Archives des forums MMO/MMORPG > La 4ème Prophétie > T4C - Feyd-Ehlan > Uhuh. [poème ^^]
Uhuh. [poème ^^]
Par Syris Choup' le 6/11/2002 Ã 0:22:24 (#2491708)
Tous ces poèmes d’amour qui vous montent à la tête
A croire que la vie est belle, que les gens sont heureux
Car pour moi ça roule tranquille, m’enfin j’ai vu mieux.
Qui aurait dis que Feyd était fait de poètes ?
D’âmes sensibles, raffinées et esthètes…
En lisant vos lignes je ne vois qu'entrain et joie
Mais où est passé le malheur, l’angoisse du trépas ?
Ok ok, je me tais et laisse cette bonne ambiance
Je n’ai qu’une chose à dire, laissez-moi ma chance :
Bon courage à tous, car il vous en faudra.
Pourquoi cela ? me demande quelqu’un d’offusqué.
Car il est un adage qui circule dans mon quartier :
LorsquÂ’un jour il fait beau, le lendemain il fait froid.
Ljd ;)
Par Iwakura Shin OS le 6/11/2002 Ã 0:23:43 (#2491714)
Par TraFalGarH-93- le 6/11/2002 Ã 0:24:16 (#2491717)
Par Mary Ethyl le 6/11/2002 Ã 0:26:43 (#2491731)
Par Lunya le 6/11/2002 Ã 0:27:25 (#2491736)
bravo
Par Lorme Valion le 6/11/2002 Ã 0:27:49 (#2491739)
Par Aina HarLeaQuin le 6/11/2002 Ã 0:40:45 (#2491823)
Par Bardiel Wyld le 6/11/2002 Ã 0:42:41 (#2491830)
Provient du message de Aina HarLeaQuin
Peu importe si le lendemain il fait froid quand on est blotti dans les bras aimés. Et toc. :p
Woh l'aut' qui me fait croire qu'elle est partie se coucher j'hallucine!!! :p
Autrement, s'joli Syris... Mais je me demande ce que ça ferait si je faisais de mes pensées actuelles une série de vers peu grâcieux comme à mon habitude, au vu de leur petite forme.... :doute:
Enfin, surtout si je les postais à vrai dire :rolleyes:
Par Yolinne Ninette MIP le 6/11/2002 Ã 0:45:30 (#2491846)
Yo*qui se pèle tous les matins a 7 h du mat avec pull et echarpe*yo
Par Yganor Wallace MIP le 6/11/2002 Ã 0:50:56 (#2491887)
Par Lorme Valion le 6/11/2002 Ã 0:51:48 (#2491897)
Par Azaël Lloth le 6/11/2002 à 0:54:24 (#2491920)
Provient du message de Mary Ethyl
moi j'aime bien regarder les jolies poemes des gens.....les gens on plein de talent:)
:doute:
Par No Soul le 6/11/2002 Ã 0:54:37 (#2491922)
Chacun d'eux tente en vain de s'en désempêtrer
D'oublier ce pourquoi en somme nous vivons
Fermer les yeux demain, subséquemment sinon.
Avenir empoisonné, infernal supplice
La Parque les étreindra poussant même le vice
A faire mourir avant celui qui plus pleurera,
La mort de son amant dérobé de ses bras.
Riez donc aujourd'hui, vous qui êtes si fier
Car peut-être demain vivrez-vous un enfer.
Le futur est cruel, il reste déroutant,
Embrassez ardemment l'élu de votre coeur
Déjà il est trop tard, lentement il se meurt,
La faucheuse l'attire, inexorablement...
No *dans la joie et la bonne humeur :p * Soul
Par Mary Ethyl le 6/11/2002 Ã 0:56:50 (#2491936)
Par Syris Choup' le 6/11/2002 Ã 0:57:59 (#2491948)
ça c'est du poème ;)
Par Nico Wallace le 6/11/2002 Ã 0:58:47 (#2491951)
Provient du message de Mary Ethyl
moi j'aime bien regarder les jolies poemes des gens.....les gens on plein de talent:)
jcrois mamie adoree de moi que c pas ce que tu as dit qui es byzarre mais c ta facon de le dire :rolleyes: moi je dis ca je dis rien je suis inocent :ange: et une question revien mais quel age a Mary 10ans 20ans 30 ans voir moins de 10 ans haha vou ssaurai jamais :) mais elle nous donne des indices ;)
Par Yolinne Ninette MIP le 6/11/2002 Ã 0:59:29 (#2491956)
Et sous le soleil atrocement pâle
Se dessine un nouveau jour satyre
Sous ce froid divin et automnal..
