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Une semaine. [Nouvelle.]
Par Bréto de Calis le 11/10/2002 à 17:55:51 (#2318271)
OOOOO Je me promène dans un jardin. Il est gigantesque, verdoyant. Je le découvre et jai limpression de lavoir déjà parcouru. Il fait un soleil magnifique, je sens sur ma peau ses douces caresses. Je sens mes cheveux se laisser aller au vent. Jaime déjà cet endroit. Il est splendide. Il ny pas beaucoup de monde assit sur la pelouse. Je ne men plains pas, au contraire.
OOOOO Voilà deux heures que je parcours ce merveilleux endroit de long, en large et en travers. Le soleil commence à se décliner, je suis sa chute, pendant de longues minutes, le ciel se teintant de milles couleurs. Magnifique. Je reste plantée là, émerveillée par tant de beauté.
OOOOO Je mappelle Zita, cest un nom peu courant, je vous le concède, mais on me la donné, et je le porte, à merveille, il paraît. Je viens demménager dans ce petit village. Les gens mont lair sympathiques. Jai tout de même eu droit aux regards de travers des personnes âgées, assises sur un banc, regardant les rues, cherchant ragots à raconter. Ces regards de travers
Je ny prête guère attention. Je les comprends, ils nont pas lhabitude de voir de nouveaux arrivants. Par contre, jai aussi eu droit aux regards dadolescents juvéniles. Cest une situation comique, quand un groupe de jeunes gens se tournent sur vous. Je lançais à tour de bras des regards, amusés. Rien de bien méchant.
OOOOO Je pense que je vais me plaire ici.
OOOOO Jhabite la petite maison au bord du lac, celle avec les rangées de pommiers. Celle après la route de la Montée, en prenant par lallée des Châtaigniers. Jai acquis la maison, mais il y a des travaux à faire. Je loge donc dans le seul hôtel de la région, dans le village même. Il est très bien. Dailleurs, on y dort et on y mange bien. Cest tout ce que jattends dun hôtel.
OOOOO Je viens de Paris. Jai fait des études de droit, mais je nai pas demploi. Je nen cherche pas de toutes façons. Je préfère profiter de la vie, je peux me le permettre, mon père étant riche, ma mère étant morte
je suis entretenue par mon père. Peut-être, trouverez-vous cela honteux, cest vrai
Mais moi, je nai pas honte. Je ne cache pas que je nai pas de problèmes dargent. Mais jessaie tout du moins dêtre modeste, de ne pas être grande gueule vis-à-vis de cela. Dhabitude, on ne fait pas attention à largent que jai, alors tant mieux.
OOOOO Les travaux vont bientôt commencer. Je suis impatiente demménager. En attendant, jessaie de faire la connaissance des habitants du village. Tâche peu aisée. Lhôtel, par chance, fait aussi bar. La plupart des hommes du village viennent sy désaltérer après une journée harassante de travail, avant de rentrer manger, à la maison. Le petit bar est ancien. En pénétrant à lintérieur, jai limpression de me retrouver trente ans plus tôt. Je trouve ça très à la mode.
OOOOO Pour le moment, on ne madresse pas la parole, alors je reste dans mon coin. Jai juste entendu parler de « la nouvelle ». Enfin
Nous allons voir comment ça va se passer.
OOOOO Il y a des retards pour les débuts des travaux. Je dois donc rester à lhôtel. Je narrive toujours pas à communiquer avec les villageois. Je me sens exclue.
OOOOO Je passe mes journées dans le parc, à lire. Il fait toujours beau. Cest magnifique. Jai croisé un homme bizarre, il vient darriver, lui aussi. Il me fait peur. Je ne sais pas pourquoi
mais il meffraie.
OOOOO Enfin
demain, la première journée des travaux. Les ouvriers devraient avoir finis dans une semaine. En attendant demain, pour aller voir le chantier, je vais me coucher, impatiente et heureuse.
OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO Zita.
Par Bréto de Calis le 11/10/2002 à 18:22:00 (#2318423)
OOOOO Je me réveille doucement dans mon lit, je prends le temps de métendre, de me prélasser. Jadore les matins, prendre mon temps, me sentir bien. Je commence par manger, jai fait monter un petit déjeuner, en passant à laccueil une commande. Il arrive. Je ne suis toujours pas levée. Je suis donc obligée de me dépêcher
la journée commence mal.
OOOOO Le petit déjeuner est copieux. A nouveau, je dois me dépêcher. Les ouvriers doivent déjà être sur le chantier. Il faut que jaille les saluer et leur donner les dernières indications. Je me hâte pour le laver, puis pour mhabiller. Je mhabille simplement. Un simple jean, un t-shirt un et un pull. Le tout est noir.
