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Guaboo l'histoire d'une vie

Par Guaboo le 22/1/2003 à 19:13:02 (#3078476)

Il y a quarante ans de cela, deux Zabrac complètement offusqués par la barbarie de leurs congénères quittèrent leur planète natale d'Iridonia, c'était un couple qui préférait la quiétude de la ferme aux horreurs des combats. Ils décidèrent de s'installer dans un endroit calme, retiré du monde dans la planète de Naboo. La terre était fertile, les Zabrac étaient de grand travailleurs et le fruit de ce travail récompensait ce couple par de multiples agrumes et légumes ! Ils vivaient en paix durant 8 belles années où à la fin de la huitième année, ils décidèrent que le moment était venu pour avoir un Enfant, Son nom était un remerciement à cette chaleureuse planète "Guaboo".
Durant cette même année, l'empire commençait à installer et à faire venir des colons sur ce terrain jusqu'alors préservé. Bien sûr, le couple n'avait pas acheter de lopin de terre, ils vivaient dans l'illégalité parfaite, mais était ce si important? Les voisins se firent plus nombreux aux fils des années. Le petit Guaboo avait alors 4ans, il était déjà un robuste et habile fermier, Il entendait encore son père lui dire :


"Tu seras fort mon fils plus tard"

Néanmoins ce terrain attisait les pires convoitises, durant les quatre premières années de sa vie, le jeune Guaboo fût l'objet de brimades, de menaces en tout genre, de racisme d'autant plus que la grande majorité de ces voisins étaient des humains.
Lors d'un jour pluvieux, un véritable jours d'automne, les récoltes s'effectuaient paisiblement, le vent chantait d'un air monotone, un attroupement caché attendait patiemment l'arrivé de la nuit. Le jeune Guaboo revenait de sa promenade quotidienne, il aimait regarder le soleil se coucher sur les berges du lac, le reflet lui donnait envie de comprendre la nature, embrasser sa cause, la remercier de ce spectacle quotidien. Mais plus le soleil se couchait, plus le rappel à l'ordre de sa mère qui n'était qu'à quelques dizaines de mètres lui remonter dans sa petite tête. Le père rentra aussi, Le souper fût servi, il y avait sur la table, quelques miches de Pines de pins de Naboo, du lard de Falumpaset de quoi faire un bon repas.
Dans la pénombre un groupe d'humain attendait ce moment depuis la mi journée, ils avaient décider de se prendre le lopin de terre qu'ils trouvaient si injustement raflés par le couple de Zabrac. La nuit était sombre, aucune lumière ne permettait d'éclairer cette marche macabre qui avançait d'un pas sûr vers un destin destructeur. Le couple donnait à manger à leur enfant de 4 ans qui rechignait à manger une viande aussi fumée que celle du Falumpaset. Les humains avides de vengeance et de jalousie lancèrent leurs torches à peine allumées sur la petite maison jusqu'alors tranquille, Le feu eût raison rapidement du bois qui formait un rempart bien faible à la vue des flammes. Le père pris de panique jeta un oeil de sa fenêtre...


"Femme, obéit, Tu vas sortir d'ici avec notre enfant, je ne sais pas ce que ces gens veulent...."

dit-il d'un air dénoué de compréhension.

" Pourtant, nous avons vécu quatre ans sans aucun accro"

