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Juste une histoire

Par Naala Blast EC le 10/11/2002 à 17:35:39 (#2525915)

Tandis qu’elle approchait de la ville, la pluie commença à tomber.
A l’orée de la forêt, les gouttelettes s’accumulaient mollement sur les feuilles des arbres pour finalement piquer vers elle, fortes de leur union, et se répandre dans les broussailles. Impatiente qu’elle était, elle avait préféré couper par les bois, délaissant le chemin et ses nombreux détours, évitant de la sorte les nombreux marchands revenant de leur commerce avec le village voisin. Et depuis que l’averse avait commencé, elle se félicitait plus encore de ce choix. La monotonie de sa course avait été égayée par le grondement de la pluie dans le sous-bois, où la simple averse prenait des allures de tempête, excitant ses sens.
A la sortie du bois, on pouvait apercevoir les remparts qui entouraient la petite ville, et malgré le mauvais temps, elle ne manqua pas de deviner leurs silhouettes massives. Les anciens avaient bâti ces murailles pour se protéger d’un ennemi aujourd’hui oublié, mais, de générations en générations, elles avaient été conservées et entretenues, en mémoire du passé peut être, ou pour se préserver d’assaillants potentiels, personne ne savait plus très bien.
Restez terrés jusqu’à la fin de vos jours et vous passerez à côté de votre vie…
De l’endroit où elle se trouvait, elle entendait déjà les mères de tous âges rappelant à l’abri leurs progénitures, et elle pouvait sans peine imaginer leurs maris, se dirigeant vers la petite taverne, leurs maigres bourses en poche, impatients de boire ce qui aurait pu nourrir leurs familles.

Le soir tombait.
A cette heure, entre chien et loup, on distinguait sans vraiment voir, aussi se risqua-t-elle à reprendre le chemin et à passer par le pont, entrée principale de la ville. Elle ne pût retenir une moue de dépit lorsqu’elle réalisa que les portes étaient désertes, la pluie ayant chassé les gardes peu scrupuleux de leur poste.
Dommage…
Il aurait été plaisant de se satisfaire d’un, pourtant… Si prompts à donner des leçons et à se porter garants de l’ordre, si droits et justes dans leurs armures miteuses, ils n’en restaient pas moins des hommes, corruptibles et corrompus, se complaisant dans la luxure dès que les regards n’étaient plus tournés vers eux.
Réfugiés dans le bâtiment qui leur était réservé, elle ne risquait pas d’en croiser un ce soir. Elle prit donc la direction de la taverne, seul autre endroit où elle trouverait ce qu’elle cherchait par un temps pareil.
Elle avait rabattu son capuchon sur son visage en arrivant près de la ville, comptant sur la pénombre pour fondre ses ailes dans le néant de la nuit, lui permettant ainsi de passer plus ou moins inaperçue. Mais malgré sa déception première, la pluie avait cependant rendu son arrivée plus discrète encore, et sans doute plus facile. Les gardes, en trop grand nombre, auraient pu lui poser problème finalement, l’effet de masse les rendant plus vertueux et plus enclins à obéir aux consignes.
Ce chien d’Artherk a bien dressé ses moutons… En troupeau ils obéissent au roy… Mais la brebis égarée cherche rapidement un nouveau berger, un nouveau Maître…
Cette pensée la fît sourire. Elle se remémora quelques une de ces « brebis » à qui elle avait montré la Voie, et laissa son esprit vagabonder sur le passé, comme l’avant-goût d’un avenir proche ; inconsciemment, elle pressa le pas, l’impatience prenant le dessus sur la maîtrise de soi.
Elle regarda autour d’elle et s’aperçût que ses rêveries l’avaient menées plus avant dans la cité. Ici elle ne risquait plus rien. Si les royalistes pouvaient représenter une menace, ici, au cœur des villes le petit peuple n’avait que faire d’un roi qui ne se souciait pas d’eux. Les gens s’unissaient là sans soucis de religion dans le seul but de survivre à la misère, et seul comptait celui qui pouvait leur apporter quelque chose.

