Bienvenue sur JeuxOnLine - MMO, MMORPG et MOBA !
Les sites de JeuxOnLine...
 

Panneau de contrôle

Recherche | Retour aux forums

JOL Archives

Une semaine. [Nouvelle.]

Par Bréto de Calis le 11/10/2002 à 17:55:51 (#2318271)

Une semaine.




OOOOO Je me promène dans un jardin. Il est gigantesque, verdoyant. Je le découvre et j’ai l’impression de l’avoir déjà parcouru. Il fait un soleil magnifique, je sens sur ma peau ses douces caresses. Je sens mes cheveux se laisser aller au vent. J’aime déjà cet endroit. Il est splendide. Il n‘y pas beaucoup de monde assit sur la pelouse. Je ne m’en plains pas, au contraire.
OOOOO Voilà deux heures que je parcours ce merveilleux endroit de long, en large et en travers. Le soleil commence à se décliner, je suis sa chute, pendant de longues minutes, le ciel se teintant de milles couleurs. Magnifique. Je reste plantée là, émerveillée par tant de beauté.

OOOOO Je m’appelle Zita, c’est un nom peu courant, je vous le concède, mais on me l’a donné, et je le porte, à merveille, il paraît. Je viens d’emménager dans ce petit village. Les gens m’ont l’air sympathiques. J’ai tout de même eu droit aux regards de travers des personnes âgées, assises sur un banc, regardant les rues, cherchant ragots à raconter. Ces regards de travers… Je n’y prête guère attention. Je les comprends, ils n’ont pas l’habitude de voir de nouveaux arrivants. Par contre, j’ai aussi eu droit aux regards d’adolescents juvéniles. C’est une situation comique, quand un groupe de jeunes gens se tournent sur vous. Je lançais à tour de bras des regards, amusés. Rien de bien méchant.
OOOOO Je pense que je vais me plaire ici.

OOOOO J’habite la petite maison au bord du lac, celle avec les rangées de pommiers. Celle après la route de la Montée, en prenant par l’allée des Châtaigniers. J’ai acquis la maison, mais il y a des travaux à faire. Je loge donc dans le seul hôtel de la région, dans le village même. Il est très bien. D’ailleurs, on y dort et on y mange bien. C’est tout ce que j’attends d’un hôtel.
OOOOO Je viens de Paris. J’ai fait des études de droit, mais je n’ai pas d’emploi. Je n’en cherche pas de toutes façons. Je préfère profiter de la vie, je peux me le permettre, mon père étant riche, ma mère étant morte… je suis entretenue par mon père. Peut-être, trouverez-vous cela honteux, c’est vrai… Mais moi, je n’ai pas honte. Je ne cache pas que je n’ai pas de problèmes d’argent. Mais j’essaie tout du moins d’être modeste, de ne pas être grande gueule vis-à-vis de cela. D’habitude, on ne fait pas attention à l’argent que j’ai, alors tant mieux.

OOOOO Les travaux vont bientôt commencer. Je suis impatiente d’emménager. En attendant, j’essaie de faire la connaissance des habitants du village. Tâche peu aisée. L’hôtel, par chance, fait aussi bar. La plupart des hommes du village viennent s’y désaltérer après une journée harassante de travail, avant de rentrer manger, à la maison. Le petit bar est ancien. En pénétrant à l’intérieur, j’ai l’impression de me retrouver trente ans plus tôt. Je trouve ça très à la mode.
OOOOO Pour le moment, on ne m’adresse pas la parole, alors je reste dans mon coin. J’ai juste entendu parler de « la nouvelle ». Enfin… Nous allons voir comment ça va se passer.

OOOOO Il y a des retards pour les débuts des travaux. Je dois donc rester à l’hôtel. Je n’arrive toujours pas à communiquer avec les villageois. Je me sens exclue.


OOOOO Je passe mes journées dans le parc, à lire. Il fait toujours beau. C’est magnifique. J’ai croisé un homme bizarre, il vient d’arriver, lui aussi. Il me fait peur. Je ne sais pas pourquoi… mais il m’effraie.

OOOOO Enfin… demain, la première journée des travaux. Les ouvriers devraient avoir finis dans une semaine. En attendant demain, pour aller voir le chantier, je vais me coucher, impatiente et heureuse.



OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO Zita.

Par Bréto de Calis le 11/10/2002 à 18:22:00 (#2318423)

Première journée.




OOOOO Je me réveille doucement dans mon lit, je prends le temps de m’étendre, de me prélasser. J’adore les matins, prendre mon temps, me sentir bien. Je commence par manger, j’ai fait monter un petit déjeuner, en passant à l’accueil une commande. Il arrive. Je ne suis toujours pas levée. Je suis donc obligée de me dépêcher… la journée commence mal.

OOOOO Le petit déjeuner est copieux. A nouveau, je dois me dépêcher. Les ouvriers doivent déjà être sur le chantier. Il faut que j’aille les saluer et leur donner les dernières indications. Je me hâte pour le laver, puis pour m’habiller. Je m’habille simplement. Un simple jean, un t-shirt un et un pull. Le tout est noir.

