Bienvenue sur JeuxOnLine - MMO, MMORPG et MOBA !
Les sites de JeuxOnLine...
 

Panneau de contrôle

Recherche | Retour aux forums

JOL Archives

Une soirée bien étrange.

Par Cano Mathieu le 2/10/2001 à 15:55:00 (#255724)

Le soleil commençait à donner des signes de faiblesse. Il ne tarderait pas à nous abandonner aux ombres de la nuit.
La fraicheur s'installant, les premières torches s'allumèrent. Ayant laissé ma famille s'endormir, j'allait, errant dans les rues de LightHeaven, songeur.
Ne voyant pas les personnes croisées, ni même je remarquais les batiments s'éloigner.
LEs ombres furtives de la nuit avançaient à grand pas, les arbres devenaient moins verdoyants, le soleil avait completement disparu.
A la recherche de réponses à mes questions, j'avançais toujours dans le noir, ne m'étant pas rendu compte de la pénombre grandissante.
Les oiseaux de nuits chantaient leurs douces méloppées nocturnes.
Arrivé à un pont, une impression qu'une voix résonnait en mon esprit. Oui, c'était bien celà, une demoiselle me contactait. M'ayant dit que je l'avais croisée sans même m'en rendre compte ou l'avoir saluée, je fus quelque peu géné par ce manque de civilité dont j'avais fait preuve.
Je lnvitais alors à me rejoindre à la fontaine pour mieux discuter. Mon vieil age ne me permettant pas de pouvoir rester longtemps en conversations télépathiques. D'ailleurs, il est bien plus agréable de discuter de visu.

Attendant adossé à la fontaine, j'observais les étoiles, songeant à ma femme, disparue, comme moi il y a quelque temps.

Une silouhette s'approchait de la fontaine, timide, n'osant guère m'aborder. Je ne l'avais même aps remarqué, juste quelques bruits de pas me firent me retourner.
Ne sachant pas qui était cette charmante demoiselle, l'idée me vint que ce fut peut etre la douce voix qui me contactait auparavent.

S'avançant timidement, elle se présenta comme s'appellant Lunia. Ce nom résonnait comme une mélancolique mélodie, ce nom était presque choiti parfaitement pour le moment. La lune commançait à montrer ses premières lueurs.
Discutant de choses et d'autres, de la vie, de philosophie, de poésie, de religion, de foi, notre discussion semblait ne jamais se finir tant la demoiselle était avide de connaissance. Je remarquais aussi un jeune aventurier, sans doute plus timide, qui écoutait mes récits. Ce jeune homme se nommait Tom Pouce, mais ce dernier n'osa pas intervenir. Seul un remerciement glissa de ses lèvres. Un remerciement de lui avoir appris quelque peu sur le monde.
Je retrouvait par ses deux personnes le rôle qui fut mien en l'académie de LightHeaven. Je me sentais revivre, moi le vieil homme qui avait du mal à tirer ses fléches maintenant.

Au fil de la conversation, un sentiment étrange d'être observés refroidit quelque peu nos esprits. En effet, sensation étrange, froide quune silouhette, une ombre nous écoutait. Peu après avoir ressentit ceci, l'ombre me parlait, elle me disait être née de la larme dune femme, sans doute Ephesia je me dis. Etrange, cette ombre semblait me connaitre, elle semblait avoir attendu ma venue.

Tout en récupérant mes esprits, un autre phénomène projeta sa lumière en notre belle cité. La lune semblait s'être dédoublée. Etrange. En effet, au travers des nuages, parmis les étoiles, on pouvait distinguer deux lunes, bien differentes. Ne buvant jamais d'alcool, je ne pense pas quece puisse etre cette explication.
D'autant plus que Lunia l'avait aussi remarqué.

D'autant plus étrange que la jeune personne en face de moi se nommait Lunia. Mon esprit fut prit de multiples interrogations, alimentée par la soif de comprendre de Lunia.
Troublé par tout ces évènements, je proposais à Lunia de prendre congé. J'avais besoin d'ete seul, j'avais besoin de dormir. Besoin de penser, besoin de réfléchir.

N'ayant pas trouvé de réponse à ces étranges phénomènes, ces étranges coïncidences, j'en appelle à tous les sages, peut ete saurez vous m'expliquer ce qu'à voulu me dire la nature par cette soirée spéciale.