OOOOO Je descends au rez-de-chaussée, saluant lhôtelier, seule personne avec qui jai parlé. Il me plaît beaucoup. Il vient de reprendre létablissement, son père étant décédé il y a peu. Il est grand, bien bâti, le front dégagé. Ses cheveux blonds tiennent bizarrement droits sur sa tête, comme si les racines ne voulaient pas se séparer du cuir chevelu et quau contraire, les pointes, elles, voulaient aller le plus loin possible du crâne. Cest une coiffure amusante. Du moins, elle me fait sourire. Cest pourquoi, chaque fois que je lui parle, je fixe ses grands yeux verts, un sourire aux lèvres, amusé, pensant à la drôlerie de sa coiffure. Cest ainsi que je quitte lhôtel, me réfugiant dans ma voiture, une italienne. Encore une fois, il fait un soleil radieux. Je narrive pas à croire quil soit possible quil fasse si beau, si souvent, tout le temps. Je mets le contact, la climatisation. En avant. Je me dirige vers ma maison, passant devant le jardin, le regardant, sans pouvoir le quitter. Malheureusement, il faut bien que je regarde la route. Les rues sont désertes, mis à part les vieilles chouettes, commères, assises sur leurs fidèles bancs.
OOOOO Jarrive enfin à la maison. Je descends de la voiture et me dirige vers les ouvriers, déjà à la tâche. Je nose dabord pas les dérangés, tellement ils sont pris dans leur tâche. Je les observe quelques minutes et décide enfin daller à leur rencontre. Ils me saluent tous poliment, me souriant. Je leur souris à mon tour, puis me dirige vers le chef déquipe.
OOOOO Je lui donne donc les dernières instructions à suivre pour la rénovation. Il mécoute attentivement, prenant des notes, annotant les plans. Un professionnel, cela me fait sourire. Je souris beaucoup, de tout et de rien. Je suis comme ça.
OOOOO Tout cela fait, je quitte les lieux, laissant les huit ouvriers au travail. Je me rends tout de suite au jardin. Jattendais ce moment avec impatience oui, je suis aussi très impatiente et enfin, je peux masseoir dans lherbe et goûter à la douce chaleur du vent. Mon ventre se met à gargouiller. Aucune importance, je reste assise ici, sans rien faire, regardant le ciel et essayant de trouver des formes dans les nuages, comme les enfants. Dailleurs, quelques uns jouent non loin de moi. Ils sont attendrissants. Dailleurs, tous les enfants le sont du moins en apparence.
OOOOO Lhomme
lhomme qui me fait si peur est là, assis, sur un banc. Il lit un journal. Son imperméable gris fait penser aux inspecteurs de police, dans les films américains. Il se lève subitement, puis par à grands pas vers une voiture, il entre dedans, et démarre en trombe, prenant la direction de mon chantier. Je me demande ce quil va faire par là, peut-être veut-il rejoindre une autre maison, près du lac ? Ceci me trotte dans la tête
OOOOO Je rejoins lhôtel, pour y déjeuner, puis je parle à lhôtelier de cet homme. Il me dit quil ne la jamais vu. Un inconnu. Plus que moi, apparemment.
OOOOO Le reste de la journée, je lai passé dans ma chambre dhôtel, regardant la télévision, pensant aux travaux, pensant au jardin
pensant à lhôtelier. Je suis dans mes rêves
Jy suis heureuse, un sourire béat aux lèvres. Tout à coup, mon téléphone sonne. Jhésite à décrocher, puis je le fais. La voix du chef de léquipe douvriers, il est paniqué, il me dit de venir immédiatement sur le chantier.
OOOOO Un de ses hommes est mort.
OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO Zita.
Par TitPlume Valion le 12/10/2002 à 15:14:15 (#2322683)
:lit: :amour:
Par Leoll le 12/10/2002 à 16:20:42 (#2322998)
OOOOO Le téléphone à la main, je suis hébétée. Un homme, un ouvrier est mort. Je cours dans les escaliers, au risque de me rompre le cou. Je ne salue personne, je suis effarée. Dans la voiture, je ne regarde même pas le jardin, et jessaie de joindre la police. Je leur indique lendroit, et le pourquoi. Cinq minutes plus tard, jarrive sur les lieux de laccident. Les policiers sont déjà là. Un cordon de sécurité me barre le passage cest son rôle après tout. Jessaie de le franchir, en vain. Les policiers en poste ont des ordres, ils les suivent bêtement à la lettre. Heureusement, je finis par faire alerter un responsable.
« - Bonjour mademoiselle, que voulez-vous ?
