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Les posts RP sur Caern intéressent-ils encore les gens?
Par Archange OgrIrl le 26/12/2002 Ă 0:37:39 (#2879158)
La fin du serveur est inéluctablement la fin RP du serveur, ceci dit, il y a encore maintes et maintes "légendes" à raconter.
Je voulais savoir si en majorité, ce que les gens attendent du forum de Caern jusqu'à la fermeture, prévue vers février aux dernières nouvelles...
Veulent-ils se contenter des remerciements, des départs et des voeux de fêtes ou espèrent-ils encore un minimum de RP?
J'ai un ancien texte RP que j'ai retrouvé et jamais posté et en voyant le forum aujourd'hui, je me dis que c'est peut-être dépassé :confus:
VoilĂ , si vous pouviez me donner votre avis lĂ -dessus :)
NB: Attention, je ne parle pas de RP en ce qui concerne l'évolution proprement dite d'Althéa vu qu'elle a été détruite.
Par SĂ©voth le 26/12/2002 Ă 0:41:00 (#2879176)
Par Taranium le 26/12/2002 Ă 0:51:59 (#2879225)
Mais si on m'avait lu tous ces posts, j'aurais écouté.
Si on me lirait les posts, raconterait les histoires, même après t4c Caern, je les écouterais.
--> Pour ma part, les posts RP ont encore toute leur valeur et ont tout Ă fait leur place ici :)
Je garanti pas que je le lirai hein, sauf si vous m'envoyer qqn pour me les lire donc ;)
Par Miyu Hawn Shin le 26/12/2002 Ă 1:02:13 (#2879272)
reponse courte, rapide et precise pour contrebalancer mon flood sur l'autre post... poutoux les modos :)
Par Sans Coeur le 26/12/2002 Ă 1:08:33 (#2879301)
Provient du message de Taranium
Si on me lirait les posts
MAZETTE !!!!!!!
Par Saphir - ien le 26/12/2002 Ă 1:09:09 (#2879307)
Par Archange OgrIrl le 26/12/2002 Ă 1:09:53 (#2879310)
PS: le temps de changer de compte :p
Par Saphir - ien le 26/12/2002 Ă 1:12:43 (#2879322)
Provient du message de Archange OgrIrl
Ok je balance alors, vous l'aurez voulu :D
PS: le temps de changer de compte :p
Demain matin, parce que lĂ je vais dodo... bonne nuit tout le monde, et bonne chance Stiiiiiiiiiiiive ! :D
Par Shandril Crey le 26/12/2002 Ă 1:12:46 (#2879323)
Par Orion Ystralia le 26/12/2002 Ă 1:20:21 (#2879358)
c'est içi pour les intéressés ...
Par Taranium le 26/12/2002 Ă 1:48:20 (#2879494)
Très joli post Orion. Un des premiers que je lis de A à Z :D
Qui sait lirai-je les autres :lit:
Pour Sans Coeur: tu remarqueras que j'ai mis un si avant ma phrase. Et avec des si...
Par Myrlyne le 26/12/2002 Ă 2:06:57 (#2879582)
Ce n'est que de l'humour rien de plus, surtout venant de moi tu devrais le savoir ...
Ouinnnnnnnnnnnnn quand mĂŞme c'est trop injuste :(
*Fait sa Calimerote*
Par Blirk le 26/12/2002 Ă 10:03:21 (#2880319)
Le mieux est d'ouvrir le forum ogri au public en autorisant que la lecture (peut etre pas de tous les forums :) )
C'est ce qu'on fait les selenites, bien que depuis 6 mois il n'y avait plus trop d'infos qui passaient par le forum a mon gout.
Myrlyne ? Mais pourquoi tu ecris en italique, ca fait mal aux yeux :(. *l'embettera jusqu'au bout :p*
Par Oracle le 26/12/2002 Ă 11:09:19 (#2880581)
Par Sans Coeur le 26/12/2002 Ă 11:33:05 (#2880678)
Provient du message de Blirk
Le mieux est d'ouvrir le forum ogri au public en autorisant que la lecture (peut etre pas de tous les forums :) )
*appelle steve en toute vitesse* Ya des actualisations Ă faire alors :DPour Sans Coeur: tu remarqueras que j'ai mis un si avant ma phrase. Et avec des si...
Justement :D
Par Archange OgrIrl le 26/12/2002 Ă 12:23:02 (#2880996)
Provient du message de Blirk
J'avoue que je ne les lis plus depuis 2 semaines.
Le mieux est d'ouvrir le forum ogri au public en autorisant que la lecture (peut etre pas de tous les forums :) )
C'est ce qu'on fait les selenites, bien que depuis 6 mois il n'y avait plus trop d'infos qui passaient par le forum a mon gout.
