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Un Sélènite en balade
Par Tyn' le 29/7/2002 Ã 3:24:50 (#1870713)
Après quelques jours plus ou moins difficiles, il rencontra une Dame. Séraphine aux Ailes Noires, elle lui rappella sa mère, sa mère qu'il avait laissé seule là bas, près de l'école, près de chez lui. Elle se nommait Yana, Yana De Narisa. Il fut heureux de cette rencontre qui fut sa première depuis son départ, et essaya de rester avec elle quelques temps.
Celle-ci, pas particulièremenent enthousiasmée par le fait d'avoir un enfant à sa charge, lui autorisa malgrès tout à voyager avec elle, contre divers services ménagers et cullinaire. Tynril se trouva un vrai talent pour préparer les pommes de terre sautée, talent que sa nouvelle patronne su apprecier à sa juste valeur.
L'Enfant, chaque soirs, contemplait la Lune, la mélancolie au coeur. Il repensait à sa mère, sa chère mère de sang, qu'il aurait tant aimé avoir à ses côtés... Et à son autre mère, mère d'alliance, qu'il connaissait si peu, et qu'il avait sans doutes froissé... Et à Ayamé, sa talentueuse maitresse d'école, à ses fraises et à ses caresses... Et à Shanae, et à sa douce Soeur, plus que tout... Mais ces moments où les larmes coulaient étaient bien souvent interrompu par un appel de Yana, car elle n'aimait guère le voir penser.
Le Sélènite s'accomodait assez bien à sa nouvelle vie. La marche et le menage le rendait plus fort, la cuisine, la chasse et le dessin, qu'il pratiquait dans la terre à l'aide d'une branche pointue, le rendaient plus intelligent.
Malgrès tout, il voyageait auprès de cette Dame la peur au ventre. Il avait eut écho, de la part des badeaux qu'il croisait régulièrement, qu'elle serait une sorcière au service d'Ogrimar, vile et perverse, et que lui ne serait qu'une proie qu'elle ferait engraisser avant de la dévorrer.
Mais il n'avait pas le choix, s'enfuir d'elle, c'était se contraindre à la vie sollitaire, vie qu'il detestait plus que n'importe quelle autre. Alors il restait, s'exposant au danger, se demandant quand il aurait à fuir... Et où aller...
Par Desd le 29/7/2002 Ã 16:40:58 (#1871012)
Curieux qu'elle s'embarasse d'un enfant sauf si...
Par Itrhyn le 29/7/2002 Ã 16:56:59 (#1871120)
Par Tann Skaya le 29/7/2002 Ã 17:32:50 (#1871462)
Par Yana De Narisa le 29/7/2002 Ã 18:38:35 (#1871862)
Entre les tâches ménagères, Nalya, ses expéditions "obscures" et son entrainement, elle ne savait plus où donner de la tête.
C'est pourquoi le jour où elle rencontra cet Enfant vivotant de maigres repas, une idée lui traversa l'esprit. L'Enfant, qui se prenomait Tynril, ne semblait pas craindre ses sombres appendices dorsaux, signe de son alliance avec le Sanglant. Elle lui proposa de venir vivre avec elle, en échange de quelques menus travaux.
Au fil du temps, le travail qu'elle lui donnait devenait de plus en plus pesant pour l'Enfant qui malgré tout s'en sortait très bien.
Elle n'aimait guère le voir révasser, c'est pourquoi elle le rappelait a l'ordre de sa voix la plus autoritaire.
Cependant il lui arrivait de prendre l'enfant par la main, de lui faire quelques caresse furtives... Quelque chose se passait, elle le sentait... Il etait si jeune... mais ce détail l'empecherait elle d'agir?
Par Muska le 29/7/2002 Ã 18:40:26 (#1871873)
Par Tyn' le 29/7/2002 Ã 18:53:54 (#1871936)
Chaque matin, il se faisait reveiller par Yana, encore nue, ou très légèrement vétue par ses sous-vêtements vaporeux. Cette vison lui rappellait sa soeur, ou sa encore quelques élèves ou maitresses de l'école Sélènite.
Il se demandait pourquoi sa maitresse prenait tant de temps à s'habiller, fesant de grands gestes, se tournant sous tous les angles devant lui, alors qu'elle aurait pu simplement enfiler sa robe, comme lui le fesait.
Ce spectacle inaccoutumier lui plaisait. Il trouvait l'Ogrimarienne belle, mais pas autant que Shanae, que sa mère, ou que Damoiselle Ayamé. Il lui posait régulièrement des questions sur son anatomie, car il n'avait guère eut l'occasion de le faire en école Sélènite, sous peine d'être grondé.
Yana lui répondait toujours, le sourire au lèvre, et parfois exemple à l'appuis. Mais Tynril était encore trop jeune pour avoir idée de la perversion qui entourait la Sombre Ailée, et il n'imaginait pas ce que ses questions et ses regards interessé pourrait déclancher chez elle.
Il était jeune, pur, et trop innocent...
Par Ayame le 30/7/2002 Ã 2:23:36 (#1873713)
L'attente etait trop pesante,et la Sélènite n'avait pas pour abitude de rester inactive.
Le soir,elle se couvrit d'une cape sombre,arpentant les sentiers les plus inconnues de tous,se glissant parfois dans des grottes ou un enfant seul aurait pu trouver refuge.
Plusieur fois ses recherches nocturnes était en vain.
Adossait à un pommier,l'archère levait les yeux vers la lune,implorant la Dame Sombre d'offrire sa protection au Bambin,et que son courroux emporte quiconques qui tenterat de lui faire du mal.
Des cris l'extirpèrent de ses pensées amères,un ivrogne titubait,beuglant apres le tavernier qui n'avait pas voulue lui servir une choppe de plus,car l'homme n'avait plus de quoi payer les boissons.
Elle sourit malicieuse et s'approchat de l'homme qui chancellait a chaquns de ses pas.
Ayamé fit la déscription de Tynril,l'ivrogne s'en moquait au début,mais lorsque la Sélènite sortit une bourse,l'agitant sous son nez,en ajoutant qu'il pourrait se payer bien des choppes encore grâce a cet argent,l'homme subitement se souvenue d'avoir croiser Tynril.
Mais ayamé fronçat les sourcils,anxieuse,lorsqu'il ajoutat qu'il était au bras d'une Ogrimarienne,reconnue.Yana.
Elle donnat la bourse a l'ivrogne,lui dictant d'aller boire encore quelques chopes,afin qu'il oublie son visage,elle ne voulait pas que Yana sache qu'elle cherchait Tynril.
Ayamé demanderat de l'aide à ses frères et soeurs de foi afin de retrouver le petit Frippon.
Tynril est un enfant de Sélène.Plus que tout les Sélènites étaient unis et l'aiderons à le retrouver avant que ne germe a l'esprit de cette ogrimarienne des pensées perfides.
Par Yana De Narisa le 1/8/2002 Ã 19:00:38 (#1892559)
Dès qu'elle rentrait chez elle, elle enlevait et jettait sa robe avec plein de grace et appelait ensuite Tynril aux nouvelles.
Elle paradait devant lui, defilant comme pour mettre en valeur de la lingerie ou des vêtements qu'elle n'avait pas.
Chaque question que lui posait l'Enfant l'excitait un peu plus, l'on pouvait même percevoir une lueur dans ses yeux grandissante toujours plus a chacune de ses interrogations.
Elle aimait ça. Mais elle voulait plus. Le temps passait et pour elle, la théorie était finie. Il fallait à present passer a la pratique...
Par Holdan Teiglin le 3/8/2002 Ã 0:50:57 (#1904147)
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