Jusqu'aux os l'humidité se répand
Glaçant mes membres endoloris
Il n'est que ce claquement de dents
Sinistre, de tout mon être envahi..
Aurore néfaste, chaleur abandonnée
Je pleure en ce temps cette flanelle
Dont mon corps était le protégé
Mais qui à présent convulsivement flagelle...
Quand reviendront les douceurs d'antan ?
Celles dont mon coeur s'est tant épris
Cet écrin où je me dirige en rampant
Et que demain je regretterai,meurtrie...
Yo*glagla*yo
[Edit pour un vil Mortichou qui me grogne dessus Oo :sanglote:]
Par Bardiel Wyld le 6/11/2002 Ã 1:09:55 (#2492020)
Autant de noms pour la décrire, éternelle agonie
Qui embrume mes sens, mes rêves enfouis
Quand viendras-Tu donc, faucheuse honnie
Cruel paradoxe, je T'appelle et Te renie
Aujourd'hui je scande Ton nom, éternelle reine
Demain peut-être, Te vouerai-je haine
Tant que de Tes doigts effilés je ne suis choisi
Pourquoi cette froideur, ce silence en écho
Alors que je ne veux que Te parler, curieux
Tes gages pourtant ne sont pas onéreux
Pour mettre fin aux aubes de mon moi, mon égo
Funeste Mort, pourquoi souris-Tu enfin
Lorsque je te Tourne le dos, préférant Ta soeur Vie
Celle-ci m'apporte tant de moments que je chéris
Alors que Tu ne promets que solitude et dédain...
Désolé...
Par Syris Choup' le 6/11/2002 Ã 1:10:36 (#2492025)
Lorsque sur ton corps ma tête s'évanouit
Ô divine beauté, tes formes m'inspirent
M'ensorcellent, me font m'évanouir...
Je n'ai qu'une seule envie alors que je te laisse
Le matin, triste comme un animal que l'on blesse
Te retrouver ! Et contre mon torse te serrer !
Et laisser ces exquises sensations me gagner...
Ô mon tendre et divin oreiller ! :D
[edit]*Après cette vague effroyable de sensations joyeuses, s'en va vomir consciencieusement et retrouve son état normal*[/edit]
Par Yolinne Ninette MIP le 6/11/2002 Ã 1:14:43 (#2492042)
Par No Soul le 6/11/2002 Ã 1:24:25 (#2492089)
Sous d'épaisses couvertures, le dormeur ravi
S'abandonne à ses rêves, oubliant le présent
Ne risque-t'il pas de rencontrer le néant?
Le traversin perfide, s'enroule autour du cou
Etouffant sa victime sans le moindre dégoût
Au matin le réveil est plus que difficile
L'oreiller est vainqueur, le rêveur imbécile.
Oreiller:1 Syris:0 :ange:
[edit pour un pied de moins :p]
Par Bardiel Wyld le 6/11/2002 Ã 1:30:36 (#2492113)
Que ces mots que tu prononces qui me déchirent
D'alors je pleure, cède à mes fragiles désirs
D'être seul au monde, dans un néant total
Pourquoi suis-je né, si ce n'est pour souffrir?
Explique-moi donc la raison de ce désaveu
Qui me dit au revoir, voudrais-je lui dire adieu
Si aujourd'hui était noir, demain ce peut être pire...
Ô combien de pleurs j'ai versés à la vue
De ces cavaliers sombres, froids et inertes
Qui ont pour noms Solitude, Froid et Perte
Me perçant de leurs lances, me mettant à nu
Devant mes plus profondes angoisses
Surgissant des tréfonds de mon âme torturée
Elles que je combats sans pouvoir gagner
Si elles sont Déesses immuables, mon coeur est leur paroisse...
Par Syris Choup' le 6/11/2002 Ã 1:33:10 (#2492120)
Que son adultère viendrait à être relevé...
L'impitoyable oreiller a réclamé vengeance
Car l'insensé Syris a trahi sa confiance.
Avec un polochon il a osé dormir
Sans se soucier de lui et de leur avenir !
