aller s'entrainer :p AERANDIS !! Sors de cette taverne
*va encore avoir des commentaires* Mais non je suis pas à la taverne. Sa fait au moins..... Euh..... une demi-journée que j'y suis pas passé? :ange:
Merci à vous de vous pencher sur ces vers.
hrp: c'est pas un poème de départ.
Elle...
Par Aërandis le 30/1/2002 à 13:23:24 (#817793)
Eclipsant le soleil,
Une divine lumière
Illuminant la terre.
Un chant mélodieux
Descendant des cieux,
Une divine musique,
Pour un instant magique.
Un pauvre homme ensorcelé
Par cette belle muse ailée.
Voila le fruit de la rapine,
De cette créature divine.
Je pars pas
Par Aërandis le 30/1/2002 à 13:31:31 (#817854)
S'avance sur la plaine,
Balayant les espoirs,
Et projetant sa haine.
Se dirigeant lentement
Vers mon pauvre coeur,
Il sort sa lame de peur;
Sa lame de néant.
Mon coeur saigne,
Transpire la peine,
Succombe et meurt,
Face à ces horreurs.
Le regard qui se perd
Dans les ténèbres amer,
Je rejoins les cieux;
Voici mes adieux.
Par Aërandis le 30/1/2002 à 14:01:36 (#818112)
Voila, je viens de dépasser le cap des cinquantes poèmes sur ce post. Merci à vous tous qui me lisez, et qui me donnez envie de continuer à écrire.
*sort deux caisses de madriel*
Sa s'arrose :D
Par Meduse_Sk le 30/1/2002 Ã 15:03:48 (#818605)
Maintenant il va se saoûler tous les 5 poèmes ;)
Bon enfin ... *Prend un verre de madriel* Ca fera un de moins pour toi :)
Je lève mon verre au barde le plus talentueux de tt l'ouest de Goldmoon :)
Continue Aerandis :)
Par Aërandis le 30/1/2002 à 15:09:54 (#818648)
Je lève mon verre au barde le plus talentueux de tt l'ouest de Goldmoon
Seulement l'ouest :D :D :D :D
Merci bcp Méduse (quand est ce que tu reviens nous voir au fait, depuis que tu n'es plus là j'ai presque pas fait de xp :ange: ). Conte sur moi pour continuer, tu sais combien il m'est difficile d'arreter de parler :D
Par Aërandis le 1/2/2002 à 18:08:23 (#832882)
Dans le coeur du ménestrel,
Voici enfin le printemps,
La saison des amants.
Une magnifique fleur
A éclot dans mon coeur,
Elle a la couleur de l'amour,
La couleur des beaux jours.
Dans mon esprit éclos,
Mille vers, mille mots;
Pour louer cette demoiselle
Dans cette ritournelle.
Voici donc pour ma belle rose,
Un texte qui se voudrait prose,
Mais je n'ai su faire qu'un poème
Pour te dire combien je t'aime.
:amour: :amour: :amour: :amour: :amour: :amour:
Aerandis, elfe du printemps.
Par Aërandis le 1/2/2002 à 20:05:20 (#833741)
Me rappelle le jardin proscrit,
Dont aujourd'hui seuls les écrits,
Portent le sceau de mon ami.
Tout ces souvenirs, que je croyais perdu,
Tous ces souvenirs me sont revenus,
Encore une fois, à tous les départs,
J'offre, ce poème, mes derniers regards.
A tous ceux disparuent dans la brume,
A tous ceux, dont seule reste la plume,
A vous qui avez quitté cette terre,
A vous, je dédie ces quelques vers.
hrp: je ne sais pas vraiment comment cela m'est venu, peut etre le rp de ces derniers jour qui a fait remonter plein de souvenir. Encore une fois j'écris pour ceux qui ne sont plus.
Le Barde errant
Par Aërandis le 16/2/2002 à 15:38:39 (#947241)
Il a toujours sa place.
Et quand il arrive, les visages las
Deviennent autant de sourir joyeux.
Dans la chaumière au milieu de la nuit,
On lui ouvre la porte, au chasseur d'ennui,
Les soirées s'illuminent de quelques chants,
Contre une paillasse où dormir tranquillement.
Meme les seigneurs aiment à le recevoir,
Pour qu'ils viennent, ne serait-ce qu'un soir,
Leur conter une belle et antique histoire
Depuis longtemps disparue des mémoires.
Dans les misérables taudis où dans les chateaux,
Il fait retentir tout doucement ses mots,
Pour divertir l'espace d'un instant
De l'empereur au simple paysans,
Voici la voie, du vagabond, le barde errant.
Par Xatar Lokrya le 16/2/2002 Ã 15:59:31 (#947435)
Pas mal Aerandis... pas mal... c'est joli... bien écrit... c'est normal... c'est toi :D
Par Aërandis le 16/2/2002 à 16:03:37 (#947476)
Provient du message de Xatar Lokrya
Déjà rentré il flood :ange:
Pas mal Aerandis... pas mal... c'est joli... bien écrit... c'est normal... c'est toi :D
Pour la première partie, on dira c'est normal, y faut pas perdre les bonnes habitudes :D (non mais, un aussi beau poste :D qui dérive pendant deux semaines).
Et pis ensuite, je dirais merci, c'est tout. :merci:
Par Aërandis le 16/2/2002 à 22:48:40 (#950859)
Où m'est apparue cette belle femme,
Cette généreuse et incomparable dame,
Cette déesse toute de beauté et d'amour.
Dans ma vie, une belle fleur,
A poussée, tout doucement,
Pour éclore tendrement
Au plus profond de mon coeur.
Et dans les tréfonds de l'ame du fou à lié,
S'est allumé un immense brasier,
Tout mon corps est alors devenu flamme,
Lorsque m'a sourie cette fameuse dame.
Son regard semble mettre mon ame à nue,
Et en meme temps me propulse jusqu'aux nues,
C'est ainsi que née la plume du ménestrel,
Sous les yeux de cette belle demoiselle.
:amour: :amour: :amour: :amour: :amour: :amour:
Je t'aime mon amour
Par Aërandis le 17/2/2002 à 19:50:33 (#958190)
Ecoute le chant de cet etre,
Qui n'a qu'un seul reve, un seul espoir,
Celui de contempler ton visage ce soir.
Ecoute mes chants, o ma reine,
Toi, la plus belle des servantes de Sélène,
La déesse qui m'hante nuit et jour,
La jeune femme à qui je crie mon amour.
A toi, qui captura mon coeur d'un regard,
A toi, dont la beaté irradie dans le noir,
A toi, je dédis tous ces poèmes,
C'est toi que je chante, quand je dis: JE T'AIME
Par L'ange-Teclis le 17/2/2002 Ã 19:55:07 (#958212)
Mais sinon TRES JOLIE :D
Par Walkyrie Amazon le 17/2/2002 Ã 21:59:24 (#958998)
Que dire aërandis:
Tout simplement magnifique, innégalable, impressionant, plus que talentueux. Franchement même les grands poetes ont du soucis a ce faire.
Par Xatar Lokrya le 17/2/2002 Ã 22:05:03 (#959046)
Même moi, je n'ai pas eu ce courage la Impure :)
Pas mal...
Faudrai que je mette tous tes poèmes pour ma Bibiothèque perso ;)
Mais ca fait bcp et je suis fénéant :D
Pkoi t'écris autant Elfe ???
Par Aërandis le 18/2/2002 à 21:38:26 (#968533)
Ensuite c'est simple Xatar, tu es sur le plus vieux post de ce forum, un des seuls rescapés du vieux.
Sa doit bien faire 4 mois que je le met régulièrement à jour.
Aller, un autre petit pour la route.
C'est une fleur au milieu du désert,
Une ile, au beau milieu des mers;
Elle sublime tous les paysages
Par sa présence; son radieux visage.
Une chanteuse au milieu de la cour
Captivant irrésistiblement son auditoire,
Voila l'objet de mon infini amour,
Celle qui fait naitre tous mes espoirs.
J'aimerais chanter son immense beauté,
Mais les mots et la musique sont vite dépassés,
Aucun superlatif ne serait assé grand,
Pour décrire cette déesse des anciens temps.
Par Walkyrie Amazon le 18/2/2002 Ã 22:01:50 (#968737)
(un peu plus de 60 poèmes à quelques erreurs près)
63 poemes differents mon cher aërandis en comptant votre derniere beauté.
J'ai egalement remarquée un poème identique qui avait juste changer de couleur....tsss tsss tsss
Par Aërandis le 18/2/2002 à 22:20:26 (#968907)
J'ai egalement remarquée un poème identique qui avait juste changer de couleur....tsss tsss tsss
Désolé, mais ce sont deux poèmes qui se suivent, si je me rappelle bien, et c'était une erreur de frappe qui a donné lieu à un double post, c'était pas volontaire (promis).63 poemes differents mon cher aërandis
*pensait pas en avoir écrit autant* objectif la barre de la centaine, et merci à vous qui me lisez.
Et hop, 64 ème
(le premier quatrain viens d'un ancien poème, mais je l'aime bien alors je l'ai repris)
Quelques larmes d'amour,
Qui murmuraient toujours,
Quelques mots, quelques vers,
Un bonheur éphémère.
Mais tu es partie cette nuit,
M'abandonnant dans la tristesse, et dans l'ennui,
Seul, ame en peine dans le noir,
Seul, s'abimant dans le gouffre du désespoir.
Aujourd'hui brille dans mon ciel
Un sombre et sinistre soleil,
S'annonce alors un jour sinistre et sombre,
Où les éclaircient deviennent zones d'ombres.
Elle m'a quitté à jamais, pour toujours,
M'abandonnant sur ce triste chemin,
Livré enchainé au cruel destin,
Face à un futur dépourvu d'amour.
Abandonné, le coeur empli de tristesse,
Un radeau égaré, un marin en détresse,
Voici ce qu'est devenue ma pauvre ame,
Sous les coups de cette très belle dame.
Par Aërandis le 19/2/2002 à 12:04:19 (#973642)
Alimente ma prose,
Alimente mon coeur,
Me comble de bonheur.
Un immense soleil
Brille dans mon ciel,
Une source de chaleur,
Un rayon de bonheur.
Une étoile brillante
M'anime et me hante,
Me fais simplement rever,
M'a doucement élevée.
Ces quelques vers, pour toutes les dames,
Jeunes demoiselles, ou belles femmes,
Pour vous qui nous offrez tant de bonheur,
Je vous montre vos miroirs dans mon coeur.
* impréssioné *
Par Narrare Computare le 19/2/2002 Ã 12:09:10 (#973684)
Nulle doute que si nous avions tous la même verve que vous messire Aërandis, l'Haruspice ne saurait que dire ou que faire....
Par Aërandis le 19/2/2002 à 17:35:44 (#976284)
Apporte son lot de bonheur,
Son lot de joies éphémère,
Qui ravissent les coeurs.
Et moi, emplie de tristesse,
Je contemple la jeunesse,
Les jeunots qui s'enflamme
A la vue d'une belle femme.
Alors je vous le dit bien fort,
Brulez tout votre temps
Brulez à chaque instant,
Pour ne pas avoir de remords.
Soyez heureux, vivez à fond,
Rejetez vos peurs au plus profond,
Criez votre bonheur haut et fort
Pour ne pas pleurer votre mort.
Vous qui n'etes que des oisillons
Ne vous perdez point contre vos démons,
Laissez la, vos soucis et vos querelles,
A la charge de ce vieux ménestrel.
Par Aërandis le 19/2/2002 à 22:36:32 (#979138)
Elfe survivant en proie au doute,
Kamikaze, combattant sans espoir,
Aveugle, avançant dans le noir.
Voila ce qu'est devenu aujourd'hui,
Un des seuls etres sortis de la nuit,
Maintenant, cen'est plus qu'une ombre,
Qui lutte désespéremment contre le sombre.
Il a tout perdu, amour et amis,
Seul au milieu de ses ennemis,
Lui reste il un peu de lumière
A ce pauvre elfe solitaire.
Continuellement, le temps passe,
Mais toujours dans la meme impasse,
Lui reste il seulement une chance,
Avant qu'il ne sombre dans la démence.
Par Adon Lys le 19/2/2002 Ã 22:38:36 (#979167)
Pouv
La liberté
Par Aërandis le 20/2/2002 à 14:14:18 (#984092)
La Liberté, c'est n'avoir point de craintes,
Etaler sans restriction ses propres vérités,
Voila ce qu'est, pour moi, la Liberté.
Un oiseau glissant dans le vent,
Sans prise sur le monde apparent,
Il ne connait, ni limites, ni frontières,
Il fait son nid où il veut sur cette terre.
Un vagabond errant au gré de son coeur,
Qui ne connait ni vassals, ni seigneurs,
A qui de droit, il accorde sa Loyauté,
Mendiant ou grand roy, voila sa Liberté.
La Liberté c'est pouvoir faire ses choix,
Sans que plane une menace ou un roy
Laissant son ombre sur vos décisions;
Un des plus grands cadeaux de la création.
Par Aërandis le 20/2/2002 à 20:14:30 (#986820)
Par Aërandis le 21/2/2002 à 15:13:09 (#993480)
Caché, à l'abri des regards,
Seul méditant dans le noir,
Vit un elfe plongé dans la pénombre.
Un elfe devenue une proie,
Un elfe, au regard froit,
Dont le coeur a perdu sa flamme,
Depuis qu'a disparue cette dame.
Suite à cela, son interminable lutte
Est devenue son unique but,
Il n'a plus de fourreau où reposer sa lame,
En son coeur, plus de dames, pour reposer son ame.
Il perd peu à peu la raison,
Et remonte doucement son démon,
L'expression de sa furie déchainée,
Que meme ses amis ne sauraient arreter.
Par Aërandis le 21/2/2002 à 20:17:48 (#996238)
Pour la femme que j'aime,
Voici quelques petits vers
Pour la plus belle femme sur terre.
Ecoute le chant de ma harpe
Quand je suis muet comme la carpe,
Et entend donc mes chants
Quand tu m'enchante totalement.
Toi qui a lu ses vers
Tu comprendra mon amour,
Certains le dise éphémère,
Moi je l'aime pour toujours.
Et toi ma belle dame,
Toi qui raviva ma flamme,
Je t'offre ma lame,
Mon coeur et mon ame.
Par Aërandis le 23/2/2002 à 18:04:09 (#1006821)
Un sinistre gouffre noir,
Où s'abime l'espoir,
Et d'où émergent les ombres.