- Mais
Cest ma maison
Que sest-il passé ? »
OOOOO Le responsable,- jappris plus tard quil était commissaire, a vingt-cinq ans, cest pas mal memmène plus loin pour mexpliquer la situation. Il est petit, trapu. Ses cheveux sont dun noir profond. Il est séduisant, ses yeux sont comme des billes de chocolat. Arrivé à une centaine de mètres de la maison, il prit la parole.
« - Je suis le commissaire Salir, cest moi qui moccupe de lenquête, concernant ce quil sest produit ici.
- Euh
Enchantée, je suis Zita Dubois, la propriétaire de ladite maison. Et jaimerais savoir ce qui justement sest passé.
OOOOO - Et bien
»
OOOOO Il me regarde dans les yeux, profondément. Cest troublant. Puis il reprend.
« - Un des ouvriers est mort sur le chantier. Cest le charpentier. Il semblerait quil se soit brisé la nuque en tombant au sol. Il na sans doute pas fait attention, et il a glissé
puis
»
OOOOO Il ne termine pas sa phrase, me laissant finir par moi-même. Puis il reprit.
« - Le médecin légiste nous en dira plus demain. Allez vous coucher, je vous contacterai sil y a du nouveau. »
OOOOO Sur cest mots, il retourne sur les lieux de lenquête, et moi, je reste plantée comme un piquer, puis je finis enfin par retourner à la voiture, puis à lhôtel puis y dormir, essayant de me persuader que ce nétait quun accident.
*
**
OOOOO Je ne me sens pas bien. Je viens de me lever. Jai mal dormi, jai fait des cauchemars. Jespère quune bonne douche pourra me remettre daplomb.
OOOOO Je descends les escaliers, doucement, ayant peur daffronter les visages fermés des villageois présents dès le matin. Un brouhaha infernal sortait de la salle du bar, dhabitude su calme. Jarrive enfin au rez-de-chaussée. Un journal tombe à mes pieds. En gros titre :
Un mort sur le chantier Dubois.
OOOOO Un scandale. Oh oui, un scandale
Cest ce que réussit à faire ce journal. On me harcèle de questions, on me somme de quitter le village, que japporte la mort. Je cours au dehors, et vais maérer, au jardin. Les regards se posent sur moi, ils sont pesants. Lhomme en imperméable. Il est là. Il me fait peur, peur, plus encore quà lhabitude.
OOOOO Des heures passent sans que je ne men rende compte, puis une ombre, sur mes yeux, je ne vois plus léclat du soleil à travers mes paupières. Jouvre subitement les yeux et voit le commissaire qui se tient à mes pieds. Je me dépêche de me lever et lui tends une main.
« - Bonjour commissaire.
- Mademoiselle Dubois. »
OOOOO Il me serre la main en souriant, semblant amusé par mon attitude protocolaire.
« - En ce qui concerne votre chantier, les travaux ont reprit. Le légiste a conclut par un accident. Donc, rien de grave en soi. »
OOOOO Il repart après mavoir annoncée cela, sans rien faire dautre. Jaurais aimé le rattraper et linvité à dîner mais je sens sur moi les regards pesants. Alors je me ravise, me rassied et finit ma sieste.
OOOOO Il est dix-huit heures. Je rentre à lhôtel. Jai du courrier. Lécriture mest inconnue, cest une écriture de femme. Je monte dans ma chambre pour lire cette lettre au calme. Le ménage est fait. Ma chambre sent la lavande. Je massieds sur mon lit, ouvrant lenveloppe, dépliant la lettre. Et là
Je vois
Ecrit avec des lettres découpées dans un journal, comme dans les films :
DONNER 500 000 , OU OUVRIERS MOURIR.
OOOOO Un style télégraphique. 500 000 . Une sacrée somme. Je redescends en trombe dans les escaliers, essayant davoir le numéro de téléphone du commissaire Salir. Jarrive à lavoir, mais il nest pas là. On me conseille donc daller me coucher.
OOOOO Au moins, aujourdhui, personne nest mort.
OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO Zita.
Désolé, suis trompé de compte.