De sa propre vie ce crime il vient de payer.
Puisse-t-il au paradis songer à ce péché...
:(
Ôde au Mortichou.
Par Yolinne Ninette MIP le 6/11/2002 Ã 1:34:29 (#2492126)
Percutante, ses mots me lacèrent sans pitié
Chat à neuf queues cinglant qui perfidement siffle
Le corps voûté sous les coups sans cesse redoublés
Me pliant sous son joug féroce je supplie
Mais mes pleurs ne troublent en rien son silence
Et les poignards pleuvent tandis qu'il sourit,
Sourire cruel et à mon égard empli d'offense..
Comme une traînée de sang frais déversé au sol
Ma douleur se répand en cris perçants
Mais il n'a que faire de moi décidément pauvre folle
N'ayant de goùt qu'à sa violence verbale offrant
Souffrance et accablement, supplique et tourments..
Hantée par cette sensation déchirante
A présent je m"effondre par terre en pleurant
Tandis qu'il s'en retourne la mine confiante...
Yo*Martyrisée*yo
Par No Soul le 6/11/2002 Ã 1:35:40 (#2492130)
Par Syris Choup' le 6/11/2002 Ã 1:39:55 (#2492150)
Âmes heureuses de vivre s'abstenir... :doute:
:p
Par Azaël Lloth le 6/11/2002 à 1:43:50 (#2492160)
Poèmes niais, pris sur des recueils, me faisant mal aux yeux, s'abstenir.
Round 2, fight.
Par Yolinne Ninette MIP le 6/11/2002 Ã 1:45:48 (#2492169)
Mais dans le regard brillant la férocité
Elle se relève pantelante mais assurée
Traquant de l'oeil son tortionnaire attitré.
Et pleine de hargne elle poursuit son Erinye
Prête à lui faire goûter avec violence
A ce qu'elle a subi en un tonitruant silence
La mâchoire crispée elle jure de le réduire en bouillie.
D'un élan démesuré elle fait un leste bond
Agrippant son dos, les ongles déchirant les chairs
Et d'une folie meutrière âcrement guerrière
Elle mord dans la viande vive du moribond.
Les canines peintes tribalement de sang
Elle se délecte de l'impuissance de sa victime
Asséchant la jugulaire sentant le coeur battant
Faiblir pour mourir en ces dernières rimes...
Yo*vengeance*yo
Re: Round 2, fight.
Par MortifeR le 6/11/2002 Ã 1:48:33 (#2492174)
Provient du message de Yolinne Ninette MIP
Agrippant son dos, les ongles déchirant les chairs
Et d'une folie meutrière âcrement guerrière
Elle mord dans la viande vive du moribond.
Je t'en prie, Yoyo, un peu de tenue, j'aurais aimé que tout celà reste secret...
Par Yolinne Ninette MIP le 6/11/2002 Ã 1:50:57 (#2492178)
:ange:
Yo*Ebats d'enfer avec un albinos tome 2*yo
Par (Gadjio) le 6/11/2002 Ã 1:55:18 (#2492187)
Si j'arrêtais un peu de grelotter, j'écrirais peut-être quelques vers.
Et si j'écrivais quelques vers, je suis sûr qu'ils auraient le Label Choup' spleen-inside.
Mais l'alternative au grand froid, c'est les mouffles.
Et avec des mouffles, j'écris des poèmes encore pires que ceux de Yolinne. Zoux ma bête noire détestée !
Oui, je connais la sortie.
*S'en va noyer sa solitude glaçante dans une banquise de désespoir et immoler son affliction dans un freezer de mélancolie.*
(Gad'), plus lyrique que jamais. ^^
(Et, pour la forme : :( :( :( :( :( :rolleyes: )
Par Syris Choup' le 6/11/2002 Ã 2:00:11 (#2492204)
Provient du message de (Gadjio)
:( :( :( :( :(
:amour:
Allez va, je t'accorde le visa sur ce post si tu me promets de ne pas tomber dans le bisounoursisme aiguë. donc gaffe aux zoux >>:
:D
Par Héloïse le 6/11/2002 à 2:07:56 (#2492227)
Je préfère me replonger dans mes mouchoirs.
Le nez qui coule et les yeux rougis
C'est avec frayeur que je vous dis bonnuit.