J'ai fait le tour de la terre
A la recherche de l'être cher,
Mais aucune trace de ma belle archère.
J'ai traversé les mondes interdits,
Parcourut les pays de l'oubli;
Je n'ai pas su trouver ma mie.
Mais mon coeur me dit
Qu'elle est encore en vie,
Et de la mienne je n'aurai de cesse
De chercher ma belle demoiselle en détresse.
Par Aërandis le 24/2/2002 à 12:11:46 (#1012222)
Ce n'était qu'un jour ordinnaire
Pour le pauvre barde errant,
Qui traversait ces grandes terres
Pour rejoindre la cité des vents.
Et c'est au détour d'un chemin,
Qu'il croisa enfin son destin,
Une charmante demoiselle
Gracieuse tel une gazelle.
A peine avait-il vu cette reine
Qu'il sentit les flux de l'amour,
Inonder toutes ces veines;
De sa vie, c'est le plus beau jour.
Nous commençames à discuter
Elle m'apprit alors qu'elle chantait,
Poussant un accord mélodieux,
Elle le propulsa aux cieux.
Nous nous revîmes maintes fois,
Il lui chantait l'amour, la joie....
Et alors que passait le temps
Mon amour s'en allait croissant.
Je lui déclarai ma flamme,
Ce qui la fit d'abord sourir.
Malheureusement, cette dame
Ne savait pas trop quoi dire.
Elle lui demanda une journée
Afin de pouvoir méditer,
Mais avant elle disparut;
Serais-ce un tour des harus ?
Il reprit les chemins de terre,
Il traversa toutes les mers,
Mais nul homme, nul ménestrel,
N'avait vu sa belle demoiselle.
Il a traversé tout l'Hadès
Y cherchant sa douce déesse,
Et même l'eau sombre du Léthée
Ne pus la lui faire oublier.
Il poussa jusqu'au noir seigneur,
Mais même le maître des morts
Ne le renseigna sur son sort,
N'apaisa son malheureux coeur.
De retour parmi les vivants,
Il ne perd point du tout espoir,
Car tout au fond de lui, il sent,
Qu'un jour, il pourra la revoir.
Ma déesse
Par Aërandis le 24/2/2002 à 15:56:28 (#1013917)
Telle une belle déesse,
Un cadeau des dieux
A un elfe en détresse.
Elle qui devint le soleil,
De mes jours de pluie,
Elle qui illumina le ciel,
De mes sombres nuits.
Cette servante de Sélène
Belle comme une reine
Embrasa toutes mes veines.
Et c'est à cette femme de bohème
Que j'écris tous ces poèmes,
Ma manière, de lui crier: je t'aime
Par ELRESTOR le 24/2/2002 Ã 16:12:02 (#1014023)
ps malresement se post me rappelle axl *snif*
Le printemps des poètes
Par Aërandis le 24/2/2002 à 16:34:58 (#1014177)
Fait fleurir dans ces vergers,
Mille héros et mille quêtes
Et autant de demoiselles désirée.
Les plus somptueuses fleur
Emerge alors de leurs coeurs,
Exultant les parfums de la poésie
Pour le plaisir des douces mies.
L'amour, comme le fait la sève,
Se répand dans leurs veines,
Portée par le courant des rêves
Qu'alimentent ces belles reines.
On assiste au retour des hirondelles
Au milieu des chants des ménestrels.
Ils chantent de toute leur âme
Pour le plaisir de ces belles dames.
Aërandis
Elfe printannier
:amour: :amour: :amour: :amour: :amour:
PS: Elrestor, tu m'as fait le plus beau compliment que j'aurais pu espérer. C'est Axl qui m'a encourager à faire ce post, c'était vraiment un grand poète.
Par Meduse_Sk le 24/2/2002 Ã 17:01:33 (#1014368)
Salutations à mon barde préféré.
Par Aërandis le 24/2/2002 à 17:58:13 (#1014781)
Par Aërandis le 25/2/2002 à 17:44:57 (#1022381)
J'attends le retour
De mon ancien amour
En composant quelques vers.
Même si elle n'a plus tout mon coeur
Elle reste pour moi, comme une soeur,
Elle m'a plusieurs fois sauver la vie,
Jamais je ne la laisserai sombrer dans l'oubli.
Toi qui fut une seconde mère
Un immense rayon de lumière,
Toi qui m'as tout appris
Reviens vite, mon amie.
Par L'ange-Teclis le 26/2/2002 Ã 16:12:59 (#1029853)
"Mes vieux amis connaissent le gout des plaisirs
Un doux vin et des chants accompagnent nos songes
La lunes et des vers,voici mon seul desirs
Oublions le respect!Ce n'est qu'un long mensonge...
Mon chagrin me chagrinne,la vie me fais vivre;
Ma tristesse m'attriste et l'ivresse m'enivre
Qu'importe alors les vers,les regles sont a nous,
Ma peine me peine et la folie me rend fou
C'est alors q'un croissant de lune sur la cuisse
Me contraint a lever ce regard enivré,
Je vois dans la blancheur une peau bien trop lisse
Qui me brula un jour,qui un jour ma aimé..."
Par Aërandis le 26/2/2002 à 19:03:05 (#1031157)
Rescapé d'un amour amer,
Un elfe devenue sombre
Erre au royaume des ombres.
Tout est devenu noir autour de lui,
Depuis que c'est abattue une pluie
De haine, de violence et de sang
Le jour où est apparu le serpent.
Celui qui vivait sur les cercles de l'eau
Est devenu aussi froid que la glace
Depuis qu'est disparue sa grandiose race,
Et que sont morts belles dames et héros.
Seul, il continua désespérement la lutte
Détruire le fou était devenu son seul but
Jusqu'a ce que cette belle demoiselle
Mis un peu de lumière dans la vie du ménestrel.
Même s'il est toujours obsédé par la destruction,
Son coeur s'est aussi ouvert à d'autres passions,
Tout cela, par la grâce de cette charmante de dame,
A qui, aujourd'hui, j'offre mon coeur, mon âme et ma lame.
Par Aërandis le 27/2/2002 à 13:41:31 (#1034503)
Les offrandes du ménestrel,
Même si je n'ai que peu d'argent,
Je tiens à t'offrir ces présents.
Je dépose cela à tes pieds belle dame:
Pour te protéger, voici ma lame;
Pour te réchauffer, voici ma flamme,
Et pour t'aimer, voici mon coeur et mon ame.
Mainteant, tout cela est à toi,
Accepte les, je serai le plus heureux des rois,
En espérant, que quand je vais tout t'offrir,
Voir ton visage illuminé par ton radieux sourir.
Par Aërandis le 28/2/2002 à 21:49:51 (#1041841)
Impulsifs, toujours prompts à tirer leur lame,
Mais aussi chaleureux, les fidèles de Mihram.
Ils sont le lac calme et la tempête,
Sagesse et tempérance sont l'objet de leur quête,
Mais leur colère et sans limite quand on offense Lahmet.
Ils sont la douce bise et le grand vent,
Insaisissables, mais à jamais présents,
Sous légide de Fellil, l'esprit évanescent.
Ils la montagne impassible face à l'adversité,
Leur force n'a d'égale que leur sagacité,
Les disciple de Dehom esprit de liberté.
Ils sont un, unis, mais aussi différents,
Les serviteurs des quatres éléments,
Ce sont les druides, qui veillent notre temps.
Par Aërandis le 1/3/2002 à 23:26:34 (#1047075)
De mes tendres sentiments.
J'aimerais lui dire pourtant,
Quel effet me font ses sourirs.
Je ne sais comment lui avouer
Qu'elle m'a tendrement ensorcelé;
Combien cette charmante demoiselle
Fait chavirer le coeur du ménestrel.
Je ne trouve ni mots ni poèmes
Quand je me retrouve face à toi,
Il serait pour tant si simple ma foi,
De te dire tout simplement: je t'aime.
Par L'ange-Teclis le 2/3/2002 Ã 2:52:24 (#1047844)
Vivre
Par Aërandis le 2/3/2002 à 19:36:48 (#1050821)
Vivre, c'est mettre le feu à son temps,
Brûler telle une gigantesque flamme,
S'embraser, l'espace d'un seul instant
Pour les beaux yeux d'une belle dame.
Vivre, c'est doucement se consummer,
S'enflammer au fil de ses passions,
Et puis s'éteindre à l'âge de raison;
Quitter la Terre sans rien regretter.
Vivre, c'est réaliser ses rêves,
Se battre pour eux sans aucune trêve,
Pour son bonheur, ou bien celui d'autrui;
Et devenir une étoile dans la nuit.
Vivre; quelques minutes sur terre;
Connaître ce bonheur éphémère,
Dans les bras de cette belle demoiselle;
Tel est le seul souhait du ménestrel.
Par Aërandis le 5/3/2002 à 17:10:58 (#1067381)
Faisait renaître le printemps en son coeur,
Mais il ne vit cette sinsitre et froide brume,
Qui tua dans la graine toutes ces belles fleurs.
Encore une fois, pour une belle dame,
Il mit à jour son coeur et son âme,
Mais celle-di ne doit supporter le soleil,
Car il plonge dans une agonie sans pareille.
Les amis de toujours le soutienne dans la chute,
Lui apporte un peu de chaleur et de réconfort,
Mais le poète est trop vieux pour continuer la lutte;
Peu à peu, il sent la mort se répendre dans son corps.
Par Aërandis le 5/3/2002 à 20:06:28 (#1068590)
Notre barde, le drapeau en berne,
Noyait cette amour éphémère
Au fond d'un pauvre petit verre.
Son désespoir était tellement grand,
Que dans la soirée il but tant et tant,
Et finit par s'écrouler; inconscient,
Pareil à l'ivoir, son visage était blanc.
Qu'est donc devenu le fière ménestrel ?
Depuis que l'a rejeté cette belle demoiselle,
Il n'est plus que l'ombre du barde d'autrfois,
Plus qu'un naufragé épuisé qui se noie.
Il se noie, dans l'océan de sa détresse,
Il se noie, dans la mer de sa tristesse,
Il chutte, dans un gouffre sombre et noir,
Vers une terre, que l'on appelle désespoir.
Ses amis l'on sauvé ce jour là ,
Il a plus qu'effleuré le trépas,
Sur cette terre qui ne connait le jour,
Le barde se meurt, se meurt d'amour.
Par Aërandis le 6/3/2002 à 21:06:27 (#1075300)
Deux étoiles ont brillé sur mon chemin,
Deux étoiles si proches, pourtant si loin,
Deux étoiles à jamais hors de portée
Du pauvre elfe, fascinné par leur beauté.
Assis, seul, sous ce beau ciel étoilé,
A jamais condamné à les contempler,
Ces deux lumières brillant dans le noir,
Source de mon bonheur, de mon désespoir.
Pauvre être, qui depuis toujours sur terre,
Contemple ces deux petites lumières,
Envoûté, par ces étoiles brillantes,
Envoûté, par ces étoiles charmantes.
Mais les dieux ont fixés leurs tristes lois,
Et ceci, pour mon immense désarroi,
Etoiles ne peuvent aimer les mortels,
Voici la malédiction du ménestrel.
Par Aërandis le 6/3/2002 à 21:11:52 (#1075352)
Une épée, dont la lame noire est emplie de malheur,
Et mon âme; devient un mannequin de combat,
Transpercer de dards, mais ne connaissant le trépas.
La douleur devint vite insuportable,
Ma raison s'échappe, comme le sable
Qui entre mes doigts, doucement fuit,
Pour sombrer dans les ombres de la nuit.
Il ne reste plus qu'un esprit fou-furieux,
Dernier reste, d'un elfe malheureux,
Qui n'attache plus d'importance à la vie,
Sa dernière amarre sont ses vieux amis.
Mais, déchirer par l'envie de mourir,
Déchirer, par l'envie de ne plus souffrir,
Il ne sait plus du tout quoi faire;
Partir, ou bien rester sur cette terre.
Par Aërandis le 8/3/2002 à 23:51:35 (#1086800)
Vivre toujours, quand chaque mot blesse;
C'est le choix qu'a fait le pauvre vagabond,
Pour ne point accabler son aimée de démons.
Vivre, comme une petite feuille sur terre,
Baladée par les vents, toujours solitaires,
Tel est le destin du pauvre ménestrel
Dont le coeur usé a sombré dans le madriel.
Vivre, comme le ferait un mort-vivant,
Vivre, des plaisirs du luth et du chant,
Vivre, mais est-ce vivre sans sentiment ?
Vivre, cela m'apporte tellement de tourment.
Aujourd'hui, je ne peux plus partir,
Car cela voilerait à jamais son sourir,
Me voila condamner à errer sans fin
Sur les pentes sinueuses du destin.
Par Aërandis le 9/3/2002 à 12:23:58 (#1087476)
Aimer, blesse mortellement le coeur,
Aimer, apporte beaucoup de malheurs;
Certains parle de bonheur, de lumière....
Je n'ai pourtant eu qu'un retour amer.
Donner, tout son corps, toute son âme,
Donner sa vie pour sa belle dame,
Je l'aurais fait sans hésitations
Même si elle n'y aurait prêté attention.
Etre une ombre, invisible au regard,
Un point sombre, sur un décor noir,
Je n'étais que cela à ses yeux,
Je ne pouvais point espérer mieux.
Voila la source de mon désespoir,
Maintenant, je ne peux plus la revoir,
Est ce donc là , l'amour que j'ai chanté ?
Je n'appelle pas sa: la félicité.....
Par Xatar Lokrya le 9/3/2002 Ã 12:29:08 (#1087507)
Sinon, même si c'est triste, tu écris toujours aussi bien....
Par Aërandis le 11/3/2002 à 18:09:34 (#1101209)
Parcourt tout le monde, et parcourt la terre,
Parcourt donc avec moi les chemins de naguère,
Découvre, les grandes batailles d'autrefois,
Rencontre les glorieux héros, les fameux rois.
Viens donc avec moi dans les anciennes cours elfiques,
Contempler la beauté de ce peuple mythique,
Te délecter d'un chant aux accords mélodieux,
Résonnant jusqu'à la demeure des dieux.
Oublie quelque peu ta vie, l'espace d'un chant,
Pour remonter avec moi, Ã travers le temps.
Evade toi, l'espace d'un petit couplet,
En des lieux dont tu n'oublieras la beauté.