*dépose le parchemin à la bibliothèque, éspérant qe quelquun le lira et l'aidera*

[ 02 octobre 2001: Message édité par : Critias Ezeil ]

Par Dieu Poppu le 2/10/2001 à 17:26:00 (#255725)

Les plus étrange coincidence amènent parfois d'agréable surprise Tonton !

Et mm si ta vue faiblit, tes connaissances et ton savoir continue à croitre et à apporter leur bénéfice

Je suis sur que tu es l'un des éléments les plus vénérable de notre Académie *sourit au mot vénérable*

Présente nous donc un jour ces aventuriers, et fait nous partager tes histoires ^^

Par Melkhen le 2/10/2001 à 19:52:00 (#255726)

Il existe trois lunes sur Althéa mon ami... deux sont particulièrement visibles depuis... qu'Ys est venu y ajouter son grain de sel.

N'hésite pas à passer par la Forge, je te passerai les notes d'un éminent étudiant de la nature à ce sujet.

*se souvient du nom des deux premières, Faes et Athanée, mais la troisième lui échappe toujours*

Par Cano Mathieu le 2/10/2001 à 19:58:00 (#255727)

MErci bien mon ami, mais le plus étrange n'est pas le fait qu'il y ait deux lunes, c'est que l'impression qu'elles se soient scindées en deux.
De même que la présence de cette demoiselle nommée Lunia, de cette ombre qui murmurait dans mon esprit.
Tout ceci n'est pas clair en moi.

Par Urobore le 2/10/2001 à 20:40:00 (#255728)

*sourit à son vieil ami*

Bonsoir, cher CritiasÂ…

Je suis heureux de vous revoir… Alors même que je vous voyais vous éloigner de nous, peu avant mon départ… *semble songeur*… voilà que je me vois vous accueillir. Les cycles semblent se succéder de manière bien étrange… Espérons que mes recherches sur les… Anciennes Contrées aboutiront comme je l'espère…

*soupire*

Mais quelle joie de vous revoir, mon vieil ami ! *sourit à nouveau*

Deux lunes identiques parmi les trois, en apparence, qui soudain deviennent visibles, et une douce damoiselle animée de la soif des disciples appliqués, au prénom délicieux comme du miel d'acacia. Lunia, ou la douceur. *sourit*

Deux lunes sur trois comme un choix à accomplir. Ne comptez pas sur moi pour vous dire quel chemin vous devrez emprunter : vous seul devrez le déterminer. Vous voilà seulement comme un amoureux, devant choisir entre deux femmes : la mère d'hier ou la fille de demain.

Deux lunes comme pour vous signifier que vous devrez choisir la manière de vous comporter face à cette jeune femme… Ou peut-être est-ce un symbole bien plus élevé encore qui en appelle jusqu'à l'exaltation de votre âme inspirée, ami poète ! Néant et Existence, Existence et Néant, l'un des choix les plus durs à faire ! Mieux : LE Choix, qui se devra d'être la clef de votre futur… Méfiez vous des apparences : seule l'une des deux lunes est réelle, l'autre n'en est que le reflet. Reste à déterminer laquelle ! Et rappelez vous : la troisième se cache derrière les deux autres, mais vous ne la voyez pas encore…

Ecoutez votre âme et votre cœur : vous saurez que choisir…

*sourit*

Vous voilà bien embarrassé, soudainement !

*éclate de rire*

L'existence a le chic particulier de nous mettre devant des choix à effectuer, avec la malice d'un enfant innocent… Connaissez-vous la parabole de l'ange, de l'enfant et du chien ? Il était un jour, il y a bien des années, sur les chemins dans les campagnes, un étrange trio… Un enfant et un ange se tenaient mutuellement la main, un chien suivant derrière. La véritable question est : qui déterminait la direction du trio ?

Le premier disciple à qui je posais cette question me répondit : "L'ange, car il est la Grâce et seul l'esprit éclairé doit nous mener dans le droit chemin."
Le deuxième disciple, quant à lui, me répondit : "L'enfant, car c'est par son innocence qu'il peut déterminer ce qui est vrai et ce qui ne l'est pas."
Le troisième disciple me répondit enfin : "L'enfant et l'ange conjointement car la Grâce alliée à l'innocence permet de sentir de quoi demain sera fait."

