Silhouette.

Par Leoll/Breto le 5/9/2002 à 21:21:25 (#2104448)

Un homme marchait sur une rue pavée, une rue semblant déserte, il n'y avait personne... Sauf cet homme corpulent, qui marchait avec nonchalance, si l'on s'était approché de lui l'on aurait remarqué une longue tunique délavée, une tunique grise... Grise, sale, pousséireuse, il tenait à la main un bâton, sa main étant impressionante, le plus fort des paysans du village le plus proche n'avait pas de mains aussi grandes.

Il avançait, sans faire attention à ce qu'il y avait devant lui... Il avançait à bon train sans se retourner, sans prendre de pause, voilà plusieurs heures qu'il marchait sous le soleil, un baluchon posé sur son dos. Pourquoi marchait-il ? Personne ne le sait, si quelqu'un avait osé lui demander, j'aurais bien peur qu'il ne se fit démolir par ce colosse aux mains gigantesques, alors, personne ne le dérangeait, les rares personnes qu'il croisa quittèrent le chemin avant de le recontrer, peut-être la peur, sans doute même. Il est vrai que cet homme faisait peur, mais ne dit-on pas qu'il ne faut pas se fier aux apparences ?

Au loin, un cavalier, il semblait attendre l'homme, ce dernier marchant toujours à la même allure, ne levant les yeux qu'à de rares moments, il avançait, le cavalier restait immobile, attendant. Tout à coup le cheval se mit face au marcheur, et partit au galop en sa direction, se fut soudain, et n'importe qui aurait été surpris par ce geste vif. L'homme s'arrêta, regardant ce qui semblait être son ennemi, il arrivait à toute allure, le cavalier passa à côté du marcheur qui se retourna d'un geste vif et vit une tête roulée sur le sol, laissant une traînée de sang. Le corps de l'homme décapité était encore debout, le bras levé, prêt à poignarder l'homme. Il était abasourdi et regardait ce corps qui tomba sur le sol. Le Sauveur n'était plus là. Il avait disparu comme par enchantement. L'homme au baton ne chercha pas plus loin et continua sa route, alors que des yeux étaient toujours posés sur lui.



A suivre...

Par Khaelon Lloth le 5/9/2002 à 23:10:28 (#2105088)

J'en soupçonne certains d'interrompre expres leurs récits assez tot et/ou au moment où le lecteur se pose le plus de questions afin de laisser cruellement celui ci dans l'attente...
;)

Alors..LA SUITE!!!!!!!:)

Et ça a interet à etre terrible, superbement écrit et à couper le souffle....*rajoute un peu de pression afin de se venger de son attente*.:p

Par Ibuki Tribal le 5/9/2002 à 23:25:57 (#2105164)

*a hate de lire la suite* en attendant, up...:lit: :)

Par Free Bener le 5/9/2002 à 23:44:53 (#2105264)

:lit: :chut: :merci:

Par Nevaeh/Heaven le 6/9/2002 à 7:52:07 (#2106197)

*Up le post*
*Attend avec impatience de savoir si c'est bien la chose à laquelle elle pense.*

*une musique se fait entendre* Han han han han

Par Tirésias, Boul' le 6/9/2002 à 18:24:44 (#2109750)

Version Cité de la peur :D

*Attend la suite*

EHLP

:rasta:

Un nom sur un visage.

Par Leoll/Breto le 6/9/2002 à 20:45:56 (#2110714)

Au loin, les premiers toitures d'une ville annonçaient un arrêt qui ne serait pas de trop. Les toitures luisaient sous le soleil ardent, le zénith du soleil était proche, le chaleur accablante. L'homme marchait toujours, ayant oublié l'aventure de la veille. Il avait dormi quelques heures, loin de la route pavée avant de reprendre sa route, plein ouest, vers l'océan.

Il arriva aux abords de la ville et s'arrêta avant de pénétrer dans une ville où il n'y avait personne, la cité semblait déserte, mais ce n'était qu'apparence, tout le monde était aux fenêtres, regardant le nouvel arrivant. On ne semblait pas avoir une grande confiance en lui. Il avança et son attention fut attirée par une affiche. Un visage était dessiné, le visage avait des traits durs, un regard profond, des cheveux barrant la moitié du visage. L'homme se reconnut et lut la note en dessous. Il sourit, un sourire haineux, qui annonçait la mort. En lisant le nom qui s'apportait au portrait, il se passa la main sur l'épaule droite et avança vers la taverne.