Myrlyne ? Mais pourquoi tu ecris en italique, ca fait mal aux yeux :(. *l'embettera jusqu'au bout :p*
La lecture du général a toujours été possible. De plus, maintenant on poste toujours sur le général, et toutes nos archives/écrits sont postés là pour être à la vue de tous.
Pour ceux que ça intéresse, le forum ogri c'est par là -bas .
Par Sariel l'exaltée le 26/12/2002 à 13:19:25 (#2881360)
Par Arth Azur Cygnus le 26/12/2002 Ă 17:33:12 (#2882873)
oh nooooooooo
Par Archange OgrIrl le 29/12/2002 Ă 11:43:45 (#2900273)
Par Cyann le 29/12/2002 Ă 12:34:38 (#2900486)
Je me souviens du post de la naissance d'ishamal qui Ă©tait sublime :) (et pas de moi surtout c pour ca ;p )
Miss meuh qui a lu
Par Myrlyne le 1/1/2003 Ă 0:55:12 (#2919752)
:ange:*Chieuse jusqu'au bout* :ange:
Par Cian l'Enthy le 1/1/2003 Ă 1:25:47 (#2919881)
Par Saphir - ien le 1/1/2003 Ă 21:55:05 (#2923884)
Enfin bref les chiffres parlent...
ien, légèrement dépité.:rolleyes:
Par Archange OgrIrl le 1/1/2003 Ă 22:08:11 (#2923942)
Cependant je comprends que les gens n'aient plus l'envie de s'investir alors que tout est fini :/
Par Mothra le 3/1/2003 Ă 13:49:38 (#2934821)
Si j'avais plus de temps... J'aurais vriament aimé rediger la vie de Djev et celle D'Elhisea, j'ai une vision assez claire de ce que ca pourrait donner, mais je crois que je n'en aurais pas le temps avant d'oublier tout. Pour Missmite il y en a tant a raconter que je suis sur que je vais tout oublier avant d'avoir eu le temps de l'ecrire, deja je ne me souviens lpus de tout ce qui c'est passé avant que je sois en haut de l'EC, c'est si loingtain. Je ne me souviens plus de ce que nous voulions faire avec macyavel et anaka, enfin juste des bribes mais plus les evenements complets... :(
Par Archange OgrIrl le 3/1/2003 Ă 21:12:51 (#2938395)
Lisez, pour les mordus de RP:
La légende du bâton de Bastet, l'esprit des Chats.
La légende de la Bague Araignée.
:lit:
Par Miss M le 2/2/2003 Ă 12:47:57 (#3153763)
Je commence par Nephtys et ses enfants et des poemes/textes pour une mort qu'elle aurait du avoir ;)
AccouchementÂ… Naissance.
Dire que la nuit est noire est un pléonasme, mais ce nuit ci est des plus obscures, à croire que les étoiles elle même s’effacent devant des entités dont la ténébrosité n’a d’égal que le charisme. Une épaisse chape nuageuse couvre maintenant la cime des arbres centenaires, alors que les animaux, de même que toute forme de vie, gobelinoïde ou autre fuyait les environs.
Ceux qui aurait pu douter de l’existence du Mal, verraient ici leurs doutes s’évaporer… L’odeur de perversion emplissait les narines du couple ravi qui, assis sur un tapis de feuilles aux couleurs fauves, faisait danser ses doigts dans une atmosphère moite où le vice est presque palpable.
Le Seigneur Horn Demon caresse sensuellement le ventre gonflé de vie de sa démone d’épouse, Dame Nephtys. Ce ventre à la peau tendue, douce et brulante, ce ventre gonflé de vie… Le second fils, fruit de l’amour des deux êtres… Cet être mystique à l’essence purement maléfique, tirant le pire de ses parents…
Des nuages d’ébène descendent lentement de brumeux et fins filets de jais, dessinant un cercle parfait à quelques autour du couple. A mesure que le cercle se resserre, les traits de Nephtys se tirent et s’assombrissent, ses doigts formant un étau autour des bras de son amant, marquant dans sa chair des traces et faisant blanchir les jointures de ses doigts fins…
La douleur. Pareille à une multitude de petits éclairs, vifs et piquants, ils parcourent le corps de la démone, croissant d’intensité, deformant le visage de celle ci, le faisant grimacer. Horn Demon de son côté ne se risque à aucun geste brusque, guettant non sans une certaine anxiété la suite des évènements.
Semblables Ă des cristaux fondus, des perles de sueurs roulent sur le front de Nephtys, elle ne nie plus la douleur, pourtant un sourire franc vient illuminer son visageÂ…
« Il arrive… »
Et son bien-aimé de répondre :
« Enfin… »
Le cercle de brume se resserre encore, traverse les deux démons pour se concentrer en leur milieu. Celui ci gagne encore d’intensité, absorbant les dernières onces lumineuses alentour, à mesure que le ventre de la Démone se détend et retrouve son aspect originel… Plus trace de quelqu’enfant que ce soit.