Chacun d'entre eux avait raison à sa façon, mais aucun d'eux n'avait cependant la réponse.

En vérité, je vous le dis… Ce n'est ni l'ange, ni l'enfant, ni leur duo ainsi accompagné qui guidait le reste : c'était le chien. L'enfant et l'ange sont sur la même ligne. Peut-être l'ange tient-il la main de l'enfant pour l'éclairer de la grâce ; peut-être l'enfant tient-il la main de l'ange, pour le conduire, pour que l'ange ne soit pas trop gêné, lui qui va dans le monde visible comme un aveugle dans le plein jour. Et, derrière eux deux, le chien. Le chien que l'on oublie, mais qui est pourtant le seul que l'on voit vraiment. (*)

Car si l'ange et l'enfant se regardent mutuellement, les yeux dans les yeux, à marcher droit devant, il s'agit bien du chien qui, vagabondant à droit et à gauche, s'arrêtant parfois pour sentir une fleur des champs, rejoignant alors à toute hâte ses deux maître devant ; bref, c'est bel et bien le chien qui suit l'ange et l'enfant, et - s'il ne sait pas où il va, et que l'ange et l'enfant n'en savent pas davantage - il sait cependant quelle direction prendre : celle de l'ange et de l'enfant, comme un disciple cheminant avec joie.

Rappelez-vous dans cette histoire que vous n'êtes, ni l'ange, ni l'enfant, ni les deux à la fois : vous êtes le chien qui suivez votre voie avec innocence et grâce, jouant sur ses pas de son cœur et de son esprit.

Deux lunes parmi trois, un enfant, un ange et un chien. Trouvez le chien sur le sentier, et vous trouverez de quelle lune vous inspirer.

*affiche un large sourire et s'incline humblement*


(*) : HRP : "Inspiré du Livre de Tobie et du "Très-Bas" de Christian Bobin"

Par Lunia le 2/10/2001 à 21:51:00 (#255729)

Seule, au temple de LihgtHeaven, je me reposais tranquillement en écoutant les gens qui parlaient et murmuraient aux alentours de moi. Jécoulais ainsi un peu de temps de repos entre combats de kraniens et gobelins. Jentendis la voix de deux hommes qui parlaient damour familial. Prise de frissons à lécoute de mots daffection dun homme vis à vis lautre. Je mapprocha discrètement deux pour assouvir ma curiosité. Un homme, vêtu de blanc salua, de ce que jentendis son père, se retourna vers la sortie du temple et parti. Lautre homme, arc à la main, couronne brillante et dune robe noire quitta le temple, peu de temps après. Je nai pu reconnaître le visage, qui à ma mémoire, je navais croisé aucun deux. Par contre, au son du nom de Critias, je nai pu mempêcher de faire un lien avec les parchemins quil laisse à cette bibliothèque et de sa réputation forte qui est acquise au fils des ans. Je savais que cet homme se voyait absent dAlthéa, sous sa signature des lettres en tant que disparu. Le voir sous mes yeux, tout près de moi me poussa à lui parler, au moins le saluer comme il le convenait. Des chuchotements ont donc suivi pour lui transmettre toute mon admiration.

Il minvita donc dans un endroit pour que je puisse le connaître plus convenablement. Cur qui battait à toute allure, je me suis rendue à la fontaine. Je le vis, appuyé sur la fontaine. Un regard rapide en sa direction, je pris mon courage et je le salua dune voix émue, espérant ne pas trop montrer ma timidité devant cet homme qui, maintenant je sais, mérite tout mon respect. Conversation légère commença ma rencontre avec lui. Puis, peu à peu, il me parla de la nature et de ses connaissances comme adepte de celle-ci. Jétais éblouie de le voir si enjoué et si passionné de ce qui nous entoure, à partir de la simple fleur jusquau plus grand arbre dAlthéa, en passant par les animaux. Nous avons parlé de la foi, de la famille, de vision de la vie et de lamour qui en fait partie.