Personne ne le reçut, les tables et les chaises étaient renversées, tout le monde avait déserté le lieu avant que cet homme qui semblait être craint partout où il passait n'était qu'un point sur l'horizon. Il avança vers le contoir, lentement, fixant les bouteilles d'alcool, les verres à moitié vide sur ce dernier. Un mirroir était de l'autre côté, il se regarda. Si un homme avait croisé ce regard, il serait mort sur le coup, sans doute... Il continua son chemin jusqu'à ce qu'il arriva au comptoir. Il prit une bouteille et but, d'un trait son contenu. Il jeta son baluchon au sol, qui tomba avec lourdeur, dans un bruit sourd. On se serait demandé ce qu'il contenait, mais nous n'aurions pas eu le temps de pousser longtemps cette énigme puisqu'il se baissa et l'ouvrit, dévoilant son contenu. Le soleil qui passait par une fenêtre illumina une pointe d'argent. Un éclair de lumière, un coup de feu donnant le départ, plusieurs hommes sortirent de leurs cachettes et se ruèrent vers l'homme. Tout à coup, une nouvelle fois, un cavalier pénétra dans la batisse, faisant rouler les têtes, sans que l'homme au regard d'acier n'esquissa le moindre geste. Les têtes roulèrent, avant que les corps ne tombèrent au sol, autour de l'homme, debout. Puis le cavalier repartit aussi vite qu'il était apparu. Leoll, tel était le nom de cet homme recherché, sortit une flèche de son loud baluchon et la regarda longuement. Un sourire barra son visage, il se releva, rangeant la flèche et sortit de la taverne, devenue tombeau.

A suivre...

Un enfant, sur Althéa.

Par Leoll/Breto le 7/9/2002 à 12:30:10 (#2113629)

Un enfant, âgé de 7 ans, les cheveux bruns, les yeux bleu gris, orphelin se promenait aux abords de HavreClair, essayant de tuer les hordes gobelins qui s'attaquaient à la ville. Beaucoup de personnes étaient au pont dit des gobelins, des adultes, des enfants, des prêtres et autres personnes qui bavardaient, et qui n'avaient aucun mal à repousser les assauts ennemis à la différence du l'enfant.

Il se démenait avec son arc et ses flèches en bois qu'il avait lui même grossièrement taillées. Il ne faisait pas attention à ce qu'il se passait autour de lui, et tout à coup, il fut pris d'un mal de tête. Il ne comprit pas ce qu'il lui arriva, se retourna aussi vivement qu'il le put et vit un homme derrière lui, le visage masqué par un heaume d'une noirceur à faire peur, son manteau avait la même couleur. Le petit bonhomme était terrifié, et reculait peu à peu, se collant contre un arbre. L'homme le regardait, s'il n'avait pas eu le visage caché, on aurait remarqué un sourire machiavlique. Une voix étouffée sortit du heaume :

"-Voilà la bénédiction d'Ogrimar !"

L'homme rit, et alla plus loin. Le gamin pleura toutes les larmes de son corps, ne comprenant pas ce qui lui arrivait, sa peau pâlissait a vu d'oeil, sans nul doute la peste...

Alors que l'homme partait, l'enfant cria à plein poumons à l'aide, et un homme, avec de grandes ailes blanches vint le voir, alors que la maladie s'estompait, un mal de tête gardait le garçon au sol. Le Séraphin le prit dans ses bras et lui demanda d'une voix rassurant qui lui avait fait tant de mal. Le petit garçon tremblait de tous ses membres, il était effrayé, ne comprenant rien de ce qui lui arrivait. Il tendit le bras et désigna l'homme masqué. Le Sérpahin se dirigea vers ce dernier et lui somma de quitter les terres de la baronnie, portant l'enfant dans ses bras. L'ogrimarien ne se fit pas prier, incanta et dipsarut dans une épaisse fumée noire.

Le Séraphin amena le garçon qu'il portait dans les bras vers la fontaine de HavreClair où plusieurs personnes étaient là. Un homme en armure, répondant du nom de Yo, une femme, ravissante, du nom d'Alanis, un autre Séraphin, lieutenant de la garde royale. Le trio regardait l'homme arrivé avec l'enfant dans les bras. Ce dernier demanda son nom à l'enfant qui répondit en balbutiant :

"- Je... Je m'appelle Leoll..."

A suivre...

Par Khaelon Lloth le 7/9/2002 à 12:52:12 (#2113756)

Tres bien écrit et vraiment interressant.
J'avais pu lire le post sur la mort de Leoll et j'étais déja désireux d'en savoir plus sur ce perso .:)

Donc...la suiiiiiite!!!!;)

Hurlevent, un port.