Laissant le forum à des fous
Je crains demain matin où
Fièvreuse et surtout crevée
De ménage, je serai de corvée.
(*Fait comme Gad pour la forme : :sanglote: :sanglote: *)
Hélo ~:doute: ~ ïse
Par Nevaeh/Heaven le 6/11/2002 Ã 3:23:43 (#2492373)
*jete une pompe ds sa tete*
Par .: Demi :. le 6/11/2002 Ã 7:54:22 (#2492723)
J'adore ton style. Zoux' ^^ :amour: :amour:
Par Maver|ck le 6/11/2002 Ã 8:49:08 (#2492855)
Bisous.
Par Phoenix Ardent le 6/11/2002 Ã 9:02:13 (#2492895)
Il fait déjà froid...
Yo*qui se pèle tous les matins a 7 h du mat avec pull et echarpe*yo
Tandis que bien au loin,
au perou le bon soleil point
Un phoenix se prélassait
Dans l'été qui commencait
Malheureusent bien mal inspiré
ce poeme naze jamais ne finirais
Mais en beauté en sortirais
Puisque ma langue vous tirerais :p
oui je suis naze, mais au moins j'ai chaud :( :( :( :rolleyes:
Par Azaël Lloth le 6/11/2002 à 11:28:32 (#2493716)
Provient du message de Phoenix Ardent
oui je suis naze, mais au moins j'ai chaud :( :( :( :rolleyes:
IL N'Y EN A QUE TROIS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Par Leoll le 6/11/2002 Ã 13:16:47 (#2494702)
Une bougie, alors allumée, s'éteind dans la détresse.
Un silence de mort pèse en ce lieu, un silence obsédant.
La Mort entre, et prend place, s'asseyant sur son trône de sang.
Aucune âme par ici n'ose déranger cet être froid.
Un regard circulaire, des murs fades, un regard narquois,
Un sourire édenté, venant de cet être effrayant...
Une porte s'ouvre, laissant place à un être, un instant.
L'homme, maigre, effrayant, s'avance peu à peu,
Il a encore sa tête, mais pas pour longtemps.
En effet, une adroite faux s'abbat, lentement.
La tête roule sur le sol, une trâinée de sang, un sang visqueux...
Le corps tombe sur les dalles, s'affaissant entièrement,
Puis l'être sur le trône rit, un rire de joie, un rire strident.
Mouhihihihi ! :ange:
Par Zeed Mithror le 6/11/2002 Ã 13:37:27 (#2494932)
Et lancer dans le vent le moindre de mes drames ?
De malheur, de tristesse, vous voilà bien avides,
Buvez donc tout ce fiel comme mon coeur se vide.
Approchez vous un peu, du corps écartelé,
Voyez, là sous les côtes, lorgane potelé,
Qui exsude de bile et vomit en substance,
Tout ce que la vie a pu lui donner de rance.
Vous voilà spectateurs de la lente agonie,
Dun être qui malgré souffrance et moquerie,
Vous naurez pu pousser à vous avoir honni.
Prenez donc des photos pour mieux vous souvenir,
De toutes ces entrailles achevant de souffrir,
Puissent vos estomacs arriver à tenir...
Par Arilys Shin le 6/11/2002 Ã 13:41:27 (#2494979)
Tres sympas tout ca :pProvient du message de Zeed Mithror
Qui exsude de bile et vomit en substance,
Ouch mais ca d'vient gore les forums :doute: :monstre:
Par Leoll le 6/11/2002 Ã 14:05:02 (#2495253)
Je sens une lame glissé le long de mon dos.
Un cri de douleur serait le bienvenue, mais aucun mot
Ne sors de ma bouche entre-ouverte, j'attends.
J'attends la Mort, une lueur devant mes yeux,
Une lueur effrayante, froide, morbide.
Je tombe au sol, face contre terre, je rampe, un peu,
Puis plus aucune force dans mon corps, je me vide.
Je me vide de mon sang, je ne ressens plus rien.
Lentement, mes yeux se ferment, je me sens emporté,
Vers un autre monde, un monde désolé.
Un monde désolé, dans lequel je ne vois rien.
Tout est noir, j'erre inlassablement, sans rien touché.
Alors, je me laisse aller, j'erre dans l'infini, seul, abandonné.