se confirma-t-il sans grand espoir de voir changer la situation.
Sa femme s'empressa de prendre son enfant sous son aile, quitta la maison par derrière là où le mur avait commencé à s'effondrer.
Les Humains, après quelques minutes de silences chargèrent dans la maison, Le père fit volte face armé de son arme de labeur, une simple fourche aux pics acérés, embrocha le premier humain, mais il n'eut pas le temps de se défaire de son arme trop difficile à ressortir de l'homme, il sentit quelques coups piquant son corps, malgré sa taille, sa force et son aptitude à résister il succomba aux morsures.
La meute de voisins ivres de jalousie, laissèrent la maison et ses deux occupants, dont mon père, brûler. Leur vengeance n'en était pourtant pas rassasiée, Ils se mirent à faire une battue, chacun armée de ce qu'il pouvait porter, plusieurs d'entre eux porter des fusils Harquil HBt-4 Longbow. les reflets du lac, donnaient à l'ensemble une ambiance bleuté presque magique, la beauté du lieu contrastait avec la cruauté des hommes. La mère courait avec son enfant dans les Bras, s'éloignant le plus possible du lieu. Mais avec ces reflets bleuté, la visibilité était plus grande, L'un des Hommes vit la femme haletante, pris son fusil, attendant le bon moment pour tirer. La mère s'effondra sur son enfant. Celui-ci, se décoinça rapidement de l'étreinte maternelle, puis s'enfuit au loin.
Les hommes arrivèrent près de la mère souffrante, lui abrégea ses souffrances et la mirent sur le brasier de la maison !
Jamais ils ne surent ce qu'advînt de l'enfant nommé Guaboo !


L'enfant courait à en perdre haleine. Son souffle lui donnait des impressions de peurs, son sang battait sur les tempes, l'adrénaline lui montait à la tête, Comment un enfant de 4 ans pouvait-il encore courir avec autant d'entrain? Une vague embrumée de souvenirs s'insinuait en lui. Des images négatives lui venaient à l'esprit, mélangeant tour à tour La méchanceté humaine, l'image de ces hommes qui hantaient l'esprit, un trouble qui restera à jamais. L'implication de la nature dans se forfait, c'était elle qui l'avait captivée tant et tant de fois à le rendre aveugle de la méchanceté des hommes, il la rendit responsable d'être belle, d'être enivrante, d'être mesquine.


"Plus jamais, je ne chérirai, tu ne mérites plus que mon désarroi, je te maudis..."

La nature n'avait plus aucune importance à ses yeux, le sol de son père si bien soigné, dorloté par ses mains expertes , un vrai fermier habile. Il lui avait tant de fois prouvé son attachement à sa terre, la fertilisant de mille agrumes et légumes. S'en était fini ! Le jeune Guaboo pensait pouvoir se venger plus tard ! Des souvenirs encore plus horribles lui parvenaient :

"Hommes, Terre, Emigrants de l'empire, MAL"
Voila des mots qui ne cessaient de lui marteler à l'esprit. L'empire était le mal absolu à ces yeux, l'envoyeur des Humains... un monstre...
Son chemin l'amena vers un autre enfant perdu, il était un peu vieux, il avait sûrement déjà l'habitude de vivre dans la Rue, il se nommait You Lacosto. Le Jeune Guaboo s'éprit d'amitié avec le jeune You, Le temps passa les deux compères s'installèrent dans la capitale de Naboo. ils y trouvèrent. Ils erraient dans les rues, tel d'habiles pickpockets pour se ramener le sous. Tous deux avaient un rêve commun Partir de cette planète et découvrir le monde... Ainsi à sa 7ème année, Guaboo et son ami You décidèrent de s'envoler pour La mystérieuse planète Tatouine. Bien sûr, ils ne payèrent pas de droit d'entrer pour voyager, qu'importe ils étaient jeunes, forts, et cachés ! Lorsqu"ils arrivèrent sur Tatoine ils comprirent bien que la vie serait tout de suite plus difficile et déjà un sentiment de peur apparaissait. La ville, Mos Eisley était remplie de pirates, ils s'installèrent dans une ruelle à sens unique, bien humide à l'abri du vent et des grosses chaleur de gens peu recommandable. Guaboo se remit en tête de vague souvenir.


"Hommes, Terre, Emigrants de l'empire, MAL"
Ils décidèrent d'entrer dans la Cantina de Mos Eisley à la recherche d'un travail ! You s'approcha d'un homme Bizarre, Un humain pensa-t-il ! ils leurs proposa un travail à son compte.