OOOOO Je descends au rez-de-chaussée, saluant l’hôtelier, seule personne avec qui j’ai parlé. Il me plaît beaucoup. Il vient de reprendre l’établissement, son père étant décédé il y a peu. Il est grand, bien bâti, le front dégagé. Ses cheveux blonds tiennent bizarrement droits sur sa tête, comme si les racines ne voulaient pas se séparer du cuir chevelu et qu’au contraire, les pointes, elles, voulaient aller le plus loin possible du crâne. C’est une coiffure amusante. Du moins, elle me fait sourire. C’est pourquoi, chaque fois que je lui parle, je fixe ses grands yeux verts, un sourire aux lèvres, amusé, pensant à la drôlerie de sa coiffure. C’est ainsi que je quitte l’hôtel, me réfugiant dans ma voiture, une italienne. Encore une fois, il fait un soleil radieux. Je n’arrive pas à croire qu’il soit possible qu’il fasse si beau, si souvent, tout le temps. Je mets le contact, la climatisation. En avant. Je me dirige vers ma maison, passant devant le jardin, le regardant, sans pouvoir le quitter. Malheureusement, il faut bien que je regarde la route. Les rues sont désertes, mis à part les vieilles chouettes, commères, assises sur leurs fidèles bancs.

OOOOO J’arrive enfin à la maison. Je descends de la voiture et me dirige vers les ouvriers, déjà à la tâche. Je n’ose d’abord pas les dérangés, tellement ils sont pris dans leur tâche. Je les observe quelques minutes et décide enfin d’aller à leur rencontre. Ils me saluent tous poliment, me souriant. Je leur souris à mon tour, puis me dirige vers le chef d’équipe.
OOOOO Je lui donne donc les dernières instructions à suivre pour la rénovation. Il m’écoute attentivement, prenant des notes, annotant les plans. Un professionnel, cela me fait sourire. Je souris beaucoup, de tout et de rien. Je suis comme ça.

OOOOO Tout cela fait, je quitte les lieux, laissant les huit ouvriers au travail. Je me rends tout de suite au jardin. J’attendais ce moment avec impatience – oui, je suis aussi très impatiente – et enfin, je peux m’asseoir dans l’herbe et goûter à la douce chaleur du vent. Mon ventre se met à gargouiller. Aucune importance, je reste assise ici, sans rien faire, regardant le ciel et essayant de trouver des formes dans les nuages, comme les enfants. D’ailleurs, quelques uns jouent non loin de moi. Ils sont attendrissants. D’ailleurs, tous les enfants le sont – du moins en apparence.
OOOOO L’homme… l’homme qui me fait si peur est là, assis, sur un banc. Il lit un journal. Son imperméable gris fait penser aux inspecteurs de police, dans les films américains. Il se lève subitement, puis par à grands pas vers une voiture, il entre dedans, et démarre en trombe, prenant la direction de mon chantier. Je me demande ce qu’il va faire par là, peut-être veut-il rejoindre une autre maison, près du lac ? Ceci me trotte dans la tête…

OOOOO Je rejoins l’hôtel, pour y déjeuner, puis je parle à l’hôtelier de cet homme. Il me dit qu’il ne l’a jamais vu. Un inconnu. Plus que moi, apparemment.

OOOOO Le reste de la journée, je l’ai passé dans ma chambre d’hôtel, regardant la télévision, pensant aux travaux, pensant au jardin… pensant à l’hôtelier. Je suis dans mes rêves… J’y suis heureuse, un sourire béat aux lèvres. Tout à coup, mon téléphone sonne. J’hésite à décrocher, puis je le fais. La voix du chef de l’équipe d’ouvriers, il est paniqué, il me dit de venir immédiatement sur le chantier.
OOOOO Un de ses hommes est mort.



OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO Zita.

Par TitPlume Valion le 12/10/2002 à 15:14:15 (#2322683)

*pdlp*

:lit: :amour:

Par Leoll le 12/10/2002 à 16:20:42 (#2322998)

Deuxième journée.




OOOOO Le téléphone à la main, je suis hébétée. Un homme, un ouvrier est mort. Je cours dans les escaliers, au risque de me rompre le cou. Je ne salue personne, je suis effarée. Dans la voiture, je ne regarde même pas le jardin, et j’essaie de joindre la police. Je leur indique l’endroit, et le pourquoi. Cinq minutes plus tard, j’arrive sur les lieux de l’accident. Les policiers sont déjà là. Un cordon de sécurité me barre le passage – c’est son rôle après tout. J’essaie de le franchir, en vain. Les policiers en poste ont des ordres, ils les suivent bêtement à la lettre. Heureusement, je finis par faire alerter un responsable.