Par Thylis-Turennen le 12/10/2002 à 17:26:09 (#2323348)
:lit:
Par Lereniah le 12/10/2002 à 20:28:58 (#2324337)
vraiment superbe
*veut la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeee*
:p
kissss
Par Carna le 13/10/2002 à 12:32:07 (#2327072)
Par Iwakura Shin OS le 13/10/2002 à 16:05:29 (#2328235)
*attend la suite avec impatience*
Par Ame Darken le 13/10/2002 à 16:25:26 (#2328347)
:amour:
Par Aina HarLeaQuin le 13/10/2002 à 17:51:51 (#2328777)
Par Sombre Lune le 14/10/2002 à 18:29:47 (#2334908)
Par TitPlume Valion le 16/10/2002 à 19:48:00 (#2347866)
Par Leoll le 17/10/2002 à 18:47:27 (#2353474)
OOOOO Le soleil se lève doucement, je suis affalée sur mon lit, la lettre reçue la veille à côte de moi. De lautre côté, le téléphone, au cas où celui-ci sonnerait. Les rayons de lastre du jour pénètrent doucement dans la chambre, lun dentre eux, plus sournois que les autres, vient se placer sur mes paupières encore closes. Lentement, elles finissent par souvrir après avoir lutté, et perdu. Alors que je sors de mes rêves ou cauchemar
-, tout à coup, ce qui sest passé les deux jours auparavant, la mort de lun des ouvriers, la lettre
ce cauchemar me revient en mémoire, langoisse et la peur revenant elles aussi au galop. Jessaie de me calmer, en fermant les yeux et faisant des exercices de relaxation, lus dans quelque magazine de santé. Cette technique marche, je profite de ce calme passager pour prendre ma douche, espérant quelle prolonge cet état de relaxation. Leau est chaude, elle fait du bien. Jhésite à sortir de la douce pour aller mhabiller. Finalement, je décide de finir de me préparer, je dois aller parler au commissaire Salir, au sujet de la lettre.
OOOOO Je descends les escaliers, ne me pressant pas, ayant glissé la lettre dans mon sac à main. Je passe sans prêter attention à Julien lhôtelier qui semble déçu
Je me rends donc au commissariat dans lespoir de parler au commissaire.
OOOOO Arrivant au but, je me gare, puis me dirige vers lentrée. Cest la première fois que je mets les pieds ici. Cest un bâtiment de taille moyenne, je me rends vers laccueil et énonce le pourquoi de ma venue. On me mène à son bureau, puis on mexplique quil narrivera quun peu plus tard. On a donc la gentillesse de mapporter un café. Je finis le café, puis une cigarette
deux
Je commence à mimpatienter, à penser que lon se moque de moi. Je me lève vivement, et me dirige vers la porte pour louvrir de la même façon. Alors que je porte ma main à la poignée, la porte se dérobe sous moi, je tombe en avant
sur le commissaire. Jai le nez dans son torse. Cest une situation je vous lassure très gênante. Je me recule rapidement, remettant machinalement une mèche de cheveux derrière mes oreilles. Salir me fixe, un sourire amusé aux lèvres. Il entre dans la pièce, puis referme la porte alors que je regarde par la fenêtre, essayant de dissiper ma gêne.
« - Alors mademoiselle Dubois ? Quest-ce qui vous amène ? "
OOOOO Son ton est ironique. Je le déteste.
« - Jai reçu une lettre. Tenez. »
OOOOO Je lui tends alors la lettre, il la parcourt des yeux, son visage devenant soucieux.
« - Quand avez-vous reçu cette lettre ?
- Hier soir, quand je suis rentrée à lhôtel. »
OOOOO Il se laisse alors tomber dans son fauteuil, réfléchissant. Il semble avoir oublié ma présence, je mempresse de la lui rappeler.
« - Alors commissaire ? Que dois-je faire devant cela ? »
OOOOO Avant quil ne me réponde, le téléphone sonne. Il répond, puis son visage devient plus encore soucieux. Une mauvaise nouvelle, sans doute. Il se lèvre et minvite à le suivre. Nous allons vers le parking. Soleil de plomb. Je me dirige vers ma voiture mais il me tire par le bras. Nous nous dirigeons vers une moto. Je ne peux rien vous dire de cette moto. Je ne my connais pas du tout en mécanique. Il me présente un casque, le sien, il est emplit de son odeur. Agréable. Je me sens voler, une sensation de liberté, comme un oiseau. Je ne fais pas attention où nous allons, je ne me rends pas compte que le serre fort. Que je me serre contre lui, avec plaisir. Quelques minutes passent, cette sensation me prenant toujours, alors que la moto sarrête. Je finis par ouvrir les yeux, alors que je me serre toujours contre lui. Nous sommes chez moi. Enfin, dans la maison que je fais rénover. La police est à nouveau présente. Le rayon de sécurité établi. Il y a beaucoup dagitation, nous allons vers celui qui semble tout organisé.
« - Bonjour Daniel, alors ?
- Encore un mort. »
OOOOO Nous suivons le dénommé Daniel, jusquà un corps. Mon cur se soulève alors que je regarde ce corps gisant au sol, la tête explosée, la cervelle a moitié répandue au sol. Un haut le cur
Plus encore. Je me recule en hâte, portant mes mains à la bouche, je tente de me calmer, entendant la discussion des deux hommes.
« - Qui cest elle ? Elle est mignonne.
- Cest mademoiselle Dubois, la propriétaire.