Elle était déjà venue ici, il y a longtemps. Elle n’était alors qu’une enfant et sa mémoire la trahissait. Elle resta là un moment, essayant vainement de revenir plusieurs années en arrière, ici, au même endroit. Tout lui semblait flou, comme dans une autre vie. Et pour tout dire, c’était bien une autre vie. Aujourd’hui elle se sentait bien, tellement bien, et tellement
Vivante
sûre d’elle, alors que la petite fille du passé n’était qu’une coquille vide parmi tant d’autres, errant au hasard des routes, jusqu’au jour où, enfin,…
Mais ce n’était ni le lieu ni le temps pour revivre ces heures perdues. Elle avait bien mieux à faire. Elle s’engagea dans une ruelle, qui après tout en valait bien une autre, et qui finirait bien par la mener quelque part.

Quelques pauvres hères qui n’avaient nulle part où aller gémissaient parfois dans un recoin en entendant ses pas, mendiant quelque piécette ou un peu de nourriture ; mais elle passait son chemin, laissant à la Baronne le soin de récolter ce qu’elle avait semé et de s’occuper de ses pauvres. Lorsqu’elle passa devant le temple consacré à Artherk, pourtant, la curiosité l’emporta et elle ne put s’empêcher de jeter un œil par l’une des ouvertures. L’édifice était immense, et les pierres magnifiquement sculptées. Les lieux avaient dû être majestueux par le passé, resplendissants de riches ornements, et soigneusement entretenus. Mais l’endroit avait perdu son éclat d’antan, les peintures fanées paraient tristement les murs grisâtres, les vitraux étaient ternes et poussiéreux, les bancs de bois usés par les années étaient alignés devant l’autel nu, dépossédé comme le reste du bâtiment de ses pimpants attributs et de ses reliques par les petites gens affamées. Le temple semblait se vendre morceau par morceau, ce qui avait de la valeur du moins, sous le manteau de marchands ambulants. C’est là, dans ce qui restait de la somptueuse église, que d’autres miséreux avaient trouvé refuge, se pressant autour de quelques bougies, priant sans conviction un dieu qui ne les écoutait pas.
Ils prient mais ne croient pas, ils demandent mais ne donnent pas. Ils sont là par désespoir, parce qu’ils ne savent pas quoi faire d’autre, et espèrent une aide qui ne viendra pas. Parmi tous ces gens, quand la vie sera moins dure, pas un ne reviendra ici pour le remercier et le louer.
Seule la misère peut remplir son temple.

Décidément, la nuit commençait bien, et le spectacle était réjouissant. Mais elle ne pouvait s’attarder, il l’attendait.
Qui ? Bientôt…
Durant la journée, les lieux devaient être animés, même si à cette heure la ville semblait morte. Des commerces en tout genre, fermés à cette heure, étaient agglutinés autour du temple. La taverne ne devait pas être loin. D’ailleurs des images du passé lui revenaient, et elle se repérait vaguement.
Par ici.
Les ruelles étaient rendues boueuses par la pluie, et un petit ruisseau emportait la terre au milieu de la rue principale, seule rue pavée de la ville. Elle le suivît quelques instants, puisqu’il se dirigeait comme elle vers le seul endroit vivant de la cité à cette heure.