PourtantÂ…
Le cercle perd de sa perfection et se déforme de plus en plus, il semble prendre consistance, et il dégage une chaleur croissante. Temps à autre des petits flammèches apparaissent furtivement, à la vue s’ajoute l’ouïe, et plus les flammes se font ardentes plus un bruit se fait distinct… D’abord chuchotement, il devient grognement, puis ricanement et enfin rire franc. Pas ce rire glauque, ni ce rire gras… Un rire aigu et plein de sous-entendu, un rire aux éclats, un rire perçant, brûlant. Un rire d’enfant…
(Ă©crit par Ishamal, je le trouvais magnifique :) )
Par Miss M le 2/2/2003 Ă 12:49:41 (#3153771)
La Fin des demons
Tels deux êtres déchirés,
Tels deux âmes découpées,
Tel un sortilège enclenché,
Tels deux démons séparés.
Lente agonie, longues leurs tueries,
Lourd leur amour, fort leur mépris,
Eternelle leur peine d'ĂŞtre l'un sans l'autre,
Immortelle leur passion, démons du mal, deux apôtres.
De vies en vies, devis, envies,
Amants s'aimants sachant aimer,
DĂ©sunis, les gens les nient,
Leur peine criée à peine sciés.
Leurs poings s'abattent et les cÂśurs battent,
Les âmes se cherchent, les armes se baissent,
L'espoir les quittes, bonne poire les acquittent,
De leurs méfait demandent qu'ils se repentent,
Mais les faits sont là , il quémande son amante.
Jamais ils ne se reverront ,ils s'aimaient et leur rĂŞve se fond,
Toutes ses choses qu'ils avaient convenus de vivre,
Toutes ses choses qu'ils oublient,
Alors que de leurs sang ils se dévident.
Tels deux êtres anéantis,
Tels deux amants non-repentis,
Deux âmes que le sort a lié,
Séparé, et tué...
Poème n°2
Désarmés, enclaves, comme deux âmes enfermées,
Enchaînés, touches au cœur, poignardés
Yeux humides, images sordides , idées perfides,
Quand deux corps las sÂ’effondrent, ils Ă©taient hydres.
Deux corps, une âme, une pensée,
Un cÂśur en deux, doux baisers,
Caresses, chaleur, sensualité
La finesse de deux démons humanisés.
Les deux entités déboulent dans la ville,
Et déjà ,sang et âmes se vrillent,
De voir toute cette haine déferler
Celle de deux démons qu jamais ne seront apaisés
Doux souvenir de l ĂŞtre aime
Penser sans s arrêter a tout l amour donné
Et Haïr ceux qui a jamais l’on décimé
Et les punir, se venger de ces êtres négligés.
Fatigues par les vies reprises
Non calmes mais conscients de l emprise
Que les êtres inférieurs ont sur eux, leur main mise,
Et leur dévotion mutuelle, incomprise
Le démon perdu dans ses pensées,
Se débarrasse de son plastron et s assied
Sous l arbre de leur union, absorbe,
Par la plus grande perte de son éternité.
La démone erre sur la cite
Son âme et son cœur éclatés
En infimes particules étoilées
Elle est détruite, consumée
Les deux entités se laissent mourir
Ils n ont plus rien se laissent dépérir
Hurlements et coups de dagues, vient le délire
Ils se meurent doucement
Rejoignent le firmament
L histoire de deux amants au cÂśur de lions
Horn et Nephtys DemonÂ….
Texte
Le sort en était jeté ,combien de temps tiendrait-elle ainsi ?
Combien de jours, combien dÂ’heures tiendrait elle sans ses bras, sans sa main dans la sienne, sans son regard amoureux, sans luiÂ….
Elle parcourait les rues, lÂ’air perdue, sÂ’attaquant Ă chaque Homme, innocent ou non.
Coupable ? Ils l’étaient tous dorénavant à ses yeux.
Humain…mort…Les seuls mots qui résonnaient dans sa tête à cet instant, la folie s’emparait de son âme et son corps n’était plus contrôlé que par son arme, ne laissant autour d’elle que la désolation de corps étalés sanguinolents, quiconque s’approche tombe sous sa fureur…
Elle hurlait, criait toute sa haine, sa peineÂ…
« Rendez le moi…rendez le moi.. »
Maudite, elle était maudite, on les avaient maudits, nos deux démons n’étaient pas très éloignés l’un de l’autre, mais ils ne pouvaient se voir, se toucher, se parler….Ils étaient comme transparent l’ un pour l’autre, le reste d’Althea pouvant les voir, âmes déchirées…
Sous son regard effaré, il était devenu lumineux, comme envahi par une autre force, elle avait alors regardée ses mains, aussi translucides que celle de son démon.
Elle avait apposé ses mains contre les siennes, et il lui était devenu invisible, ont pu alors entendre deux hurlements inhumains …
Nephtys et Horn tâtaient chacun dans le vide, cherchant désespérément une forme
consistante ,celle de son aimé…
L’inquiétude…A babiller des phrases incohérentes, à chercher l’autre, à éviter la foule, à ne savoir que faire…
Puis la peur, les larmes ruisselants sur les deux visages, l’air perdus, à chercher inlassablement leur moitié…
Séparés ,Avoir utiliser leur faiblesse…
Puis la colère, la haine, Chacun à tuer toute personne vivante pour combler ce manque, cette perte, se venger de cet affront…
Ils en veulent au royaume entier, tout homme est bon a mourir pour rattraper la disparition de l’autre. Ils ne méritent rien de mieux ces….humains.
Elle nÂ’ Ă©tait rien sans lui, il nÂ’Ă©tait rien sans elleÂ…
Ils vivaient l’un pour l’autre, l’un en l’autre et pour l’éternité, mais si cette dernière les séparait…
Personne ne leur répondait quand à savoir où était l’autre, alors, ils tuaient.. ils tuaient…ils évacuaient leur haine ,leur colère, leur peur…
Le couple démoniaque se sentait comme vide, déchiré, découpé de part en part par un destin sûrement tragique.
L’épuisement de tant de cris, de tant de larmes n’était en aucun cas visible, jusqu'à la mort, ils se chercheraient…et si par malheur ils ne se retrouvaient pas, ils ne survivraient sans doute pas. La rage stoppait la fatigue mais elle s’accumulait tout de même derrière ça, les amenuisant peu à peu de leurs forces .
Tout l’amour, toute cette rage, haine a fleur de peau, tout ces sentiments réunis a leur paroxysme en deux êtres qui s’humanisaient l’un l’autre…
Tout ce bonheur réduit en cendres parce que maintenant sans avenir…
Perdus entre espoir et désespoir, amour et fureur, colère et peur…
A crier leur amour et leur envie de se retrouver sur tout les toits , écrasants corps et onces de vies sur leur passage, avançant aveugles sur un chemin caillouteux…
Amour criblé de flèches de deux amants, qui peu à peu sombre dans les ténèbres, noirs méandres de leurs vies, futur cendres amoindries…
Xyartha leur tendait les bras,
l’humanité les montrait du doigt,
leur cÂśur les poussaient Ă se chercher,
et leur conscience Ă se mutiler.
Sachant que lÂ’autre en ferait de mĂŞme,
afin d’abréger leur peine…
Nephtys, harassée, s’éloigna un peu et échappait à ses poursuivants avides de vengeance pour aller s’allonger sous l’arbre où ils avaient l’habitude de se lover l’un contre l’autre…
Elle se roulai en boule entre les deux racines de cet arbre, pleurant et hoquetant comme une enfant le ferait, les sanglots la remuant , elle déjà tremblante.
Elle planta sa dague dans le sol avant de se rallonger, embrassant son alliance.
Par Miss M le 2/2/2003 Ă 12:51:45 (#3153783)
Par ien le 2/2/2003 Ă 13:05:59 (#3153874)
Provient du message de Miss M
Bon a la limite il me reste la petite fée si vous voulez..
Oui je veux bien :)
Ps : En tant que photographe, je te demande une indemnité à chaque fois que mon oeuvre qui te sert d'avatar apparaitra, et ce ci malgré le fait que tu sois le sujet de cette photo.
Par Miss M le 2/2/2003 Ă 13:57:50 (#3154208)
Petite fée voguant par monts et par vaux, petite fée mignonnette, souriante et samaritaine.
La petite femme toujours un sourire aux lèvres mais le cœur gros des malheurs du monde se promène de ville en ville, de contrée en contrée, sans famille et sans attaches.
Dans cette ville là , hop, elle sèche les larmes de cette femme qui vient de perdre son mari à la bataille, un coup de baguette magique associé à de la poussière de fée et ses malheurs s’envolent. Ses idées noires lui sortent de la tête et à la place de broyer du gris, sort faire quelques emplettes pour ses enfants qui, déjà visités par la fée du bonheur, jouent tranquillement avec les petits voisins.
Un malheureux de moins en ce monde, une pensée de plus à porter pour la jeune fée…
Une larme sÂ’Ă©chappe sur son doux visage de porcelaineÂ…
Un peu plus loin, quelques mètres à peine, c’est cette petite fille que la bonne fée soigne de ses égratignures, jetée sur le pavé par un passant trop pressé, l’enfant c’était éraflée sur un caillou saillant et les petites gouttes de sang perlant la firent paniquer, elle éclata en sanglot…
La petite fée faisant son bonhomme de chemin s’en approcha doucement, susurra quelques douces paroles, rendant le sourire à la gamine qui vit dans un nuage de poussière (de fée bien entendu) disparaître ses petites plaies… Repartant en galopant le sourire aux lèvres après un merci et un bisou, l’enfant rentra chez elle.