- Ah, daccord
Deux morts sur son chantier, ça fait beaucoup, non ?
- Oui, et tu ne sais pas tout
»
OOOOO Il vient vers moi.
« - Mademoiselle Dubois ? Ca va ? »
OOOOO Je nai pas le temps de répondre, il memmène plus loin.
« - Lun des ouvriers sest fait assassiné, une balle en pleine tête. Nous bouclons le périmètre. Il semble que le tireur soit quelquun qui connaisse bien lendroit. Faîtes attention à vous. Si vous recevez quelque chose dautre ce soir, appelez-moi. »
OOOOO Il me tends sa carte et séloigne. Je quitte le lieu, effrayée. Un meurtrier
qui sen prend à moi ! Mais quest-ce que jai fait ? Je ne comprends pas, vraiment. Le ciel me tombe sur la tête, je me sens tomber. Evanouissement.
OOOOO Je me réveille dans un lit, que je ne connais pas. Par la fenêtre, je vois le ciel décliné. De leau qui coule. A travers la porte, en face du lit, la salle de bain, quelquun dedans. Mais où suis-je ? Je me recroqueville sur moi-même alors que la poignée de la porte se baisse. Je vois sortir Salir.
« - Ah
Vous êtes réveillée. Vous vous êtes évanouie tout à lheure, je vous ai amenée chez moi. Si vous voulez prendre une douche, cest ici. »
OOOOO Il désigne la pièce doù il vient.
« - Je mappelle José. »
OOOOO José
Je naurais jamais pensé quil sappelait comme ça. Etrange. Ce nom ne lui va pas
Enfin
« - Si vous voulez dormir ici cette nuit, il ny a pas de problème, je dormirai dans le sofa, je vous réveillerai demain, pour que nous allions au commissariat, pour faire le point. Je vous souhaite une bonne nuit. »
OOOOO Il quitte la pièce, me laissant seule. Je me recouche, puis essaie de mendormir. Le sommeil me prend rapidement, un sommeil emplit de questions. Je ne comprends vraiment pas. Plein de questions me tiraillent la tête. Sommeil difficile. Demain, nous ferons le point.
OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO Zita.
Par Leoll le 17/10/2002 à 19:38:20 (#2353641)
Par TitPlume Valion le 17/10/2002 à 23:10:34 (#2354748)
Par Lereniah le 18/10/2002 à 12:32:43 (#2356808)
*est fana des histoires de son tonton :p*
Par Aina HarLeaQuin le 18/10/2002 à 14:30:52 (#2357463)
Par Sombre Lune le 19/10/2002 à 12:58:18 (#2363028)
*aime beaucoup*
Par Zaarda le 23/10/2002 à 16:45:09 (#2390934)
Par Bréto Shin le 6/11/2002 à 15:44:38 (#2496271)
OOOOO La nuit s'écoule, de drôles de choses se sont passées, dont je ne peux parler, même si ces choses me sont forts plaisantes, pour l'instant.
OOOOO J'ouvre doucement les yeux, une main venant me caresse la joue, formant de petits cercles, amenant un sourire à mes lèvres. Mon regard croise celui de José, un regard amoureux, je souris d'avantage. Je m'étire, me prélassant dans ce lit, ma main venant se poser sur le bras de José. Je me redresse, il m'aide puis m'embrasse, avant de quitter la pièce pour préparer le petit déjeuner - attention touchante, par ailleurs. Je mange face à lui, il ne me quitte pas des yeux, je me sens un peu gêné, mais je ne m'en plains pas, au contraire, ça a quelque chose d'agréable. Le repas finit, je vais me laver, puis nous partons tous les deux, pour le commissariat. Il me dépose à l'entrée du parking, pour que je rejoigne ma voiture. Quant à lui, il continue son chemin, sans avoir oublier de m'embrasser.
OOOOO Je me dirige donc vers ma voiture, repsnsant à la nuit... Je marche lentement, je monte dans la voiture, puis je démarre. Feu rouge. Je me vois dans l'obligation de m'arrêter. Tout à coup, un souffle chaud dans ma nuque, dans mon cou, une lame froide. Je n'arrive plus à respirer, j'ai l'impression que je vais m'évanouir, je le souhaite mais ça ne vient pas, malheureusement. Je lève les yeux vers le rétroviseur central, des yeux de glace. J'ai l'impression d'avoir déjà vu ce regard... Je ferme les yeux, cédant place à la peur, dans cette peur je revois l'endroit dans lequel j'ai vu ce regard froid. Le bar. Le barman. Julien. Oui, c'est bien lui. Je suis plus encore effrayé, il me glisse des mots à l'oreille, mais je n'arrive pas à les comprendre, à les interpréter. Affolement. Dans un geste brusque, j'appuie sur l'accélérateur, la lame glisse le long de mon cou. Morte. Je suis morte.
