Archives des forums MMO/MMORPG > La 4ème Prophétie > T4C - Feyd-Ehlan > A Strahd, Souvenirs d'un amour lointain
A Strahd ...
Par Ambre Zarovich le 30/10/2002 à 21:21:50 (#2444108)
Mais ce soir, les souvenirs affluent à sa mémoire, comme des spectres trop longtemps refoulés dans un sombre placard obscur. Ce soir, elle se rappelle sa vie passée, ses jeunes années sur Althéa. Et elle écrit, elle trace des lignes sans fin, dune plume légère trempée dans de lencre pourpre, un texte dansant au rythme des pleins et des déliés, un fil conducteur, celui dune vie simple.
Je me rappelle mes jeunes années
le départ de la maison, avec ma sur, Zaarda. Javais en moi un désir profond de vivre des aventures, telles que les racontaient les hommes venant parfois au village . Ma sur, elle navait à la bouche que les mots daide, de service, de paix. Je me souvient de ma première armure, un peu rapiécée car achetée doccasion, mes moyens ne me permettant pas den obtenir une de qualité. Mes premières frayeurs lors du combat, la peur qui vous tenaille le ventre au moment de porter le premier coup, le plaisir presque barbare qui sempare de vous lorsque la créature gît a vos pies, baignant dans son sang.
Puis cet homme, ce guerrier en armure rencontré au pont menant au territoire des Kraanians. Je me rappelle le regard franc, les yeux verts pétillants, mais qui en loccurrence semblaient obscurcis dun chagrin inavoué. Je suis venue à lui, lui ait parlé, essayant par de maigres paroles de soulager sa peine semblant si profonde. Peine dun amour non partagé, dun amour impossible, puisque la belle était déjà pris. Nous sommes restés de longues heures ensemble, en toute simplicité, moi, retenant ma joie en songeant à mon propre mariage qui approchait, embarrassée de montrer mon bonheur devant un homme souffrant de peine de cur. Il me fit un présent. Une splendide robe verte de mage, un objet de très grande valeur, que je nacceptai que pour ne pas le froisser, si gênée dun tel cadeau.
Je ne savait pas quun jour ma vie serait liée à cet homme, quil serait tout pour moi.
Il se nommait Seigneur Strahd.
Elle sourit en écrivant ces lignes, un sourire triste, mais en même temps empli de douceur et de tendresse. Elle posa un instant la plume, laissant son regard glisser sur la courbe des lettres tracées sur le parchemin, sattardant un peu plus sur le dernier mot tracé, son nom.
Elle reprit la plume et continua à consigner ses souvenirs sur le papier, laissant les mots se tracer deux même tandis que les fils de sa mémoire se déroulaient lentement.
Je vécu dintenses moments de bonheur avec mon époux, mais sa jalousie à mon égard devenait parfois pesante. Javais revu le noble paladin, encore croisé au détour dun pont, dans la ville de Lighthaven, et à ma grande surprise, il mavait reconnue. Lui était un homme de renom, milicien, qui devint ensuite Capitaine de la garde de Lighthaven, et je métonnais quil sintéresse à une femme telle que moi. Non pas que je sois laide, non, mais je navais rien de bien particulier qui puisse attirer une personne telle que lui.
Nous nous revîmes, et sa compagnie était un réel bol dair qui me faisait oublier la possessivité de mon époux légitime. Ce qui était au départ une plaisanterie se concrétisa, et il minvita à un dîner romantique, un soir, au clair de lune. Je le trouvai de plus en plus séduisant, un homme de cur, cultivé, doux, charmant, romantique. A chaque rencontre, je me rendais compte que mon époux minsupportait de plus en plus, et que Strahd prenait de plus en plus de place dans ma vie. Puis ce qui devait arriver arriva. Il me demanda en mariage. Jexultais ! La noce fut annoncée à tous les habitants du royaume, le bonheur dêtre à lui memplissait de joie. Mais une ombre subsistait, mon ancien époux, que jeus grand mal à abandonner malgré les scènes de jalousie de plus en plus nombreuses.
Puis vint le jour du mariage. Comment pourrais je le raconter ? je me souviens de me promener dans les rues de Lighthaven, vêtue de ma splendide robe blanche, puis .. plus rien
un gouffre, un moment terrible ou le présent se déroba à moi. On me raconta bien plus tard ce qui se passa ce jour funeste. Je fus prise de vertiges, de nausées, puis je sombrais dans linconscience, proche du pont sur le chemin menant à la tour des mages. Quand mon futur époux fut prévenu et vint à moi, je ne me souvenais plus de rien, je ne savais plus qui jétais, ce que je faisais là, et surtout, chose terrible, je ne le reconnaissais plus ! Je refusais de lépouser, trouvant inconcevable de me lier pour la vie a un être qui était devenu pour moi un inconnu.
Il fut pris dune rage terrible. On me conta plus tard quil était devenu totalement fou de douleur, et quil menaçait quiconque se mettant sur sa route de le passer par le fil de son épée. Ce quil fit dailleurs, je crois, quelques imprudents nayant pas pris ses menaces au sérieux. Le temps passa. Jétais toujours amnésique, et lui essayait jour après jour de me faire retrouver mes souvenirs, mais en vain.
Un jour, tandis que nous marchions sur la route du cercle de Lighthaven, je fut prise à nouveau de douleurs, semblables à celles survenues le jour de mes noces, jétais pliée en deux, sentant la fièvre monter, des sueurs froides glisser le long de mon dos. Il maida à rejoindre la capitainerie, ou il habitait, et, ayant quelques notions dans le domaine des soins, mausculta.
Je vis un sourire incrédule se dessiner sur ses traits tandis quil finissait de mexaminer. Il semblait gêné, et ne savait trop comment mannoncer ce quil supputait. Je le pressais de lui dire ce qui se passait, craignant que ce ne soit grave.
Embarrassé, il mannonça que... jattendais un enfant. Le noir complet. Je tombai à nouveau évanouie, comme le jour de nos noces. A mon réveil, clignant des yeux, je découvris son visage rongé dinquiétude, penché sur moi.
Strahd ? Mon Amour ? Que cest il passé ?
La mémoire métait revenue ! je me souvenais de tout, désormais, de lui, de mon amour, de
Avais-je bien entendu ? de notre .. enfant ?
Jen pleurais de joie. Ainsi, cétait donc mon corps qui avait réagit curieusement, sentant le changement, et qui avait désiré tout effacer, oublier, ne pas penser à ce qui se passait en moi, me faisant perdre tout souvenirs. Et cétait le choc de la nouvelle qui avait rompu cet état, me rendant à moi même. Nous allions avoir un enfant, cétait merveilleux
Le crissement de la plume cessa . La femme regardait la feuille, désormais couverte de ces lignes serrées, si familières, écriture dune guerrière qui avait délaissé la voie des armes pour celle des études. Elle était lasse, sa main la faisait souffrir davoir trop écrit. La fatigue la gagnait, la bougie nétait presque plus quun petit tas de suif sur la table, la flamme vacillante dessinant des ombres dansantes sur les murs alentour. Elle reposa la plume, cligna des yeux, et jetant un dernier regard aux parchemins noircis, sourit, et se leva. Elle rangea les feuillets dans une sorte de pochette de cuir ou était gravé en lettres dor usées par le temps :
Ambre Zarovich
Par Shammana Delyn le 31/10/2002 à 1:14:27 (#2445477)
Par Sombre Lune le 31/10/2002 à 17:50:30 (#2450797)
Eclate d'un rire cristallin
Par Conrad McLeod le 20/11/2002 à 0:22:41 (#2598599)
Par Strahd le 20/11/2002 à 13:00:03 (#2601195)
Depuis longtemps déjà Strahd errait dans la ville de Lighthaven, sans réel but, sans réelle motivation ni même désire particulier. Cette citée représentait tellement de choses pour lui, les souvenirs quil en possède assaillent lentement son esprit perturbé à tel point quil ne sait quel jours de lannée il est. Encore une fois le temps semble se jouer de lui, repousser à « demain » chaque projet nest pas une solution en soit, il le sait mais sen moque. Flâner dans les rues semble être loption la plus judicieuse, ou la plus simple ? Il faut dire que Strahd navait plus du tout les mêmes obligations quil y a quelques années. Tout avait terriblement changé, la ville ne ressemblait plus ce quelle était autrefois. La garde n'avait plus le même fonctionnement et lui, ancien capitaine de la Garde de cette citée avait bien du mal à mettre de cotés tant de souvenirs.