"Toi le Zabrac tu travailleras avec ton copain à la recherche de Mine et ensuite vous y travaillerez"

Dit-il d'un air de contentement satisfait!
C'est ainsi que de 7 à 30 ans, le jeune Guaboo et son ami You travaillèrent sans le sous, n'ayant que de Bantha Faisandé pour seul repas. Cependant; cette situation lui complaisait, il avait du travail, il voyageait dans tout Tatoine, il se combattait avec les Tuskens (hommes des sables). Il travaillait dur à la mine cependant il avait la paix avec la nature considérant s'être vengé en lui spoliant sa terre ! désormais Guaboo respecta la nature comme son père l'eût fait avant, mais ses souvenirs étaient bien trop vague pour se rappeler qui était son père, et quel était le rapport avec la nature et son père, il acceptait La nature à présent. Son ami, You était devenu un Scout, un passionnée de Géographie militaire, il parlait sans cesse de tactiques, d'ennemi à combattre. Il avait appris sa science par lui même sa phrase préférée était :


"La géographie, ça sert d'abord à faire la guerre"

Phrase qui me fascina et que je reprends encore aujourd'hui...Le Jeune adulte Guaboo avait vécu toute sa vie dans le désert avec son ami, il avait oublié les lacs aux reflets bleuté de la lointaine Naboo. Se souvenait-il même de l'origine de son nom? C'est durant cette partie de la ville qui se forgea en homme solitaire, un caractère trempé, une odeur forte de Mâle à toute épreuve, Les habits déchirés de toutes parts, il était devenu un homme crade, puant, ne se lavant jamais, désinvolte... Mais il n'avait pas pardonner l'idée Du mal, de l'empire. Durant ce grand nombre d'année, il devint un expert en Exploration et en Mine, tandis que son amis You devenait un Scout aguerri. Plus le temps passé, et plus il se laissait aller, ne retournant en ville que pour apporter ses ressources. Justement ce jour là....

Vers un nouveau destin...

Par Guaboo le 22/1/2003 à 19:25:19 (#3078571)

Le jeune Guaboo avait maintenant 32 ans, il revenait d'un voyage pénible et rapportait du minerais aurifère à son continuel patron, La nuit tombait lentement, il décida de s'installer devant la cantina de Mos Eisley dans un hôtel sordide.
La petite place devant de la Cantina Bantha Faisandé, était sombre, étriquée, mal entretenue, les murs déplorables montrer leur grande tristesse, la terre ocre salissait les moindres contours, c'était une place peu éclairé, fréquenté par des hommes heureux de ne pas voir souvent quelques patrouilles ne pas s'aventurer aussi loin dans les méandres de la cité. Les coups de lasers étaient monnaie courante, on entendait siffler ces hurle la mort tard la soirée à la faveur des fraîcheurs de la nuit.
Devant cette petite place, l'hôtel du paisible Bantha siégeait.
Guaboo arrivait d'un pénible voyage, il était crasseux, il sentait la fournaise du désert, le manque d'hygiène émanait de son corps une odeur forte. Il revenait parfois au sein de la civilisation, Cet Homme était en possession de documents secrets de découvertes des terres inconnues Le plan d'une mine aurifère destiné à son patron. La Chambre était sale, une odeur d'humidité ambiante régnait et était entretenue par les ventilateurs qui suintaient goutte par goutte sur le sol pourri, un cloaque ! Même un rat Womp n'aurait pas implanter sa tanière dans cette horrible endroit ! la pièce était minuscule un Bantha ne pourrait y être entreposé ! la chambre était à l'image de l'homme !
Un bruit retenu son attention, un bruit ressemblant à celui d'un laser mais sa lumière était d'une blancheur inconnue dans ce genre d'endroit ! Le temps d'un instant, la petite place fut éclairé par cette lumière...
L'homme curieux de nature, décida de se pencher légèrement de cette ouverture béante que l'on osait appeler Fenêtre. La scène paraissait invraisemblable, une sorte d'humanoïde, peut-être un trandoshan ou bien un rodiens, la nuit cachait déjà leur visage sinistre ! c'était bien un flash, Mais déjà une patrouille de l'Empire accourait et interpella l'homme au visage recouvert par la nuit. Guaboo voyant la colonne puissamment armée préféra alors de se retirer sans bruit...
Par malchance, un morceau du mur s'effrita, laissant un bruit sourd dans la cour! les paroles avaient elles couvertes le bruit du fracas au sol du mur?... le Rodien avait-il la une chance Pour s'en sortir? étais-ce une diversion ou bien un simple rat fort mal ordonné laissant échappé ses victuailles.
Guaboo s'aperçut que les patrouilleurs était bien trop occupés pour entendre un si insignifiant petit bruit ! la Scène commençait à l'amuser lorsqu'il vu la cheftaine de l'escouade parlais d'un ton assez rude, montrant néanmoins un zeste de féminité et de grâce ! Mais elle servait l'empire, cette idée le bloqua net dans ces pensées. il se demanda tant bien que mal ce qu'il allait advenir de l'homme au visage inhumains.
De loin, la scène commençait à devenir plaisante ! Tandis que les paroles s'échangeaient, le temps lui parût se passer plus lentement, d'un mouvement furtif, il reprit sa position près de la gueule béante de la fenêtre, des badauds s'approchaient lentement mais sûrement de la sinistre place, Guaboo crut apercevoir notamment un individu s'approcher de ce Vilain groupe !. Il se demandait bien qu'est ce que la civilisation était devenu pour en arriver là, la saleté du lieu, les personnes peu recommandable qui le fréquentait lui faisait préféré la quiétude du désert ! L'homme au visage Inhumain avait l'air de savoir faire attention , je sentais en cet homme un esprit débrouillard.
Ce n'est pas une simple patrouille qui aura raison de ce genre d'individu dit il tout doucement... Cet Homme était à ma grande surprise mon ami You, Guaboo le reconnût facilement à sa façon de se décaper, Il sentais bien que son ami avait l'intention de ne pas se laisser faire. Un nouvel éclair Jaillit, You se prit un laser en plein torse, rallant à la mort, il emmena avec lui toute sa science si importante et ses trouvailles tactiques avec lui, il lui en avait parlé si abondamment.


