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[Légende]Les Mélodies de l'Ame...
Par Charat Solaris le 10/9/2002 Ã 19:25:34 (#2133838)
Ce soir, je vais vous conter une légende qui raconte l'histoire du premier barde de Runas qui usa devant tous des Mélodies de l'Ame. Ce barde est connu sur Runas par le nom d'Heran, Barde des Tenebres...Voici sa légende:
Les Mélodies de l'Ame
La nuit était froide malgré la saison chaude. La lune était haute dans le ciel...et éclairait l'ile de ses faibles mais magnifiques rayons. Dans les bois près de la capitale, un couple campait. L'homme, assis devant le feu, chantait une petite balade pour la jeune femme assise devant lui. Il jouait très bien et sa voix, douce et profonde, s'harmonisait d'une étrange facon avec son luth. La jeune femme semblait charmée par la musique et le chant et murmurait quelques mots doux pour l'homme. La soirée se passait a merveille pour le couple...qui, après les balades de l'homme, s'était blotit l'un contre l'autre pour dormir dans les bras de l,autre. Le lendemain, a l'aube, l'homme s'eveilla en sursaut, sentant la froideur d'une lame sur sa gorge. Il vit, malgré son regard embrouillé par le sommeil, le visage d'un homme penché sur le sien. L'étranger dit d'une voix railleuse:
-Bouge pas bonhomme ou j't'égorge...
-*inquiet* Nous n'avons aucune richesses...
-Ferme la ou t'vas r'joindre tes ancetre dans tombe!
-*la jeune femme* Chéri...paie les en chanson...
-*riant* Ouais...vas y bonhomme...s'tu chante ben...p'tetre qu'on t'laissra vivre...
-*feintant la peur* Oui sir...mais j'ai besoin d'etre debout...et de m'accompagner de mon luth...
Le bandit, ignorant à qui il avait affaire, accepta...placant sa lame sous la gorge de la jeune femme. Le jeune barde prit son luth et entonna son chant:
Nusaera: Les ombre s'approche
Deranes: Elles fondent sur vous...
Illnaer: Elle vous enveloppe
Greases: Elle vous emporte...
Huloia: Vous sentez la vie...
Morta: Vous quitter lentement...
Jutres: Votre ame vous quitte...
Killaes: Pour un monde de tenebre...
Le barde regarda, souriant a sa compagne qui affichait le meme sourire, les bandits appeuré par le spectacle; la clairiere était envahie par les tenebres...et d'étranges lames d'ombres apparaissaient...et avant qu'ils n,aient pu bouger...ils furent transpercés par les lances d'ombres. Le jeune barde aida sa douce à se lever et dit de sa douce voix:
-Ma douce...tout vas bien?
-Oui Heran mon adoré...ils m'ont fait plus de peur que de mal...comme a toi j'en suis certaine...
-*souriant* Oui...plus de peur que de mal...enfin...meme la peur n'y était pas...
-*l'embrassant* Oui...mais le Chant des Tenebres a encore fait des victimes mon doux...j'espere que tout cessera bientot...deja une centaine de victimes plus le village...c'est trop...
Heran ne put qu'acquiesser. Il était conscient qu'il utilisait trop ses nouveaux pouvoirs...venus d'on ne sait d'où. Certains de ses chants étaient magiques....il en connaissait quatres plus celui des Tenebres. Rangeant leur affaires et se préparant a partir, ils se demanderent si le démon n'aurait pas raison d'eux...qu'il les avaient transformés en Barde de la Mort...en troupe des Tenebres...Le couple n'esperait que le contraire...que le Chant des Tenebres ne soit pas corruptible...qu'il ne transforme pas tout en mort ou en mal...mais cet espoire était vaine...ils le savaient. Ils partirent vers leur prochaine destination: Runasia...la capitale...