Je te montrerai les plus belles clairières,
Les plus belles plages qui jallonent la mer,
Où nous contempleront ensemble l'aurore,
A l'heure où la mer se teinte de pourpre et d'or.
Tu me demande si je suis magicien,
Regarde, de grimoire ou de bâton je n'ai point,
Mais par la grâce de ma harpe et de mes chants,
Je te fais rêver, écoute le barde errant.
Qu'appelle t on LIBERTE ?
Par Aërandis le 11/3/2002 à 20:50:14 (#1102587)
La Liberté, c'est n'avoir point de craintes,
Etaler sans restriction ses propres vérités,
Voila ce qu'est, pour moi, la vrai Liberté.
Un oiseau glissant dans le vent,
Sans aucune prise sur le monde apparent,
Il ne connait, ni limites, ni frontières,
Il fait son nid où il veut, partout sur cette terre.
Un vagabond, errant au gré de son coeur,
Qui ne connait, ni vassauts, ni seigneurs,
A qui de droit, il accorde sa loyauté,
Mendiant, ou grand roy, voila sa Liberté.
La Liberté, c'est pouvoir faire ses choix,
Sans que plane une menace ou un roy;
Laissant sa sinistre ombre sur vos décisions,
Un des plus beaux cadeaux de la création.
Par Aërandis le 11/3/2002 à 20:51:07 (#1102599)
Par Aërandis le 11/3/2002 à 20:52:52 (#1102613)
Alors que se révèlent toutes mes peurs,
Une main sombre déchire ma pauvre âme,
Quand j'apprend le mariage de cette dame.
Quel est dans ma bouche, ce goût amer,
Ce parfum de tristesse qui me désespère,
Cette joyeuse mélodie qui me rend triste,
Cette carte, qui me met sur une fausse piste.
Je ne puis que vous souhaiter le bonheur,
Même si cela ne plaît point à mon coeur,
Puisse Sélène bénir votre tendre union,
Le pauvre ménestrel retourne à ses démons.
PS: ce post n'a rien de rp (pour le moment en tout cas)
Par L'ange-Teclis le 11/3/2002 Ã 23:22:30 (#1103782)
Par Adon Lys le 12/3/2002 Ã 7:34:36 (#1104547)
Par Aërandis le 12/3/2002 à 22:35:20 (#1108571)
A ouvert les portes du malheur,
Puis a étendu son domaine,
Su ces terres couverte de peine.
Il règne en grand seigneur,
Armé de tristesse et de peur,
Il réduit en esclave ses sujets,
Voici le devenir du damné.
L'espérance bannie de ce pays,
A trouvée refuge chez des amis,
Mais cependant, point de retour,
Ne semble possible pour toujours.
Mieux vaut il vivre sous le fouet,
Ou mourir emplie de Liberté,
Le barde ne peut point choisir,
Car mourir, c'est oublié son sourir.
Le voila vivant mais mort,
Ame inerte dans un corps,
Qui a perdue toute envie,
Qui perd peu à peu la vie.
Par Aërandis le 15/3/2002 à 22:42:34 (#1123122)
Pour toi, Dame-Flo, jeune sirène,
Pour toi, Dame-Flo, jolie demoiselle,
Pour toi, voici un petit poème
Né dans l'âme du pauvre ménestrel.
Ecoute moi donc ma petite Flo,
Ecoute donc ces mélodieux vers,
En espérant qu'il vogue sur les flots,
Pour résonner jusqu'à ta belle mer.
Puisse tu, au fond des mers de saphir,
Entendre, dans ton palais de crystal,
Ces rimes pour te voir enfin sourir,
Pour éclairer ton visage d'opale.
Puisse tu, malgré tous tes beaux galants,
Entendre, ces mots qui sont carresse,
Professés par le triste barde errant
Au coeur à jamais empli de tristesse.
Pour toi, belle sirène dans l'océan,
Je traverserai les mers de l'horreur,
Pour te faire entendre ce beau chant,
Issu du fin fond de mon pauvre coeur.
Pour toi, fameuse muse des héros,
Je ferai le tour de cette terre.
Et à bord de mon plus vieux bâteau,
Traverserai les dangereuses mers.
Et pour toi, belle déesse d'autrefois,
Je jouerai cette belle musique,
Réservée aux grands parmi les roys,
Car mon coeur brûle d'un feu mystique.
Par Aërandis le 17/3/2002 à 19:22:14 (#1130628)
La dispariton de votre ménestrel,
Mais il a malheureusement été rappelé,
Par ces obligations qui l'oblige à conter.
Si cela avait dépendu uniquement de lui,
Bien sur, il ne se serait aucunement permis,
De vous laisser, en ces dangereuses terre,
Errant sur ces routes en jolie solitaire.
Je te supplierai s'il le faut à genoux,
Pour que passe enfin ton courroux,
Car je ne supporte ce regard méprisant
Qui taillade le coeur du barde errant.
Par Meduse_Sk le 17/3/2002 Ã 20:21:58 (#1131056)
*se demande s'il y a une femme sur Arakas pour laquelle notre malheureux barde n'a pas encore écrit ;) *
Ce post est un joli recueil Aerandis. J'espère qu'il a encore de beaux jours devant lui.
Mais lâche donc ce tonneau de madriel. Tes vers ne sont pas écrits au fond ;)
Par Astridia Corle Lys le 17/3/2002 Ã 20:24:09 (#1131077)
Par Aërandis le 17/3/2002 à 21:52:41 (#1131487)
Dame Astridia, je ne vois pas trop ce que vous voulez dire, mais se sera surement un plaisir de vous rencontrer.
PS: vivi je pose le tonneau de Madriel, je me suis pis au stock personnel d'hydromel du patron.
Par Aërandis le 18/3/2002 à 19:35:38 (#1135067)
Esprit des vers, devenu barde errant,
Depuis des siècles, il parcourt les chemins,
De notre terre, tel est son triste destin.
Enfant issu du peuple légendaire,
Qui fut caché à la grande guerre,
Marin, rejoignant la terre nourricière,
Il devint enfant dans un cimetierre.
La vie tâchée par le sang et par la mort,
La vie jonchée par de nombreux corps,
Aujourd'hui, il a mis fin à tous ses doutes,
Aujourd'hui, il a enfin changé de route.
Fini, pour lui, bataille et combat infinis,
Car ce n'est dans la guerre que née la vie,
Il se tourne, vers ce pent oublié du passé,
Se tourne vers la nature qu'il avait délaissé.
Délaissée, pour se laisser aveugler à tort,
Délaissée, pour la vengeance de ses morts,
Mais cette femme disparue, lui a expliquer,
Que même en tuant, il ne pourrait les ramener.
Merci à toi, qui fut un temps mon précepteur,
A toi mon guide, qui raisonna mon vieux coeur,
En espérant que tu entendra un jour ce chant,
Le dernier hommage, du vieux barde errant.
La fin n'était pas prévue comme sa, mais elle est venue naturellement. J'en profiterai donc pour remercier Dehna, celle qui a su raisonner le coeur du viel elfe. Merci à toi Dehna, puisse tu entendre ces paroles.
Par Aërandis le 20/3/2002 à 20:39:52 (#1145756)
L'émeraude remplace le diamant,
L'un est d'un blanc pur,
L'autre d'un vert chatoyant.
Alors la terre perd son blanc manteau
Pour revêtir les couleurs du joyau.
Les hirondelles reviennent dans le vent,
Voici revenu le temps du printemps.
La nature se teinte de mille couleurs
Là où éclosent autant de belles fleurs,
Et avec le retour des beaux jours
S'annonce le renouveau de l'amour.
Nous sommes donc réunis mes amis,
Pour fêter le renouveau de la vie,
Et pour honorer notre mère nourricière,
Qui nous a fait don de cette belle terre.
Par Dame Belladona le 21/3/2002 Ã 2:43:04 (#1147502)
Par Aërandis le 26/3/2002 à 17:41:52 (#1179744)
Hier encore, vivait un poète destructeur,
Mais aujourd'hui se finit ce triste combat,
Car sur un autre sentier m'on portés mes pas.
J'ai compris que ce n'est par la destruction,
Que j'honnorerai le mémoire de mes frères,
Mais une dame, m'a fait entrevoir la solution,
Qu'est l'amour et la protection de notre mère.
J'ai donc enfin renoncé à ce duel,
Pour me conscré à la création,
Pour enfin suivre la voie ménestrel,
Et vivre de chants et de représentations.
A partir de ce jour je me vouerai à la nature,
Plutôt que de me battre contre ces créatures,
Je vivrai de chants, de poèmes et de vers,
Pour louer les bienfaits de notre belle terre.
Par Shary O'Donnell le 26/3/2002 Ã 17:53:39 (#1179826)
Oubliez ce qui parfois, tous nous chavire,
Si vos pas vous portent dans une ombre,
Quelle qu'elle soit, fut-elle cruelle et sombre,
Sachez qu'il y aura toujours une Barde du Néant,
Pour vous remettre sur la voie que vous prenez maintenant.
PS hrp : j'ai pas encore tout lu, mais la première page m'a déjà éblouie, bravo :)
__________________
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Par Aërandis le 1/4/2002 à 22:12:54 (#1209996)
Pour avoir écarter le péril
Loin du pauvre ménestrel,
Au prise avec ces momies peu dociles.
Toi qui as guérie mes blessures,
Qui m'a protégée de ces créatures,
De ta magie blanche, si pure,
Etincellante mère nature.
Toi qui fut ma lumière,
Dans cet endroit maudit,
Qui me sortit des ténèbres amers,
Je te dois au moins la vie.
Je n'ai malheureusement la force, belle dame,
De vous protéger de ces nephilims et anges,
Laissez donc, mon pauvre coeur et mon âme,
Chanter à travers tout le pays vos louanges.
Sur les chemins de terre et les places de foire,
Devant les temples sacrés et près des fontaines,
Jour et nuir, dans la lumière ou bien dans le noir,
Je vous chanterez vous, vous qui êtes ma belle reine.
C'est tout ce que peut offrir,
Le pauvre vagabond que je suis,
Ne demandant en échange qu'un sourir
De la part de celle qui illumina sa nuit.
*regarde le résultat*
Un peu chaotique quand même, non ?
Par Dame Belladona le 1/4/2002 Ã 22:20:26 (#1210027)
Quelques étoiles de vie ne sont que peu de choses pour préserver la santé d'un sublime Barde qui nous régale de ses oeuvres chaque jour que Dalaï béni de ses Paroles ...
Superbe Aërandis, comme toujours ...
Par Aërandis le 1/4/2002 à 22:28:18 (#1210072)
Et puis, si vous apprécier mes oeuvres, je serai toujours là pour vous chanter quelque chose.
Par Aërandis le 2/4/2002 à 13:04:21 (#1212114)
Ce bousculent dans mon esprit,
Depuis que tu as sauvé ma vie,
Que tu m'as ramené sur terre.
Tous ces poèmes, toutes ces rimes,
Qui ne passent la barrière des mots,
Face à quelque chose d'aussi beau,
Que ton merveilleus sourir qui m'illumine.
J'aimerais tant pouvoir chanter,
Ta grâce, ton immense beauté.
J'aimerai tant réussir à te dire,
Ce que je ne fais qu'écrire.
Je grave ton ces mots sur papier,
Et peut être, qui sait, qu'un jour,
Je de chanterai ce poème en entier,
Pour te clamer haut et fort mon amour.
Par Shary O'Donnell le 2/4/2002 Ã 13:21:25 (#1212196)
Ne cessez pas de transcrire vos paroles sur papier,
De votre gorge ou de votre plume ils sont si beaux,
Et expriment bien plus ce que veulent dire des mots.
Si vous devez peut-être un jour,
Parler d'espoir ou bien d'amour,
Laissez vos douces mains décrirent,
Sur le parchemin, le moindre de vos sourires.
Ne vous forcez pas à le dire,
Ne faites pour l'instant que l'écrire,
Car il est si rare que quelqu'un puisse exprimer,
En vers, autant de sincérité.
Barde, vos mots touchent cette femme qui est le thème,
De ce nouveau et merveilleux poème,
Sachez qu'elle saura y répondre sans hésiter,
Et tout ce qu'elle a à dire, vous avouer.
__________________
http://perso.wanadoo.fr/shary/Selinda2.jpg
Par Aërandis le 2/4/2002 à 18:03:10 (#1213786)
Qui errent à jamais sur les routes,
Battant du pied d'étranges chemins,
Semés d'embûches et de doutes.
Mais il est des guides miséricordieux,
Petite lumière dans un monde ténébreux,
Que l'on croirai, envoyés par les dieux,
Pour aider le vagabond malheureux.
L'un d'entre eux, guide vers la gloire,
Vous sort de l'ignorance et du noir,
Puis vous plonge un bien triste soir,
Dans le gouffre sombre du désespoir.
Un autre vous guide vers la sagesse,
Vous faisant comprendre votre détresse,
En vous expliquant qu'elle n'aura de cesse,
Si vous plongez d'autres dans la tristesse.
Puis enfin, passe un guide humain,
Qui vous conduit vers les beaux jours,
Qui vous prend doucement la main,
Qui vous ensorcel, on l'appelle Amour.
Tous ces guides, le vagabond les a connus,
Au fil de la longue route de sa sombre vie,
Et part ces quelques vers bien entendus,
Espère aider quelques peu vos jeunes esprits.
Car certains guident se font feu-follets,
Vous égarent dans une étrange forêt,
Pour que vous vous rendiez compte une soirée,
Que vous vous êtes fait simplement voler.
Par Meduse_Sk le 2/4/2002 Ã 18:15:11 (#1213884)
*se cherche et se trouve dans la liste de guides *
Ce n'est pas moi qui t'ai montré le chemin de la taverne, enfin je ne me rappelle pas :)
Continue Barde, l'oeuvre prend forme.
Par Aërandis le 2/4/2002 à 18:39:09 (#1214019)
Par Aërandis le 2/4/2002 à 21:16:57 (#1215022)
Toi qui efface ma tristesse,
De ton doux baiser, une nuit,
Tu efface tous mes ennuis.
Vieille amie des jours anciens,
Toi au moins, ne change pas,
Tu fais toujours mon malheur tien,
Peu à peu, l'oublie viens en moi.
Compagne de fêtes,
Même si au petit matin,
Dans ma pauvre tête,
Tu distille ton doux venin.
Tu m'as fait visité mille pays,
M'as fait voir mille créatures,
Que même notre mère nature
N'as crée au fond de son esprit.