Ses déambulations lentraînaient jusquau pont dit « gobelin ». Il connaissait très bien cet endroit qui avait été le siège de nombreux affrontement, Haruspiciens, Ogrimariens ou ennemis du Roy, ils avaient été nombreux à défier la couronne et à de bien nombreuses reprise le Milicien avait du être tirer son arme hors de son fourreau
A cette époque il connaissait toute la gloire dun noble même si il ne létait pas vraiment, luniforme de la capitainerie de Lighthaven lui assurait un certain prestige, le revers de la médaille était que sa position lui apportait bon nombre dennemis, mais quimporte après tout. A présent luniforme et le devoir ny sont plus et lhomme ne possède plus quune armure de cuir cloutée et sa fameuse rose noire à la taille, que de changement
Lancien garde était à présent assis contre un vieil arbre de la ville, ruminant certains mots comme pour ne pas les oublier. Certaines personnes prétendent que la fatigue arrive surtout à ceux qui ne font rien, ce nest sûrement pas les activités de la journée de Strahd qui justifient le fait quil sendorme au pied de cet étrange habitant vieux de centaines dannées
Le rêve, le rêve profond, celui qui revient régulièrement comme pour vous apportez un message
Lighthaven
Citée de la découverte
Strahd nétait quun simple habitant de cette ville et son expédition dans la crypte sous la demande du dragon lavait rendu terriblement perplexe. Quel est le but de chaque homme ? Chaque homme possède t-il vraiment un but ou une tache à accomplir ?
Lighthaven
Citée de la baronne Joie
Cette femme qui marchait avec tant délégance cachait quelque chose, le pouvoir quelle possédait ne venait pas uniquement de son rang mais aussi de cette force quelle dégageait. Je mempressai de lui parler et de lui exposer ma vision de certaines choses, la journée suivante me voila Milicien sous ses ordres, mais qui est-elle vraiment ?
Des années passèrent ainsi
Souvenirs
Tout passait terriblement vite
La découverte de Ravens Dust et de ses maléfices nétait rien en comparaison à Stoneheim, lîle maudite. Dans les rues les gens hurlaient que le bouclier avait céder, que même Lycaos avait été impuissant face à cet événement et que la fin approchait à grande vitesse. Pauvre fou que nous sommes, pourquoi toujours vouloir aller plus loin ?
Arakas
Un souvenir est omniprésent dans son esprit, celui dune femme avec qui il a partager de nombreuses années de son existence. Ambre, Ambre mon amour ou est-tu ? Les épreuves se sont succéder et rien na été simple pour nous deux
« si je pouvais revenir en arrière » murmura Strahd dans son propre sommeil. Il est tellement simple de regretter ensuite plutôt que dagir sur le coup, lhomme qui avait autrefois passé sa réputation sur son courage ne semblait aujourdhui sûr de rien
Strahd se réveilla quelques minutes plus tard et regarda larbre qui lui avait donner appuis. Il ne lavait pas choisis sans raison, le couple avait déjà passé de longues heures à son pied, un retour aux sources peut-être ? Rapidement il alla se munir dune feuille et dune plume à la taverne de la ville pour écrire, mais pour y écrire quoi ? Cette question il ne pouvait y répondre mais il savait quil devait le faire, maintenant.
Ambre mon amour
Jaime nos souvenirs mais jaime surtout et plus que tout la femme qui me les a donnés
Merci à toi ma douce.