(Ã suivre)
(ehlp)
Par Charat Solaris le 11/9/2002 Ã 5:58:59 (#2136379)
Par Ilrond Hith le 11/9/2002 Ã 16:31:54 (#2139201)
:lit:
Par Charat Solaris le 12/9/2002 Ã 17:25:27 (#2145627)
Les deux voyageurs marcherent deux jours durant sans qu'aucun probleme ne survienne. Ils passaient leur nuit a danser ensemble et a chanter pour oublier la présence du Chant des Tenebres mais en vain...ce chant magique revenait toujours hanter leur vie d'une facon ou d'une autre. Lorsqu'ils arriverent a la capitale, ils furent très bien accueillit; une fete en l'honneur du mariage unissant Neras Solaris a Julisa Jalae battait son plein...et visiblement...plustot audiblement, la musique n'était pas des meilleures. Heran fronca les sourcis a l'audition de cette cacophonie; les Solaris étant réputés pour etre des artistes de talent...et cette réputation n'était pas respectée a entendre cette musique. Maria se renseigna et découvrit la raison; tout les chanteurs et musiciens de la famille des artistes avaient contractés une maladie paralysant leur main et les muscles de la gorge...les empechant de jouer ou de chanter. La jeune guerriere regarda Heran, affichant un sourire radieux, et lui murmura: "Mon doux...voila ta chance de faire le bien...sauver ce mariage prouvera ta bonne volonté." Le jeune barde acquiessa et accorda son luth. Il joua quelques notes qui annoncaient une magnifique mélodie...et, tous semblaient l'esperer, un chant divin. Heran, pourtant, ne chanta pas. Il joua un air magnifique, joyeux et mystérieux, que tous apprécierent. Tous sauf les cinq musiciens présent...qui en prirent ombrage. Ils cesserent leur mélodie et, profitant de la diversion qu'Heran leur accordait, il partir vers une sombre ruelle...qui menait a un cul-de-sac...enfin aux yeux de tous.
Heran avait sauvé la fete de par sa mélodie. Les Solaris, voyant un talent remarquable en lui, l'inviterent ainsi que Maria, a une petit banquet en l'honneur des nouveaux mariés. Heran, bien entendu, accepta l'invitation pour ne pas offenser la seconde famille en importance de l'ile...et sourtout par curiosité; la villa de Runasia des Solaris était réputée d'etre excentrique mais magnifique. Le soir du banquet, deux gardiens Solaris vinrent chercher le couple dans l'auberge de la Lune rouge. Ils escorterent en discutant joyeusement avec leur protéger et les conduisirent a la villa Solaris. Lorsqu'Heran et Maria virent la demeure, ils en resterent bouche bée; la maison était composé de deux ailes en marbre blanc qui semble provenir d'un meme bloc. La piece centrale sembla avoir été taillée dans un immense bloque de saphir et de rubis. Deux tours d'une quinzaines de metres de hauteur ornent le bout de chacune des ailes; l'une en emeraude et l'autre en amethyste. La villa est entourée de jardin sourtout composé de rosier nocturne. Tout cela est placé au sommet d'une petite colline qui est traversée par la lune qui passe souvent très bas a cet horizon....ce qui est le cas en se moment...et se qui donne une air irréel a la villa. Les deux jeunes gens se laisserent montrer le chemin vers la salle du banquet, admirant l'architecture étrange mais magnifique a l'extérieur et l'intérieur de la demeure.
Arrivés dans la salle du banquet, ils furent acceuillit par un homme qui semblait dans la quarantaine; habillé d'une chemise vertes ornée des emblemes familliales et de quelques motifs ainsi que d'un pantalon azur orné de motifs étranges, il portait une lame de saphir en bandouillere et deux anneau argenté brillaient a son doigt. Heran sentait une aura inhumaine dégager de cet homme...qui, selon ses dons accordés par le démon, n'était surement pas agé de quarante ans...mais d'environ un siecle. L'homme serra fermement la main d'Heran et baisa celle de Maria...qui visiblement aurait préférée la poignée de main. L'homme engagea la conversation:
-"Vous devez etre sir Heran...et dame Maria n'est ce pas?
-*surpris par la spontanéité de l'homme* Euh oui sir...je suis bel et bien Heran...barde errant et voici ma douce Maria...aussi ma protectrice.
-*souriant* Bien...pour ma part, je suis Berylos Solaris, Patriarche de ma famille...et Champion d'Yra...titre tellement inutile a mon avis...enfin bon...faites a votre aise...mais attendez vous a devoir nous jouer un petit quelque chose...cette maladie rend la demeure si calme...