Par TitPlume Valion le 6/11/2002 Ã 14:16:44 (#2495409)
Qu’elle pose sur mes épaules baissées ses serres rédemptrices, qu’elle m’inflige une ultime douleur, celle de la délivrance, pour qu’enfin tout s’arrête, et que je trouve le repos.
Qu’elle vienne à moi, la magnifique létale, je l’attends, je l’espère, chaque jour je l’imagine. Je ne la redoute plus, je la prie et l’invoque, le dos voûté par tant de souffrance à porter, les yeux baissés sur mon triste sort.
Parce que j’ai tout vécu, parce qu’il ne me reste plus rien à donner, ni à recevoir. Mon chaos est intérieur et mon désordre est mental. Le froid est en mon cœur, puisse-t-il gagner mon corps.
Qu’elle enveloppe ma carcasse, parce que je ne vis plus mais ne fais que survivre, mon existence traînant en longueur, de déception en échec, d’amertume en désillusion, de mélancolie en affliction. Désenchantée, j’étouffe dans ma peau de chagrin.
Laissez-moi partir. Elle seule pourra ôter de ma bouche ce goût de défaite, parce que je rends les armes à présent, brisée et anéantie. Je m’offre à elle, implorant la fatale salvatrice.
Et si elle venait me chercherÂ… ?
Tit – inspirée par l’Adagio de Barber – Plume.
.....
Par Alabasyr le 6/11/2002 Ã 14:22:22 (#2495462)
Pour tomber chaque fois sur des poèmes tout moches
'suis vraiment désolé pour cette rime loupée
C'est approximatif, j'me plante dans le nombre de pieds
Vide et sans consistance
Reflet des existences
Insignifiantes et rances
De ces auteurs en transe
Je rôde entre les posts
Sans aucune rime en ost
Cherchant avec angoisse
Autre chose que cette poisse
Toujours ces éternelles et commodes rimes en é
Stériles et sans relief, platitude si aisée
Vocabulairement et stylistiquement creux
Emotionnellement, n'en attendez pas mieux.
J'ai cliqué quelques liens et parcourus les up
Toujours trop élogieux, ou laconiquement glup
J'en resterai donc là à rechercher le havre
L'esprit encore pollué de ces vers qui me navrent.
___________________________
Alabasyr K.
Par Aina HarLeaQuin le 6/11/2002 Ã 14:27:43 (#2495516)
Mouhahaha kisssssous à tous !!! :ange:
*se barre en courant pour éviter de se faire lyncher* :aide:
Par Orion Legend le 6/11/2002 Ã 14:29:04 (#2495532)
Par Lorme Valion le 6/11/2002 Ã 14:34:34 (#2495591)
Par Syris Choup' le 6/11/2002 Ã 14:35:33 (#2495598)
Méeuh faut faire respecter le nombres de syllabes de chaque ligne sinon s'pas marrant :D
Ex: Zeed qui nous fait de beaux alexandrins ;)
Bonne chance les poètes, et zou je déclare que le poète le plus morbide recevra un pied humain en jeu en guise de premier prix. Attention par morbide j'entend qu'il est inutile de faire forcément que des textes avec plein de sang et tout, mais juste un truc qui fout le cafar d'une manière ou d'une autre :p
Le flood de poème sera ignoré, inutile donc d'en poster 5 à la suite.
*Baffe Aina au passage car elle l'a bien cherché ! >:-)*
Par Aina HarLeaQuin le 6/11/2002 Ã 14:37:58 (#2495628)
Encore !! :rolleyes:
Ainouille *qui a un boulon dévissé*:rasta:
Par Leoll le 6/11/2002 Ã 14:41:06 (#2495658)
Provient du message de Aina HarLeaQuin
Ainouille *qui a un boulon dévissé*:rasta:
*Prend sa clé de 12 et le revisse*
:ange:
Par Syris Choup' le 6/11/2002 Ã 14:58:42 (#2495830)
Par Kerberos Dark le 6/11/2002 Ã 15:19:18 (#2496028)
Le froid ne me gêne plus: je ne sens plus l'hiver, je suis l'hiver. Hiver d'une âme perdue, triste et morne apaisement des multiples tourments des soit disant plus belles saisons de mon existence.