« - Bonjour mademoiselle, que voulez-vous ?
- Mais… C’est ma maison… Que s’est-il passé ? »

OOOOO Le responsable,- j’appris plus tard qu’il était commissaire, a vingt-cinq ans, c’est pas mal – m’emmène plus loin pour m’expliquer la situation. Il est petit, trapu. Ses cheveux sont d’un noir profond. Il est séduisant, ses yeux sont comme des billes de chocolat. Arrivé à une centaine de mètres de la maison, il prit la parole.

« - Je suis le commissaire Salir, c’est moi qui m’occupe de l’enquête, concernant ce qu’il s’est produit ici.
- Euh…Enchantée, je suis Zita Dubois, la propriétaire de ladite maison. Et j’aimerais savoir ce qui justement s’est passé.
OOOOO - Et bien… »

OOOOO Il me regarde dans les yeux, profondément. C’est troublant. Puis il reprend.

« - Un des ouvriers est mort sur le chantier. C’est le charpentier. Il semblerait qu’il se soit brisé la nuque en tombant au sol. Il n’a sans doute pas fait attention, et il a glissé… puis… »

OOOOO Il ne termine pas sa phrase, me laissant finir par moi-même. Puis il reprit.

« - Le médecin légiste nous en dira plus demain. Allez vous coucher, je vous contacterai s’il y a du nouveau. »

OOOOO Sur c’est mots, il retourne sur les lieux de l’enquête, et moi, je reste plantée comme un piquer, puis je finis enfin par retourner à la voiture, puis à l’hôtel puis y dormir, essayant de me persuader que ce n’était qu’un accident.

*

**

OOOOO Je ne me sens pas bien. Je viens de me lever. J’ai mal dormi, j’ai fait des cauchemars. J’espère qu’une bonne douche pourra me remettre d’aplomb.
OOOOO Je descends les escaliers, doucement, ayant peur d’affronter les visages fermés des villageois présents dès le matin. Un brouhaha infernal sortait de la salle du bar, d’habitude su calme. J’arrive enfin au rez-de-chaussée. Un journal tombe à mes pieds. En gros titre :


Un mort sur le chantier Dubois.
OOOOO Un scandale. Oh oui, un scandale… C’est ce que réussit à faire ce journal. On me harcèle de questions, on me somme de quitter le village, que j’apporte la mort. Je cours au dehors, et vais m’aérer, au jardin. Les regards se posent sur moi, ils sont pesants. L’homme en imperméable. Il est là. Il me fait peur, peur, plus encore qu’à l’habitude.

OOOOO Des heures passent sans que je ne m’en rende compte, puis une ombre, sur mes yeux, je ne vois plus l’éclat du soleil à travers mes paupières. J’ouvre subitement les yeux et voit le commissaire qui se tient à mes pieds. Je me dépêche de me lever et lui tends une main.


« - Bonjour commissaire.
- Mademoiselle Dubois. »

OOOOO Il me serre la main en souriant, semblant amusé par mon attitude protocolaire.

« - En ce qui concerne votre chantier, les travaux ont reprit. Le légiste a conclut par un accident. Donc, rien de grave en soi. »

OOOOO Il repart après m’avoir annoncée cela, sans rien faire d’autre. J’aurais aimé le rattraper et l’invité à dîner mais je sens sur moi les regards pesants. Alors je me ravise, me rassied et finit ma sieste.

OOOOO Il est dix-huit heures. Je rentre à l’hôtel. J’ai du courrier. L’écriture m’est inconnue, c’est une écriture de femme. Je monte dans ma chambre pour lire cette lettre au calme. Le ménage est fait. Ma chambre sent la lavande. Je m’assieds sur mon lit, ouvrant l’enveloppe, dépliant la lettre. Et là… Je vois… Ecrit avec des lettres découpées dans un journal, comme dans les films :


DONNER 500 000 €, OU OUVRIERS MOURIR.
OOOOO Un style télégraphique. 500 000 €. Une sacrée somme. Je redescends en trombe dans les escaliers, essayant d’avoir le numéro de téléphone du commissaire Salir. J’arrive à l’avoir, mais il n’est pas là. On me conseille donc d’aller me coucher.
OOOOO Au moins, aujourd’hui, personne n’est mort.



OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO Zita.





Désolé, suis trompé de compte.

Par Thylis-Turennen le 12/10/2002 à 17:26:09 (#2323348)

Tres bien tout ça mon garçon !

:lit:

Par Lereniah le 12/10/2002 à 20:28:58 (#2324337)

c superbe tonton
vraiment superbe
*veut la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeee*
:p
kissss

Par Carna le 13/10/2002 à 12:32:07 (#2327072)

*Passait par là* :rolleyes: *ne répetera pas qu'elle aime beaucoup le style*

Par Iwakura Shin OS le 13/10/2002 à 16:05:29 (#2328235)

:lit:

*attend la suite avec impatience*

Par Ame Darken le 13/10/2002 à 16:25:26 (#2328347)

:lit:
:amour:

Par Aina HarLeaQuin le 13/10/2002 à 17:51:51 (#2328777)

*attend la suite en trépignant* :D

Par Sombre Lune le 14/10/2002 à 18:29:47 (#2334908)

La suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !!!