Partenaire de la douce évasion,
Ensemble nous quittons la terre,
Vers un monde emplit de passions,
Qui n'est qu'un rêve éphémère.
Petite bouteille ou grand tonneau,
Tu revet mille et un visages,
Bière, madriel, ne sont que des mots,
Pour désigné ce doux corsage.
Par Meduse_Sk le 3/4/2002 Ã 3:59:11 (#1216337)
Pourtant j'aurais parié que j'y étais je me suis reconnue ne mens pas Aërandis.
Par Aërandis le 3/4/2002 à 12:24:30 (#1217612)
Par Aërandis le 6/4/2002 à 20:13:51 (#1238249)
Mais ce n'est qu'un au revoir,
Je ne vous dis pas adieu;
Je ferais bien trop d'heureux.
Le viel elfe a la vie dure
Mais une vieille blessure,
Le rappelle au loin,
Il suivra son chemin.
Par Meduse_Sk le 6/4/2002 Ã 22:33:20 (#1239094)
Par Khera Agaroth le 7/4/2002 Ã 3:42:17 (#1240115)
Carnet de voyage: Départ
Par Aërandis le 16/4/2002 à 14:03:39 (#1294469)
Laissant mon pays et mon amour,
J'ai rassemblé tout mon courage,
Mais je pense à elle tous les jours.
Dans chaque visage je revois ses traits,
Dans chaque voix, sont chant mélodieux,
Je fais des efforts, mais ne peux rester abstrait,
A l'envie de l'embrasser, de plonger dans ses yeux.
Le ciel bleu est parcouru de nuages
Qui forment de bien étranges dessins,
Mais toujours j'y retrouve son visage;
L'éloignement est un sinistre assassin.
Son sourir hante mes rêves et mes nuits,
Me laissant, le matin, en proie au désespoir,
Je me réveille pour plonger dans l'ennui,
Plus je m'éloigne, plus je deviens noir.
Mais ce voyage, d'une importance capitale,
Doit malgré tout, sans cesse, se poursuivre,
Même si ma raison se vend sur l'étale,
Je ferai tout pour la revoir, survivre.
Carnet de voyage: Toujours plus loin
Par Aërandis le 16/4/2002 à 14:09:13 (#1294501)
Vers d'autres cieux, d'autres rivages,
Cette traversée, devient un naufrage,
Je me languis de son doux visage.
Le vent qui emplit la voilure,
Porte en lui sa douce voix,
Rouvrant cette douloureuse blessure,
A chaque souffle, Ã chaque fois.
La mer dans son drap bleu,
M'ensorcelle chaque matin,
Je crois plonger dans ses yeux,
Et réalise qu'il n'en est rien.
Mais même si je me languis,
En voyant cette mer infinie,
De tristesse, m'offre un répit,
Car en elle je retrouve ma mie.
Carnet de voyage: Sur le retour
Par Aërandis le 16/4/2002 à 14:13:48 (#1294527)
Car demain je rentre au pays,
Je vais enfin revoir mon amour,
Ma douce dame, ma tendre mie.
Mon coeur est emplit de joie,
Car voila ma foi bien longtemps,
Cela fait bien plusieurs mois,
Que je ne l'ai serrée tendrement.
Pour chaque pas fait vers elle,
Mon coeur bat une antique symphonie,
Le mélancolique chant du ménestrel,
Se transforme en une danse de vie.
J'imagine déjà le moment
Où je la verrai dans les bois,
Je l'embrasserai passionément,
Comme si s'était la dernière fois.
Par ShinningTooth le 17/4/2002 Ã 21:00:13 (#1302227)
Ils ont été temoins de tant d'emoi
De tout les amoureux les ebats
Mais aussi des secrets dis tout bas
Si ils devaient parler !
Que de secrets ils reveleraient !
Peut etre meme des feux allumeraient
Qui les detruiraient peut apres...
Alors les arbres sont muets
A eux tjrs l'on peut se confier
A ses grands amis enfeuillés
Ce petit mot je voulais dedier
Un poème....
Par Aërandis le 19/4/2002 à 18:53:12 (#1312919)
Pour cette fleur,
Voici un poème
Pour mon coeur.
Quelque vers dans le vent,
Un chant perdu dans le temps,
Se pose sur se visage ravissant,
Pur comme celui d'une enfant.
Voici un poème
Pour cette dame,
Voici un poème
Pour l'écrin de mon âme.
Quelques paroles douce
Pour ravir son sourir,
Un soir couché sur la mousse
Avant de s'endormir.
Un poème
Pour ma lumière,
Un poème
Pour le joyau de la terre.
Quelques insignifiants vers
Chanter quand le soleil
Se couche sur la mer
Nous promettant monts et merveilles.
Par Shary O'Donnell le 20/4/2002 Ã 13:08:13 (#1316570)
Le moindre de mes sentiments,
Juste pour lui faire comprendre,
Que de lui je viens de m'éprendre.
Un poème pour lui avouer,
Enfin ces mots cachés,
De ceux que l'on veut entendre encore,
Qui font de notre vie un trésor.
Un poème juste pour lui montrer,
Que je renie mon passé,
Avec lui est le présent,
A jamais et pour longtemps.
Un poème juste pour cet être peu banal,
Pour celui qui, de moi, chasse le moindre mal,
Des vers simplement pour lui prouver,
Qu'il est mon présent, mon futur, mon éternité.
__________________
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Par Aërandis le 20/4/2002 à 19:09:18 (#1318296)
Qui nage dans le bonheur,
Puisque son plus cher voeux,
Son amour, lui a offert son coeur.
Aujourd'hui son seul désir,
Aujourd'hui son seul voeux,
Protéger ce beau sourir,
Ce cadeaux des dieux.
Pour son seul plaisir,
Je chanterai nuit et jour,
Pour le meilleur et le pire,
La chanson de notre amour.
Je chanterai son immense beauté,
Sa grâce, sa si mélodieuse voie,
Ses yeux, pareil a une nuit d'été,
Qui me troublèrent tant de fois.
Je vis aujourd'hui un beau rêve,
Grâce à cette très belle dame,
Je prie pour que rien ne s'achève,
Pour vivre à jamais cette flamme.
Par Aërandis le 23/4/2002 à 16:39:47 (#1333218)
A pris dans l'écrin de son coeur,
L'âme du bienheureux ménestrel,
Pour le combler de bonheur.
Ce soir sur la plage,
Sous la lumière des étoiles,
Son radieux et chaleureux visages,
Laissa glisser tous ses voiles.
Ce soir dans le ciel,
Elle brilla sur ma vie,
Bien plus que le soleil,
Et illumina ma nuit.
Et ce soir, le troubadour,
A comblé son coeur et son âme,
Car il a enfin trouvé l'amour,
Dans les bras de cette femme.
Par Aërandis le 26/4/2002 à 18:56:58 (#1350752)
Et cours la terre,
Cours le bonheur
Toi qui fut solitaire.
Saute dans le vent,
Plonge dans les nuages,
Traverse le temps
Vers d'autres rivages.
Pousse ton cri;
Déclame ton chant !
Honore la vie,
Tu es vivant !
Puis repose toi
Près de cette femme.
Qui te donna la foi
Et raviva ta flamme.
Par Aërandis le 27/4/2002 à 12:33:53 (#1354770)
Caché au creux de son âme,
J'ai laissé mon amour
Se réchauffer à sa flamme.
Dans un coffret d'argent,
Tout au fond de son coeur,
Guidé par l'esprit du vent,
J'ai trouvé mon bonheur.
Sans forcer les serrures,
J'ai trouvé ces trésors,
Qui sont, par nature,
Plus précieux que l'or.
Je suis en ce jour,
Le plus riche iagonnite,
Car j'ai reçu l'amour
De cette beauté sans limite.
Par Aërandis le 27/4/2002 à 12:41:24 (#1354828)
Se remet de ses blessures,
Infligé par ce sort trop puissant,
Usant des forces de la nature.
Pour sauver son ami,
Pour refermer ses plaies,
Il usa de sorts, pour lui, interdit
En utilisant ses clefs.
Mais sa force, peu puissante,
Qui ne pouvait suffir,
Fut à peine suffisante,
Pour lui éviter de mourir.
Laissant au sol, deux corps,
Impuissants cadavres,
Si proche de la mort,
Partant pour les havres.
Mais la déesse des mystères,
Envoya son messager,
Sauvé sur cette terre,
Son disciple, et le barde agé.
Je remercie ce hérault,
Qui par sa magie,
Sauva Don, ce héros,
Le ramena à la vie.
Voila, cent poèmes tout rond
Par Aërandis le 27/4/2002 à 12:42:53 (#1354838)
Voila, le précédent c'était mon centième poème sur ce post, sa se fête.
Par Meduse_Sk le 27/4/2002 Ã 12:43:53 (#1354842)
Vous êtes deux a présent en cette seule soirée à lui devoir la vie.
Par Aërandis le 30/4/2002 à 16:37:17 (#1375605)
Porte la terre, son corps de reine,
Au paradis, en enfer, ou sur d'autre rivages,
Jamais on ne vit de plus radieux visage.
Passe la vie, et passe le temps,
Passe la mort, et passe le monde,
Rien ne séparera les amants,
Ni la folie humaine, ni la terre qui gronde.
Rien ne pourra jamais les séparer,
Car comme deux étoiles cette soirée,
Ils sont unis ensemble pour toujours,
Car éternellement brûle la flamme de leur amour.
Par Aërandis le 1/5/2002 à 12:14:27 (#1379839)
En vivant tranquillement de ses mots,
Calmement auprès de mère Nature,
Mais ces fous ont rouvert ses blessures.
Le ménestrel pensait vivre en paix,
A son destin, il pensait échapper.
Mais de nouveau, les fous sont là ,
Et le barde repart sur les routes d'Althéa.
Souffle de nouveau, le vent de sa colère,
Tempête, où qu'ils soient sur cette terre,
Le vagabond déterre la hache de guerre,
Contre ces fous, Ã la douleur amer.
PS: *sourit* tiens s'était le 200ème post, sa se fête aussi sa, non ?
Par Meduse le 1/5/2002 Ã 14:15:17 (#1380426)
Par Aërandis le 3/5/2002 à 18:55:35 (#1392459)
*chuchotte* Euh... tu peux pas me prêter quelques pièces d'or ?
Souffle le vent de la mélancolie,
Souffle la brise de la tristesse,
Surmon coeur et sur mon esprit,
Lançant un silencieux SOS.
Mon âme chavire sous la tempête,
Chavire sous ce tourbillon meurtrier
Qui sévit dans ma tête,
Me rendant fou à lié.
Le coeur emporter par la folie,
Je quitte doucement cette terre,
Pas en corps, mais seulement en esprit,
Sentant dans la bouche ce goût amer.
Je m'envole très loin d'ici,
Ma raison déclare forfait,
Face à l'inconscience de ce pays,
Je ne suis qu'un être imparfait.
Par Aërandis le 3/5/2002 à 18:59:09 (#1392496)
Chante l'amour et non la guerre;
Chante nos existences éphémères....
Fête la vie, fête le soleil,
Fête cette terre de merveilles,
Fête cette beauté sans pareille.
Danse la vie, danse le monde,
Danse avec nous, cette belle ronde,
Danse ! Même quand le mal gronde.
Et vis cette vie, intensément,
Vis ! Comme un oiseau dans le vent,
Vis chaque instant; comme deux amants...
Par Murdock de Fanel le 3/5/2002 Ã 19:13:04 (#1392591)
Son regard se posa sur une pomme
Jamais il n'avait vue pareil splendeur.
Si belle que n'osant la toucher il la regarda
Les nuits passerent et il comptemplait toujours cette merveille
Mais au bout d'un certain temps elle brunis et tomba , pourris, atterissant devant le vagabond.
IL n'avais oser toucher pareil beauté.
Les choses finissent toujours par perdre leur beauté a vous d'en profiter qu'en vous en avez encore l'occasion.
Voila j'espere que ca vous a plu
Par Aërandis le 4/5/2002 à 12:29:54 (#1396667)
Hommages aux héros anonymes.
Allongé sur cette table de torture,
Souffre durement cet homme qui fut libre,
Le corps entièrement couvert de blessures,
Sentant la douleur dans les moindres de ses fibres.
Entouré de badauds, sur la place publique,
Est attaché, sur le terrible chevalet,
L'homme qui avait foi en la république,
Ses idées, il ne les a jamais ravalées.
Emprisonné au fond des geôles profondes,
Croupit seul, le fier meneur des rebelles,
Mais il ne sera point oublié du monde,
Tant que cette terre portera des ménestrels.
Tous ces grands hommes ce sont battus et sont morts,
Se sacrifiant pour leurs idées, pour leur foi,
Ils ont souffert dans leurs âmes et dans leur corps,
Pour pouvoir ouvrir à leur descendants la voie.
C'est notre grande mission, notre gloire,
Que de chanter leurs actions et leurs hauts faits,
Afin que reste dans toutes les mémoires,
Le souvenir de ces braves hommes défaits.
Afin que les enfants sachent que leur père,
C'est sacrifié pour son amour envers eux,
Pour ce peuple qu'il aime, pour cette terre,
En espérant que les hommes vivent heureux.
Par Dame Belladona le 4/5/2002 Ã 12:41:22 (#1396731)
D'autant plus admirable que cet acte est ... rare.
Par lorelei la guerrière le 4/5/2002 à 12:49:17 (#1396780)
Par Aërandis le 4/5/2002 à 13:42:51 (#1397201)
Mais le devoir des ménestrel est de garder leur légende vivante pour que ces hommes restent dans les mémoires à jamais.
Un mot
Par Aërandis le 10/5/2002 à 12:49:17 (#1435149)
Un mot pour décrire tant de grâce et de beauté,
Pour décrire cette dame, vraiment magnifique,
Qui emporta dans le secret de son coeur ma liberté.
Il n'existe pas un mot, dans les langues connues,
Pour exprimer ce sentiment plus grand que l'amour,
Ce sentiment que j'ai ressenti dès que je t'ai vue,
Ce sentiment qui donna un sens à mes vieux jours.
Il n'existe pas un mot, dans le chant des dieux,
Pour parler de mon heureuse vie d'aujourd'hui,
Pour raconter le bonheur d'un homme plus qu'heureux,
Combler par cette femme qui illumine mes sombres nuits.