OOOOO La voiture fonce droit dans un mur, Julien, le barman a juste le temps de sauter du véhicule avant que celui-ci ne s'explose contre la façade. Les policiers arrivent rapidement, le SAMU, les pompiers aussi. Les policiers n'ont pas eu beaucoup de chemin à parcourir pour arriver sur les lieux de l'accident. Le premier arrivé sur les lieux est José. Il est perdu, il ne sait pas quoi faire. Il a reconnut le véhicule de Zita, il a eu confirmation, mais il n'y a aucun corps. L'endroit n'est couvert que de débris de véhicule. Aucune trace de Julien et de Zita.
OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOZi............
Par Aina HarLeaQuin le 6/11/2002 à 15:47:11 (#2496292)
Par Claudia Thall le 6/11/2002 à 15:48:17 (#2496305)
Magnifique vraiment
Par Bréto Shin le 6/11/2002 à 17:43:43 (#2497575)
(Une scène de ce chapitre pourrait choquer le jeune lecteur, merci.)
OOOOO J'ai eu du mal à marcher jusqu'à mon repère, j'ai la moitié du visage en sang, à cause de mon périlleux saut. Heureusement que je n'ai pas explosé avec le véhicule. Après avoir sauté, je me suis précipité dans les flammes, pour en extirper le corps, inconscient, mort, de Zita. Comme j'ai été déçu de sa mort... Pourquoi a-t-elle agit ainsi ? Enfin... Ce n'est pas si grave, après tout, elle a eu ce qu'elle méritait. Elle n'a même pas eu la décence de répondre à ma lettre anonyme... Pauvre femme... Ah... Pourquoi n'a-t-elle pas répondu à ma demande de rançon ? J'avais tout prévu, elle a tout gâché. Elle a eu ce qu'elle méritait.
OOOOO J'ouvre les yeux, après avoir dormi quelques heures, histoire de me reposer un peu, j'ai passé une journée difficile. Après être arrivé dans le lieu qui me sert de cachette, traînant le corps de la demoiselle, j'ai du la laver, la déshabiller, et la laisser traîné quelque part, pendant que je dormais. Maintenant que je suis réveillé, je ne sais même pas ce que je vais faire de son corps. Enfin... J'ai faim, je vais donc aller manger quelque chose. Je me dirige donc vers la ce qui sert de cuisine, enjambant le corps de Zita, que j'avais laissé en travers du couloir. Bizarrement, son visage est serein, il dégage quelque chose... Un bien être total. Bizarre. Je fais cuir deux oeufs, puis les engloutis. Les flics doivent se demander où est le corps de Zita, intéressant...
OOOOO Je transporte le corps dans la cave, puis le pose sur une table. Je me surprend à laisse passer mon doigt le long du corps froid. Je frissonne, alors que je le refais, mon doigt, puis ma main se pose sur l'un de ses seins, je suis hypnotisé sur sa poitrine, quand elle était vivante, je ne m'intéressais pas à elle, c'est étrange vraiment. Je secoue vivement la tête, puis arrête de la toucher, ça devient presque répugnant. Il faut que j'écrive une lettre... Mais à qui ? A son père ? Comment est-ce que je vais faire pour avoir de l'argent ! Je suis exaspéré ! Elle a tout fait louper... Je rejette un regard sur son corps, puis quitte la cave, éteignant la lumière. Je téléphone à un ami, quelqu'un qui la suit, depuis son arrivée, qui me renseigne sur ses faits et gestes. Intéressant... Il m'indique qu'elle a une relation avec le commissaire Salir. Je vais lui écrire à lui, je vais faire croire que Zita Dubois est encore vivante, peut-être finirai-je par avoir mon argent. Je me dirige vers le salon, et mon regard se tourne vers l'horloge... 14h26... Bizarre, j'ai dormi tout ce temps là ? Ca ne m'arrive pas souvent... Enfin, oublions... Ce n'est pas important. Je prends un stylo et rédige la lettre, dans une fausse écriture, enfin, une écriture qui n'est pas mienne.
OOOOO "Commissaire,
OOOOO J'ai en ma possession, une personne qui vous est, je crois, chère... Elle n'avait pas répondu à l'une de mes lettres, j'ai donc été dans l'obligation de l'enlever. Elle est en vie, et j'attends la somme que j'avais déjà indiqué. Laissez un mouchoir blanc, sur le troisième banc, après l'entrée du jardin public, accrochez-le à l'assise, si il n'y est pas dans la journée de demain, je tuerai Zita Dubois.
OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOAmicalement,
OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOX"
OOOOO Je donne la lettre à mon ami, il se rend au commissariat et donne la lettre au guichet, sans rien dire. Sur la lettre, j'ai nommé le destinataire. J'espère que ce cher ami, a prit de nombreuses précautions pour se rendre au commissariat, sinon...
OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOMoi, Julien.
Par Lereniah le 6/11/2002 à 17:44:45 (#2497587)
Par Aina HarLeaQuin le 6/11/2002 à 17:49:13 (#2497650)
Par Bréto Shin le 6/11/2002 à 22:06:11 (#2500146)
OOOOO Il paraît que le commissariat est en alerte, j'en suis ravi. Salir donne des ordres contradictoires à ses lieutenants, il est perdu. Un rire strident retentit, le mien, je suis heureux de la tournure des choses, j'ai passé toute la nuit à regarder, à toucher le corps de Zita, enfin, il commence à y émerger une odeur de putréfaction, immonde, comme l'âme de la dame, je pense. Je vais envoyer mon ami pour voir si le mouchoir est déposé sur le banc, comme indiqué dans la lettre.
OOOOO José Salir est dans tout ses états, il fait des allers retours sur le promenade du parc, il a attaché un mouchoir blanc sur l'assise du bon banc, ses hommes sont postés dans le parc, cherchant n'importe qui, qui pourrait être suspect. Ils ont apprit que Julien Dribet ne vient plus à son bar depuis quelques jours. Il est le suspect numéro un dans cet affaire. Tout le village, ce petit village si tranqueille d'habitude est en émoi. Ils ont tous peur pour leur propre peau. Ils s'en moquent royalement que Zita Dubois fut enlevée, de toute façon, c'était une "étrangère", après tout.
OOOOO L'homme en imperméable gris, l'homme que Zita avait déjà vu dans le parc était là, assis sur le cinquième banc, ses lunettes noires sur le nez, personne ne peut voir ce qu'il regarde. A côté de lui, une canne blanche, il doit jouer l'aveugle, sûrement. Peut-être l'est-il vraiment, après tout... Enfin... Un policier vient le prendre par la manche, lui demandant de circuler. Une bonne partie de l'après-midi est passée, rien n'est arrivé. Il faut se rendre à l'évidence, il ne se passera rien.
OOOOO Pendant ce temps, l'aveugle - nous appellerons l'homme à l'imperméable de la sorte jusqu'à ce que nous connaissions son nom - s'est rendu au commissariat, déguisé, pour déposer, encore une fois une lettre au commissaire. Personne n'avait prit les dispositions nécessaires pour que tous porteurs de lettre soient mis en garde à vue. Une erreur.
OOOOO Quand le commissaire Salir entre dans le commissariat, on accourt pour lui apporter la lettre livrée il y a une bonne demie heure. José reste sur place, fixant la lettre, hésitant à l'ouvrir. Il ferme les yeux, puis d'un geste vif, l'ouvre, puis la déplie. Il la parcourt des yeux, ces derniers se fermant à la fin de la lecture. Il est sûr de retrouver sa bien aimée, il lui manque la somme. La lettre explique l'endroit d'un rendez-vous, auquel aura lieu l'échange, une malette contre une femme, mais ce n'est pas n'importe quelle femme pour le commissaire... Sentiments personnels... Lié privé et professionel.
OOOOO Ah ! Je suis heureux ! Je suis le plus heureux des hommes ! Tout a marché comme je le désirais ! Je suis un génie, j'en étais sûr, je vais être riche ! Demain, j'aurai en ma possession, une malette, dans laquelle, la richesse, mon laissé passer pour n'importe où dans le monde. Enfin... J'attendais ce moment depuis si longtemps. Demain, oui. Demain. Je vais me coucher, il est tard, j'ai appelé mon complice, tout est en place, demain... Je ris, rire glauque... Je vais embrasser ma charmante compagnie, la dévorant des yeux, je me prends d'envies... Je la fixe, puis mes mains parcourent sa douce peau, sa peau froide. Je retiens mes pulsions. Je ne fais que l'embrasser puis vais me coucher, surpris de mon comportement... Mais demain, j'aurai tout oublié.
OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOMoi, Julien, et lui.
Par Arilys S./Ginza B. le 6/11/2002 à 22:23:51 (#2500299)
Ha voui s'bien mais...LA SUITEUHHHHHH !! L'probleme c'est que une fois dedans ben on veut savoir la suite tout d'suite dans l'instant...
Sinon ben que dire des ecrits si ce n'est parfait comme d'habitude :) On en lirait a longueur de temps ;)
Par Isis's spirit le 7/11/2002 à 14:58:26 (#2504710)
alors c'te suite ca viend oui !