Par TitPlume Valion le 16/10/2002 à 19:48:00 (#2347866)

Bah allez quoi, la suite ! :(

Par Leoll le 17/10/2002 à 18:47:27 (#2353474)

Troisième jour.




OOOOO Le soleil se lève doucement, je suis affalée sur mon lit, la lettre reçue la veille à côte de moi. De l’autre côté, le téléphone, au cas où celui-ci sonnerait. Les rayons de l’astre du jour pénètrent doucement dans la chambre, l’un d’entre eux, plus sournois que les autres, vient se placer sur mes paupières encore closes. Lentement, elles finissent par s’ouvrir après avoir lutté, et perdu. Alors que je sors de mes rêves – ou cauchemar…-, tout à coup, ce qui s’est passé les deux jours auparavant, la mort de l’un des ouvriers, la lettre… ce cauchemar me revient en mémoire, l’angoisse et la peur revenant elles aussi au galop. J’essaie de me calmer, en fermant les yeux et faisant des exercices de relaxation, lus dans quelque magazine de santé. Cette technique marche, je profite de ce calme passager pour prendre ma douche, espérant qu’elle prolonge cet état de relaxation. L’eau est chaude, elle fait du bien. J’hésite à sortir de la douce pour aller m’habiller. Finalement, je décide de finir de me préparer, je dois aller parler au commissaire Salir, au sujet de la lettre.

OOOOO Je descends les escaliers, ne me pressant pas, ayant glissé la lettre dans mon sac à main. Je passe sans prêter attention à Julien – l’hôtelier – qui semble déçu… Je me rends donc au commissariat dans l’espoir de parler au commissaire.

OOOOO Arrivant au but, je me gare, puis me dirige vers l’entrée. C’est la première fois que je mets les pieds ici. C’est un bâtiment de taille moyenne, je me rends vers l’accueil et énonce le pourquoi de ma venue. On me mène à son bureau, puis on m’explique qu’il n’arrivera qu’un peu plus tard. On a donc la gentillesse de m’apporter un café. Je finis le café, puis une cigarette… deux… Je commence à m’impatienter, à penser que l’on se moque de moi. Je me lève vivement, et me dirige vers la porte pour l’ouvrir de la même façon. Alors que je porte ma main à la poignée, la porte se dérobe sous moi, je tombe en avant… sur le commissaire. J’ai le nez dans son torse. C’est une situation – je vous l’assure – très gênante. Je me recule rapidement, remettant machinalement une mèche de cheveux derrière mes oreilles. Salir me fixe, un sourire amusé aux lèvres. Il entre dans la pièce, puis referme la porte alors que je regarde par la fenêtre, essayant de dissiper ma gêne.


« - Alors mademoiselle Dubois ? Qu’est-ce qui vous amène ? "

OOOOO Son ton est ironique. Je le déteste.

« - J’ai reçu une lettre. Tenez. »

OOOOO Je lui tends alors la lettre, il la parcourt des yeux, son visage devenant soucieux.

« - Quand avez-vous reçu cette lettre ?
- Hier soir, quand je suis rentrée à l’hôtel. »

OOOOO Il se laisse alors tomber dans son fauteuil, réfléchissant. Il semble avoir oublié ma présence, je m’empresse de la lui rappeler.

« - Alors commissaire ? Que dois-je faire devant cela ? »

OOOOO Avant qu’il ne me réponde, le téléphone sonne. Il répond, puis son visage devient plus encore soucieux. Une mauvaise nouvelle, sans doute. Il se lèvre et m’invite à le suivre. Nous allons vers le parking. Soleil de plomb. Je me dirige vers ma voiture mais il me tire par le bras. Nous nous dirigeons vers une moto. Je ne peux rien vous dire de cette moto. Je ne m’y connais pas du tout en mécanique. Il me présente un casque, le sien, il est emplit de son odeur. Agréable. Je me sens voler, une sensation de liberté, comme un oiseau. Je ne fais pas attention où nous allons, je ne me rends pas compte que le serre fort. Que je me serre contre lui, avec plaisir. Quelques minutes passent, cette sensation me prenant toujours, alors que la moto s’arrête. Je finis par ouvrir les yeux, alors que je me serre toujours contre lui. Nous sommes chez moi. Enfin, dans la maison que je fais rénover. La police est à nouveau présente. Le rayon de sécurité établi. Il y a beaucoup d’agitation, nous allons vers celui qui semble tout organisé.

« - Bonjour Daniel, alors ?
- Encore un mort. »

OOOOO Nous suivons le dénommé Daniel, jusqu’à un corps. Mon cœur se soulève alors que je regarde ce corps gisant au sol, la tête explosée, la cervelle a moitié répandue au sol. Un haut le cœur… Plus encore. Je me recule en hâte, portant mes mains à la bouche, je tente de me calmer, entendant la discussion des deux hommes.