Par Leoll/Breto le 7/9/2002 à 13:22:49 (#2113948)

Après de brêves présentations, la baronne de Havreclair demanda au jeune Leoll où étaient ses parents. Il hausse les épaules, en secouant la tête semblant ne pas savoir qui ils étaient. Le quator baissa les yeux, soupirant, se disant que le royaume vivait uen sombre période. L'homme qui portait le gamin dans les bras voulu l'amener dans le temple pour qu'il se fasse soigner après avoir vu une longue cicatrice sur le bras de l'enfant alors que d'autres proposaient de l'amener à l'auberge.

La décision finale fut de l'emmener à l'orphelinat de Hurlevent, de l'autre côté de la grande route. Le petit était terrorisé et tenta de s'enfuir. Il fut vite ratrappé par le Chevalier royal qui le reprit dans ses bras et le calma doucement, lui disant qu'il rencontrerait des amis à l'orphelinat et que tout allait bien se passer. Leoll n'avait pas seulement peur de changer de ville, mais également des dangers de ma route. Les quatres adultes le rassurèrent, lui disant qu'ils seraient là, et que tout se passerait bien. Alors ils prirent la route en direction de la cité aux hauts remparts, cette ville portuaire où de nombreux bâteaux accostaient.

Le chemin se fit sans grands problèmes mis à part ce qui pourrait s'apparenter à une tentative d'assassinat, vite réglée par le Chevalier royal, dénommé Chrysaor.

Quand ils arrivèrenet en vue de la ville, Chrysaor emmena Leoll che lui pour voir ce qu'il pourrait faire pour les blessures du jeune homme. Ils furent suivis de la baronne et de Gabriel. Ce dernier devant se rendre à l'orphelinat pour y amener des jouets à un enfant. Chrysaor prit Leoll chez lui, la baronne et Yo les ayant quittés.


*
* *


Le dangereux marcheur était passé par de nombreuses villes, toujours escoté de ce mystérieux cavalier noir. Il n'était jamais visible sur les chemins, mais sa présence se sentait partout. Les yeux de Leoll devenaient rouge de temps à autres, mais ne faiblissait pas sa marche, et arriva à sa dernière étape, une ville au bord d'une grande mer.

Il s'arrêta à la capitainerie et tua tout ses occupants, regardant dans les registres, quels bâteaux allaient à Hurlevent, au royaume de la Lune d'Or. Il sourit, et décida de prendre le prochain bâteau, qui partait dans une petite heure.

Il se dirigea dans un endroit désert, qu'il semblait connaître, et le cavalier apparut. S'en suivit une longue discussion sur le but de la mission de Leoll. La voix sourde du cavalier se fit entendre :

"- Tu dois trouver un être... Tu dois entrer dans son esprit et servir la divinité la plus odieuse d'Althéa ! Répend la mort partout où tu le pourras !"

La mission était claire. L'homme enleva son manteau et se gratta l'épaule droite, sur laquelle un tatouage de couleur de sang indiquait son nom en lettre capitale.

LEOLL

L'homme prit le chemin du port et embarqua sur le bateau qui s'apprétait à partit pour Hulervent. Le voyage durerait plusieurs moi, Leoll pourrait mettre au point une tactique pour accomplir sa tâche.


Fin... La suite se déroulera selon ce qu'il se passera en jeu.

Par Vermine Ark le 8/9/2002 à 0:40:56 (#2117023)

:lit:

Par Nevaeh/Heaven le 8/9/2002 à 4:45:59 (#2117532)

:amour: Leollllllll *cri de fan hystérique*:amour:
:rasta:

Par Hlora Hur le 8/9/2002 à 11:07:44 (#2118050)

aller feignasse, la suite :)

Par Leoll/Breto le 8/9/2002 à 18:47:41 (#2120899)

Provient du message de Hlora Hur
aller feignasse, la suite :)

Si tu avais lu jusqu'au bout, tu aurais vu que c'est fini pour le moment et ce qu'il se passera ensuite sera en fonction de ce qu'il se passera en jeu puisque le voyage du méchant Leoll durera plusieurs mois, le temps pour le gentil Leoll de jouer un tit rôle et de voir se qu'il se passera autour de lui. :)


Je tenais à remercier Chrysaor, Yo, Alanis et Gaby pour le Rp que nous avons fait vendredi. :) :merci: