Lettre a Azulynn

Par Gandalf Rawls le 7/9/2002 à 9:59:54 (#2113000)

Le spadassin avait passe beaucoup de temps a mediter sur son sort... Puis il se saisit de son encrier, de sa plume et d'un parchemin. Il passa de longues minutes à remplir ce dernier. Une fois termine, il relut son ecrit, le roula et le ferma d'un ruban. Il sortit un autre parchemin qu'il lut a voix haute et dans un eclat de lumiere, il apparut à l'entrée de HurleVent. Il frappa à la porte du poste du garde et laissa son parchemin à la garde en fonction en lui disant de le remettre à Azulynn. Le spadassin repartit sur ses pas et prononca son mot de rappel...

Sur le parchemin, entaché de quelques larmes, on pouvait lire:

Il y a quelques temps, j'ai haïs,
Ce que beaucoup apprécient.
C'est vrai, j'ai detesté la vie,
Je la souhaitais tellement finie.
Tellement que j'ai tenté,
A cette vie de mettre fin,
Mais des gens m'ont sauvé,
De mon fatal destin.
J'ai donc pris la decision
D'etudier avec attention
Le pourquoi du comment,
Du bonheur de ces gens.
Je voulais seulement comprendre,
Ce qui peut tous les pousser
A ne rien entreprendre,
Pour leur vie arreter.
On m'a explique que l'amour
Empli votre vie tout les jours,
Une fois que vous l'avez trouvé,
Mais aussi déclaré...
je suis donc parti en quete
De ce curieux sentiments,
Sur une femme mon regard s'arrete.
Ca y est je le ressens.
Fort bat mon coeur,
Ma gorge seche,
J'ai plus que peur.
Ca y est je seche.
Les mots me fuit,
Comme mes paroles,
Rien je ne dit,
A cette idole.
Puis un jour, j'ai decidé,
De déclarer ma grande flamme,
A cette merveilleuse femme,
Qui me rendait comme possédé.

Mon coeur vous avez brisé,
Mais je ne peux vous en vouloir,
L'amour m'a aveuglé,
Et je n'ai pas su voir,
Le manque de réciprocité,
De mes sentiments...
J'ai longuement pleuré,
Sur mes erreurs d'enfants.
Aujourd'hui, je ne sais quoi faire,
Je suis completement perdu,
Autrefois, jeune home fier,
Je ne le suis maintenan plus.
La seule chose que ma peine m'inspire,
Sont ces quelques petits vers,
J'espere qu'ils sauront vous plaire,
Et que mon inspiration n'expire.

Gandalf Rawls,
Amoureux au coeur brisé...

Par Korn Hexor NC le 7/9/2002 à 10:06:03 (#2113012)

Faut pas être dépressif ya aucun interet a cela, tous les proches en soufrent et ca démoralise tout le monde autours de toi.

Rien a redire


Korn *qui pense que faire une dépression n'avance a rien* Hexor

Par Gandalf Rawls le 7/9/2002 à 10:17:16 (#2113043)

en general, une depression c'est rarement volontaire....
ca sarete pas comme ca sur un clakement de doigts...

Par Fenrill le 7/9/2002 à 10:41:09 (#2113108)

Cet homme, celui que je nomma lache ce soir là, puis spadassin, puis simplement Gandalf... comment avait il put concevoir une simple et farouche défiance à mon égard... comment avait il put créer un tel climat de véhémence...

Peut être le trouvais-je simplement superficiel... se bercant de chimères sans voir la réalité crevant les yeux... s'échappant par le chemin des pleutres, montrant le desespoir en point d'orgue, comme un poudre aux yeux que je ne voulais valable...

Peut être devrait il un jour me remercier d'avoir était dur lorsqu'il le fallait...

Peut être me haïrait il pour autre chose encore...

Par Korn Hexor NC le 7/9/2002 à 10:51:47 (#2113155)

Provient du message de Gandalf Rawls
en general, une depression c'est rarement volontaire....
ca sarete pas comme ca sur un clakement de doigts...

Je suis daccord mais c pareil c a moitié volontaire quand meme pke ok ta pleins de choses qui te poussent a bout mais ya kan meme la volonté si en a pas tu déprime aussi sec, si ten a tu accumule et la par contre c pas une dépression qui arrivera normalement c un méga énervement.
enfin je vais pas rentrer dans le sujet des dépressions pke ca me fait penser a mon cas aussi.
Ma mere est limite dépression et si je extériorisai alors ya longtemps ke je seré dans un état pire qu'elle

Par Azulynn Tvar le 7/9/2002 à 13:24:54 (#2113966)

Le garde en faction trouva la Gardienne en train de feuilleter distraitement quelques notes pour ses cours à l'Académie Militaire, jetant de fréquents regards par la fenêtre de la pièce à la rue baignée de lumière. Elle remercia le messager d'un sourire et d'un mot amical, avant de dérouler le parchemin avec impatience, songeant à un tout autre expéditeur. Son regard délavé courut sur le vélin.

...

Elle exhala un soupir imperceptible. Comme face à lui, elle ne savait ce qu'elle aurait pu répondre. Que dit-on à un amoureux éconduit et malheureux ? Peut-être valait-il mieux qu'elle l'évite... Qu'il puisse l'oublier. Et par la même occasion, qu'il ne voie pas quelqu'un d'autre à son bras...

Puisse-t-il trouver la paix...

Par Syndrael le 7/9/2002 à 19:01:47 (#2115583)

:lit: :chut:

Joli tout cela..
(Ce n'est pas le lieu idéal pour poursuivre le débat hrp sur la depression)

Par Gengis Khan le 7/9/2002 à 20:25:26 (#2116018)

Aimer , souffrir , pleurer pour un jour être heureux.
Choses complexes que sont l'amour et les humains...




----
entierement d'accord avec Syndrael.

Par Kehldarin Osten le 7/9/2002 à 23:03:17 (#2116585)

Quand oublier est impossible, quand continuer semble impossible, à chacun de trouver en lui les ressources pour tourner quand même la page. Car il est des détresses qu'on est seul à pouvoir surmonter, même si on est jamais le seul à les éprouver.

(Comme les deux autres, là haut...)

Par Ibuki Tribal le 7/9/2002 à 23:35:38 (#2116751)

Un amour a sens unique n'est jamais evident a gerer. :lit:

Par Alanis Lyn le 8/9/2002 à 6:23:02 (#2117652)

Croire en l'amour... Quelle naiveté.

Par Maver|ck le 8/9/2002 à 14:13:00 (#2119152)

Provient du message de Alanis Lyn
Croire en l'amour... Quelle naiveté.

*Vague sourire*

Mais surtout quelle perte de temps.

Par Chrysaor Osten le 8/9/2002 à 15:17:45 (#2119608)

Provient du message de Alanis Lyn
Croire en l'amour... Quelle naiveté.

Provient du message de Maver|ck
*Vague sourire*

Mais surtout quelle perte de temps.

Le corbeau observait ce remue-ménage, sussurant aux ténèbres son funeste présage :

"Humains ignorants,
Guérissez vous de vos amours, sur mon plumage la Faux ne fera que glisser sans vous atteindre,
Pantins imbéciles,
Débarassez vous muettement de votre dernière étincelle de vie, mes serres vous guideront entre les machoires puantes de l'oubli.

L'obscurité acceuille ceux qui s'y cachent pour pleurer, méprise ceux qui l'invoque par dépis et lâcheté."