Ravie de ce sourire enchantée des remerciements enfantins, elle soulève en soupirant un pan de sa robe découvrant les petites plaies sur ses genoux…
Mais pas le temps de faire plus attention à ces dernières que les prochains pleurs parviennent à l’ouïe fine de la petite bonne femme. Ce bébé naissant qui pleure l’écrin chaud et voluptueux qu’était le ventre de sa mère, la petite fée rapetissant se place non loin du nouveau née qu’elle rassure en vantant les mérite d’une vie pleine et bonne, les joies du monde, les beautés, ce qui fait qu’on a envie d’y rester sans ne jamais être objective, petite fée voit leur vie en rose et broie tout le noir à leurs places. Le bébé cesse ses pleurs et gazouille gentiment, petite femme s’échappe avec ses peurs, le visage crispé…
Jamais ne montre fatigue à ces hommes, femmes, enfants à qui elle enlèvera souffrances et maux. Jamais pour la bienséance et son sourire éclaire de nombreux visage même si en son fort intérieur, elle aurait grand besoin de rencontrer une autre fée pour lui retirer le poids du monde et toutes ces souffrances qu’elle happe dans un rayon de lumière, durant ces quelques instants, son sourire s’enfuit, son aura emplit le regard de la personne qu’elle veut aider pour ne pas qu’elle voit le revers de la médaille. Une femme martyrisée par les maux des autres mais qui continue dans son entreprise pour la survie d’un autre monde. Elle vie en parallèle pour faire le bonheur des uns, même si ça doit lui coûter .
Pas mal d’années à son actif, des villages de gens heureux, notre petite fée en est fatiguée, ses épaules acceptant leurs sorts sans le moindre mot, le moindre gémissement commencent à plier sous le fardeau qui fait sa vie. Mademoiselle, puisque pas mariée, vie sa vie pour les autres, pour leur sourire, pour leur amour.
Elle s’attèle à ce qui sera sa dernière tâche , un couple d’amant, l’amour impossible et ce dernier dans un accès de rage la tue pour ne pas la voir aux bras d’un autre…
Un crime passionnel. Petite fée arrive, abattue par son existence mais allègre , souffler des condoléances au jeune homme en larmes.
Elle retraça en quelques mots leur existence à deux, les bons moments qu’ils eurent ensemble, sa voix se faisait douce et de miel malgré une douleur lancinante qui la prenait sans qu’elle ne sache pourquoi. Plus elle voyait les traits du jeune homme se décrisper, plus elle sentait son cœur partir en vrille, et lorsqu’il se mit à rire, elle tomba à la renverse.
Le jeune homme avait fait son deuil, la petite fée saturait. Sa dernière bonne action fut de libérer l’amoureux d’une mort certaine…
En quelques secondes, le temps que sa tête heurte le sol en une nuée d’étincelles, elle revit toutes ces vies qu’elle avait rendue plus heureuses et plus saines. Ces quelques instants où ces gens entreprenaient malgré eux ce qu’elle fit toute sa vie, sur elle, la firent sourire malgré elle et son âme prit la route des cieux rejoindre les étoiles pour un repos mérité…
Petite fée toute sa vie au service des autres se perdit parmi ses sœurs les étoiles emmenant avec elle les maux de ces hommes et femmes à qui elle dit…Merci…
Suivant
Petite fée s’est éteinte depuis des lustres déjà , le sommeil lourd et pesant , reposant que lui accorde la lune, sa mère , et qui lui convient tout à fait après sa vie chargée en émotions plus ou moins bonnes. De jours en jours son repos se trouble, agrémenté de cauchemars, de rêve sans fonds, d’horreurs sans fins, la petite étoile sursaute dans son lit bleu nuit.
Les écorchures de son cœur remontent à la surface, remplacent et écrasent le repos de la méritante qui les yeux clos tentent d’étouffer ses sanglots. Son cœur surchauffe, comme prêt à exploser, elle ne peut garder les yeux fermés sur ces malheurs, l’étoile tremble.
Entrant en ébullition, le petit astre se décroche de sa mère et de son voile protecteur qu’était la nuit pour piquer droit sur la belle planète.
De cette dernière on peut voir une traînée argentée découper le ciel de part en part, comme un arc en ciel qui aurait oublié ses couleurs et omit de tourner pour aller montrer le lieu du trésor sois disant caché par des petits êtres malicieux…
Dans un grondement sourd, la petite boule en fusion semble s’écraser au sol, seulement juste avant sa rencontre avec la terre meuble, l’étoile était partie en fumée dans un bruit de petites clochettes et une poussières fine, brillante qui disparaissait au contact de l’air. Au centre, notre bonne fée, arborant son plus beau sourire, aucune ride, aucune marque de son âge maintenant avancé.
Elle n’a pas pu ignorer les appels au secours, les gémissements de toutes les âmes ici bas qui selon elle ne méritaient pas leur sort malheureux. Réapparue pour recommencer dans sa tâche, même si une nouvelle fois elle devait s’en retourner le cœur plus gros qu’au départ, d’autres souffrances durement ingurgitées, volées pour qu’enfin ils vivent mieux…
Suivant
Le passé de la petite bonne femme…Qu’avait elle connu ? Avait elle pu connaître l’amour ? Encore pire la haine ? ou bien les deux ? nooon…
Et pourtant si il était arrivé à notre petite fée d’aimer…Mais pas l’amour qu’elle distribue de jour en jour gratuitement…L’amour beau, fort, qui rends quelque chose, celui qui d’un souffle vous amène aux étoiles de façon directe, celui qui de ce même souffle vous amène aux enfers. L’amour qui dicte à votre cœur chaque pas, celui qui transporte de joie et fait couler les larmes, celui qui à aussi fait couler le sang, celui qui à ruiné des vies…
Il n’était pas tout à fait humain, il n’était pas tout à fait autre, pas tout à fait simple, pas tout à fait féerique, un petit rien mystérieux, une grande parcelle à la vue de tous. Il avait tout pour plaire à la fée mignonnette, à part une chose : il venait du camp adverse.
Un petit diable qui sur terre faisait tout le contraire du travail de la petite fée, pourtant lorsque leurs chemins se croisèrent, les étoiles entremêlées d’effusions volcanique, de lave à la lune, leur tombèrent ainsi sur la tête, un coup d’enfer, ou de paradis selon les points de vue, de toute façon ça fais mal et on s’en souvient !
Il n’y a pas qu’a eux que la nouvelle fit un choc, leurs supérieurs respectifs n’approuvèrent pas, leurs collègues et la famille du diablotin…
Et pourtant à chaque heure passées ensemble, aucun malheur ne naissait et aucun ne se résorbait, petite fée et petit diable se laissaient aller à leurs maux, à leurs envies, à leurs amours…Jamais son cœur n’avait autant débordé de joie, d’humeur plus qu’agréable, sa mission en devenait un réel soulagement pour éviter l’éclatement de son petit astre intérieur.
Aussi près du sol soit elle, elle brillait, rayonnait comme sa mère, distribuait amour à la cuillère (parce que les pelles sont un petit peu grosses pour elle….).
Quant Ă lui, il vivait un cauchemar, un de ceux que jamais il nÂ’aurait pu faire en temps normal... Il Ă©tait amoureuxÂ…
Sa faculté à amener haine et désarroi, noirceur et déshonneur était froissée par un petit cœur qui battait anormalement vite pour un presque mort, qui battait tout court d’ailleurs.
Il se reprenait lorsque dans ses rêves, il revoyait le doux visage planer, secouait la tête, et même si le sourire n’y était pas, par éthique de son travail, ses yeux sombres le criaient pour lui. Le corps n’était plus à l’ouvrage puisqu’il s’attelait à réguler le cœur, à l’empêcher de sortir du poitrail à chaque soubresaut , il aimait…
Pour une fois que la raison l’emporta sur le sentiment, il faudra bien que je finisse ma féerie triste ou ma tristerie de fée.
Leur amour s’emmêla les fils de Lune dans les méandres de souffre, la vie sans était peut-être pas si mal pensa le diable, elle ne voyait plus cela autrement, et c’est ainsi qu’il partit sans remords apparents, un beau jour muté au pays des…on s’en fiche.
Elle ne put s’y résoudre et se retrouva là , le sourire aux lèvres la larme à l’œil espérant qu’il serait heureux. Le cœur qui servit de réceptacle à tant de malheurs s’en trouva brisé, petits morceaux de pierre de Lune, petite fée en bout d’étoiles…
Encore une histoire triste que beaucoup haĂŻront Â…
Tant pis, ainsi soit ilÂ…
Suivant
Un autre potagerÂ…
Une poussière pas ci, une poussière par là , et la petite fée rangeant les étoiles dès le début de soirée s’affaire, s’affaire prépare son char luisant, le rempli de petites étoiles, de moyennes, de grosses, d’énormes !
Mais aussi les étoiles intermédiaires entre les petites et les moyenne, les moyenne et les gr…bon bon…
Quoi qu’il en soit, elles se préparaient elle, et la fée du bleu, la fée qui peint la nuit au fur et à mesure, sur terre elle ressemblerait à un camionneur…ou euh non un...euhhh forgeron voilà voilà ! je m’emmêle les pinceaux dans les mots fée humain…ou humain fée ? Bien bien on va passer, on a pas toute la nuit, qui va tomber d’ailleurs, où sinon elles auront fini sans que j’ai le temps de raconter !