Elle l’entendît avant de la voir, la musique et les rires tellement bruyants dans le silence troublé jusqu’alors seulement par le bruit de ses pas et de l’eau s’écoulant. Au travers des vitres sales, les lanternes projetaient les silhouettes grossières et gesticulantes des hommes, et on distinguait des bribes de conversations sortant du brouhaha général. A l’étage, quelques faibles lumières laissaient l’imagination vagabonder sur l’une ou l’autre de ces scènes trop misérables pour être vraiment tristes, mais qui permettaient à quelques familles de vivre, au détriment d’une fille, une sœur ou une mère.
Riez, amusez-vous… C’est la dernière fois avant longtemps pour l’un d’entre vous. Demain, celui-là aura oublié qu’il a été heureux un jour…
Elle ouvrît la porte d’un geste assuré, coutumière qu’elle était de ce genre de trous. Aussi étonnant que cela puisse paraître, et même si au premier abord ces terrains de chasse semblaient laisser à désirer, elle avait souvent trouvé son bonheur dans ce genre d’endroits.
Qui sait ?
Elle se fraya un chemin jusqu’à une table un peu en recul, dans un coin moins bien éclairé que le reste de la salle, et s’installa sans pour autant ôter l’habit qui l’enveloppait et la couvrait en grande partie. Elle n’était pas extraordinairement belle mais attirait les regards, elle le savait, et elle était passée maître dans l’art d’en jouer. Mais pas ce soir. Pas de suite.
Pour le moment, elle ne voulait pas être remarquée.
Ce soir, elle guettait.
Qui ?
Un de ceux là. Bientôt elle saurait.
Aucun ne faisait attention à elle. Mais elle les observait.
Des humains, des séraphins d’Artherk, des séraphins noirs
Traîtres
se mêlaient, discutaient, riaient et jouaient à toutes sortes de jeux, unis par la Sainte Bière. Les traîtres paieraient, elle s’occuperait d’eux . Mais plus tard. Elle n’était pas là pour eux. Elle reporta son attention sur le reste des habitués. Mangeant, buvant, beuglant comme des bêtes, mêlant leurs odeurs d’urine, de sueur et de crasse, ils passaient une soirée comme les autres. Le mâle dans toute sa splendeur. Elle ne pouvait détacher son regard de la scène, hypnotisée par le dégoût qu’ils lui inspiraient. Elle n’aurait pu dire combien de temps elle était restée ainsi à regarder la scène qui s’offrait à elle, quand au bout d’un moment la serveuse vînt détacher son attention du spectacle pour lui demander, d’une voix nasillarde et le plus impoliment du monde, ce qu’elle désirait.
Je le veux…
Elle commanda de quoi se restaurer, une bouillie qu’un cuisinier en manque d’inspiration avait nommé le plat du jour, plat unique et invariable quel que soit le jour de la semaine. Peu importait de toute façon, elle n’avait pas l’intention d’y goûter. Elle jeta quelques pièces dans un coin de la table, moins pour le repas que pour pouvoir rester ici un moment encore.
Je le veux lui.
La masse des soûlards s’était un peu éclaircie, les hommes trop ivres pour rester debout ou trop pauvres pour boire encore ayant été mis à la porte.
Et il était là.
Il était là, assis à une table, dans le coin opposé de la pièce. Il était là, sans doute depuis le début, elle ne l’avait pas vu entrer. Il était là, observant lui aussi la beuverie. Il était là, c’était tout ce qui comptait.
Pourquoi lui ?
C’est lui.
Sans doute parce qu’il était différent, étonnamment serein au milieu de cette agitation, sans doute parce son visage respirait l’innocence.
Sans doute, ou peut être pas.
C’est lui.
Elle l’observa durant de longues minutes, contenant son impatience, faisant durer volontairement le plaisir de l’attente, de la découverte de l’autre. Maintenant qu’elle savait, elle n’avait plus de raison de se presser, elle l’avait trouvé.
Il paraissait jeune, assez jeune en tout cas pour avoir encore cette fraîcheur dans le regard, celle qu’ont les enfants qui ne savent pas ce qu’est le malheur, cette confiance dans l’Humanité qui disparaît avec l’âge. Il était trop richement vêtu pour être l’un des habitués de ce genre d’endroits, mais pas assez pour faire partie de la noblesse du royaume. Qui était-il, alors ?
Peu importe.
Peu importe ce qu’il était. Ce soir, il serait à elle, ou plutôt elle serait sienne.
Ce soir, elle serait tout ce qu’il avait toujours désiré sans oser se l’avouer, celle qui hantait ses rêves et qu’il cherchait sans le savoir, celle vers qui tout son être tendait, inconsciemment, celle qu’il aimait et qu’il aimerait plus encore, celle qu’il ne pourrait jamais oublier. Elle savait être tout cela, différente et unique, exceptionnelle pour chacun d’entre eux. Elle savait les aimer sincèrement et être aimée, passionnément, intensément, pour quelques heures, quelques jours, puis disparaître et les oublier.
Touches du doigt ce que tu as toujours désiré, goûtes-y, goûtes-moi, et perds-le ensuite.
Tu ne seras plus heureux. Jamais plus, tant que tu n’auras pas compris.