Je craque une dernière allumette, consume une dernière fois la petite fée bleue. Bientot anges et démons se disputeront ma triste carcasse gelée. Qu'ils la jouent donc aux dés, je n'en ai cure. Plus rien ne m'attache ni me retient, pas même les caprices cruels du facétieux destin. Je savoure ces derniers instants ces dernières sensations comme on savoure le chant du cygne.
Je suis prêt, je n'attends plus que toi ma maigre amante en haillons, ma faucheuse. Emmène moi vers un printemps nouveau.
Ne cherchez pas pour qui sonne le glas, car à l'aube de ce matin, il sonne pour moi.
Par Bardiel Wyld le 6/11/2002 Ã 15:24:00 (#2496065)
Alors déjà que je ne sais pas écrire, en plus je n'ai aucun talent dans la maîtrise du nombre de pieds, vous pouvez déjà oublier des alexandrins et autres de ma part, vous seriez largement (sans compter le fait que vous le soyiez déjà ) déçus :D
J'laisse ma place sans rechigner bien au contraire, beaucoup ici ont du talent :)
Re: Uhuh. [poème ^^]
Par Gandalf Rawls le 6/11/2002 Ã 16:04:05 (#2496457)
Provient du message de Syris Choup'
Mais où est passé le malheur, langoisse du trépas ?
T'inquiete pas pour ca, y en a qui ramasse pour les autres...
Ljd Gand-le moral a 0-alf
Par Lorme Valion le 6/11/2002 Ã 16:09:04 (#2496499)
Par Larme Blanche le 6/11/2002 Ã 16:46:01 (#2496846)
te dire pourquoi Feyd est comme cela,
mais meme payé pour cela ,
Oh non, je n'y changerais pas
Par Syris Choup' le 6/11/2002 Ã 17:32:52 (#2497442)
:D
Re: Uhuh. [poème ^^]
Par Larme Blanche le 6/11/2002 Ã 17:40:35 (#2497543)
Provient du message de Syris Choup'
Je rêve ou je peux relever dans ce dernier poème un soupçon de bonne humeur et de satisfaction ? :enerve:
Provient du message de Syris Choup'
Ok ok, je me tais et laisse cette bonne ambiance
excuse moi si je ne suis pas comme toi,
mais l'amour , la vie et tous le reste,
moi j'aime ca
*Passe la langue :p*
Par (Gadjio) le 6/11/2002 Ã 18:24:20 (#2498016)
Pour ma part, pas question que j'intervienne en vers. Je suis incapable de bâtir quoi que ce soit d'un peu esthétique, au mieux je sais respecter les astreintes techniques, mais cela ne s'appelle pas poésie. Comme la plupart ici, me direz-vous. Certes, mais moi je ne l'assume pas.
Pourquoi ce défaitisme avant même d'avoir été frotté à l'oeil impitoyable de la critique ? me direz-vous, ensuite. C'est stupide de parler de défaitisme lorsqu'on a tout perdu. Que je sois sans qualité, vain et damné ne signifie pas que je suis naïf ou crédule, attention. Du fond de mes abysses d'où je n'espère plus m'extirper, je sais qu'il n'est plus question de victoire, soit-elle passagère. Vous continuez à déplacer vos pièces ridicules, lorsque votre adversaire vous hurle ECHEC ET MAT ? Ce serait bien inepte. Le Roi est mort et Vae victis ; ça tombe mal, puisque j'étais le roi. Roi de quoi, d'ailleurs ? D'une poignée de chimères auxquelles je n'ai jamais crues et que j'ai plaisir à savourer, elles amères comme un frustre poison. Roi du désarroi enfantin qui s'empare des âmes seules, tandis qu'elles s'inventent des 'demain' un peu moins sombres. Roi des cartes abattues, roi des terres arrides, roi des néants dissimulés sous les voiles de l'auto-hypocrisie.
Je suis mort, soit. Faut-il en faire toute une histoire ? J'ai passé le styx bourbeux où agonisaient les dépouilles putrides de la joie et de l'amour. Je suis arrivé au plus profond des enfers, là où tout est ténèbres et douleurs, là où on flagelle son âme de désespoirs suffocants, de regrets insurmontables et de tourments infinis. Mon coeur était si rongé par l'acidité de mes larmes, mes joues si creuses d'avoir enduré le fleuve noir de ma peine, mon esprit si hanté des atroces remords et cauchemars, si et tant, que les ténèbres ont hurlé. Elles ont hurlé, longtemps, et (atrocité !) leur cri effrayant broyait la lueur vacillante de ma raison, dans l'étau des pires souffrances de l'âme, me replongeant au coeur de ma détresse, et plus profondément, face à ma vacuité dérisoire, cette affliction dont mon corps s'est éternellement damné. Et j'ai hurlé aussi, éperdu par la peine, dévoré par une torture sans rémission, hurlé, hurlé à la mort, hurlé ma haine et ma terreur, hurlé au-delà de tout l'amour que peuvent offrir les vivants.