Le potager de la nuit, la fée peintre dépose une couche bleu nuancée de la nuit et la première entame sa mission. Elle plante d’abord les petites étoiles qui ne se voient que très très peu de la planète pour laisser le temps à la fée au bleu de foncer un peu la nuance et de disperser par ci par là un petit ou gros nuage. Puis une deuxième couche remplace la première, petite femme parsemant encore le ciel ça et là d’astres luisants…
La nuit se dresse peu à peu, comme on met une table et le couvert, les deux femmes s’attèlent à faire tomber la nuit…
Pendant qu’une de leur confrère diablotin vous jette du sable dans vos lits et vous réveille toute la nuit parce que ça gratte !!
Euh non non… tandis que la petite fée du sommeil douce et nouvelle jette sur vos yeux le léger sable du sommeil et la petite grassouillette passe au ralenti derrière pour vous souffler un joli rêve…
*reçoit une première volée de poussière*
Ahhhhh les copines là vous êtes…des.. traîtres….
*s’écroule un léger sourire aux lèvres quand la deuxième volée de mini-étoiles s’écrase contre elle…La volée des rêves…
Par Miss M le 2/2/2003 Ă 14:01:50 (#3154233)
Un petit bout de papier posé sur une grande table
Aucunes chances penses t il de s’en aller, de s’y dérober
Sauf si vient Ă lui lÂ’aide d un souffle de vent affable
Qui enfin délivrera le morceau de feuille, viendra le pousser.
Une grande table supportant le poids dÂ’un bout de feuille
Touts ces années à porter maintes fastes et objets
Le bois qui sÂ’effritent et plie comme un arbre sÂ’effeuille
Qui prie lui aussi la petite bise qui soufflera le feuillet.
Un petit bout dÂ’ouragan
Etripe les maisons
Montre tripes et horizons
Des villes, des camions
Etables et environs
Petit bout de vent
Qui passe et repasse
Soulève une jupe et s’en défends
Fais celui qui trépasse
Petite bise d’été
Qui lentement
Pousse le papier
Fais respirer lÂ’ameublement
Un petit vent du sud
Qui sauva une table
D’une feuille trouvant la plénitude
Tout ça pour finir ma petite fable !
Suivant
Comme une inconnu, sans importance
Un empoisonneur en proie, sonnant
Sens, peut importe, le connu divague
Tirant lÂ’alarme Ă©tat dÂ’urgence
Une tirade du cÂśur, un effet liant
SÂ’Ă©crase sur un rocher comme une vague.
Délié comme une langue
Un tri dÂ’une vie en rade
Tires en la larme des tas
Le poison se rĂ©pand lĂ
Pourtant simplement compliqué
Un homme explicitement simplet
Inextricablement doit se débrouiller
Pour débarbouiller mes propos emmêles
Sans sens certain, sans grande poésie
Ca sÂ’en sent incertain
Et les sens ne sont pas mis a partis
Et pourtantÂ…est ce si sain ?
Une histoire chantée, enchantée?
Il a parlé, c'est exprimé brisant le silence, replaçant mon linceul ,m'enfonçant un peu plus dans la terre et refermant le cercueil.
Un accueil comme écueil qui me glace et une larme qui roule déboule , m'engloutit et coule.
Un flot traversant, transperçant mes pensées
Loup y es tu?
M'entends tu?
En temps voulus tu aurais réduit à néant la barrière qui nous sépare. Mais le jour est loin, la nuit s'engouffre avec son amie le froid, glace nos cœurs et les éloigne d'un souffle.
Mais la chaleur a brisé mon iceberg au lieu de le fondre et de le garder intact, prêt à resservir...
Mais la colle est sèche, il n'y a plus rien, plus personne pour raccommoder.
Hey!
Ouvrez la cage aux oiseaux...
Sortez moi de là , j'inspire, expire ,délire et suis pas loin de mourir!
Je ne veux pas...OUbliez mes mots, mes maux, mes eaux troubles et mes os fragiles.
Le vaux je? Les Vosges?!
J'aime pas la montagne, tout est blanc et bleu, beau et clair seulement rien n'est tel...
Je préfère la mer...
Sur un bateau, bercée par les flots, la tempête prends forme, son épicentre sous ma coque, toutes voiles dehors qui rapidement tombent avec le mat, dessalage...
Je cherche un gilet de sauvetage...Ou coule.
Avec un peu de chance, quelques temps après, j'échoue meurtrie.
non en fait rien ne vaut la ville....
Bien sur!
Avec la pollution qui te tombe dessus comme une gros nuage, les gens qui ne se voient pas et se piétinent. L'égoïsme pur..
Tout pour soi et un tout seul...
OĂą alors?!
L'enfer? Le paradis?
Qui sait si ils ne se valent pas...
Disparaître...
Elle a qu'Ă s'envoler...
Loin, loin lĂ bas, lĂ haut. Plus de mer, plus de terre, plus la glace...
Et eux?Tu y penses?
Oui...NonÂ…Peut-ĂŞtre...Quand mĂŞme...