Sur ce sujet, il ne mapparut pas intimidé et me parla de sa peine envers sa femme disparue, laissant ainsi des enfants unis par le lien familial mais quelque peu orphelins. Triste de le voir ainsi, jessayais de piètre façon de le consoler. Je voulais trouver les mots pour lui dire que cest avec certitude que je crois que ce nest que rupture passagère. Du moins, je lespère.

Il est vrai que jai été prise dune sensation comme une ombre passer comme le mentionne Sire Critias dans son parchemin. Elle était vivante car Sire Critias et moi avons eu cette même émotion. Impossible de se tromper tous les deux, au même moment. Alors, sans le moindre doute, elle y était. Je me suis sentie envahie par un bien-être intérieur qui parti, une fois que je ne pouvais plus ressentir cette présence, ombre passagère. Questionnements sans réponses entre lui et moi se sont poursuivis. Etait-ce la présence de sa femme qui était tout près ? Avait-elle pris cette forme pour lui parler ? Interrogations qui fut en vain dexplications. A la tombée du jour, inconsciente des phénomènes de la nature comme Sire Critias lest, il me fit remarquer une deuxième lunes.

Je croyais à prime abord, quil voyait double, vu quil narrêtait sans cesse de me parler de son corps qui se fait vieux. Convaincu de lui-même, il continua de me demander de lever la tête haute vers le ciel étoilé. Plus étonnée de voir la réaction de cet homme, mon regard se dirigea vers lespace au-dessus de nos têtes. Je pris pour acquis quil ne pouvait sagir que dune étoile mais avec linsistance de Sire Critias, je vis bel et bien les deux lunes en question. Impressionnée, époustouflée par ce phénomène, nous avons longuement échangé.

Le plus troublant, il me dit par la suite que cette ombre rencontrée juste quelques instants avant ce trouble magnifique des astres, il avait senti quelle lui avait parlé de larmes de sa femme. En sombres bruits dans sa tête. Dun air interrogateur, je me suis mise à le questionner, voyant peut-être ici un signe à partir de mon nom et de la tristesse profonde de sa femme. Fruit de limagination, jessayais de trouver un lien entre la discussion de sa tendre moitié, lombre et la lune avec laquelle, on y retrouve une portion dans mon nom.

Par contre, une coïncidence comme telle que je lai vécu restera à longtemps gravée dans ma mémoire. Un homme aux multiples talents était là, prêt à écouter une simple aventurière, habillée dune simple armure en cote danneau et épée à la main. Il se fit confident envers son passé et transmis ses connaissances à ma grande surprise. Un dédoublement de la lune et la présence dune ombre. Jaimerais savoir si ce nest que hasard.

Cette vision de la lune troubla mon sommeil, me levant à plusieurs reprises pour regarder si je pouvais encore la revoir. Jen ai vu quune seule et non deux. Cur léger, les étoiles, la brise du vent, la verdure sous mes pieds me rappelait sans cesse, cette rencontre si merveilleuse face à la nature. Parfois je me suis surprise à confondre réalité entre deux sommeils, croyant que tout ceci nétait que rêve. Seul le toucher répétitif de ma main qui me fait sourire par une peau délicate dune joue me rappelle que javais bien vécu ce que jaffirme avoir vu.


Tout comme Sire Critias, je voulais déposer ce parchemin afin de mieux comprendre Sil y a une explication qui existe. Mainteant, je sais. Merci de vos précisions nobles sages. *sourit*

[ 02 octobre 2001: Message édité par : Lunia ]

Par Dolly le 2/10/2001 à 22:12:00 (#255730)

*Sent des frissons parcourir son corp à l'écoute de ces récits*

Mon frère...

Peut-etre est-ce signe du destin...
Sache donc le saisir pour en récolter les fruits...

Demoiselle...

Je vous dois milles grâces pour éveiller ainsi de tels sentiments en son coeur...


*Lance un doux sourire à ses deux interlocuteurs, s'incline et se retire*

Puissent la Paix et l'Amour vous guider...

Par Cano Mathieu le 3/10/2001 à 1:03:00 (#255731)

Douce demoiselle Lunia, je constate que vous avez aussi le talent de l'écriture. Je pense même que vous me surpassez pour relater ces évènements.

Je vous suis totalement admiratif quand à la qualité de votre récit.

Dolly, ma soeur, je te remercie, mais je ne pense qu'un vieil homme comme moi ne soit pret à prendre la vie comme elle vient.