A présent, je suis seul. Sorti des enfers, mon âme est consummée, comme un charbon extirpé de mille brasiers, une poussière d'un noir que ne peut éclairer nulle lumière, l'insignifiance malsaine du mal et du désespoir bruts, et je ne peux cesser d'exister. Condamné ! Damné ! Maudit pour l'éternité des éternités, je concentre toute la douleur du monde dans les cendres de mon âme aimante, et je m'abandonne, encore, comme un soleil éteint, aux châtiments macabres de mon existence vaine.
Par Lereniah le 6/11/2002 Ã 19:17:18 (#2498561)
Me faisant atteindre le point de non retour,
Pour la divine mort, j'oublie ma sombre vie,
Plus rien ne compte, seule la neurasthénie m'entoure.
Mon pauvre corps n'est plus que souffrances infames,
Qui lacèrent et dechirent les lambeaux de mon ame.
Ne reste en moi que des mutismes de glaces,
Montrant la noirceur qui me suit à la trace.
D'une main tremblante, je fais un dernier geste,
Faisant bleuir ma peau, couvrant mes bras de sang
Le noir m'entoure, de ma vie rien ne reste,
Je m'eteint sans pousser un seul gemissement.
Un silence obscure autour de moi s'insinu,
Esclave sans conscience maintenant je suis
Oubliant cette vie que je n'avais voulu
Maintenant, mon Ame hante vos longues nuits.
(pour la forme :( :( :( :()
Lereniah
xxx
:ange:
Par Yolinne Ninette MIP le 6/11/2002 Ã 22:49:32 (#2500531)
*S'en va en frottant les pieds sur le paillass... euh Choupinou.*
Yo*gnih.*yo
Par Syris Choup' le 6/11/2002 Ã 23:00:54 (#2500614)
Pis gaffe où tu mets les tiens sinon je saurai quel pied prendre pour récompenser le poète le plus glauque de Feyd.
Par Zeed Mithror le 6/11/2002 Ã 23:26:35 (#2500771)
Gagner un pied de sélénite ?
Moi je ne m'y risquerais pas.
Il est des choses que j'évite,
Pour ne point hâter mon trépas.
Ce trophée ne tarderait point,
A faire percer mon pourpoint,
Si par hasard je l'emportais,
Aussi je vais me désister.
Pour ne pas risquer de gagner.
Par Syris Choup' le 7/11/2002 Ã 0:12:18 (#2501073)
Répugnant, fort poilu et malsain...
Ou plutôt un pied de iagonite
Beau comme de l'or, fin comme une pépite.
À toi, sombre poète je vais offrir
Plus qu'un simple pied, un souvenir
Témoin de mon émoi je l'espère...
Je t'offre les pieds de ces quelques vers.
Cauchemar.
Par Yolinne Ninette MIP le 7/11/2002 Ã 1:45:42 (#2501478)
Un moment où grandit cette douce apathie
Ce silence qui m'entoure et me glace peu à peu
Alors que vacillent faiblement mes deux yeux..
La pénombre vient en sourdine, si insolente
Chassant les rares traits de lumière apparents
Ici devient une fange mystique abondante
Où pullulent cauchemars et spectres rampants..
Nul endroit où se cacher, tout est déjà sombre..
Les échos des insectes bruissent à mon oreille
Fouillant les recoins avec ardeur dans chaque ombre
Occultant désormais mes restes de merveilles.
Et dans un capharnaüm d'antennes et de pattes
Ils s'engouffrent en moi tels une vomissure noire
De leurs mandibules tranchent mes rêves d'espoir
Alors qu'un cri d'horreur, je tombe sur l'asphalte.
Dévorée, mutilée, révulsée, en surcis
Le coeur mourrant sous l'assaut tenace des bêtes
Le vide s'agrippant de ses doigts à ma tête
Nulle drogue ne me tire à présent de ce cri...
