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Bouillon de souvenirs
Par Yolinne Ninette MIP le 24/11/2002 à 3:00:45 (#2630356)
Je ne souhaite aucun regret, aucune larme encore.. Je ne ressentirais qu'un sentiment étrange endormi, sans bouger, tapi. Attente encore et toujours.. Une histoire sans fin en somme... Rêver mes rêves, puisse ce que j'y verrai se produire sans faillir ! Je serais femme un jour... Être femme pour que tu me désires, car tout ce je voudrais, c'est en somme vivre heureuse un peu avant de mourir, frôler cet espoir de t'avoir vu m'aimer ne serait ce qu'une seconde, d'avoir senti en ton regard cette braise qui me faisais fondre et qui me rendait aveugle... sans plus distinguer aucune couleur autre que celles que tu arborais.. Je suis prête... prête à partir après avoir goûté à ces derniers délices de fantasmes, ceux où j'ai pu t'avoir contre moi l'espace de quelques secondes avant que tu ne t'effaces, happé par la réalité... Mmmm Mmmm Mmmm.... Si bien... j'aimerais ne plus m'enfuir... j'aimerais dormir... ne jamais me réveiller.... sombrer....
Pour les connaisseurs, vous reconnaitrez ptet d'ici de là toutes les connotations/extraits dérobés ;p
Yo*complètement jetée des fois :ange:*yo
Par Kerberos Dark le 24/11/2002 à 4:33:54 (#2630584)
*aime beaucoup*
Par Dodgee MIP le 24/11/2002 à 10:18:48 (#2631010)
Et on tourne les pages, dune histoire sans fin. Elles ségrènent, une à une, tantôt vives, tantôt sans lendemain. Certaines nous frappent, comme retenant notre main, dautres nous pressent, comme pour hâter la fin. Ces souvenirs nont que nous, pour seul point commun. Seul. Les pages sont vieilles, usées, jaunies par le temps. Elles nous parlent dun passé, livrent lodeur dautrefois, cette odeur qui mêlée aux mots desséchés fait vibrer là haut, une musique oubliée, celle dun souvenir qui nous aurait marqué. La nouvelle page est blanche, elle nest pas achevée, sur elle le temps na pas laissé sa trace, il sest comme arrêté, mais déjà la plume court, elle écrit la dictée. Et nos rêves reviennent comme pour nous emporter, quand on sélance, se démène, pour vivre désormais.
Y a-t-il plus tristes quune braise qui se meurt ?
Le souvenir ancien déjà sécarte et pleure.
Mais le rêve revient, il souffle ce bonheur,
Et la flamme, de nouveau, diffuse sa lueur.
Dod *souvenirs souvenirs* gee
Bon si tu veux on ira chanter et ensuite on ira sentir les livres qui puent, j'ai encore qq bonnes adresses :p
....
Par Nienna Fayree le 24/11/2002 à 13:24:35 (#2631967)
Rah on dirait que je viens de parler a Gadjio suis toute retournée là... :(
[Edit]
Quand,les yeux fermés,en un chaud soir d'automne,
Je respire l'odeur de ton sein chaleureux,
Je vois se derouler des rivages heureux
Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone.
Ton souvenir,tel un livre bien-aimé,
Qu'on lit sans cesse sans jamais le refermer,
Un livre ou l'on vit mieux sa vie,et qui vous hante,
D'un reve nostalgique ou l'ame se tourmente.
Mes souvenirs sont si nombreux et si intenses que ma raison ne peut y survivre....
Par Rendakith le 24/11/2002 à 13:30:19 (#2632000)
Re: ....
Par Yolinne Ninette MIP le 24/11/2002 à 14:35:20 (#2632391)
Provient du message de Nienna Fayree
Jaime bien mais en même temps je comprends rien...ça doit être normal....
Voir au-delà des paroles tout simplement ;) car la plupart sont déjà des paroles qui existent quelque part et qui sont cousues ici ensembles ;)
Par Zeed Mithror le 24/11/2002 à 15:22:17 (#2632707)
Avoir été cousus ensemble à la va-vite,
Je me dois bien d'avouer avoir été touché,
En les lisant ici, et par vous, retracés.
