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Ultime Quete : chapitre 1
Par sans nom le 30/11/2002 à 16:42:04 (#2680247)
Tout a commencé le jour ou lassassin de Feyd-Ehlan, Syris Lloth en personne est venu me trouver à la capitainerie de la ville.
Je finissais détudier un rapport sur un vol commis chez larmurière Gwen quand on frappa à ma porte Jinvitais la personne à entrer et à prendre place sans faire attention à qui elle était.
« Bien le bonsoir Capitaine. Feyd la toute puissante te salut par mon intermédiaire. »
Je levais la tête étonné quune personne puisse prononcer ce nom ici même.
Lhomme était vêtu d'une robe rouge. Sur la boucle de sa ceinture, le symbole de lassassin de la tisseuse. Sa tête était partiellement cachée par un casque, mais je reconnus de suite mon interlocuteur.
« Syris Lloth ! Que viens-tu faire ici ?! Ne me dis pas que tu viens te rendre, je ne te croirais pas. »
Lair supérieur quil affichait mexaspérait.
« Voyons capitaine, je ne suis pas un fou. Pourquoi viendrais ici me rendre alors que jai tant de choses encore à faire. »
« Dommage pour toi. Tu as eu tord de venir. »
Je dégainais et voulu frapper larcher de Feyd. Celui ci ne bougea pas dun pouce ; et soudain, sans savoir pourquoi, sans même lavoir vu bouger les lèvres, je vis une aura noire se former autour de lui, bloquant mon coup et me paralysant.
Je me retrouvais prisonnier dune toile gluante de nature inconnue. Lhomme ne pouvait être capable de connaître un tel sort, et une seule entité pouvait le lancer sur quelquun dautre Syris était protégé par le bouclier arachnide de la tisseuse.
Le néphilim tournait autour de moi.
« Rassures toi, je ne suis pas la pour te tuer, bien que jen aie une terrible envie. Mais ma maîtresse a décidé dune autre fin pour toi. »
De sa besace, il sortit une lettre noire.
« Sais-tu ce quest ceci ? »
« Les ordres de la tarentule à mon sujet ? »
« Tu y es presque je dois te remettre ceci en main propre et te laisser à ton destin. Mais comme tu es actuellement dans lincapacité de bouger, je vais louvrir et te la lire ; jai toujours adoré lire la manière dont la maîtresse prépare la fin de ces ennemis. »
Il décacheta le pli et le parcouru des yeux.
Jessayais de deviner ce que ces yeux pouvaient voir, mais son visage resta impassible tout le long de sa lecture. Apres avoir fini, il éclata dun rire sordide.
« Par lHaruspice, mais quel raffinement ! Décidément, tu nas aucune chance guerrier. Pas de chance mais quel honneur aussi. Enfin je ne ten dis pas plus, cela gâcherait ta surprise.
Bien ce nest pas que ta compagnie mennuie cher capitaine, mais jai dautres affaires urgentes à régler. Alors au plaisir de ne plus jamais te revoir ! »
De la fumée noire se forma autour de lui pendant quil incantait sa téléportation vers je ne sais quel lieu maudit.
La toile se dissipa de suite après son départ. Sur mon bureau, reposait la lettre quil devait me remettre ; je la pris.
« Salut à toi ancien champion de Turell. Le jour de ta rédemption est proche. Tu as depuis trop longtemps causé tord à mon armée, mes serviteurs et ceux de mon maître lHaruspice.
Ne cherches plus à te soustraire à ton destin. Mon maître cest arrangé pour tobliger à venir me combattre seul. Saches que nous avons en notre possession une jeune âme du nom de Lynéa. Ce nom ne nest point inconnu nest ce pas ? Je suis sur que tu te faisais un devoir de ne pas loublier et despérer à vos retrouvailles.
Et bien saches que désormais tout cela sera possible, mais pour cela, il te faudra venir dans MON monde.
Ne cherches pas à savoir comment nous avons fait pour la trouver ou pour lamener ici, mais saches quelle y est ; viens cest tout ce qui compte. Prouves ainsi au monde que tu es différent, que lhonneur pour lequel tu te bats est vraiment ta voie. Viens seul, bat toi, et meurt sur mon territoire arachnéen. Ainsi tu comprendras la puissance de lHaruspice et de ces lieutenants. »
Une toile daraignée symbolisée terminait le message.
Je nen pouvais plus. Comment tout cela avait-il pu se passer ? Comment les dieux ont-ils pu se laisser abuser par lHaruspice et se faire dérober à leur nez et leur barbe celle pour qui mon âme vivait toujours ?
De rage je donnais un coup de poing dans le mur, traversant celui-ci. Sunrock le bourgmestre qui se trouvait de lautre coté en fut tout ébahi. Mais je ny prêtais plus attention. Mon regard était fixé sur la fin du message, des lettres à caractères magiques venaient dapparaître.
a suivre
Par Floloa Terrae OD le 30/11/2002 à 16:47:55 (#2680275)
Par Le Pacifiste le 30/11/2002 à 16:51:02 (#2680291)
Par Iwakura Shin OS le 30/11/2002 à 17:59:20 (#2680682)
Par Syris Choup' le 30/11/2002 à 22:10:20 (#2682030)
Par Pere fouettard le 1/12/2002 à 11:50:20 (#2684373)
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