Vautré dans un coin sombre de sa chambre froide,
Le corps tressaute encore de spasmes violents
Terrorisé par cette vision. Mort et fade
Il sombre bientôt, sous les couches des rampants.
Fatigue quand tu nous tiens..
Par Héloïse le 7/11/2002 à 2:27:00 (#2501583)
*Va se coucher en pleurant, certaine de cauchemarder toute la nuit* :sanglote: :sanglote:
Hélo~ Qui n'ouvrira plus ce post~ ïse :aide:
Par Stbaal le 7/11/2002 Ã 4:01:20 (#2501761)
Par Dodgee MIP le 7/11/2002 Ã 4:12:12 (#2501777)
Il est trop tard à présent. Je n’entends plus le chant des anges, j’ai passé mon tour. Dehors, le brouhaha reprend, symphonie discordante. Ces autres me parlent, ils m’attirent de leurs gestes. Qui sont-ils ? Des visages connus, qui demeurent étrangers. Ailleurs. Je n’en ai cure. Mes mains glissent sur le clavier trop lisse. S’il pleuvait j’entendrais le clapotis des gouttes sur la fenêtre, je pourrais sans doute jouer le même air. Il ne pleut pas, plus. Depuis quand ? Dehors la rue est vide, déserte. J’entends au loin les lumières de la ville. Là bas. Je suis ici, et ici il n’y a rien. Rien que cet écran qui ne veut me laisser en paix. Mes mains, elles, continuent leur ballet.
Les paupières se ferment, à nouveau. Il est inutile de lutter. Le sommeil est tentant, si proche, si présent. L’espace d’un instant, il montre ces bienfaits, ce calme reposant. Oublier. Ils sont à nouveau là , ces autres. Leurs mots n’ont plus de sens, à moins qu’ils n’en aient changé. L’écran lui s’obstine, il n’est pas fatigué. Sans pitié il continue à faire le fier, seul halo de lumière dans ces ténèbres envoûtantes. Et pourtant ce serait si simple, si facile. Je ferme les yeux un instant.
Est-ce la fin ? Le rideau est tombé, noir, sombre. La pièce est finie, je peux m’en aller. Je n’attends ni rappel, ni quelconque critique. Il me tarde de partir, d’être ailleurs, d’en finir. Je m’abandonne enfin, à ce calme anodin, me baignant d’une platitude qui ne connaît de demain. Oui j’embrasse ce monde fait d’ombres, je l’absorbe, le fait mien. Déjà je ne suis plus, mais qu’étais-je qu’un humain ? Mais encore elle revient, elle me perce ! Elle me brûle les yeux, ils ne sont que douleurs. J’irais les inonder, en vain de mes pleurs, déjà elle est là , cette lumière, cette lueur.
JÂ’ai mal.
Par Zeed Mithror le 7/11/2002 Ã 12:05:12 (#2503183)
Ma main part vers la lampe à labat-jour vermeil,
Un mur matelassé arrête mon élan,
Et me plonge soudain en grand étonnement.
Tâtonnant les ténèbres où je suis enfermé,
Je ne trouve dissue et me vois prisonnier,
Jusquà en manquer dair, je hurle à pleins poumons,
Mais Ô désespoir seul le silence répond.
Je griffe devant moi, déchirant le linceul.
Egratignant le bois et marrachant les ongles,
Jusquà ce quà mes doigts il nen soit plus un seul.
Pour apaiser ma soif je bois larmes et sang,
A quelques pas sous terre, étouffant lentement,
Et me livre au destin de lenterré vivant.
*_-_-_*
En fait je trouve que ce s'rait dommage d'abîmer Yolinne pour si peu...
Par Héloïse le 7/11/2002 à 12:34:59 (#2503404)
Je n'avais jamais eu l'occasion de lire ma pire angoisse en vers :rolleyes:
Par Lereniah le 7/11/2002 Ã 18:31:12 (#2506707)
Bravo zeed :)
Par Zeed Mithror le 8/11/2002 Ã 0:26:05 (#2509634)
Par Hunter le 8/11/2002 Ã 0:38:37 (#2509704)
Par Hunk Scorn le 8/11/2002 Ã 2:05:02 (#2510064)
Bravo. :)
Par Stbaal le 8/11/2002 Ã 7:07:23 (#2510428)
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