*sincline devant l'assemblée*

Par Urobore le 3/10/2001 à 1:03:00 (#255732)

(hop)

Par Lunia le 3/10/2001 à 9:38:00 (#255733)

*appercoit de loin une Dame qui lui adresse un sourire*

*ose l'interpeller* Dame Dolly, je n'ai pas de remerciements à recevoir. C'est plutôt à votre frère que vous devriez dire ceci. C'est lui qui m'a éveillé à un monde qui m'est encore étranger mais paradoxalement si familier, celui de Titania.

*continue avec un ton plus calme* Grâce à ses connaissances, je peux m'émerveiller à chant d'oiseau, les feuilles de l'arbre qui bougent sous l'effet du vent, l'animal qui se promène à la recheche d'un endroit plus calme. Je suis loin d'être adepte comme l'est votre frère. Je ne fais que prendre conscience des cycles de vies.

*prend son courage* Pour votre vison du coeur, je partage la vôtre. Celle de vivre librement pour ne pas mourir.

*s'adresse à Sire Critias. Visage qui paraît troublé*

*essaie de cacher sa voix encore timide* Sire, votre modestie me fait sourire. La dite admiration du récit vécu est réciproque.

*Prise de remords, avoue qu'elle a entendu les paroles dites de Critias à sa soeur*

*baisse la tête* Peu importe où vous êtes.
*regarde sa main* Ici ou dans un abris que seul vous et Titania connait, gardez en votre conscience que maintenant vous n'êtes plus qu'une existence pour moi mais une personne à part entière qui fait sa vie librement.

*relève la tête et fait une révérence aux gens présents*

Par Megan le 3/10/2001 à 10:48:00 (#255734)

*sourit*

douce demoiselle, vous devez etre une personne merveilleuse pour avoir su percer le vieux fatigué de mon her oncle.

Par Cano Mathieu le 3/10/2001 à 13:38:00 (#255735)

Demoiselle Lunia, si ce que je vous ai conté vous a ravi, j'en suis heureux. Si ceci vous permet d'avoir une vision plus large de la vie, vous m'en voyez d'autant plus ravi.

J'espère un jour vous croiser de nouveau pour continuer cette discution passionnante.

*se tourne vers Megan*

Meganou, vieux coeur fatigué !

Je veux bien que je sois vieux, mais tout ceci fait beaucoup !

*sourit*

Enfin, tu dois avoir raison, je n'ai plus ma forme d'antan.

*se retire remerciant les personnes l'ayant écouté*

Par Wulfgar Laenal le 3/10/2001 à 14:02:00 (#255736)

*se goinffrant de biscuit, reluque Lunia de haut en bas*

*s'aperçoit de ce qu'il fait, et rougis plus que tout*


C'est que je me remettrai bien à adorer Brehan moi.

*sourit, pensant au tas de bêtises qu'il dit*

Ferme la, gros sac. T'es pas un malin toi!

Par Cano Mathieu le 3/10/2001 à 20:10:00 (#255737)

*aperçoit Wulfgar*

*se dit qu'il n'en saura pas plus que lui*

Alors personne n'est capable de nous expliquer ceci, seul messire Urobore a trouvé une explication, fort complexe d'ailleurs.

Les sages de ce pays ne sont pas forts nombreux, ou alors preferent ils garder leur savoir pour eux.

En tout les cas, merci Urobore d'avoir essayé de m'expliquer.

*sourit à son ami*

Par Lunia le 3/10/2001 à 21:01:00 (#255738)

*intimidée pas le regard de Sire Wulfgar*
*s'éloinge de lui discrètement*

*voit Sire Critias encore présent dans l'assemblée*

*lui murmure*
Phénomène de la nature sûrement. Peut-être que Titania cache des secrets qui doivent être bien gardés.

*écoutant que sa logique*
À part d'un spectacle céleste magnifique, nous devrions laisser ces sages tranquillement. Je ne cherche plus d'explications. Seulement la richesse d'avoir été témoin d'un moment peu commun.

*disparaît sans faire de bruit*

Par Fingor le 3/10/2001 à 21:50:00 (#255739)

J'ai pas le tps de lire ça ce soir, promis je le fait demain... Alors svp, si on pouvait s'arranger pour pas le faire couler ce post .