Il écrivait tout en observant la salle. Trouvait-il son inspiration dans la scène de débauche qui s’offrait à lui ? Etait-ce cela qu’il était venu chercher ici ? Il aura trouvé bien plus…
Tandis qu’il grattait frénétiquement le papier, son attention fixée sur les hommes et leurs querelles, elle découvrit son visage en abaissant son capuchon, laissant par là même tomber ses longs cheveux en cascade, elle se leva et arracha une plume du bout de ses ailes, l’une des plus longues, des plus belles, des plus sombres. Sous les regards avides, elle traversa la salle dans sa direction, s’approcha de la table de l’homme, et glissa la plume sous ses doigts. Surpris, il releva la tête, et croisa son regard le temps d’un souffle. Elle souriait.
Qui était-elle ?
Elle était déjà partie. La porte se refermait doucement derrière elle. Interdit, il hésita un instant, une poignée de secondes, la plus importante de son existence, puis scella son destin. Il devait savoir.
Laissant là son ouvrage, il se leva et la suivit sous la pluie.



Le jour n’est pas encore levé.
Les rues sont désertes, tout est silencieux. La pluie s’est arrêtée.
Ses pas résonnent tandis qu’elle s’éloigne de la maison, le sourire aux lèvres.
Aujourd’hui sera le premier jour de ta vie.
C’est dans la souffrance que chaque homme dévoile le meilleur de lui-même.
Tu souffriras.
L’homme assez fort pour vaincre sa douleur et sa peine trouvera la Voie.
Tu t’ouvriras à Lui.
La souffrance mène inévitablement au doute, et le doute mène au Chaos.
Tu nous rejoindras.
Le Chaos est le renouvellement perpétuel, une renaissance de chaque instant.
Tu renaîtras à l’infini.
Un monde figé ne peut survivre, il se détruit petit à petit.
Tu seras un bâtisseur.
Sans armes, sans guerres, sans haine.
C’est aussi ça le Chaos…



Naala Blast EC, ou plutôt ljd ^^

Par Archange OgrIrl le 10/11/2002 à 17:47:40 (#2526016)

Bah içi ou dans notre sanctuaire , j'aime toujours autant !

Encore Bravo ma PA!

:lit: :lit:

Par Bonald le 10/11/2002 à 17:51:16 (#2526048)

Oui, vraiment tres bon :)

Par Corwin Elentáris le 10/11/2002 à 17:51:42 (#2526053)

Je n'ai toujours pas changé d'avis, à savoir que c'est remarquablement écrit. Bravo.

Par Urban Blast EC le 10/11/2002 à 18:03:59 (#2526191)

je me demandais juste combien de temps il allait lui falloir pour repondre a lui

Urban

Par Archange OgrIrl le 10/11/2002 à 18:17:46 (#2526312)

Je suis plus rapide que Coco, stou!

En tout cas, j'espère que ma PA va pas s'arreter là et va écrire d'autres jolies choses comme cette histoire!

Par Melichoux le 10/11/2002 à 18:18:44 (#2526322)

Joli et bien écrit
chapeau toi ;)

Par Urban Blast EC le 10/11/2002 à 18:21:57 (#2526357)

Ce n'etait pas pour toi Archange, tu sais tres bien que je n'ai "rien" contre toi .

Urban

Par Corwin Elentáris le 10/11/2002 à 18:32:41 (#2526471)

Provient du message de Archange OgrIrl
Je suis plus rapide que Coco, stou!


Quatre minutes mais je ferai mieux la prochaine fois :D

Par Urban Blast EC le 11/11/2002 à 1:39:12 (#2530897)

*est plus calme*

Naala tu as vraiment tres bien ecris ton recis, c'est magnifique meme moi qui n'aime pas lire et tu le sais, j'ai reussi a le lire.