"Jamais je ne laisserai ta mémoire périr mon ami, je te donnerai la gloire..."

La nuit laissait place aux remue-ménages. Les gardes Impériaux prirent la dépouille de son ami, Il ne savait plus quoi faire. Le lendemain matin il s'en alla accablé, dans les rues les moins fréquentables de la ville à la recherche de la mort. Mais son destin fût bien autre, il tomba sur une drôle de personne, un dénommé Floop, un jeune étudiant en architecte. Au bout de quelques semaines, nous échangeâmes nos idées, et il lui parla d'une guilde secret Appelez Le Nouvel Ordre Républicain. Le jeune adulte Guaboo avait enfin une motivation, se venger du MAL, de l'empire il ne savait pas pourquoi il pensait cela mais il savait que cela remontait à sa plus tendre enfance sur une lointaine planète. Il fît, avec l'aide du jeune Floop, la rencontre d'un émissaire du Nor. L'émissaire lui offrit rapidement de quoi se vêtir...

"Tiens voila de quoi t'habiller, tu es Mineur n'est ce pas? Je pense que nous allons bien nous entendre !"

Ainsi le jeune Guaboo, se retira de Tatoine pour rejoindre Naboo, les souvenirs remontaient maintenant à sa tête, il demanda d'un geste impoli d'aller voir se lac dont il avait reconnu son reflet bleuté. Misère et désolation, rien n'avait poussait depuis sa fuite, aucune maison ne fût en état, qu'est ce qu'il avait bien dû se passer, mais au beau milieu de ses pensées furtives, il tomba nez à nez avec un tas de planches carbonisées vieillis et laissé à l'abondant ! Il se retourna laissant une parole discrète :

"Je suis revenu mais trop tard mes parents, Un jour viendra où l'on sera de nouveau ensemble !"
Il retourna vers son nouvel ami l'émissaire, et l'accompagna d'un marche décidé vers son nouveau destin...

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