Je veux vous voir garder un zeste de confiance,
En ce futur murmure, si tendre confidence,
Qui viendra vous rejoindre, un beau soir dans le noir,
Et saura contenter en vous tous les espoirs.
Je souhaite que celui qui vous fait soupirer,
Ait lu votre propos, et qu'en étant frappé,
Il ait pour vous ces mots que vous en attendez.
Qu'il mette son sourire, par dessus vos pleurs,
Puis que séchant vos larmes il vous offre son coeur,
Afin que pour jamais il rime avec bonheur.
XM
Par Syris Choup' le 24/11/2002 à 15:44:14 (#2632827)
Mais pourquoi ne m'a-t-on pas même offert cette opportunité ? Pourquoi n'ai-je pu connaître l'espoir ? Pourquoi m'a-t-on volé ce soir ? Comme j'ai pu maudire cette vague qui s'est abattue près de moi, comme j'ai pu crier mon malheur, pour qu'elle revienne, tellement j'avais de la peine.
Je me demande encore comment j'ai pu trouver la force de me lever, pour ensuite marcher sous la lumière du soleil des tropiques... Peut-être car le petit oiseau dans ma tête n'a de cesse de s'agiter lorsqu'il sait que l'objet de mon amour est loin de moi. Tant mieux, car après que l'on m'ait volé mon coeur en me demandant de lever les mains sans que je ne puisse rien faire pour l'éviter, il n'est plus aucune force capable de m'animer, de me donner la force de la chercher.. de simplement tendre la main pour l'inviter à danser sur cet amour fabuleux qui se raconte en musique.
Même mes amis ne peuvent plus rien pour me sauver de ma détresse, je me souviens encore de Gilou et son petit accordéon qui m'avait invité à boire un coup chez lui pour oublier et me changer les idées. Y'a même du soleil et des nanas me disait-il en m'expliquant qu'on s'en fourrerait jusque là...
Mais qu'importe la vie si je ne puis la passer à ses côtés. Je me suis donc éloigné pour me coucher sur la playa, là-bas dirladada.
C'est alors que sans réfléchir, je me suis levé et j'ai laissé tomber ma chemise pour faire face à cet océan rugissant.
De tous mes souvenirs, de tout mon passé, je n'ai alors gardé que ce doux visage, comme une épave sur le sable mouillé.
Lentement, j'ai mis mes deux pieds en canard, et j'ai avancé... Toujours plus loin... sans m'arrêter..
Et je me suis noyé.
6- *Qui sifflote et s'éloigne* -Ris.
Par Zeed Mithror le 24/11/2002 à 19:09:01 (#2634033)
Jai fait ce jour un rêve,
Où un preux chevalier,
Au profit dune trêve,
Me faisait me lier.
A la quête éternelle,
Qui devra manimer,
Jusquà la mort cruelle,
Où jirai mabîmer.
Puissiez vous y trouver,
Quelques vers qui vous aident,
En vos curs éprouvés,
Vous pour qui la vie plaide.
Tu combattras lespoir pour quil ne te dévore,
Car si ton cur immense est, il est vrai, très fort,
Ton esprit devra lêtre autant et plus encore,
Pour protéger ton âme et la garder des torts.
Tout au long de ta vie tu sauras lamertume,
Dune âpre solitude au cours long comme un fleuve,
Et qui sécoulera, quil vente ou bien quil pleuve,
Jusquà offrir son eau à grise mer des brumes.
Toutes tes possessions, ton temps et ton essence,
Tu offriras au monde afin quun peu il danse,
Aux yeux des quelques uns que tu pourras aider,
Sans être pour autant couronné de succès.
Et quand tu auras fait quatrains de toutes sortes,
Que tu auras aimé, haï et pardonné,
Dompté tes émotions, exploré toutes portes,
Sans que jamais le Graal un jour te soit donné.
Quand enfin tout ton cur sera résignation,
Tout près de sadonner à la mort blanc-drapée,
Qui taura poursuivi sans jamais tattraper,
Tu connaîtras alors la nouvelle impulsion.
Tu oublieras la mort et sauras que la vie,
Nexiste quau présent quel que soit ton avis.
Tu trouveras la force suffisante alors,
Pour faire du présent enfin tes rêves dor.
*_-_-_*
Tant qu'à flooder autant ne pas faire semblant...
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