« - Qui c’est elle ? Elle est mignonne.
- C’est mademoiselle Dubois, la propriétaire.
- Ah, d’accord… Deux morts sur son chantier, ça fait beaucoup, non ?
- Oui, et tu ne sais pas tout… »

OOOOO Il vient vers moi.

« - Mademoiselle Dubois ? Ca va ? »

OOOOO Je n’ai pas le temps de répondre, il m’emmène plus loin.

« - L’un des ouvriers s’est fait assassiné, une balle en pleine tête. Nous bouclons le périmètre. Il semble que le tireur soit quelqu’un qui connaisse bien l’endroit. Faîtes attention à vous. Si vous recevez quelque chose d’autre ce soir, appelez-moi. »

OOOOO Il me tends sa carte et s’éloigne. Je quitte le lieu, effrayée. Un meurtrier… qui s’en prend à moi ! Mais qu’est-ce que j’ai fait ? Je ne comprends pas, vraiment. Le ciel me tombe sur la tête, je me sens tomber. Evanouissement.

OOOOO Je me réveille dans un lit, que je ne connais pas. Par la fenêtre, je vois le ciel décliné. De l’eau qui coule. A travers la porte, en face du lit, la salle de bain, quelqu’un dedans. Mais où suis-je ? Je me recroqueville sur moi-même alors que la poignée de la porte se baisse. Je vois sortir Salir.


« - Ah… Vous êtes réveillée. Vous vous êtes évanouie tout à l’heure, je vous ai amenée chez moi. Si vous voulez prendre une douche, c’est ici. »

OOOOO Il désigne la pièce d’où il vient.

« - Je m’appelle José. »

OOOOO José… Je n’aurais jamais pensé qu’il s’appelait comme ça. Etrange. Ce nom ne lui va pas… Enfin…


« - Si vous voulez dormir ici cette nuit, il n’y a pas de problème, je dormirai dans le sofa, je vous réveillerai demain, pour que nous allions au commissariat, pour faire le point. Je vous souhaite une bonne nuit. »

OOOOO Il quitte la pièce, me laissant seule. Je me recouche, puis essaie de m’endormir. Le sommeil me prend rapidement, un sommeil emplit de questions. Je ne comprends vraiment pas. Plein de questions me tiraillent la tête. Sommeil difficile. Demain, nous ferons le point.




OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO Zita.

Par Leoll le 17/10/2002 à 19:38:20 (#2353641)

Ca fait quoi si j'fais ça ?

Par TitPlume Valion le 17/10/2002 à 23:10:34 (#2354748)

Continue :)

Par Lereniah le 18/10/2002 à 12:32:43 (#2356808)

veut la suite !!!!!!!
*est fana des histoires de son tonton :p*

Par Aina HarLeaQuin le 18/10/2002 à 14:30:52 (#2357463)

J'veux la suiteuh. *curieuse* :merci:

Par Sombre Lune le 19/10/2002 à 12:58:18 (#2363028)

*se repete* La suite !!
*aime beaucoup*

Par Zaarda le 23/10/2002 à 16:45:09 (#2390934)

Oui, la suite, la suite, la suite !!! ....

Par Bréto Shin le 6/11/2002 à 15:44:38 (#2496271)

Quatrième jour.





OOOOO La nuit s'écoule, de drôles de choses se sont passées, dont je ne peux parler, même si ces choses me sont forts plaisantes, pour l'instant.
OOOOO J'ouvre doucement les yeux, une main venant me caresse la joue, formant de petits cercles, amenant un sourire à mes lèvres. Mon regard croise celui de José, un regard amoureux, je souris d'avantage. Je m'étire, me prélassant dans ce lit, ma main venant se poser sur le bras de José. Je me redresse, il m'aide puis m'embrasse, avant de quitter la pièce pour préparer le petit déjeuner - attention touchante, par ailleurs. Je mange face à lui, il ne me quitte pas des yeux, je me sens un peu gêné, mais je ne m'en plains pas, au contraire, ça a quelque chose d'agréable. Le repas finit, je vais me laver, puis nous partons tous les deux, pour le commissariat. Il me dépose à l'entrée du parking, pour que je rejoigne ma voiture. Quant à lui, il continue son chemin, sans avoir oublier de m'embrasser.

OOOOO Je me dirige donc vers ma voiture, repsnsant à la nuit... Je marche lentement, je monte dans la voiture, puis je démarre. Feu rouge. Je me vois dans l'obligation de m'arrêter. Tout à coup, un souffle chaud dans ma nuque, dans mon cou, une lame froide. Je n'arrive plus à respirer, j'ai l'impression que je vais m'évanouir, je le souhaite mais ça ne vient pas, malheureusement. Je lève les yeux vers le rétroviseur central, des yeux de glace. J'ai l'impression d'avoir déjà vu ce regard... Je ferme les yeux, cédant place à la peur, dans cette peur je revois l'endroit dans lequel j'ai vu ce regard froid. Le bar. Le barman. Julien. Oui, c'est bien lui. Je suis plus encore effrayé, il me glisse des mots à l'oreille, mais je n'arrive pas à les comprendre, à les interpréter. Affolement. Dans un geste brusque, j'appuie sur l'accélérateur, la lame glisse le long de mon cou. Morte. Je suis morte.