Ce mot que j'ai si souvent espéré, si souvent rêver,
Ce mot, a pris forme sur les belles terres d'Althéa,
Ce mot, après tant de temps, je l'ai enfin trouvé,
Ce mot, ou devrais-je dire ce nom..... Selinda.....
Par Adon Auglamyr le 10/5/2002 Ã 16:55:08 (#1436745)
Par Keelala le 10/5/2002 Ã 16:55:43 (#1436749)
L'ère de Lùgh
Par Aërandis le 11/5/2002 à 1:17:52 (#1439743)
Colère envers les fous qui l'ont défiée,
Qui ont bravé les lois écrites naguère,
Et dans son cercle sacré ont sacrifiés.
Fellil se fait tempête sur le monde,
Cyclone impitoyable chargé de nuage,
Aux quatre coin on l'entend qui gronde,
La colère révèle encore un autre visage.
Lahmet lui se fait vague déferlante,
Irrésistible et puissant tsunami,
Unit dans la tempête tombante,
Submergeant de ses flots ces impies.
Dehom ne perd rien de son sang froid,
Sa colère est implacable et méthodique,
Des séïsmes et volcans il est roy,
Pour punir les nécromants au rites maléfiques.
Et Mirham s'incarne alors sur terre,
Brûlant ses ennemis dans les flammes,
Incarnation même de notre Colère,
Il brûlera leurs coeurs et leurs âmes.
Alors que se déchaînent les éléments,
Les druides sortent leurs longues lames,
Et laisse loin derrière dans un couvent,
Leurs calmes et pacifiques âmes.
Ces fousse sont moqué de la puissance,
De la force infinie des enfants de Nature,
Qu'ils implorent maintenant sa clémence,
Cela ne leur évitera point les mortelles blessures.
Par Dame Belladona le 11/5/2002 Ã 5:20:59 (#1440191)
*est heureuse de l'avoir respectée et jamais défiée*
*ne voudrait subir son châtiment*
Par Aërandis le 12/5/2002 à 17:42:10 (#1449395)
Qui illumine ma vie,
Une femme au combien belle,
Qui occupe mon esprit.
C'est une rose de velour,
A la tendre robe rosée,
Qui respire l'amour,
Que je n'ai point osé.
C'est une magicienne,
Qui m'a lancé un charme,
Qui a fait mon âme sienne,
Qui me fit baisser les armes.
Elle est tout cela
Et bien plus encore,
La plus belle d'Althéa,
A la chevelure d'or.
Femme de ma vie,
Femme de mon coeur,
Reçoit mon amour infinie
Puisse t il faire ton bonheur.
Voila, un petit poème qui est venu tout seul... :amour: :amour:
Par Shary O'Donnell le 12/5/2002 Ã 19:04:52 (#1450009)
Et encore, "magnifique" n'est pas un mot assez grand pour qualifier ce poeme :)
____________
http://perso.wanadoo.fr/shary/Selinda2.jpg
Par Aërandis le 12/5/2002 à 20:56:30 (#1450698)
Belle, un coucher de soleil
Sur l'océan de mon amour,
Qui le teinte de vermeille
Quand s'échappe le jour.
Grâcieuse, une ravissante fée
Qui dance autour du grand feu,
Dans une suite de pas parfait,
Comblant de merveilles nos yeux.
Tendre, un petit lit de mousse
Dans une clairière au fond des bois,
Quand la nuit se fait douce,
C'est qu'elle est auprès de moi.
Attentionné, une douce prêtresse
Dans un petit hôpital de fortune,
Chassant loin d'eux la tristesse,
Quand le destin les importune.
Telle est la douce et belle dame,
Qui mit le feu à mon vieux coeur,
Qui embrasa mon ancestrale âme,
Dans les flammes du bonheur.
Par Aërandis le 14/5/2002 à 22:10:53 (#1463636)
Volent jusqu'Ã ma belle reine,
Je traverses les vieux hameaux,
D'un bout à l'autre de la plaine.
Le ciel s'obscurcit sur mon chemin,
M'emplissant de sombres doutes,
Sur le temps qu'il va faire demain
Lorsque je serai sur la route.
Mais une pensée m'emplit de joie,
Me pousse quand je manque de courage,
C'est quand je pense tendrement à toi,
Que dans mon esprit plane ton visage.
Alors que ces vers s'envole vers ma dame,
Je continue ma route vers ma belle,
En espérant que les vers de ma flamme,
Arriveroint avant le vieux ménestrel.
Par Aërandis le 18/5/2002 à 13:51:19 (#1484679)
J'ai battu bien des chemins.
Vivant au gré de l'infortune,
Vivant sous un étrange destin.
J'ai longtemps courru sur la terre,
Courant à travers la nuit.
Poursuivant de sombres chimères,
Voulant m'venger d'mes ennemis.
Et j'ai fini par tomber au sol,
La corps tout ensanglanté;
Moi qui ne maîtrisait le vol,
Je l'ai malheureusement tenté.
Toujours étendu dans le noir,
J'allais bientôt perdre esprit.
Je n'avais plus aucun espoir,
Je fis mes adieux à la vie.
Mais un ange est descendu du ciel,
Une femme au coeur si pur.
Elle me soigna pendant mon sommeil,
Et pansa toutes mes blessures.
A mon réveil, elle était encore là ,
Elle me veillait toujours,
La plus belle femme d'Althéa,
Celle qui me fit connaître l'amour.
Et aujourd'hui je ne vit que pour elle,
La servant sans aucune restriction.
C'est pour elle que chante le ménestrel,
Pour un sourir, une bénédiction.
Par lorelei la guerrière le 18/5/2002 à 14:00:18 (#1484740)
Provient du message de Aërandis :
Elle me soigna pendant mon sommeil,
Et pansa toutes mes blessures.
A mon réveil, elle était encore là ,
Elle me veillait toujours,
Ah les soigneuses panseuses masseuses guérisseuses benisseuses, c'est le rêve des hommes qui traverse les âges sans prendre de ride ;)
Par Aërandis le 19/5/2002 à 11:04:25 (#1488256)
Une nuit, une vie...
Par Aërandis le 21/5/2002 à 18:13:14 (#1501336)
Le barde marchait tranquillement sur la plage,
Avançant calmement le long des dunes,
Contemplant la beauté de ce rivage.
Mais sur une dune, non loin de là ,
Apparaît une gracieuse et frêle silouhette,
Un bien belle femme, si je ne me trompe pas,
Chantant d'une douce et tendre voix fluette.
Le vent fait danser sa longue robe clair,
Révélant un corps si beau, si gracieux,
Que je crus contempler une déesse de naguère,
Du moins, c'est ce que me disaient mes yeux.
Un rayon de Lune tombe sur sa chevelure,
Illuminant sa longue couronne d'ébène,
Formant la plus belle de toutes les parures
Qu'ait jamais été portée par une reine.
Puis lentement elle se tourne vers moi,
Révélant son magnifique visage,
Sa seule vision mis mon coeur en émoi,
Jamais je n'oublierai cette nuit sur la plage.
Ses yeux, aux douces couleurs émeraudes,
Se fendaient en deux grandes amandes,
Inspirant à mon coeur plus de mille odes,
Accédant aux plus folles de ses demandes.
Alors, dans un éclair, son ravissant sourir,
Eclaira son radieux et si joli minoi,
Avant de laisser couler son joyeux rire,
Qui me coupa instantannément la voix.
Puis elle repartie comme par magie,
Laissant ce supêrbe tableau dans ma mémoire,
Emportant avec elle toute ma vie,
Et me laissant tout juste un peu d'espoir.
Par Aërandis le 21/5/2002 à 18:18:38 (#1501373)
Alors je contemple ce doux visage,
Qui appaise mon âme en l'emportant
Vers de lointains et calmes rivages.
Là bas, me voila accablé de tristesse,
Puis m'illumine ce radieux sourir,
Qui me transporte d'allégresse,
Et qui emporte tous mes soupirs.
Enfin m'assaille la peur de la mort,
La peur de briser ce moment d'éternité,
Mais je sent ces mains sur mon corps.
Sa voix me dit que je n'ai pas à m'inquiéter.
Elle guérit mes moindres maux,
Efface mes soucis et mes faiblesses,
Mais moi, je n'ai que ces quelques mots,
Pour remercier mon amour, cette déesse.
Par Aërandis le 22/5/2002 à 18:58:36 (#1507981)
Cette douleur me tue lentement,
Cette incommensurable peine,
Que d'avoir perdu cet être charmant.
Plus il pénètre dans mon corps,
Plus s'étendent ces tristes ombres,
Qui me tirent vers le royaume des morts,
Pour quitter ce monde si sombre.
Il m'a plongé dans un monde noir,
Et m'a retiré tout goût à la vie,
Doucement je sombre dans le désespoir,
Et dans mon coeur ne subsiste qu'une envie.
Mais cette vermine me ronge inexorablement,
Me condamne sans pitié au trépas,
Car ici je subit mille tourments,
Une salle de torture, voila ce qu'est Althéa.
Alors je quitte cette triste terre,
Pour rejoindre les plaines d'au delà ,
Et au fond de mon coeur j'espère,
Que je la retrouverai là bas.
Par Aërandis le 22/5/2002 à 21:46:39 (#1509255)
Il serait dans tes yeux,
Faisant de moi un héros
Lorsque je plonge en eux.
Si l'amour était une mélodie,
Il serait ton doux rire,
Illuminant ma pauvre vie,
Lorsqu'il franchit ton sourir.
Si l'amour n'était que mots,
Je le mettrais dans mes vers,
Le chantant de villages en hameaux,
Pour le répandre sur terre.
Mais l'amour n'est que silence,
Il est dans tes gestes, ton regard,
Qui me réduisent à l'impuissance;
Abandonnant ma vie à ton égard.
Par Aërandis le 22/5/2002 à 21:56:51 (#1509340)
Comme je plonge dans un rêve,
Emplit de trésors merveilleux,
Qui m'attirent et m'enlèvent.
Ici je plonge en ton coeur,
Traversant cet étrange monde,
Où tout n'est que bonheur;
Où nous sommes un, une seconde.
Dans ce magnifique pays,
Je suis ton preux chevalier,
Terrassant tous tes ennemis,
Défendant ma douce alliée.
Et je vole à travers les cieux,
Je parcourt cette immense terre,
Que sont tes beaux yeux bleux,
Où je plonge, puis me perd.
Hypnotisé par ce doux regard,
Courant dans ce jardin fleuri,
Je demeure immobile et hagard,
Enlaçant tendrement ma mie.
Le sonnet du barde errant
Par Aërandis le 22/5/2002 à 22:11:05 (#1509451)
Lancés doucement dans le vent,
Vivent les craintes et rêves éphémères,
Du pauvre barde errant.
Dans ces lignes mon coeur,
S'épend et s'immobilise,
Déversant joies et malheurs
Qu'emportent la douce brise.
Et mon coeur s'en va, vagabond,
Abandonnant son histoire, son nom,
En partant vers d'autres horizons.
Il ne reste plus que mes sentiments,
Abandonnés au gré du vent;
Abandonnés au gré des tourments.
Par Rhakim Solari le 23/5/2002 Ã 0:25:05 (#1510510)
Par Aërandis le 24/5/2002 à 18:13:38 (#1520988)
Au fond de mon crâne vide,
Formant cette chaîne infinie,
Face à mon espoir aride.
Il tisse la toile de la tristesse,
Qui garde mon esprit prisonnier,
Qui m'enserre, m'étouffe et m'oppresse,
Qui me rend fou à lié.
Il emplit mes artères et mes veines,
Corrompant la moindre goutte de sang,
Le colorant d'un sinistre noir de peine;
Poison malin, qui me tue lentement.
Il est le sinistre et sombre seigneur,
Portant haut, son étendard noir,
Celui qui d'un regard, détruit les coeurs,
Implacable et froid, tel est le désespoir.
Par Aërandis le 25/5/2002 à 22:45:39 (#1528256)
Au milieu de ces sinistres ombres,
Perdu au fond de cette forêt noire,
Ici où seules survivent les sombres.
Reste il un petit peu de lumière,
Sur ce monde qui lentement se perd,
Un peu de joie sur cette terre,
Un peu d'amour, même éphémère.
Depuis longtemps, perdu est l'amour,
Depuis les hommes, depuis la guerre,
Depuis que la nuit à surpris le jour,
Pour nous plonger dans l'obscurité amer.
Dans les abysses, s'abyme notre monde,
Nous arrivons aux portes de l'enfer,
D'ici j'entends les diables qui grondent,
Des horreurs que je n'ose mettre dans mes vers.
Sur notre si vieille planète,
La vie doucement se meurt,
Voici venue la dernière des fêtes,
Les démons viennent prendre nos coeurs.
Adieu à vous, tous mes amis,
Adieu ce monde, adieu ce pays,
Le ménestrel se lasse de la vie,
Et s'envole doucement vers l'infini.
Les rives de l'illusion.
Par Aërandis le 3/6/2002 à 20:55:58 (#1585971)
De ce fleuve appelé Illusion,
Espérant que de la brume émerge
Le tendre fruit de la passion.
Sur ces rives enchanteresses
J'ai erré pendant de longs mois,
J'y croisis mille déesses
Qui s'envolaient au son de mes pas.
Parcourant seul ce triste paradis,
Je suivais ce fleuve enchanteur,
Qui emplissait mon faible esprit
De promesses d'un proche bonheur.
Je vivais dans un autre temps;
Là bas les années étaient des jours,
Et dans ce monde de faux-semblants,
Je courrai après un mirage d'amour.
Mais un jour à travers le voile
De toutes ces illusions perdues,
Je vis sous la lumière des étoiles
Le lieu où j'étais enfin parvenu.
En poursuivant des mirages,
J'avais atteint cette terre,
Dont parlent les sombres présages,
Ce lieu que l'on nomme enfer...
Ces quelques vers serviront à prévenir
Qu'une fois dans la forêt des illusions,
Il n'existe qu'un moyen d'en sortir,
Qu'une seule et unique destination.
Par Gidzborg Dracks le 3/6/2002 Ã 21:07:39 (#1586053)
Ce que tu as voulu dire Aérandis est tres profond et tres vrai, malheureusement.
*Se laisse bercer par les sons des rimes chantante*
Bravo!! a toi c'est magnifique.
Re: Les rives de l'illusion.
Par Dame Belladona le 4/6/2002 Ã 2:23:00 (#1587574)
Provient du message de Aërandis :
En poursuivant des mirages,
J'avais atteint cette terre,
Le souvenir de ton visage
L'avenir est devenue enfer...