-*affichant un demi-sourire* Euh d'accord...je n'ai rien préparé...donc ne m'en voulez pas si j'improvise...
-*faisant un geste las de la mais* Bah...l'improvisation donne toujours de meilleurs résultat...si la musique est jouée correctement..."
Heran allait ajouté quelque chose mais l'homme le coupa et ajouta:"Amusez vous bien...promenez vous dans la demeure...vous verrez, vous adorerez la décoration...c'est ma mere qui l'a refaite il y a un si...euh dix ans... Et sur ce, il alla voir un autre homme dans le fond de la piece qui semblait s'amuser énormement, dansant avec une servante qu'il avait choisit d'emblée. Le jeune barde regarda sa douce et ils déciderent d'aller explorer la demeure avant de discuter avec les autres invités...et sourtout afin d'etre seuls. Ils se dirigerent vers l'aile d'emeraude où aucun bruit ne provenait. Heran, lorsqu'ils furent assez éloignés, prit la main de sa douce et lui sourit...ils allait enfin etre seuls...vraiment seuls.
Tournant a une intersection, Maria s'arreta, regard scrutant les alentour. Heran la regarda droit dans les yeux; il connaissait ce regard: ils étaient suivit par des créatures magique ou éthérée. Maria mit la main sur la garde de son épée et Heran en fit autant. Ils continuerent leur petite promenade un bout de temps...mais durent s'arreter puisque leur poursuivant déciderent de se montrer: deux spectres chasseurs. Maria recula d'effroie devant les morts-vivant; sa lame ne pouvait rien contre eux...et celle d'Heran ne pouvait en faire plus. Heran décida donc d'entonner son chant mortel...qui avait effet sur tout etre possedant une once de vie...meme les spectres. Il chanta doucement:
Nusaera: Les ombre s'approche
Deranes: Elles fondent sur vous...
Illnaer: Elle vous enveloppe
Greases: Elle vous emporte...
Huloia: Vous sentez la vie...
Morta: Vous quitter lentement...
Jutres: Votre ame vous quitte...
Killaes: Pour un monde de tenebre...
Encore une fois, les ombres envahirent les lieux et des lances pareillement formés exterminerent leurs adversaires. Les deux amoureux quitterent le couloir au pas de course afin de rejoindre la salle du banquet...se qui était mieux que de combattre des spectre...
Lorsque le couple furent loin du lieu d'affrontement, deux homme apparurent: les deux portaient les couleurs familliale et deux éventailles argenté remplacaient leur cape. L'un des hommes dit: "Le patriarche avait raison...le jeune homme sait user du Chant Magique...et il n'utilise que le Chant des Tenebres a premiere vue...nous devrons en référer a notre pere..." L'autre homme secoua la tete et poursuivit:Je sais se que tu penses mon frere...mais tu le sais autant que moi: pour controler le Chant des Tenebres, il faut pouvoir jouer le Chant des Morts...qui controle tout mort-vivant....se que l'homme n'a pas fait. Il n'est pas mauvais...selon moi et Sowilo...allons tout de meme en référer a notre pere...et continuons a les observer attentivement... Ils seregarderent et acquiesserent. D'un mouvement "d'aile" ils disparurent...aussi rapidement qu'ils étaient apparuent...