Un homme qui ne la méritait pas, Strahd
Il posa lentement la feuille au pied de l'arbre en y appliquant une petite branche dessus. Il n'espérait sûrement pas qu'elle la trouve mais il ne voulait surtout pas regretter plus tard de ne pas avoir eu le courage de le faire, pour le pas à vouloir revenir en arrière, surtout pas...
Par Conrad McLeod le 20/11/2002 à 13:01:55 (#2601216)
Par Nekros le 20/11/2002 à 13:03:41 (#2601229)
Une promenade aux sources
Par Ambre Zarovich le 22/11/2002 à 17:42:55 (#2620626)
Elle passa devant la tour des mages, admirant la finesse du bâtiment, ses tours élancées se dressant vers le ciel, comme les doigts dun fidèle vers son Dieu. Puis, elle croisa Araknor le Nécromant, esquissant un léger sourire à sa vue, se souvenant du jour, ou, en cachette, ayant attendu que la nuit tombe, elle était venue lui apporter le livre interdit, et avait ainsi eu accès à ses enseignements. Si son époux avait su ça ! Elle sourit à cette idée, un petit sourire timide, comme si ses lèvres avaient depuis longtemps oublié cette mimique si simple. Elle continua sa route, passant devant la nouvelle (pour elle) clinique. Tandis que la masse imposante de la capitainerie de Lighthaven ombrageait la route, dautres souvenirs affluèrent. Elle avait longtemps vécu en ce lieu, des années de joie, de bonheur, dautres aussi de peine, de doutes. Elle avait élevé son fils, Piotr, dans cette petite chambre ou la lumière rentrait parfois à flot les jours de grand soleil.
De peur que la nostalgie ne devienne trop lourde à porter, elle hâta le pas. Elle vint sasseoir sur le rebord de la fontaine, laissant la fraîcheur de leau jouer entre ses doigts, fermant les yeux un moment, la tête en arrière, offrant son visage aux pales rayons de soleil déclinant, savourant la dernière tiédeur de la journée désormais bien avancée sur sa peau. Elle resta ainsi un long moment, écoutant le murmure de la fontaine, les cris joyeux des habitants vaquant a leurs taches quotidiennes, le souffle rauque de Darkfang non loin de là. Puis, elle se leva, la peau tiédie par le soleil, un vrai sourire ornant à présent son visage, un sourire de bien-être simple, un sourire dune femme qui savoure juste un moment tout simple de la vie.
Elle continua sa route vers le pont gobelin, bien décidée à admirer les techniques de combat des jeunes guerriers qui aimaient à choisir ce lieu comme terrain dentraînement privilégié, repoussant par la même les hordes gobelines qui ne cessaient depuis des générations dessayer denvahir la cité paisible. Elle décida de choisir un point doù elle pourrait à loisir observer les jeunes tout en restant au calme, et elle jeta son dévolu sur un arbre peut être centenaire au pied duquel elle sassit confortablement. Lendroit était parfait.
Les aventuriers rivalisaient daudace afin de repousser les créatures aux cris stridents, certains usant de magie, dautres de vieilles lames rouillées, tandis que les plus fortunés se servaient dépées rutilantes aux pouvoir magiques indéniables. Ambre semblait samuser dun tel spectacle, se souvenant de sa jeunesse de guerrière hardie, ou elle pensait que rien ne pourrait jamais arrêter un homme, ou une femme, emplis de courage et de noblesse de cur. En même temps que les joutes auxquelles se livraient les aventuriers de la ville, elle appréciait aussi la rudesse du tronc contre son dos, qui lorsquelle bougeait parfois faisait comme une sorte de massage ferme et réparateur. Elle étira les bras, puis, machinalement, elle commença à jouer avec lherbe, ses doigts longs cherchant une tige fine et élancée quelle pourrait porter à la bouche, afin den goûter le suc et jouer avec lherbe en profitant du spectacle. Elle sentit un objet curieux, et tournant la tête, regarda ce que ces doigts venaient de trouver juste à coté delle.