Pardonne moi Aërandis, en lisant ces vers, j'ai eu envie de les changer ... à mon humeur, en versant une larme ...
Par Aërandis le 5/6/2002 à 13:11:32 (#1596633)
Alimente ces longues flammes
Nées du coeur de mes ennemis
Et de leurs sinistres âmes.
Consumme dans ta rage
Mon existence et mon être,
Que tous voient le présage
Qui signifieras leur perte.
Embrase ma vie et mon sang,
Embrase, et détruit la tempérance,
Pour que fonde ce calme apparant,
Et révèle ma colère; ma puissance...
Et fait de mon corps une braise ardente,
Qui nourriras les feu de joie,
Source d'une colère impatiente,
Qui embrasera ce calme froid.
Destin de vengeance
Par Aërandis le 5/6/2002 à 13:21:16 (#1596690)
Vaporisées par ces chaudes flammes,
De mes fourreaux sortent les armes,
Alors le fou brandit sa lame.
En même temps tous mes pleurs,
Disparaît dans le feu; mon coeur,
Et mon âme s'emplie de noirceur;
Pour semer les germes du malheur.
Devenant un homme de glace,
Perdu dans un labyrinthe de colère,
J'extermine sans distinction de race,
Femmes et enfants, voici ma guerre.
Et tant que ce brûlant magma
Inondera mon corps et mes sangs,
La folie s'approchera pas à pas
D'un futur fou; d'un dément.
Je finirai par trouver la mort,
Au bout d'une lame cruelle,
Pour sombrer sans remords,
Dans le sommeil éternel.
Par Aërandis le 10/6/2002 à 16:21:32 (#1628401)
Au bout de laquelle se tient un ami,
Qui s'est laissé abusé par les mots,
Par les mensonge de mes ennemis.
Celui qu'autrefois j'appelais frère,
A perdu toute confiance en moi,
Malmené par des paroles mensongères,
Qui ont fait de moi un ennemi de sa foi.
Mais dans les méandres de la politique,
Un homme a du jouer des marionnette,
Et par quelque sortilège magique,
A du se rendre maître de cet âme honnête.
Malheur à moi qui ne suis mort sur le coup,
Car aujourd'hui je ne sait plus que faire,
Dois je pardonner à celui qui me croit fou,
Où lui faire tenir rigueur de cet acte amer ?
Par Aërandis le 18/6/2002 à 18:01:28 (#1679352)
Quelques mots qui emportent les âmes,
Et quelques vers chargés de bonheur,
Dans le but de faire sourir ces belles dames.
Une légende, une bien longue histoire,
Emplit de héros, de monstres, de magie,
Illuminera une soirée triste et noir,
Et peuplera les rêves d'enfants mille nuits.
Un petit air, la fin d'une soirée de bal,
Deux amoureux qui n'oublieront cette musique,
Et ce jeune qui succombe à la femme fatal,
D'aucun n'oubliera cette nuit magique.
Il rejouera mille fois la même scène,
Semant la joie dans les sillons de ses airs,
Pour y voir fleurir le bonheur après la peine,
Puis repartirent, ombre des mémoires de naguère.
Par Aërandis le 18/6/2002 à 18:05:45 (#1679369)
Joue un air oublié, ou raconte une histoire,
Seules ses paroles resteront en mémoire.
Quels étaient ses traits, sa couleur de cheveux ?
Nul ne le sait, personne n'a vu ses yeux.
Son nom est perdu, peu nimporte, il a fait des heureux.
Il est reparti, dans la rosée du matin,
Parti, tel une ombre, un baton à la main,
Lui même ne sait où il sera demain.
Personne ne sait où le même son chemin.
Par Aërandis le 23/6/2002 à 2:01:06 (#1697583)
Ne peuvent vivre d'amour et de paix,
Pourquoi aime t il tant cette guerre,
Qui laisse derrière elle mort et regrets.
Toi qui ne vit dans cette océan de sang,
Comprend tu seulement la portée des mots,
Qui s'envole beaucoup, beaucoup plus haut,
Que vos lames forgé dans le tourment.
Pas un jour ne passe sur notre monde,
Sans qu'une mère, une famille pleure,
La perte par cet acte plus qu'immonde,
D'un être qui était si cher à leur coeur.
Toi le peuple qui a perdu ses larmes,
Reste il un peu d'eau au fond de ton âme ?
Chaque journée est une succession de drames,
Car votre coeur dort avec votre lame.
Qu'elle douce ironnie du langage,
Que je constate de nos jours,
Car de l'huamin venu des premiers ages,
A disparu l'humanité avec l'amour.
Alors je pleurerai pour cette race,
Qui a un coeur sec comme le désert,
Je pleurerai, tristesse éternelle et fugace,
Et chanterai ma détresse dans les larmes amers.
Par Shary O'Donnell le 23/6/2002 Ã 13:27:44 (#1698799)
Barde, ne gémit pas,
Partout s'étend la guerre,
Comme un avènement des Enfers.
Barde, laisse donc ton coeur,
Ignorer la souffrance de ces heures,
Ne regarde plus ce qu'il y a autour,
Ne pense plus qu'Ã l'amour.
Un mot, pour tous nous sauver,
Un mot, pour les Ténèbres défier,
Si l'on a la foi, la croyance,
Il ne suffit que de ce mot pour basculer la balance.
Barde, toujours existera le tourment,
Car il est hélas le commencent,
De toute chose, de l'univers, de l'humanité,
Sans lui, nous ne pourrions exister.
Alors Barde, ferme les yeux,
Ne songe qu'Ã des instants heureux,
Ils t'aideront sans nul doute à lentement surmonter,
Les épreuves difficiles d'une Ombre sans pitié.
__________________
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Par Aërandis le 1/7/2002 à 22:30:22 (#1741641)
Me rend elle à ce point malheureux ?
Pourquoi cela me brise t il le coeur,
De voir celle que j'aime vivre le bonheur ?
Je l'aime, mais ma douce ne le sait pas,
Je l'aime, elle se réfugie dans ses bras,
Je meurt, me portera t elle un regard ?
Lèvera t elle les yeux sur un homme hagard ?
La voir avec celui qui fut mon meilleur ami,
Les voir ensemble s'éclipser dans la nuit,
Assombrit mon coeur, détruit toute mon âme,
Je désirais une chose, c'était cette dame.
Je ne demandait qu'une chose sur terre,
Connaitre ce bonheur, même éphémère,
Mais les dieux m'ont tracé un autre destin,
Encore une fois je vis sous la pluie, le chagrin.
Doucement mon coeur part à la dérive,
Lentement il s'éloigne de ces tristes rives,
Emportant avec lui sa livre de peines,
Mais, même pour lui je n'ai point de haine.
Ce matin, je part, je les voit au bout du chemin,
Innocents, ils me disent au revoir de la main,
Je part, le coeur chargé de tout un tas de remords,
Je part, car je n'ai qu'une idée en tête: la mort....
Par Aubiwan le 1/7/2002 Ã 22:51:30 (#1741752)
Vraiment, mon ami, je prends toujours autant de plaisir à vous lire.
Toujours aussi époustouflant.
(C' est un réel bonheur que de te lire)
Par Aërandis le 6/7/2002 à 19:22:19 (#1768847)
Toi aussi, pauvre vagabond,
Tu subit les assauts du soleil,
Abandonné, sans compagnon.
Petit nuage poussé par le vent,
Tu traverse l'immense ciel d'azur,
Par delà montagnes et océans,
Fuyant cette profonde blessure.
Petit nuage, toi aussi solitaire,
Tu connais comme moi la pluie
Qui arrose notre douce terre,
Qu'il fasse beau ou moche, jour ou nuit.
Petit nuage, attends moi mon ami,
Car nous sommes semblables,
Deux hères, sans famille ni pays,
Deux vagabond, deux misérables...
Vivre
Par Aërandis le 7/7/2002 à 21:30:44 (#1773279)
Traverser la mer vers d'autres rivages,
Puis sauter dans le vide et saisir un mirage.
Partir un soir, sur la route de l'infini,
Se faire une grande virée avec des amis,
En se disant que rien n'arrêtera la nuit.
Et se réveiller dans un lit quand finit le matin,
Regarder autour de soit, on est déjà demain ?
Et se demander à qui l'on tien la main.
Vivre, croquer cette pomme à pleine dent,
Vivre, se laisser emporter au gré du vent,
Vivre, et ne jamais oublié ses rêves d'enfant.
Par Rhakim Solari le 7/7/2002 Ã 21:34:06 (#1773299)
Re: Vivre
Par Dame Belladona le 8/7/2002 Ã 7:36:42 (#1774897)
Provient du message de Aërandis
Vivre, croquer cette pomme à pleine dent,
Vivre, se laisser emporter au gré du vent,
Vivre, et ne jamais oublié ses rêves d'enfant.
Le secret du bonheur en quelques mots ...
Bravo Aërandis :merci:
Par Seleno Love le 8/7/2002 Ã 8:53:55 (#1775013)
Encore bravo *push power* erf y a pas de prise off :( :)
(tant mieux pour nous :p)
Par Darth Flo le 8/7/2002 Ã 15:54:34 (#1776590)
Provient du message de Aërandis
Pourquoi cette lueur au fond de ses yeux,
Me rend elle à ce point malheureux ?
Pourquoi cela me brise t il le coeur,
De voir celle que j'aime vivre le bonheur ?
Je l'aime, mais ma douce ne le sait pas,
Je l'aime, elle se réfugie dans ses bras,
Je meurt, me portera t elle un regard ?
Lèvera t elle les yeux sur un homme hagard ?
La voir avec celui qui fut mon meilleur ami,
Les voir ensemble s'éclipser dans la nuit,
Assombrit mon coeur, détruit toute mon âme,
Je désirais une chose, c'était cette dame.
Je ne demandait qu'une chose sur terre,
Connaitre ce bonheur, même éphémère,
Mais les dieux m'ont tracé un autre destin,
Encore une fois je vis sous la pluie, le chagrin.
Doucement mon coeur part à la dérive,
Lentement il s'éloigne de ces tristes rives,
Emportant avec lui sa livre de peines,
Mais, même pour lui je n'ai point de haine.
Ce matin, je part, je les voit au bout du chemin,
Innocents, ils me disent au revoir de la main,
Je part, le coeur chargé de tout un tas de remords,
Je part, car je n'ai qu'une idée en tête: la mort....
Arf.. celui la .. est.. epoustouflant!! :eek: :eek:
Tu es formidable Aer :)
Par Aërandis le 8/7/2002 à 23:47:26 (#1778664)
Voila encore un petit poème, pour messire Olivier Lyhrel.
Vision
Je m'envole vers ce ciel d'opale,
Pour plonger dans une mer ovale,
Et je traverse mille nuages,
Pour atteindre ce doux rivage.
A peine ai-je atteint la plage,
Que je tombe au fond des bois,
A chanter avec des oiseaux de passage,
Dans ce monde, je suis le roi.
Dans cette forêt d'un rose lumineux,
Je suis le fleuve des illusions perdues,
Et du fin fond de ce rêve heureux,
J'oublie ce monde plein d'harus.
Ici, je chante avec les oiseaux et danse avec les loups,
Ici je vis ma passion de Nature jusqu'au bout,
Alors l'azur ce fait arc en ciel,
Quand se couchent les trois soleil,
Le ciel se teinte de mille couleurs,
Le ciel reflète mon joyeux coeur.
Et je m'endors doucement,
Au creux de cette douce nuit argentée,
Bercé par le doux chant du vent,
J'espère ne jamais me réveiller.
Par Aërandis le 14/7/2002 à 19:33:04 (#1804847)
Deux personnes à chaque bout d'Althéa,
Un glorieux noble et un anonyme paria,
Deux personnesans aucun point commun,
Sinon le fait d'être tous deux humains...
Le premier est au dessus des lois,
Il ne voit autour de lui que des gueux,
Le second parle du premier, le roy,
Qui se moque bien des miséreux.
Ils sont pourtant tous les deux humains,
Pourquoi a t'on créé tant de différences,
Tant de barrière levées à la naissance,
Qui séparent à jamais leurs deux chemins.
Qu'elle est cette société plus qu'immonde,
Qui fait vivre les hommes avec les chiens,
Pendant que certains gouvernent le monde,
Ils vivent cote à cote et pourtant ne voient rien.
Deux étrangers séparés par une planète,
Deux étrangers cote à cote tous les jours,
Malheureusement la société est ainsi fête,
Mais qui a dit que cela durera pour toujours.
Par Aërandis le 18/7/2002 à 21:44:55 (#1824947)
Où lui parle un instant, pas plus,
Ses intentions sont pures, sans pêchés,
Mais la peur lui dit que tout est perdu.
Tapi dans les sous bois, il admire,
Cette femme aussi belle que surprennante,
Le trésor secret, objet de ses désirs,
Curieuse créature, bravache et innocente.
Elle curieuse a décelé son admirateur,
Mais elle ne comprend point sa pudeur,
Encore moins ses gestes qu'il voudrait discret;
Même son embarras il n'arrive à cacher.
Un sourir amusé illumine son visage,
Mais l'espion ne se sait point découvert,
Inattention; il perd des yeux la sauvage
Qui manque de le tuer en le surprennant par derrière.
La foudre tombe alors entre leurs regards croisés,
Mais la suite n'est pas encore composée,
A toi, mon ami, de saisir cette plume,
Pour écrire la suite sur cette page brune.
Par Aërandis le 18/7/2002 à 21:58:50 (#1825031)
Ange secret de mes rêves,
Sirène qui se languit
Allongée sur la grève.
Enchantement d'un soir,
Qui marquera ma vie,
Quand j'ai croisé ton regard
Mon coeur s'envola vers l'infini.
Tu fait battre mon vieux coeur,
Comme un tambour des tropiques,
Avec ton incomparable douceur,
M'envoute par cette douce musique.
Laisse moi donc par ces doux mots
Ravir un peu de chaleur à ton âme,
Je deviendrai serviteur ou héros,
Comme il te plaira.... belle dame.
Par Zhoak Liushan le 18/7/2002 Ã 23:31:59 (#1825547)
Par Rouquine - X le 18/7/2002 Ã 23:45:49 (#1825602)
Provient du message de Aërandis
Belle dame de mes nuits,
Ange secret de mes rêves,
Sirène qui se languit
Allongée sur la grève.
Enchantement d'un soir,
Qui marquera ma vie,
Quand j'ai croisé ton regard
Mon coeur s'envola vers l'infini.
Tu fait battre mon vieux coeur,
Comme un tambour des tropiques,
Avec ton incomparable douceur,
M'envoute par cette douce musique.
Laisse moi donc par ces doux mots
Ravir un peu de chaleur à ton âme,
Je deviendrai serviteur ou héros,
Comme il te plaira.... belle dame.
*S'en vient justement payé son dû*
:merci:
Par Aërandis le 22/7/2002 à 22:37:30 (#1844791)
Tendre compagne du solitaire,
Amantes du malheureux soulard,
Qui a connu le malheur sur terre.
Toi qui embrasse les infortunés,
Les oubliés des dieux de l'amour,
Les pauvres âmes des damnés,
Qui ne connaisse même pas le jour;
Toi au moins tu nous est fidèle,
Tu n'as jamais trompé tes compagnons,
Qui finissent comme le ménestrel:
En proie à leur vieux démons.
Belle demoiselle, voici mon hommage,
Vers amoureux d'un homme perdus,
Qui ne connait que trop bien ton visage,
Que je rencontre à chaque coin de rue.
On l'a emmené....
Par Aërandis le 23/7/2002 à 22:00:40 (#1850448)
Loin de ce peuple qui m'a élevé,
J'ai perdu tout un pan de mon être,
Dont aujourd'hui je ne fais plus que rêver.
J'ai gardé, dans un coffret scellé en mon coeur,
Les souvenirs que j'ai gardé de mon pays,
Ce que j'ai emporté quand cette pluie de pleurs
A inondé mon enfance et noyé ma vie.
Dans cette boîte, j'entends la langue de mes aïeux,
Qui sonne à mes oreilles telle une douce symphonie,
Vers oubliés dans la tendre langue des jours heureux,
Dans ce dialecte que je ne parle plus aujourd'hui.
Dans ce tonneau magique, je vois des chants et des danses,
J'entends les histoires du vagabond des nuits d'hiver,
Ô merveilleux souvenirs issus de mon enfance,
Qui me soutiennent lorsque mon âme désespère.
Et tout au fond, je vois mon pays et ses gens,
Forêts éternelles et landes colorées,
Notre mer, plus belle et forte que l'océan,
Et mon peuple, accueillant; plein de liberté.
Mais tout cela n'est plus que triste souvenir,
Images de paradis; dans un coeur hanté;
Tableaux perdus dans la brume de mes soupirs....
Je suis qu'un pauvre enfant autrefois exilé.
Par Strik Lh le 23/7/2002 Ã 22:21:24 (#1850547)
Tu n'a jamais su lache cette plume qui sans cesse te guide sur le papier
Vraiment magnifique une fois de plus.
Par Aërandis le 3/8/2002 à 16:12:11 (#1907018)
Et est plus dangereuse qu'une lame affutée,
Car après son passage il ne reste
Que des doutes sur ce qui fut la vérité.
Elle fait plus de mal qu'un coup d'épée,
Mais elle n'a jamais tué personne,
Pourtant elle est grandement redoutée,
Car persiflante, dans les couloir elle résonne.
Un nuage qui plutôt que pluie et foudre,
Te déverse à travers tout le pays,
Toi insinueuse et maline, petite poudre,
Pacifiste, tu peux pourtant détruire une vie.
Et en ces temps obscurs, je me fais nuage,
Poussé par le vent du temps, du changement,
Je porte ces nouvelles de village en village,
Poursuivis par le pouvoir d'un sénile trop puissant.
Mais la vérité semble tellement redoutée,
Qu'a peine assis au fond 'dun petit bar,
Je vois arrivé une troupe d'homme armés
Qui viennent me jeter dans un cacheau noir.
Mais me poursuivre ne sert plus à rien,
Car partout, j'ai semé les germes du doute,
Et pour s'être débarrassé de ce moins que rien,
Vous en verrez fleurir mille, demain sur les routes.
Par Janëaris le 3/8/2002 à 16:20:23 (#1907059)
nous protéger
Te voir tomber au combat
moi je ne l'oublie pas
Le temps c'est arrété
et tout a continué
Et ça fait mal,
Oui ça fait mal...
Je voudrai te revoir
Briller de victoire...
Par Shibô le 3/8/2002 à 17:49:10 (#1907543)
Par Aërandis le 3/8/2002 à 22:07:06 (#1908882)
Qui déchire la peau et les entraille,
L'odeur putride qui infecte son antre,
Entre de passages des tenailles.
Malgré tous ces supplices corporels,
Il n'arrive point à tuer son honneur,
Il s'attaque donc à l'âme du ménestrel,
Emplissant sa vision de ses pires peurs.
Ainsi ce continue cette séance de torture,
Dans les ténèbres de la nécromancie,
Il s'insinuent dans l'enfant de Nature,
Alors que son corps doucement refroidi.
Mais le barde est toujours près à mourir,
Plutôt que de vendre ses amis, ses frères,
Et il lache ce qui semble son dernier soupir,
Pour s'envoler dans les bras de la terre.
Ainsi c'est déroulé le jugement de l'alliance,
Qui de jugement portait seulement le nom,
Mais qui portait la marque de la démence,
Le signe distinctif des chiens servile du démon.
Par Aërandis le 28/8/2002 à 19:55:13 (#2047807)
Baiser d'un soir,
Une nuit d'été
Emplie d'espoir.
Baiser fugace,
Tendre bonheur,
Ce face à face
De nos deux coeurs.
Baiser d'amour,
Muet serment,
Lie pour toujours
Les deux amants.
Baiser tout court....
Ô doux cadeau,
Preuve d'amour,
Bien plus qu'des mots...
Par Aërandis le 2/9/2002 à 14:34:30 (#2080351)
Je traverse le pays de l'illusion,
Ici tout n'est que mistigri;
Artifice dressés devant la raison.
Je contemple les maisons des dieux
Qui sont construitent d'or et d'argent,
Et à côté, ce peuple miséreux,
Habite des trous à rat puants.
Dans ce pays de l'eau qui tombe,
On cultive sur une terre de feu,
Ce qui est le bonheur et la tombe,
D'habitants souriants mais malheureux.
Et par la fenêtre de ma rame,
Hors de portée, perdu à l'horizon,
Je vois ces terres, qui de Gaïa gardent l'âme,
Qui s'élèvent en de mystérieux monts.
Alors que ce paysage défile sous mes yeux,
Le soleil disparaît doucement de ces terres,
Déjà caché derrière un mur nuageux,
Qui font pleuvoir sur nos têtes la mer.
Et c'est dans les ténèbres instables
Que ce poursuit ce beau voyage,
Sur des terres inimaginables
Même dans les rêves les plus barges.
Dans la nuit brillent mille lumières,
Mais ce ne sont pas les joyaux du ciel,
Celle là fleurissent sur notre terre
Comme dans une caverne au merveilles.
Puis deux yeux brillent dans le noir,
Et nous voila happer par un grand serpent,
Quelques instants semblent éteindrent l'espoir,
Puis tout redevient comme avant.
Et la route s'envole vers l'infini,
Alors que je plonge dans la nuit,
En écrivant cette page de ma vie.
Par Aërandis le 14/9/2002 à 18:36:18 (#2156685)
Faiseur de rêves
Par delà les mers
M'emporte sans trêves.
Pégase sans âme
Qui traverse l'azur,
Crachant des flammes
Qui ne sont de Nature.
Toi qui m'emporte vers l'horizon,
Tu m'enlève vers l'infini,
Toi la merveilleuse invention,
Qui me montre tous ces pays.
Et par ce petit hublot,
Je contemple la mer de coton,
Où navigue ce grand bâteau,
Dans cette autre dimension.
Arrive la fin du voyage,
Secouant mon corps attaché,
Je pars, mais tu reste sur la plage
Toi l'oiseau mort, inanimé.
Ode aux héros
Par Aërandis le 14/9/2002 à 18:47:05 (#2156727)
Ta seule vue terrifie tous tes ennemis,
Redonne de la force à ceux de ton pays,
Illuminant les ténèbres de ton soleil.
Homme courageux, réceptacle de la foi,
Le destin tisse son impénétrable armure
Autour de celui qui ne connait point les lois
Qu'a érigées en limite Mère-Nature.
Quand les hommes ne sont que fort, toi, tu es puissant,
Ils sont intelligents, tu te montre sage,
Ils sont mortels, tu traversera les temps,
Privilégié qui sur les mots voyages.
Tu as souvent parcouru la plaine rouge,
Et tu y a forgé ton glorieux destin,
Martellant durement le monde pour qu'il bouge,
T'ouvrant les portes de cet éternel chemin.
Même mort; il est dit que tu reviendras,
Parce qu'il en est ainsi de tous les héros,
Tu as écrit ton nom en caractères gras
Dans l'histoire, voici l'éternité des mots.
Par Dame-Flo/Lys de Myrs le 14/9/2002 Ã 19:19:35 (#2156894)
Par Gidzborg Dracks le 14/9/2002 Ã 22:51:45 (#2158012)
:amour: :amour: :amour: .
:D :D
Par Aërandis le 15/9/2002 à 0:02:10 (#2158494)
De la nuit noir du prisonnier,
Qui porte sur lui la peine
De ne savoir se faire aimer.
Vous êtes ses seules amies,
Vous, ces femmes si possessives,
Les seules amours de sa vie,
Celle-ci partant à la dérive.
Il porte votre lourd boulet,
Prisonnier de ces barreaux,
Il contemple cette société
Qui est son salut, son bourreau.
Tu l'as arrêté, toi, Exclusion,
Et il fut jugé par Solitude,
Devenue sa compagne, sa prison,
Condamné à la vie la plus rude.
Et cette nuit, attaché sous ce pont,
Vous le libérez enfin de l'étau,
Le livrant à la mort, sans condition,
Enfin; il est libéré de ses maux.
Par Aërandis le 15/9/2002 à 15:18:27 (#2161385)
Voyage, en des lieux que personne n'a vu,
Voyage, partir avant d'avoir tout perdu...
Horizon, ligne de mirage sur la mer,
Horizon, brume où le regard se perd,
Horizon, là où le monde s'altère.
Infini, point de départ et d'arrivée,
Infini, Paradis que tous ont cherché,
Infini, perdu dans les bras de mon aimée.
Ce long voyage par delà l'horizon
S'exprime dans l'infini de ma passion,
Dans la flamme de mon amour sans condition.
Par Aërandis le 15/9/2002 à 15:19:21 (#2161387)
Voyage, en des lieux que personne n'a vu,
Voyage, partir avant d'avoir tout perdu...
Horizon, ligne de mirage sur la mer,
Horizon, brume où le regard se perd,
Horizon, là où le monde s'altère.
Infini, point de départ et d'arrivée,
Infini, Paradis que tous ont cherché,
Infini, perdu dans les bras de mon aimée.
Ce long voyage par delà l'horizon
S'exprime dans l'infini de ma passion,
Dans la flamme de mon amour sans condition.
Par Kriios Alhambar le 15/9/2002 Ã 15:41:03 (#2161542)
Justice Aveugle es-tu Justice ?
Par Aërandis le 15/9/2002 à 17:23:32 (#2162052)
Se dresse sur cette sinistre montagne.
Le bouclier levé, le glaive ensanglanté,
Elle accomplit son triste acte sans vergogne.
Rouge et chargé est le tumultueux torrent,
Qui dévale cette pente, cette abyme.
Dans la descente, se mélange dans le sang,
La colère; le désespoir; et le crime.
Certains ont choisit de braver la guerrière,
Espérant passé outre la sentinelle.
D'autres ont juste tenté de survivre à la guerre,
Tous ont périt face à cette lame mortelle.
Deux nouveaux cadavres élèvent la déesse,
Ils ont commis exactement les même faits,
L'un par jeu, l'autre sans choix; unique faiblesse.
Dans les ténèbres, elle ne put les distinguer.
Maintenant le torrent charrie les larmes noires
Que laissent une femme veuve et son enfant,
Le maigre butin était la lueur d'espoir,
La dernière chance de ces innocents.
Le pauvre homme, accusé, acculé, que je suis,
Craint de passer devant ton ténébreux bandeau.
Toi qui est pureté et lumière dans la nuit;
N'entends-tu point le résonnement de mes mots ?
Par Aërandis le 15/9/2002 à 18:05:03 (#2162280)
Quand je m'envole au creux de tes yeux,
Pour abandonner ce monde si bas,
Parti vers la demeure des dieux.
Dans le vertige des illusions,
J'ai plaisir à ma perdre allégrement,
Embrassant de toute ma passion
Cette douce vierge des durs moments.
Solitaire ou parfois à plusieurs,
Nous passons de bien agréables heures,
A visiter ce monde fantastique
Qui n'existe dans l'oeuvre biblique.
Cet échapattoire au monde réel
Ne me ramène que plus durement,
Dans les affres des visions temporelles,
De la solitude; affreux tourment.
Es-tu bonheur, ou bien malédiction ?
Tout au fond du tonneau, la tentation;
M'emporte loin de mes inquiétudes,
Dans un monde de joie, et de quiétude.
Chute
Par Aërandis le 28/9/2002 à 13:30:07 (#2248973)
Chutant, chutant, tombant toujours plus profond,
Sensation ennivrante que cette vitesse,
Charmant vol plané avant de touché le fond.
Pourquoi vouloir s'inquiéter de notre futur ?
Profitons plutôt de chaque moment présent,
Si l'angoisse est là , la chute sera dure,
Stoppons la pensée, ne serait-ce qu'un instant.
Puis le soleil apparaît au bout du tunnel,
Lumière ardente qui me fait tourner le visage.
Décidemment l'avenir est bien cruel,
Vouloir le contempler n'est vraiment pas sage.
Autour de moi, tout n'est que plaisir et passion,
Joies et peines, courants des amours de saison,
La vie m'enveloppe dans ses douces soieries,
Que sont la fête, l'amour et tous les amis.
Je descent trop vite, apparaît alors le sol,
Arrête impossible, l'aterrissage est proche,
Le rideau tombe, je quitte alors mon rôle,
Sous le regard désemparé de mes proches.
Par Aërandis le 28/9/2002 à 19:05:51 (#2250487)
Par lorelei_D le 28/9/2002 Ã 19:28:13 (#2250618)
Revenu pour ce jour
Conte un rêve charmant
Bonjour au troubadour.