(Ã suivre)
[ehlp]
Par Ame d'Antarius le 12/9/2002 Ã 18:51:28 (#2146293)
[HRP] :lit: Très bon comme toujours :amour: ... mais est-il encore nécessaire de te le dire :)
Par Charat Solaris le 12/9/2002 Ã 22:32:28 (#2147643)
Lorsque les deux amoureux entrerent dans la salle du banquet, ils furent soulagés de voir que personne n'avait remarqué leur absence...personne sauf Berylos. Le patriarche s'approcha des deux jeunes invités et, souriant, il leur fit signe qu'il était temps pour Heran de montrer a tous son talent. Le jeune barde était nerveux; chanter devant la famille qui engendrait les meilleurs artistes de toute l'ile...la pression était présente. Il prit son luth et joua quelques notes; étrangement, son luth avait été accordé par quelqu'un qui connaissait exactement la tonalité qu'il devait obtenir. Il joua une mélodie sans parole; douce, quelques peu mélancolique et qui inspirait le désir du voyage. Il joua quelques minutes et cessa lentement, cloturant a merveille sa mélodie comme peu savent le faire. Il y eu quelques applaudissement vifs mais la plupart semblaient reveurs. Heran était fier d'avoir réussit a inspirer le reve chez ses auditeurs...et non la tristesse et la mort. Maria le regarda, tout aussi reveuse. Il se dit en lui meme:"Elle doit rever a vivre une vie plus calme...sans le Chant des Tenebres dans son ancien village...que j'ai détruit... Il ferma les yeux, comme pour effacer une douleur...et serra un poing. Maria vit la douleur chez celui qu'elle aimait...et cela la rendait triste. Berylos, semblait plus songeur que reveur. Il n'avait visiblement pas écouté la mélodie...Heran l'avait très bien remarqué. Le patriarche observait bien autre chose...il le savait aussi. Celui ci s'approcha du barde et dit d'une voix forte et enjoué qui ne lui allait pas très bien:"Heran...bientot le bal de la Lune argenté aura lieu. Nos musiciens seront bientot remis sur pied mais il faudra quelqu'un d'habile pour ouvrire le bal qui aura lieu dans le jardin du Zenith...je pense que tu serais a la hauteur. Maria semblait autant surprise qu'Heran dans tout cela. Le jeune barde revait de cela depuis des années; le bal de la Lune était le plus grand de tout Runas et seul les meilleurs conteurs,poete et musiciens avaient le droit d'y jouer...il accepta sans hésiter. Le banquet se termina dans la joie; Neras connaissait des histoires drole a faire sourire un spectre qui serait mort dans la tristesse...et Heran et Maria furent racompagnés par une escortes et quelques gens riches.
Regardant Heran et Maria sortir, Berylos fit signe a Nil'Isis, son ainé et archimage complet, de venir près de lui. Les "humains" partient, Berylos déploya ses Fe'akens grise et son fils déploya des Fe'akens d'un noir insondable. L'archimage Solaris semblait surpris que son pere l'interpel a la suite d'un banquet et regarda celui ci afficher un étrange sourire en coin. Celui ci dit, toujours avec son étrange sourire:
-"Nil...avertit les Menestrels que le Barde de la Mort est en ville et qu'il chantera pour le bal de la Lune. Son nom est Heran...la jeune femme qui l'accompagne est en toute connaissance de ses pouvoirs et n'est pas charmée...elle est donc complice..
-*surpris* Mais pere...vous savez que pour les Menestrels, le Barde de la Mort doit etre tué...et vous savez autant que moi que leurs assassins sont extremement efficaces...
-*souriant toujours étrangement* Oui je le sais...
-Mais pere...vous ne l'appréciez pas cet Heran? Soit vous etes hypocrite...soit vous avez un plan en tete...
-*haussant les épaules* Mon but ultime n'est pas de tes affaires mon fils...contente toi d'obéir...ou je le ferai moi meme.
-*soupirant de résignation* Bien pere...j'envoie un aigle sur le champs..."
Berylos sourit et partit dans ses appartements. Personne ne le vit en sortir de la soirée...et personne ne put connaitre ses motifs; tous les connaitraient lors du bal.