Ils n'ont qu' Ă venir!
Y'a de la place chez les "avec" cÂśurs...
Les "a" cœurs écœurés par les sens cœurs.....
Je vous aime. Haine pour un cas plus qu'infime, infâme qu'a certains temps j'ai haïs...
Tu aimes, tu ne hais, tu vies, tu...
Une Petite FĂ©e
je rajoute un ou deux petits textes d'un soir, récents ou non
Ses blanches ailes immaculées prennent doucement feu sur le brasier maudit. L’ange au poteau exécutoire, ficelé, attaché, les flammes léchant déjà le bas de sa robe et les plumes assez basses Les déments le fixent et se rient de son mal alors qu’un léger sourire se dessine sur son visage. Sourire qui s’efface lorsque naît la douleur issue du feu qui monte doucement sur son corps. Absorbés par sa mort, les diables dansent et fêtent déjà son trépas. Il suffoque, les relents de fumée l’amènent à tousser, ses yeux qui le piquent se ferment sur une vision infâme et sur une larme. Son cœur saigne plus qu’il ne se consume de voir tant de haine se répandre en flots autour de son âme endolorie. Toute une vie à défendre des idéaux, défendre des Hommes, aimer les haineux, vivre pour les autres. Seulement , ses démons l’ont rattrapés et se vengent d’une vie exemplaire en le traînant au bûcher, meurtrissant son corps comme si sans le vouloir il avait meurtri leur âme. De longues complaintes d’élèvent dans le ciel rouge sang, sang toujours moins fort que ses maux qui s’intensifient de minutes en minutes. Le mal le ronge et monte en lui, les flammes le prennent en otage et prennent possession de l’ange pour qui le destin létal entraîne la souffrance. Ses cris déchirent le ciel alors que l’être est embrasé, enflammé, une odeur de chaire brûlée flottant, morbide, dans l’air baigné de relents de souffre…Ses hurlements s’éteignent peu à peu et l’aura de lumière l’entourant se dégrade pour perdre totalement son éclat, alors que le corps calciné retombe lourdement sur les braises encore chaudes.
Des rires s’élèvent dans cette atmosphère lourde et démoniaque, des petites voix grinçantes chantent :L’ange est mort…L’ange est brûlé…
un second
Ce soir le clair de lune me domine, la fraîcheur de ma chambre rend ton absence encore plus douloureuse, toi, l’ange de mes rêves.
Tu es, fut et sera le régisseur de mon cœur, qui dirige et mène un bout de ma vie, une main de fer dans un gant de velours, tu es ma vie, et sans toi, je n’y pense pas.
Un rideau s’écarte et rend la vue sur la rue inévitable, le gel installé sur le trottoir me rappelle ce froid, cette sensation de vide qui me prend au cœur, me donne le vertige, j’ai mal de toi, j’ai mal de nous.
Le ciel est dégagé sans nuage , ils sont tous enfournés en mon sein, la lune reflète ma grande tache de malheur sur le monde, que tout le monde voit ma brèche, qu’elle illumine de joie les médisants.
Mais cet astre est censé être celui qui protège, qui surveille les nuits, les sommeils, les rêves !
J’aimerais qu’elle dépose dans mes rêves la joie des lendemains, mais seul le présent et la longueur restent, pourquoi l’étincelle de mon regard s’éteint peu à peu ?
Peut-ĂŠtre quÂ’un mot la revigorera, un regard une phrase, une caresse.
Mais tu es loin de moi et c’est le regard mouillé par les larmes du destin que mes chimères prennent forment et que les perles de mon désespoir s’écoulent jusqu’au coin de mes lèvres, entrouvertes par un sanglot.
L’eau salée de mes tourments est figée d’un revers de main et si mes hoquets n’avaient pas troubler le silence, on aurait pu entendre leurs plaintes.
Mais l’éternité nous sépare et il faudra attendre pour que la plainte se noie, que l’étincelle se ravive.
Ouala...
Je sais ecrire des trucs joyeux, promis, mais ils sont peut etre au final trop personnels...
Miss
Par ien le 2/2/2003 Ă 14:02:09 (#3154236)
Par Miss M le 2/2/2003 Ă 14:04:59 (#3154258)
Provient du message de ien
Merchiiiiiiiiiiii :) :) :)
Ouais bha t'as d'quoi lire je pensais pas que j avais ecris autant en si peu de temps :)
Faudrait que je recommence à déraisonner en simili bout'ch'attitude parcequ'égaler la perfection est impossible mais froler la dérision déraisonnement c'est pas trop difficile, suffit d'un dictionnaire, d'un coeur, d'une paire de nerfs, et le tour est joué, pourvu qu'il ne soit pas mauvais, le tour.
Par mentoor lt_chl le 3/2/2003 Ă 5:50:54 (#3158725)
Par Orion Elentáris le 3/2/2003 à 8:01:29 (#3158907)
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