Un poème … un appel … un espoir

Par Julyane le 12/11/2002 à 12:31:35 (#2543169)

Ô toi qui arrive sans prévenir
Ô toi qui fais si plaisir
Ô toi qui pars sans avertir

Ô toi qui te nomme le bonheur
Ô toi dont je rêve de tout mon cœur
Ô toi qui laisse place au malheur

Ô toi qui porte le doux nom d’Helori
Maintenant cÂ’est pour toi que je souris

Helori où es tu, je t’aime, tu es mon père, non pas de sang mais mon père par les liens de l’amour. On a partagé le même rêve, les mêmes espoirs, le même malheur …Toujours on était la l’un pour l’autre, tu étais plus présent pour moi que mes mères … papa reviens … Moi aussi j’ai été triste, mais Helori reste pas seul, la solitude est pire que tout … Je ne suis plus triste pour pleins de raison, dont une petite merveille, cette merveille tu l’as déjà vu, c’est ma fille Gail, elle m’a montrée le bonheur, elle le fera avec toi … tu verra on sera une famille, on réalisera notre rêve, avec Midhir mon futur époux, toi mon père d’amour, Gail cette merveille venu des cieux .
Si je ne te vois pas, je partirais te chercher, car je ne veux pas que tu sois seul Â…

Par Gail Ylis le 12/11/2002 à 13:23:08 (#2543738)

Une fleur qui vennait d'éclore,
Une mère qui souriait sans effort.
Une petite fille était née devant ses yeux,
Et pourtant il osa presque faire un adieu.

Est-il possible d'être si indifférent,
Devant ce nouveau bonheur naissant.
Est-il possible malgré tout cet amour
Pour sa presque fille qui l'aime depuis toujours,
De choisir de partir et ne point revenir,
Alors que tout ce qu'elle veut, c'est son sourire.

S'il est une raison pour le retenir,
S'il est une seule chose autre que vivre et mourrir.
Si cette chose assez importante d'une fille pour son père,
Qu'est l'amour est suffisante pour le retenir à ses cotés,
Alors tel un presque père, il se doit d'assumer,
Et rester pour veiller, sur celle dont il est fier.

Le bonheur ne vaut que s'il est partagé par plusieurs,
Un enfant, son père, sa mère ... son grand-père d'amour.
Maladie tendrement transmicible, le bonheur est contagieux,
D'un père à une fille, d'une fille à son enfant, tel un cercle vicieux;
Si l'un des rouages cède et se dissocie pendant son tour,
C'est tout l'ensemble qui s'emballe et tourne au malheur.

Si Gail avait su parlé, elle aurait dit du haut de sa tendresse...
La vie est dure, encore plus pour un bébé. Maman a eu de la chance d'être soutenue; je veux avoir cette chance. Presque Papy, reste pour maman, reste pour moi. J'ai plein d'amour à donné, tu en as plein à recevoir... reste ...

Par Oanelle GR le 12/11/2002 à 14:55:14 (#2544566)

*Aurait tellement envie de venir voir sa fille et de prier avec elle pour le retour de son Père Helori.. Mais elle savait que c'était impossible.. par la demande qu'elle lui avait faite, par écrit.. Son coeur se déchirait à nouveau, petit à petit..*

La décadence

Par Helori Arey GR le 12/11/2002 à 21:14:18 (#2547562)

Quelle est cette machination qui l'empêche d'être heureux? Bien sûr, cette nouvelle naissance à laquelle il a presque assisté était un espoir de plus dans sa vie un peu trouble de ces temps-ci, mais n'aurait-elle pas dû lui apporter du bonheur plutôt que du chagrin?


Un de ses amis lui avait parlé d'une naissance en ces termes:

- Tu sais Helori, j'ai apprit pour la naissance de la petite..

- Ah oui? Elle est magnifique n'est-ce pas?

- Alors.. cette nouvelle te réjouit? Comment est-ce possible?

- Comment ne pas se réjouir du bonheur de sa fille et de la naissance de sa petite fille?? Que me caches-tu mon ami?

- Oh.. rien.. je parlais de la fille d'Oanelle.. tu n'étais pas au courant?


...


La Vie continuait sans se préoccuper de lui, le bonheur était ainsi, dorénavant assuré pour ces deux personnes auxquelles il avait juré qu'il ne les laisserait pas tomber tant qu'elles ne seraient pas heureuses.
Le temps avait accomplit sa tâche, il n'avait aidé qu'à les y faire parvenir, à bon port. Il pouvait se retirer tranquillement maintenant, son rôle, pensait-il, était terminé, il est grand temps qu'il descende de scène, qu'il laisse place à tout ce bonheur... lui qui ne l'avait jamais trouvé, où alors par petites touches qui s'effacent si vite de l'esprit que l'on se demande si ca n'était pas qu'un rêve.



Helori Arey
Un départ pour une arrivée,
Cruelle Balance de la Vie.

Par Midhir Ylis GWH le 13/11/2002 à 0:51:41 (#2548926)

Midhir ne savait que faire voyant la tristesse de sa fiancée... Elle lui parla de Helori, que celui-ci avait beaucoup de peine sur le coeur, qu'il allait peut-être quitté Althéa... il se resaisit par la nouvelle et alla rejoindre le parrain de sa fille.

- Helori attend !! tu ne peux pas encore partir... ta Fille, ta niece, ainsi que moi...nous avons besoin de toi. Tu ne peux pas partir... abandonner ta famille ainsi, oui, parce que je te compte parmis mes proches mon ami, et cela me rendrait immensément triste de ne plus te savoir parmis Althéa...

Il regarda le Garde qui était face a lui, attendant une réponse ...

Par Julyane le 13/11/2002 à 8:06:34 (#2549658)

le cœur gros, les yeux humide, Julyane s’apprêtait à … renoncer à son rêve pour de bon …
il était tant de tourner la page, de plus penser à ses rêves mais à ceux de sa fille …