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Mon journal
Par un vieux scribe le 29/10/2002 à 12:21:16 (#2430897)
Je viens enfin d'arriver dans la ville d'Havre Clair, il me faut des a présent quémander audience auprès de la baronne.
Je fis la rencontre de deux charmantes demoiselles, je ne saurais dire laquelle m'a le plus transpercer le coeur, je suis un vrai coeur d'artichaut, toutes les dames d'havre Clair sont si belles que le soleil lui meme doit en être jaloux.
La douce Caly Valion m'emenna accompagné de son ami Titplume au bureau de la baronne, j'avais beau toqué à la porte mais personne ne répondit, la serrure était férmé, la baronne c'était suremment absenté, je dus donc attendre devant sa porte.
La belle Caly me tena compagnie quelques instants, je pus voir avec plus de déléctation ses formes au travers de sa fine robe blanche, qui faisait resortir encore plus le noir de ses ailes, je lui conta alors les raisons de ma venu en cette ville.
Je lui proposa même d'être ma première cliente, he oui il n'est pas chose aisé de trouver sa première clientèle, je devrais peut être songé à placarder quelques affiches dans Havre Clair, mais je vais attendre, il me faut d'abord un local.
Demoiselle Caly dut bientot me laisser ainsi que son ami, je décida alors d'écrire une lettre à la baronne la laissant glisser sous la porte,j'eu bientot un nouveau compagnon avec qui discuté, ce petit gamin était intéressant je crois que j'en ferais bien mon apprenti, il sait jouer avec les mots et il est perspicace, deux qualités que j'apprécie chez les jeunes.
Plus le temps passait, plus les gardes étaient agités aujourd'hui, je ne sais si c'est le soleil mais ils avaient l'air pertubé par quelques tourments, j'attendais toujours à la porte sous le point de m'endormir, lorsque je fus déranger par un drôle de bruit, je suis sur que quelqu'un venait de forcer la porte de la baronne, par précipitation j'avais même ouvert la porte, elle n'était plus vérouillée, mais je ne vis personne à l'intérieur de la batisse, j'étais bien décidé a attendre le gredin à l'extérieur, mais j'entendis une psalmodie à l'intérieur de la demeure, je crois qu'il est trop tard pour prévenir la garde, notre voleur était suremment déjà parti par quelques magie.
Après quelques rondes de mon jeune apprenti, celui ci revint de plus en plus inquiet, il paraitrait que la baronne fut enlevée. je décida donc de l'aider dans ces fouilles, mais sans succès, Je dus retourner à la demeure de la baronne, c'est la que je vis le jeune garde Hote, un gamin très amusant, il était facile de le taquiner et cela me fit bien rire, je lui conta l'histoire de notre voleur et il appela son capitaine pour que je lui raconte de nouveau l'affaire, ce garde là était plus froid, et beaucoup moins apte à la plaisanterie, je raconta alors de nouveau mon histoire, j'eus même l'ocasion de montrer au capitaine mes deux plus grands chefs d'oeuvre, "les trois pommes rouges" et "pomme rouge et pomme verte", le capitaine n'accepta pas mon offre de lui préter mes deux ouvrages, je ne sais pas pourquoi ils sont pourtant délicieux à lire, peut être ne sait il pas lire?
Je sorti de la capitainerie après mon interrogatoire et retourna près de la demeure de la baronne lorsqu' un garde en sorti, je m'empressait de lui demander des nouvelles, elle était sauve mais extrément faible et avait besoin de repos, elle me fit quand même demander mais je fus géner de la déranger alors qu'il lui fallait du repos, je ne pus bavarder que très brièvement avec sa grace avant d'être interrompu par le capitaine de Havre Clair et le capitaine royale, je m'éclipsa alors, et rentra à l'auberge ou j'avais loué ma chambre.
Je m'endormis assez vite, cette journée fus épuisante, mon sommeil n'en fus que meilleur.
4ème jour de la nouvelle lune
Très tôt je fus réveillé par le chant du coq, au première lueur de l'aube , j'alla dans la salle commune de l'auberge, pour y prendre un petit déjeuner copieux, la serveuse était fort mignonnette je dois le dire. après avoir avaler tout ce que mon ventre pouvait, je me promena dans la ville et aux alentours, c'est la que je fus étonné d'y voir un loup près de Havre Clair, mais l'attroupement ne me permis pas de m'approcher plus, je du donc renoncer à mon idée d'aller caresser ce loup.
Je décida donc de me promener près de la fontaine, c'est là que je vis une nouvelle rose des champs, la belle Mélusine qui fit frémir mon coeur, elle laissa tomber un magnifique médaillon que je m'éfforcerai de garder.
Mais il fallait le lui rendre elle l'avait peut être fait tomber par inadvertance et je ne pus garder un tel présent, je la suivi donc jusqu'au temple d'Havre Clair ou elle y entra, c'est la que je revis la louve, je décida donc d'aller voire la raison qui amène une louve en pleine ville, en questionnant les hommes qui l'accompagnait il me dirent qu'elle cherchait ses petits, des humains, elle renifla une piste et s'arréta à l'une des maison de la baronnie, la porte était ouverte et il n'y avait personne, elle senti alors une nouvelle piste et couru jusqu'à l'herboristerie dirigé par Carna et Silwenne, la porte était férmé, la louve avait l'air dépité et elle retourna à sa forêt, je la vis partir au loin suivi de druides et autres gens curieux tout comme moi.