Franck, qui en a déjà marre de la fac...

Par Dolly le 4/10/2001 à 20:47:00 (#255740)

*Furtivement cachée dans l'ombre de la pièce, Dolly se délecta des paroles prononcées*
*Elle observa lunia d'un air aprobateur, son regard se promenant entre elle et son frère*

Belle et jeune demoiselle,

Sachez que la liberté est une force qui nécessite bien des combats...
Pourtant si elle est primordiale, elle se doit de ne géner celles des autres...
La souffrance, l'égoïsme et l'hipocrisie étant des fardeaux à cette liberté, qui pourtant se propage aussi bien par la joie que la tristesse...

Soyez bons je vous Aimerais, soyez mauvais je vous tuerais !

Mon frère,

Pourquoi toujours chercher ainsi des significations à l'innexpliquable ?
Ton Age se fait grand, j'en convient, mais il n'en suis que ta sagesse...
Tente d'aprécier enfin les choses comme elles viennent, sans toujours chercher à les comprendres, et celà qu'elles soient douces comme ces deux lunes ou bien tristes comme la mort ou l'absence...
Sache que tu puis toujours compter sur moi, que je t'épaule, non pas par mon esprit qui jamais ne vaudra le tien mais bien par mon coeur qui t'es tout ouvert...

Puisse-tu vivre heureux encore bien longtemps, nous berçant de tes chants comme de tes savoirs...

Je t'Aime mon frère...


*Un peu génée de son exibition de sentiments, elle baissa la tête et retourna dans l'ombre et la triste poussière de la nuit*

Par Fingor le 4/10/2001 à 21:17:00 (#255741)

*lit les parchemins un sourire aux lèvres*
Mon frère... voilà bien longtemps que j'attend ton retour il me semble, et savoir que ton coeur puisse chanter me réjouit fortement.
Mon frère, deux lunes en une nuit sont commes deux regards en une flamme... c'est une beauté infinie...
Damoiselle Lunia, je ne vous connais point, mais votre pensée semble si douce de cette rencontre...

Je ne m'attarderais point sur ce parchemin... mais sachez que je serais là...
Toi, mon frère, n'oublie pas l'affection que je te porte...

Par Lunia le 4/10/2001 à 23:17:00 (#255742)

*revient sur ses pas*

*souffle à mi-coupé* Sire Critias, je suis charmée par les attentions que votre famille et vos amis vous adresse ainsi qu'à moi. Mais.. je ne suis qu'une femme que vous avez croisez parmi tant d'autres ce soir là.

*reprend son souffle* Si vous revenez sur Althéa pour observer Titania ou rencontrer les gens qui vont sont précieux, j'en serai forte-aise.

*respire un grand coup* Je sens un poids sur mes épaules dans votre déçision. Je me sens.. si.. importante face à tous ces gens.

*respire normalement* Savourez votre liberté et si nos regards se croisent encore, je pourrai sûrement voir un homme devant un choix éclairé. Sinon, je lirai vos parchemins avec le rappel d'un souvenir, d'un moment vécu avec tant d'émotions. Continuer nos conversations, connaître plus sur la nature, rire devant des confusions, observer les passant me comblera de joie.. prennez ceci pour dit. Eu qui sait? Vivre encore des phénomènes étranges mais épatants.

*repart doucement, l'âme plus tanquille*

Par Cano Mathieu le 5/10/2001 à 1:38:00 (#255743)

Critias: ammongé contre une touffe d'herbe songe, il réfléchit à tout ce qu'on lui a dit. Il ne peut enlever de son esprit les deux lunes se séparant, le doux visage de la demoiselle et le murmure de cette ombre.
Pourquoi ne sait il pas laisser aller ses sentiments, pourquoi toujours comprendre. On le lui reproche souvent. Mais il est incapable de réagir autrement.
La compréhension est pour lui le but premier. Il doit comprendre pour savourer. Un moment laissant parler sa nature, un moment écoutant respirer la vie, un moment songeur. Telle est sa nouvelle vie.
Composer ses poèmes, inexplicables et comprendre la vie pour apprendre et enseigner.

JOL Archives 1.0.1
@ JOL / JeuxOnLine