OOOOO La voiture fonce droit dans un mur, Julien, le barman a juste le temps de sauter du véhicule avant que celui-ci ne s'explose contre la façade. Les policiers arrivent rapidement, le SAMU, les pompiers aussi. Les policiers n'ont pas eu beaucoup de chemin à parcourir pour arriver sur les lieux de l'accident. Le premier arrivé sur les lieux est José. Il est perdu, il ne sait pas quoi faire. Il a reconnut le véhicule de Zita, il a eu confirmation, mais il n'y a aucun corps. L'endroit n'est couvert que de débris de véhicule. Aucune trace de Julien et de Zita.




OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOZi............

Par Aina HarLeaQuin le 6/11/2002 à 15:47:11 (#2496292)

Huhu... Il y a anguille sous roche ou baleine sous gravier là. ;)

Par Claudia Thall le 6/11/2002 à 15:48:17 (#2496305)

:amour: :amour:
Magnifique vraiment

Par Bréto Shin le 6/11/2002 à 17:43:43 (#2497575)

Cinquième jour.
(Une scène de ce chapitre pourrait choquer le jeune lecteur, merci.)





OOOOO J'ai eu du mal à marcher jusqu'à mon repère, j'ai la moitié du visage en sang, à cause de mon périlleux saut. Heureusement que je n'ai pas explosé avec le véhicule. Après avoir sauté, je me suis précipité dans les flammes, pour en extirper le corps, inconscient, mort, de Zita. Comme j'ai été déçu de sa mort... Pourquoi a-t-elle agit ainsi ? Enfin... Ce n'est pas si grave, après tout, elle a eu ce qu'elle méritait. Elle n'a même pas eu la décence de répondre à ma lettre anonyme... Pauvre femme... Ah... Pourquoi n'a-t-elle pas répondu à ma demande de rançon ? J'avais tout prévu, elle a tout gâché. Elle a eu ce qu'elle méritait.

OOOOO J'ouvre les yeux, après avoir dormi quelques heures, histoire de me reposer un peu, j'ai passé une journée difficile. Après être arrivé dans le lieu qui me sert de cachette, traînant le corps de la demoiselle, j'ai du la laver, la déshabiller, et la laisser traîné quelque part, pendant que je dormais. Maintenant que je suis réveillé, je ne sais même pas ce que je vais faire de son corps. Enfin... J'ai faim, je vais donc aller manger quelque chose. Je me dirige donc vers la ce qui sert de cuisine, enjambant le corps de Zita, que j'avais laissé en travers du couloir. Bizarrement, son visage est serein, il dégage quelque chose... Un bien être total. Bizarre. Je fais cuir deux oeufs, puis les engloutis. Les flics doivent se demander où est le corps de Zita, intéressant...

OOOOO Je transporte le corps dans la cave, puis le pose sur une table. Je me surprend à laisse passer mon doigt le long du corps froid. Je frissonne, alors que je le refais, mon doigt, puis ma main se pose sur l'un de ses seins, je suis hypnotisé sur sa poitrine, quand elle était vivante, je ne m'intéressais pas à elle, c'est étrange vraiment. Je secoue vivement la tête, puis arrête de la toucher, ça devient presque répugnant. Il faut que j'écrive une lettre... Mais à qui ? A son père ? Comment est-ce que je vais faire pour avoir de l'argent ! Je suis exaspéré ! Elle a tout fait louper... Je rejette un regard sur son corps, puis quitte la cave, éteignant la lumière. Je téléphone à un ami, quelqu'un qui la suit, depuis son arrivée, qui me renseigne sur ses faits et gestes. Intéressant... Il m'indique qu'elle a une relation avec le commissaire Salir. Je vais lui écrire à lui, je vais faire croire que Zita Dubois est encore vivante, peut-être finirai-je par avoir mon argent. Je me dirige vers le salon, et mon regard se tourne vers l'horloge... 14h26... Bizarre, j'ai dormi tout ce temps là ? Ca ne m'arrive pas souvent... Enfin, oublions... Ce n'est pas important. Je prends un stylo et rédige la lettre, dans une fausse écriture, enfin, une écriture qui n'est pas mienne.


OOOOO "Commissaire,

OOOOO J'ai en ma possession, une personne qui vous est, je crois, chère... Elle n'avait pas répondu à l'une de mes lettres, j'ai donc été dans l'obligation de l'enlever. Elle est en vie, et j'attends la somme que j'avais déjà indiqué. Laissez un mouchoir blanc, sur le troisième banc, après l'entrée du jardin public, accrochez-le à l'assise, si il n'y est pas dans la journée de demain, je tuerai Zita Dubois.


OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOAmicalement,
OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOX"

OOOOO Je donne la lettre à mon ami, il se rend au commissariat et donne la lettre au guichet, sans rien dire. Sur la lettre, j'ai nommé le destinataire. J'espère que ce cher ami, a prit de nombreuses précautions pour se rendre au commissariat, sinon...




OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOMoi, Julien.

Par Lereniah le 6/11/2002 à 17:44:45 (#2497587)

Encore et toujours superbe tonton :)

Par Aina HarLeaQuin le 6/11/2002 à 17:49:13 (#2497650)

:amour: :amour:

Par Bréto Shin le 6/11/2002 à 22:06:11 (#2500146)

Sixième jour.






OOOOO Il paraît que le commissariat est en alerte, j'en suis ravi. Salir donne des ordres contradictoires à ses lieutenants, il est perdu. Un rire strident retentit, le mien, je suis heureux de la tournure des choses, j'ai passé toute la nuit à regarder, à toucher le corps de Zita, enfin, il commence à y émerger une odeur de putréfaction, immonde, comme l'âme de la dame, je pense. Je vais envoyer mon ami pour voir si le mouchoir est déposé sur le banc, comme indiqué dans la lettre.


OOOOO José Salir est dans tout ses états, il fait des allers retours sur le promenade du parc, il a attaché un mouchoir blanc sur l'assise du bon banc, ses hommes sont postés dans le parc, cherchant n'importe qui, qui pourrait être suspect. Ils ont apprit que Julien Dribet ne vient plus à son bar depuis quelques jours. Il est le suspect numéro un dans cet affaire. Tout le village, ce petit village si tranqueille d'habitude est en émoi. Ils ont tous peur pour leur propre peau. Ils s'en moquent royalement que Zita Dubois fut enlevée, de toute façon, c'était une "étrangère", après tout.
OOOOO L'homme en imperméable gris, l'homme que Zita avait déjà vu dans le parc était là, assis sur le cinquième banc, ses lunettes noires sur le nez, personne ne peut voir ce qu'il regarde. A côté de lui, une canne blanche, il doit jouer l'aveugle, sûrement. Peut-être l'est-il vraiment, après tout... Enfin... Un policier vient le prendre par la manche, lui demandant de circuler. Une bonne partie de l'après-midi est passée, rien n'est arrivé. Il faut se rendre à l'évidence, il ne se passera rien.

OOOOO Pendant ce temps, l'aveugle - nous appellerons l'homme à l'imperméable de la sorte jusqu'à ce que nous connaissions son nom - s'est rendu au commissariat, déguisé, pour déposer, encore une fois une lettre au commissaire. Personne n'avait prit les dispositions nécessaires pour que tous porteurs de lettre soient mis en garde à vue. Une erreur.

OOOOO Quand le commissaire Salir entre dans le commissariat, on accourt pour lui apporter la lettre livrée il y a une bonne demie heure. José reste sur place, fixant la lettre, hésitant à l'ouvrir. Il ferme les yeux, puis d'un geste vif, l'ouvre, puis la déplie. Il la parcourt des yeux, ces derniers se fermant à la fin de la lecture. Il est sûr de retrouver sa bien aimée, il lui manque la somme. La lettre explique l'endroit d'un rendez-vous, auquel aura lieu l'échange, une malette contre une femme, mais ce n'est pas n'importe quelle femme pour le commissaire... Sentiments personnels... Lié privé et professionel.


OOOOO Ah ! Je suis heureux ! Je suis le plus heureux des hommes ! Tout a marché comme je le désirais ! Je suis un génie, j'en étais sûr, je vais être riche ! Demain, j'aurai en ma possession, une malette, dans laquelle, la richesse, mon laissé passer pour n'importe où dans le monde. Enfin... J'attendais ce moment depuis si longtemps. Demain, oui. Demain. Je vais me coucher, il est tard, j'ai appelé mon complice, tout est en place, demain... Je ris, rire glauque... Je vais embrasser ma charmante compagnie, la dévorant des yeux, je me prends d'envies... Je la fixe, puis mes mains parcourent sa douce peau, sa peau froide. Je retiens mes pulsions. Je ne fais que l'embrasser puis vais me coucher, surpris de mon comportement... Mais demain, j'aurai tout oublié.





OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOMoi, Julien, et lui.

Par Arilys S./Ginza B. le 6/11/2002 à 22:23:51 (#2500299)

:lit: :)

Ha voui s'bien mais...LA SUITEUHHHHHH !! L'probleme c'est que une fois dedans ben on veut savoir la suite tout d'suite dans l'instant...
Sinon ben que dire des ecrits si ce n'est parfait comme d'habitude :) On en lirait a longueur de temps ;)

Par Isis's spirit le 7/11/2002 à 14:58:26 (#2504710)

Bon!!!!!!!!
alors c'te suite ca viend oui !

Par Zephirin le 7/11/2002 à 22:25:08 (#2508866)

J'adore....c'est vraiment splendide...Je up parce que je vois voir la fin, :lit: :amour: :merci:

Par Drazhar Ul'Gar le 7/11/2002 à 22:41:16 (#2508983)

La façon d'écrire et de mener l'intrigue est assez remarquable.
*Espere que l'auteur ne se reposera pas au 7eme jour.*

Par Iwakura Shin OS le 7/11/2002 à 22:51:56 (#2509059)

*bave*

La suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite!!!