ALORS MOI SI JE PEUX LE LIRE CERTAINS AUTRES LE PEUVENT AUSSI


Urban Blast EC

*Fier de sa cherie*

Par Archange OgrIrl le 11/11/2002 à 2:53:51 (#2531443)

)Le mieux serait que tu en parles directement à la personne concernée.

Non je ne vise personne!!

Non, toi là derrière, je te vise pas!

:maboule:


Héljidé qui a lu le texte plusieurs fois (c'est pour dire;) )

Par Sarthor MM le 11/11/2002 à 10:25:17 (#2532413)

Vi c'est très joli et moi j'ai eu la chance de le lire en avant-première hihi

Mais pourquoi est-elle aussi méchante ?

Bravo Poulette !

Par Eeva d'Ilwen le 11/11/2002 à 10:42:16 (#2532520)

*a lu*
*applaudi :)*

Bravo cocotte :)

Miss

Par Shaena le 11/11/2002 à 11:03:17 (#2532661)

Vachement bien écrit :)

C un plaisir de lire des textes comme ça.

Bravo Naala, t'as du talent :)

Par Johann Ystralia le 11/11/2002 à 11:53:27 (#2533122)

Oua Genial ton histoire Naala, on s'y croirait.

Quand on voit comme il est long ca fait peur mais des qu'on la commencé on peu plus s'en detaché :)

Bravo :)

Par Syria Blast le 11/11/2002 à 17:46:44 (#2536620)

J'ai pas encore reussi a me lancer dedans :(

C'est trop long ca me decourage avant de commencer... J'devrais y arriver plus tard, quand je serais moins fatiguée, esperons.

Par Lilyan Ystralia le 11/11/2002 à 18:47:47 (#2537110)

Vraiment beau bravo :)


Ljd Lilyan

en effet

Par Thunor le 11/11/2002 à 19:45:39 (#2537639)

je me plis docilement à l'avis général; c'est très beau, et très bien décrit.
excellent, je vous met un A madame.

Re: en effet

Par Archange OgrIrl le 11/11/2002 à 19:52:35 (#2537710)

Provient du message de Thunor
je me plis docilement à l'avis général; c'est très beau, et très bien décrit.
excellent, je vous met un A madame.


Ah bah il a lu finalement :D

Re: Re: en effet

Par Thunor le 11/11/2002 à 19:57:54 (#2537767)

Provient du message de Archange OgrIrl
Ah bah il a lu finalement :D


oui après m'être fait engueuler en long en large et en travers par Urban et Naala, j'ai été contraint et forcé de la lire. j'ai même été menacé de piratage de compte si je disais pas que j'avais aimé.

bref, les marauds m'ont forcé à lire cette histoire.... *pleure*

P.S.: elle pète ton histoire Naala, nan sérieux, elle déchire sa race tu wois.... un quetru de malade, genre ca m'a fait des frissons tu vois....

Par Metabaron aka Othon le 11/11/2002 à 23:21:35 (#2539756)

Très impréssioné bien que je ne sois pas étonné. Ayant eu le plaisir ces derniers temps d'avoir connu l'avatar Naala, je ne pouvais m'attendre qu'à un texte de cette qualité.

Quoiqu'il en soit un régal. Bravo.

Par Fey Blast le 12/11/2002 à 8:43:06 (#2541782)

J'ai toujours pas changé d'avis naala ;)

Comme je te l'ai dit en jeu et sur le forum ogri, je trouve vraiment ca superbement bein ecrit. J'ai vraiment adoré :)

*tient toujous un couteau sous la gorge de thunor* hein mon thuthu que c bien? :rolleyes:

Fey
*Vile irl*

Par Krynn's Corp le 12/11/2002 à 10:24:52 (#2542187)

*attend de changer d'écran pour ne pas jeter un oeil après avoir lu*

????????

Par Urban Blast EC le 13/11/2002 à 16:27:15 (#2553253)

Je suis si bete que ca, ou je comprend pas Krynn?

Urb l'idiot des fois (meme souvent)

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