Deux lunaisons plus tard, en matinée, Heran était très nerveux. Le bal de la Lune était sur le point de débuter et il serait le premier a chanter; car il le devrait. N'ayant personne pour l'accompagner dans un lyrisme harmonieux, il devrait le faire lui meme. Maria n'avait pas enfilée la robe apportée la veille par un des riches marchands présent lors du banquet...elle préferait sa cotte de maille et sa fidele épée. Heran aussi ne portait pas de vetements chic; il préférait que tous le connaissent comme un barde simple. Maria s'approcha de son aimé et dit tout bas:"Mon amour...avant de débuter tes chants, j'aimerais que tu te protege grace au Chant de Protection et celui du Mur de Force...tu sais que ton talent apporte jalousie..." Le jeune barde accepta; avant de chanter vraiment, il jouerait ses chants de protections. L'heure du bal arriva; deux gardes Solaris menait les jeunes gens dans le jardin du Zenith...qui laissa a nouveau les deux amoureux bouche-bé; les arbres étaient magnifique: les feuilles multicolor étaient un enchantement pour le regard et les odeurs un charme pour le nez...ils n'oublieraient pas de si tot leur venue au bal. Heran fut invité a monter sur scene. Avant d'en appeller a la foule pour présenter ses chants, il ferma les yeux et chanta d'une voix harmonieuse, qui venait du plus profond de son etre:
Nif, de par ma volonté
Nal,qu'aucune lame ou sort
Nol,Ne puisse me pousser
Nela, dans la mort...
Jeres, de par mon ame
Kilaes, qu'un mur se dresse
Lia,pour que nul ne m'agresse...
Heran, désormais protegé, joua sa premiere note. Il n'eut pas le temps d'entonner sa mélodie qu'un fleche fut tirée en sa direction...et percuta le mur invisible. Deux guerrier portant le symbole de la harpe lovée dans un croissant de lune monterent sur la scene, épée au poing. Maria, sautant sur la scene lame au poing fit signe a son amoureux de chanter le chant de mort...mais celui ci préféra dégainer sa lame au lieu de tuer tout le monde. Le combat était rude...heureusement pour Heran, ses protections tenaient le coup contre les projectiles et lames ennemie...Maria se débrouillait parfaitement, jouant meme tel un chat avec une souris, avec son adversaire blessé au poignet. Heran pensait avoir la victoire en main...mais il apercut un homme en robe bleu et portant les symboles de la guilde des mages; il savait que seul les meilleurs magiciens de l'ame avaient le droit de porter cet couleur et ses symboles...il sut qu'il allait mourire si rien n'arrivait.
Berylos observait ,de son siege pres de la scene, le rude combat entre les assassins Menestrels et les deux jeunes gens. Il voyait parfaitement que le Barde des Ombres n'userait pas de son chant de mort...et que Zaidon avait fait un mauvais choix. Il se leva lentement et entonna un chant que tous percurent tel un murmure dans leurs esprit...sauf Maria et Heran:
Ola!Vos esprit s'embrouille...
Illae! Elle vous étourdie...
Nilae!Le monde tourne!
Fera! Et retourne...
Judesa!Votre corps est maintenant lourd...
Hera!Vos geste se ramolissent...
Uja!Vous sombrer dans le sommeil...
Kil'anes! Dans ce monde...plein de merveille...
Le patriarche sourit, satisfait et quitta les lieux...Fe'akens déployés...
Heran et Maria trouverent les minutes suivantes étranges: le mage allait jeter son sort...mais il commenca soudainement a chanceller comme s'il était soudainement étourdit. Les guerriers et les archers, qui ne se cachaient plus, en firent de meme...et soudainement, tout le monde sombrerent dans un sommeil profond. Les deux amoureux regarderent partout autour d'eux....et virent Berylos tourner les talons avec un sourire satisfait...ils surent qu'il était l'auteur de se sort. Ils ne coururent pas a sa suite...il préfererent fuir la capitale, loin des Menestrels. Lorsqu'ils sortirent de la ville de merveille et d'horreure, il se dirent: "Oh Runasia...nous t'avons vu...visitée...et personne n,est mort...soyex heureux habitants de la ville de cristal..."Et certains gardes virent deux silouettes au loin...disparaitre dans les ombres soudainement tombée sur la vallée...la nuit était tombée...
Fin
Par Jolann le 13/9/2002 Ã 14:56:33 (#2150381)
C'est un plaisir de te lire :lit: :amour:
Par Asia Solaris le 14/9/2002 Ã 23:45:52 (#2158388)
Nous montrant le chemin
Qui ressère nos liens
Et qui lie nos destins
Je te tends la main
Aimons nous jusqu'Ã demain
Sur cette plage qui nous retient
Et tu sauras que mon amour est le tien
C'est pour toi, Charat mon amour, ma mélodie de l'âme
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