Tachons de rencontrer ses deux herboristes peut être auront elles quelques idées sur les petits de la louve.
A la recherche des deux herboristes je me promena de nouveaux vers l'une des sorties de la ville plus connu sous le nom de "pont gob" peut être est ce du aux nombreux gobelins qui se terrent aux alentours de cette sortie.
J'eu la joie de rencontrer de nouveau l'amour, une belle dame aux formes généreuses mais lorsque je la contemplait elle se rendit invisible, la douce devait être timide, elle ne devrait pas je ne suis qu'un pauvre vieillard sans défense tout le monde le sait bien, ne pouvant plus voire ma bien aimée je continua à faire des rondes, la déesse de l'amour est bien généreuse avec moi aujourd'hui, quelques instants plus tard elle m'offrit la joie de voir une nouvelle merveille du nom de Cnedra, je la complimenta sur sa beautée en parfait gentleman que je suis et ses joues se mirent à rossir et ainsi rendit sa beautée encore plus éclatante, hélas le devoir m'apelle et je suis bien trop vieux pour courtiser toutes les femmes que la nature m'offre et je reparti faire quelques rondes.
5ème jour de la nouvelle lune
La pluie retenti sur les vitres de l'auberge, son doux crépitement et pareille à une mélodie, personne dans les rues de la ville a part quelques ombres qui se faufilent ici et là courant d'arbres en arbres pour se cacher de la pluis grace aux immenses feuilles des esprits de la nature.
Je n'ai pas la force de sortir aujourd'hui, mes rhumatismes me font mal, je suis vieux et je ne peux rien y faire a part attendre, attendre que le temps m'emporte.
Je n'ai vu aujourd'hui que la douce Geena, la plus ravissante serveuse qu'il m'es connu de croise au court de ma longue vie morne, elle est bien jolie, son sourire vous transporte au dessus des nuages et lorsqu'elle vous tend son bouillon delicatement, comment ne pas en tomber amoureux, bien heureux l'homme qui saura ravire le coeur de le belle.
6ème jour de la nouvelle lune
La pluie n'a pas céssé depuis hier, et il pleut meme de plus en plus, lorsque j'étais enfant, mes parents me contait que c'était les dieux qui pleuraient, lorsqu'ils voyaient la tristesse des gens, alors je me précipitait au dehors et me laissai innonder par ce torrent de bénédiction.
7ème jour de la nouvelle lune
Encore un jour de pluie, le temps se ressemble sans jamais changé, je me demande si la baronne est guérie, elle est si belle et si jeune, il serait dommage qu'elle trépasse a ses blessures, mais je ne m'inquiéte pas elle est forte elle saura se battre contre la mort, elle a les cheveux couleur de blé et les yeux percants, la peau si claire et si fine, pourtant un air si triste parcours son visage, lassitude?tristesse?La baronne m'a l'air bien tourmenté.
Il y a tant de chose à faire, elle doit être noyé sous le travail, surrement de la fatigue...qui sait...
8ème jour de la nouvelle lune
Encore et toujours la pluie, personne au dehors, je regarde de nouveau à travers la vitre, quand donc va t'elle cessé? la pluie était une joie durant mon enfance, elle n'est plus que souffrance aujourd'hui, ses longues gouttes qui tombent, ne cesse de me faire penser à ma Landrae et à ma Rosina,mes deux perles..aujourd'hui perdu pour toujours...
des larmes perlent le visage du vieux scribe avant de retomber sur le journal, mouillant quelque peu l'encre encore fraiche, et avant de finir écraser sous le poid du livre avec un bruit sourd
14 eme jour de la nouvelle lune
Le temps n'a pas changé, que se passe t'il? Est ce les préludes de la prophétie? Alors cette histoire de l'Haruspice pourrait être
vrai?
15 eme jour de la nouvelle lune
Enfin la pluie semble disparaitre, les nuages ont étaient soufflés par le vent, il n'y a encore que très peu de gens dans les rues (en cours d'ecriture)
PS au modo : j'ai oublié l'icone rp si les modos pouvez bien me le mettre merci
Par Hôte des Songes le 29/10/2002 à 14:33:41 (#2431994)
Par Eléa Bluesky le 29/10/2002 à 15:14:38 (#2432332)
- "Ce pervers ! je me demande ce qui a retenu la monumentale giffle qu'il a failli se prendre" fulmine t-elle
*incante un sort d'invisibilité et repars sans un bruit*
Par Alanis Lyn le 30/10/2002 à 4:54:20 (#2437516)
*maudit la profonde blessure qui la garde alitée, l'empechant de s'occuper comme elle voudrait des affaires de la baronnie, et entre autre de la demande de cet homme d'experience.*
Il faudra que je le recontacte des que j'irai mieux.
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