Etonnant !
On aurait dit un parchemin détrempé par la pluie qui était tombée ces jours passés. Curieuse, elle déplia le parchemin, et le lissa son envers du dos de la main, afin den déchiffrer le contenu. Lécriture, elle ne savait pourquoi, lui semblait familière, même si beaucoup de mots étaient devenus illisibles, trop abîmés par les intempéries. Elle crut
Non, impossible ! Ses doigts furent pris dun tremblement dont elle navait même pas conscience.
Oui, cétait bien son nom, qui sétalait là, en tête de la lettre, son nom effacé par le temps, mais encore lisible.
Ambre.
Elle dévora avidement les mots qui suivaient, ne parvenant pas à tout lire, essayant de reconstruire les phrases, tenant la lettre à deux mains afin de pouvoir déchiffrer lécriture, sa main seule ne suffisant pas à la maintenir tant elle tremblait. Elle vit des gouttes rouler sur le parchemin abîmé, des gouttes qui vinrent un peu plus effacer les mots, des gouttes de sel et deau mêlés, les larmes que ses yeux ne cessaient de laisser couler, sans fin.
Elle fut prise dune sorte de sanglot, mélange de douleur et dune joie infinie, tristesse et intense bonheur mêlés, son visage rayonnant de bonheur malgré les larmes qui linondaient.
Elle devait le revoir !!!
Ses yeux regardèrent soudain ce qui lentourait, comme si elle le voyait pour la première fois. Elle se leva brusquement, et se mit en devoir de le retrouver, de lui parler, ne serait ce quune dernière fois.
Par Torti d 0marya le 22/11/2002 à 20:33:31 (#2622094)
Il prit le vieux chandelier, ajouta une bougie, les alluma toutes, et déplia quelques vieux parchemins, reliques, vestiges du passé glorieux qu'il avait connu autrefois, mais avant tout, témoins de sa vie. Il prit son vieux carquois où quelques flèches y étaient toujours soigneusement rangées. Il en sortit une et se mit à la caresser tout en lisant un de ces parchemins.
Il avait écrit ce parchemin il y a bien longtemps, alors qu'il était encore un jeune archer peu expérimenté. A cette époque, il n'était pas marié, il n'avait pas encore fait la connaissance d'Asmo. Il y relatait sa rencontre avec une autre jeune femme versée dans l'art de la magie. Il se souvint avoir écouté l'histoire de sa vie alors qu'il était lui très discret sur son propre vécu. Il avait remarqué les formes de la jeune femme qui portait en elle la vie. Ils firent de longues promenades alors qu'elle lui contait l'étrange histoire qui lui arrivait, son mari jaloux, l'amour d'un jeune aventurier mais surtout des malaises qui lui avaient fait perdre la mémoire. Ces moments passés avaient fait naître une amitié sincère, du moins le croyait-il.
Torti replia le vieux parchemin, rangea la flèche dans le carquois. Il se leva, s'allongea sur son lit. De sa poche, il sortit l'alliance qui le liait à Asmo son épouse, la passa à son doigt, comme il le faisait chaque soir et sombra dans le sommeil.
Dans ses rêves, il s'imagina allongé au pied d'un arbre, son épouse somnolant dans ses bras. En passant sa main sur l'écorce de l'arbre, il perçut un parchemin, le déplia et le lut. Il se retourna et dans son rêve, s'éloigna pour apercevoir, au loin, la silhouette d'Ambre, tenant le message dans sa main et l'ombre de Strahd s'apprêtant à l'embrasser. Ses cheveux étaient blancs, mais elle était toujours aussi belle.
Par un vieux scribe le 24/11/2002 à 21:15:06 (#2634958)
Ainsi, tous les jours les spectacles étaient différents, parfois amusantes, parfois remplies de larmes, mais chacunes de ces anecdotes apportaient la diversité qu'offrait la vie
Par Drazhar Ul'Gar le 24/11/2002 à 22:04:28 (#2635332)
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