Par TitPlume le 7/11/2002 à 23:08:56 (#2509162)

Mais ouais. La suite.

(les nécrophiles ça fout la chair de poule quand même... nan ?)

Par Iwakura Shin OS le 7/11/2002 à 23:09:39 (#2509167)

Provient du message de TitPlume
Mais ouais. La suite.

(les nécrophiles ça fout la chair de poule quand même... nan ?)


(Nan :D )

Par TitPlume le 7/11/2002 à 23:11:13 (#2509180)

Provient du message de Iwakura Shin OS
(Nan :D )


:eek: :eek: :eek: :doute:

Par Hunter le 7/11/2002 à 23:12:20 (#2509190)

Voui la suite moman :)

Provient du message de Iwakura Shin OS
(Nan :D )


Voila pourquoi tu te plaignait comme ça quand le cimetierre a disparu :D

Par Arilys S./Ginza B. le 7/11/2002 à 23:15:44 (#2509213)

Provient du message de Iwakura Shin OS
(Nan :D )


Moui Ben V'la l'psychopathe qui s'reveille enfin...J'savais qu'au plus profond d'toi t'etais un cinglé... :ange:

Par Iwakura Shin OS le 7/11/2002 à 23:16:03 (#2509216)

Provient du message de Hunter
Voui la suite moman :)



Voila pourquoi tu te plaignait comme ça quand le cimetierre a disparu :D


Bah oui... et pourquoi tu croit chuis toujours dans des endroits avec des morts vivants ?

La suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite !!!

Par Hunk Scorn le 7/11/2002 à 23:43:41 (#2509383)

Provient du message de Iwakura Shin OS
Bah oui... et pourquoi tu croit chuis toujours dans des endroits avec des morts vivants ?



Clair, là bas tout seul... On s'demande s'que t'y fais hein... :doute:

Et ouiiiiiiii, on veut la suiiiiiiiiiiite ! :p

Par Hunter le 7/11/2002 à 23:45:16 (#2509391)

Provient du message de Hunk Scorn
Clair, là bas tout seul... On s'demande s'que t'y fais hein... :doute:


Non.
Aucune personne sencée ne voudrais savoir :aide:

Par Iwakura Shin OS le 7/11/2002 à 23:49:34 (#2509416)

Provient du message de Hunter
Non.
Aucune personne sencée ne voudrais savoir :aide:


Considerant que tu n'es pas une personne sensé vu comment tu rouille, je m'en vais t'expliquer. Alors c tres simple je me place devant et je...

Tss tss, on veux la suite Bréto d'amour siteuplé.


Chuis grand duc ^^ (comme le hibou, oh oui c'etait facile et alors ?)

Par Hunk Scorn le 7/11/2002 à 23:52:39 (#2509434)

Provient du message de Iwakura Shin OS
Chuis grand duc ^^ (comme le hibou, oh oui c'etait facile et alors ?)


Ca me fait penser à la chouette... Tsé, la chouette là, celle que t'aimes tant... :) :rolleyes:

Par Iwakura Shin OS le 7/11/2002 à 23:57:53 (#2509470)

Provient du message de Hunk Scorn
Ca me fait penser à la chouette... Tsé, la chouette là, celle que t'aimes tant... :) :rolleyes:


*rejette le mauvais sort* Grrrrrrr :enerve: :enerve:

Par Freeman Killer O-B le 8/11/2002 à 0:00:43 (#2509487)

Vraiment tres beau...:amour: :amour:

Par Vincent Tremere le 8/11/2002 à 0:01:39 (#2509490)

moi j'aime l'autre chouette, tu sais la, celle a qui tu as contribué la naissance :p

Par Hunter le 8/11/2002 à 0:02:26 (#2509493)

Provient du message de Iwakura Shin OS
Considerant que tu n'es pas une personne sensé vu comment tu rouille, je m'en vais t'expliquer. Alors c tres simple je me place devant et je...

Tss tss, on veux la suite Bréto d'amour siteuplé.


Chuis grand duc ^^ (comme le hibou, oh oui c'etait facile et alors ?)


Ta ''Breto d'amour'' sera surement tres interessé par ce qui se passe une fois que tu te place devant :D

Par Leoll le 8/11/2002 à 6:52:33 (#2510398)

On s'calme sur l'flood les djeunz.

Par Stbaal le 8/11/2002 à 6:55:19 (#2510402)

Provient du message de Leoll
On s'calme sur l'flood les djeunz.


lol il ne peuvent pas s'en empecher

Par Isis's spirit le 8/11/2002 à 9:49:29 (#2510870)

Bon alors cte suite la??????
faudrait pas voir a trop se faire desirer....


*doux regard a Iwa*
Isis*morte* Tvar sylrus de Vil etc...

JOL Archives 1.0.1
@ JOL / JeuxOnLine