Par Aërandis le 5/10/2002 à 21:33:32 (#2287039)
Tourne, tourne encore, et m'emporte au firmament,
Tourne et glisse, alors je plonge dans le tourment.
Trois pas en avant, c'est là que je plonge dans tes yeux,
Trois pas en arrière, je recule, quel malheureux,
Et de nouveau te contemple, toi, fille des dieux.
La musique, la piste, les murs, tout n'est que passion,
Haines et Déceptions creusent de profondes contusions,
Tandis qu'Amour et Amitié ouvrent les portes d'Elision.
Je danse alors que tourne le monde tout autour,
Tourne, tourne, puisse tu continuer toujours,
Oui toujours, musique mélodieuse de l'amour.
C'est ce doux ballet qui mène ma vie,
M'emportant d'un bout à l'autre de la nuit,
M'emportant d'un bout à l'autre de l'infini.
Par Dame-Flo/Llyane le 5/10/2002 Ã 21:41:39 (#2287057)
Par Aërandis le 5/10/2002 à 21:44:56 (#2287065)
Souffle sur ma vie, souvenir des jours enfuis,
Sur mon coeur, mémoire des moments de bonheur,
Pendant que l'âme danse tel un champ de fleurs.
Petite brise, doux parfum des jours anciens,
Elle porte en elle les sentiments tels des feuilles
Qui forment un superbe ballet aérien,
Creusant son nid dans la mémoire qui les recueil.
Puis, rapidement, la fraîcheur suis les frissons,
Calme glacial qui s'insinue dans mon blouson,
Et qui gèle mon pauvre corps paralysé,
Fasciné, par ce doux reflet des joies passées.
Dans cette froideur irréelle, face à face,
Avec cet homme qui me terrifie, me glace,
Adolescent qui a connu les jours heureux,
Me fixe, plongé dans la neige de ses yeux.
Angoisses ou remords, peurs ou peut-être regrets,
Sentiments futurs, joies et tristesses d'antan,
Alter-ego, tout mon être est personnifié,
Illusion, regard sur moi-même; désespérant...
Puis le vent tombe, tout comme le mirage,
Disparaît la vision, reste gravé le visage,
A jamais je garde en moi tous les sourirs,
Des jours bienheureux, ô regrettés souvenirs.
Par Dame Belladona le 6/10/2002 Ã 7:29:11 (#2288629)
Merci de nous offrir tous ces vers Aërandis :merci:
La frontière
Par Aërandis le 19/10/2002 à 15:50:19 (#2363975)
J'approche lentement de cette frontière
Qui sépare le courage de la folie,
Limite illusoire, éphémère barrière.
Roué de coups, je me relève à chaque fois,
Espérant toujours passer, et franchir le seuil,
Mais ici, d'autres que moi font régner la loi,
Et me repoussent comme le vent avec les feuilles.
Individu borné, je crois en ma justice,
Je soutiens des valeurs que tous ont oubliées,
Seul face aux vices, aux folie corruptrices,
Attaché, je me retrouve pieds et poings liés.
Guerrier, je me retrouve le dos au mur,
Face à mes ennemis, sans arme ni armure,
Mais l'espoir infime n'est pas encore nul,
Alors, je ravive la flamme qui brûle.
De ces hommes, qui est le fou et le courageux ?
Et si le courage n'était que de la folie ?
Doute semé chez les hommes par les dieux,
Abandon de la raison au fond de mon esprit.
Hésitation et Regrets.
Par Aërandis le 19/10/2002 à 15:57:00 (#2364019)
Séloignent toutes deux, partent vers l'infini,
Deux chemins tracés autrefois par les dieux,
Fils du destin qui gouvernent toutes les vies.
Aujourd'hui, chacun a suivi son lendemain,
Mais dans leurs vieux coeurs, ils ont gardé le recueil,
Toutes ces photos, sentiments posés sur feuilles,
Qui restent figés depuis ce maudit matin.
Avec ces images pour seuls sentiments,
Mon coeur et mon âme font de tristes tableaux,
Reflet d'un voyage stoppé prématurément,
Caricature du simple esprit d'un idiot.
Je n'ai que des regrets et non pas de remords,
C'est dans ce lieu que naissent les monochromes,
Lorsque l'homme timoré pour son plus grand tort,
Veux éviter la blessure comme le baume.
Adolescent qui lit ces lignes, retiens bien
Que si tu ne veux regretter les jours anciens,
N'hésite plus jamais, fonce encore et toujours,
Avant que ne bifurquent les chemins de l'amour.
Traître d'ami.
Par Aërandis le 19/10/2002 à 16:11:57 (#2364096)
Chefs d'oeuvre inspiré des meilleurs démons-bourreaux.
Pourquoi ne pas disparaître avec ma passion ?
Plutôt que de me murmurer ces affreux mots.
Espoir, je te maudit sale tortionnaire,
Toi qui me fait endurer les pires souffrances.
Tu prétendais vouloir me tirer de l'amer,
Traître, pour toi je n'ai plus que de la défiance.
Espoir, toi qui m'avait rattraper dans ma chute,
Je t'ai cru, et remercié comme un ami,
Il était trop tard quand j'ai vu ton réel but,
Trop tard, tu me poussais dans ce gouffre infini.
Espoir, je te vois tout là -haut, tu ris de moi,
Mais sache que plus jamais je ne tomberais,
Dans tes mirages, tes promesses à la noix,
Qui ne sont que belles fleurs devant le couperet.
Espoir, tu porteras le poids de ma haine;
Je ne puis te rendre la monnaie de ta pièce,
Toi qui sut profiter de ma grande peine
Pour mettre mon coeur et mon âme en pièces.
L'espoir est la drogue de la vie, l'état de manque s'appelle la mort.
Par Aërandis le 19/10/2002 à 16:59:37 (#2364283)
J'apporte réonfort à qui le veux;
Démon pour ces moins que rien,
Terreur de ceux qui méprisent l'humain;
Deux visages, deux âmes en un corps,
Deux voies, l'une vie, l'autre mort.
Même juge des actions humaines,
Pourtant je contemple deux chemins,
Celui de la vengeance et de la haine,
Et celui d'un monde plus humain.
D'une main, je manie la douce rime,
Quand l'autre fait tourner la lame,
L'un a choisit la justice du talion,
Répondant au crime par le crime,
L'autre ne supporte plus les larmes,
Et offre à tous la même compassion.
Entre ténèbres et lumière,
Dans les ombres je fais ma route,
Avançant sur cette triste terre,
Sous l'égide créatrice du doute.
Par Aërandis le 19/10/2002 à 17:11:42 (#2364341)
Ancestral recueil des tableaux de l'esprit,
Aux douces estampes d'une infinie beauté,
Qui matérialisent l'histoire de la vie.
Images saississantes arrêtant le temps,
Explosion de couleurs belles et contrastées,
Rêveur, je m'envole l'espace d'un instant,
Pour quitter et plonger dans la réalité.
Sublime oeuvre d'art née au plus profond du coeur,
Par la main de l'homme, arrive à en toucher l'âme,
Puissant en elle toutes les nuances des couleurs
Nécessaires à figer cette immense trame.
D'une page à l'autre, je revoie mon chemin,
Mes joies et mes peines, espoirs sans lendemain,
Amours intenses, haine; je sent vibrer mon corps,
Ebranlé par la grandiose vérité des accords.
Les émotions sont d'une prime pureté,
Nées sur le coeur, la corde du musicien,
Les passions s'envolent vers la liberté,
Oubliant tous les détours de l'esprit humain.
Par Dame Belladona le 20/10/2002 Ã 4:12:19 (#2367245)
Par Aërandis le 23/10/2002 à 15:21:50 (#2390288)
Je t'offre ces quelques rimes,
Ces vers que tu trouve sublime,
Tendres paroles douces à mon âme.
Merci à toi de toujours me lire,
De m'illuminer de tes sourir,
Merci à toi qui me donne le courage
De continuer à poster mes messages.
Par Meduse Ley le 25/10/2002 Ã 13:02:00 (#2403968)
Par Aërandis le 29/10/2002 à 13:06:20 (#2431200)
Emporté par les accords mélodieux,
Je menvole, planant jusques aux cieux
Bercer par la musique des dieux.
Les notes volent dans mon pauvre esprit
Portées par le vent de la symphonie,
Joublie tout, jefface tous mes soucis,
Jabandonne tout, tout, même ma vie.
Dans ces douces ténèbres colorés
Par une palette de musique et de chants,
Je danse éjecté en dehors du temps,
Je danse, pour pouvoir tout oublié.
Cest plongé dans cet état de transe
Que jenchaîne pas et figure,
Véritable accro à la danse,
Une drogue parmi les plus dures.
Et cest dans ce monde féérique,
Que je sombre petit à petit,
Emporté par cette musique
Je quitte cette terre, ma vie.
Le passé forge les hommes d'aujourd'hui, les souvenirs heureux ou joyeux ne restent que des images à regarder. Mais les doux visages qui faisaient battre le coeur du ménestrel illumine toujours ce recueil de poème.
Par Dame-Flo/Llyane le 29/10/2002 Ã 13:27:08 (#2431380)
Tes mots m'enchantent chaque jours et me portent vers des horizons féerique.
*Le regarde tendrement et continue à l'écouter*
Nuage noir
Par Aërandis le 11/11/2002 à 15:37:16 (#2535365)
Toi qui redoute tant les excès de chaleur,
C'est en moi que tout doucement tu as fleuri,
Attisé par le souffle glacé de mon coeur.
Masse de coton sombre, enfle encore et encore,
Déversant tes trombes d'eau sans jamais maigrir,
Dans tes couronnes de fleurs, tu porte ma mort,
Un bien triste moyen pour enfin en finir.
Misérable, toi qui ne connaît point les lois
Du temps et des saisons, du reste toujours là ,
Tu relâche un peu plus d'eau à chaque fois,
Noyant mon coeur pour que le feu ne prenne pas.
Je n'ai pas la force de te faire bouger,
Mais tu sais qu'il suffira d'une simple bise
Pour t'emporter vers de lointaines contrées,
Il suffira d'un sourir, une simple bise.
Elle est à la fois ta force et ta faiblesse,
Un paradoxe que tu crain et adore,
Elle est tout cela cette cruelle et belle déesse,
Enfant du destin, du salut, et de la mort.
Compagne d'infortune
Par Aërandis le 11/11/2002 à 15:43:37 (#2535439)
Chaleureuse amante des nuits noires,
Toujours là quand la vie se fait rude,
A me consoler, seul, tant de soirs.
Toi qui me chuchotte ces mots à l'oreille,
Tous ces vers emplis de joie, d'espoir,
Ces paroles douces comme le miel,
Reçoit l'hommage de mon coeur si noir.
Noir de honte, autant que de dégoût,
De ce désespoir qui l'a rendut fou,
Noir de ce triste amour qu'il a connu,
Qui l'a trop souvent jeté à la rue.
Et toi, toujours là à me soutenir,
Ce n'est pas grav, dis-tu dans un sourire,
Tu me soutiens et me porte chez moi
Où tu me fait l'honneur des plus grands rois.
Dernière amarre à l'arche de la vie,
Ma douce muse, je te remercie,
Amante, soeur, et mère, tour à tour,
Dernier refuge de mon amour.
Par Aërandis le 22/12/2002 à 22:24:18 (#2856540)
Qui ne sont rien que de simples mots fragiles,
Accords simples que tu qualifie de sublime,
Ephémère vibration de ce petit fil,
Douceur offerte pour payer tous mes crimes,
Cadeau égoïste rompant mon long exil.
Impalpable trésor, volant au creux du vent,
Emotion que n'arrête aucune armure,
Parfois arrive à toucher le coeur des gens,
Tout au fond d'eux fait trembler la corde pure,
Qui éveillent de nouveaux les êtres vivants
Aux merveilles de la vie et de Nature.
Mais aussi vers perdus du soir et vers d'espoir,
Qui s'envolent en s'affranchissant des barreaux,
Pour s'évanouirent quelque part dans le noir
Sans que je ne sache si mes rimes et mes mots
Ont trouvés des amateurs de tristes histoires,
De coeurs brisés, âmes perdus dans un tombeau.
Prisonnier de mon amour, je relâche mes vers,
Pour que loin d'ici, ils trouvent enfin le ciel,
Qu'ils portent mes espoirs vers cette lumière,
Ce disque brillant que l'on appelle soleil,
Alors que tous les hommes qui vivent sur terre,
Ne connaissent leur chance qu'est cette merveille.
Par Une inconnue Story ! le 22/12/2002 Ã 22:29:43 (#2856583)
Strik
Rêve
Par Aërandis le 22/12/2002 à 22:30:56 (#2856595)
Charment doucement l'esprit qui s'est endormi,
Par ces mirages qui émergent dans le noir,
Reflet des vicissitudes de notre vie.
Guidé dans les ténèbres par cette magie
J'aperçois au loin un étendard de lumière,
Objet éternel, quête de toute ma vie,
Galvanise mon être et mon coeur éphémère.
Finie mon errance, je saisis ce drapeau
Que je porterai jusqu'Ã la fin de mes jours,
Il est mon bouclier, mon sabre et mon fardeau,
Mon feu follet, précieux guide de toujours.
Sans lui, mon existence n'aurait pas de sens,
Moteur de mes actes, carburant de l'esprit,
Ultime objectif que se fixe ma conscience,
Ma seule récompense, mon unique prix.
Voici ce que deviennent les songe éveillés,
Ces rêves poursuivis tout au long de la vie,
Splendide tableau qui nous a émerveillé
Pour qui sera bravé n'importe quel défi.
Trésor perdu
Par Aërandis le 23/12/2002 à 12:29:50 (#2860261)
Que tout à chacun abandonne quelque part,
Chaleur naïve, devenue soupçon glacé,
Que j'apprécie, sans malheureusement l'avoir.
Cadeau fait au nouveau né pour sa jeunesse,
Rose blanche au parfum tendre et délicieux,
Que le temps courbe et fane sous la vieillesse,
Montrant la vérité de ce monde miséreux.
J'ai perdu ce diamant il y a fort longtemps,
Mais je me plais à le rechercher encore
Dans les prunelles pétillantes des enfants,
Qui ignore ce que leur réserve le sort.
Perdue avec Candide, ma chère Innocence,
Joyau caché d'une trop lointaine enfance,
Tombée face à la vérité de cette vie,
Et la bêtise humaine, qui est infinie.
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