Par Zephirin le 7/11/2002 à 22:25:08 (#2508866)
Par Drazhar Ul'Gar le 7/11/2002 à 22:41:16 (#2508983)
*Espere que l'auteur ne se reposera pas au 7eme jour.*
Par Iwakura Shin OS le 7/11/2002 à 22:51:56 (#2509059)
La suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite!!!
Par TitPlume le 7/11/2002 à 23:08:56 (#2509162)
(les nécrophiles ça fout la chair de poule quand même... nan ?)
Par Iwakura Shin OS le 7/11/2002 à 23:09:39 (#2509167)
Provient du message de TitPlume
Mais ouais. La suite.
(les nécrophiles ça fout la chair de poule quand même... nan ?)
(Nan :D )
Par TitPlume le 7/11/2002 à 23:11:13 (#2509180)
Provient du message de Iwakura Shin OS
(Nan :D )
:eek: :eek: :eek: :doute:
Par Hunter le 7/11/2002 à 23:12:20 (#2509190)
Provient du message de Iwakura Shin OS
(Nan :D )
Voila pourquoi tu te plaignait comme ça quand le cimetierre a disparu :D
Par Arilys S./Ginza B. le 7/11/2002 à 23:15:44 (#2509213)
Provient du message de Iwakura Shin OS
(Nan :D )
Moui Ben V'la l'psychopathe qui s'reveille enfin...J'savais qu'au plus profond d'toi t'etais un cinglé... :ange:
Par Iwakura Shin OS le 7/11/2002 à 23:16:03 (#2509216)
Provient du message de Hunter
Voui la suite moman :)
Voila pourquoi tu te plaignait comme ça quand le cimetierre a disparu :D
Bah oui... et pourquoi tu croit chuis toujours dans des endroits avec des morts vivants ?
La suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite !!!
Par Hunk Scorn le 7/11/2002 à 23:43:41 (#2509383)
Provient du message de Iwakura Shin OS
Bah oui... et pourquoi tu croit chuis toujours dans des endroits avec des morts vivants ?
Clair, là bas tout seul... On s'demande s'que t'y fais hein... :doute:
Et ouiiiiiiii, on veut la suiiiiiiiiiiite ! :p
Par Hunter le 7/11/2002 à 23:45:16 (#2509391)
Provient du message de Hunk Scorn
Clair, là bas tout seul... On s'demande s'que t'y fais hein... :doute:
Non.
Aucune personne sencée ne voudrais savoir :aide:
Par Iwakura Shin OS le 7/11/2002 à 23:49:34 (#2509416)
Provient du message de Hunter
Non.
Aucune personne sencée ne voudrais savoir :aide:
Considerant que tu n'es pas une personne sensé vu comment tu rouille, je m'en vais t'expliquer. Alors c tres simple je me place devant et je...
Tss tss, on veux la suite Bréto d'amour siteuplé.
Chuis grand duc ^^ (comme le hibou, oh oui c'etait facile et alors ?)
Par Hunk Scorn le 7/11/2002 à 23:52:39 (#2509434)
Provient du message de Iwakura Shin OS
Chuis grand duc ^^ (comme le hibou, oh oui c'etait facile et alors ?)
Ca me fait penser à la chouette... Tsé, la chouette là, celle que t'aimes tant... :) :rolleyes:
Par Iwakura Shin OS le 7/11/2002 à 23:57:53 (#2509470)
Provient du message de Hunk Scorn
Ca me fait penser à la chouette... Tsé, la chouette là, celle que t'aimes tant... :) :rolleyes:
*rejette le mauvais sort* Grrrrrrr :enerve: :enerve:
Par Freeman Killer O-B le 8/11/2002 à 0:00:43 (#2509487)
Par Vincent Tremere le 8/11/2002 à 0:01:39 (#2509490)
Par Hunter le 8/11/2002 à 0:02:26 (#2509493)
Provient du message de Iwakura Shin OS
Considerant que tu n'es pas une personne sensé vu comment tu rouille, je m'en vais t'expliquer. Alors c tres simple je me place devant et je...
Tss tss, on veux la suite Bréto d'amour siteuplé.
Chuis grand duc ^^ (comme le hibou, oh oui c'etait facile et alors ?)
Ta ''Breto d'amour'' sera surement tres interessé par ce qui se passe une fois que tu te place devant :D
Par Leoll le 8/11/2002 à 6:52:33 (#2510398)
Par Stbaal le 8/11/2002 à 6:55:19 (#2510402)
Provient du message de Leoll
On s'calme sur l'flood les djeunz.
lol il ne peuvent pas s'en empecher
Par Isis's spirit le 8/11/2002 à 9:49:29 (#2510870)
faudrait pas voir a trop se faire desirer....
*doux regard a Iwa*
Isis*morte* Tvar sylrus de Vil etc...
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